Lune de Miel (Partie 04)
Récit érotique écrit par HellRider [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lune de Miel (Partie 04)
Alors que le jour s’était levé depuis plusieurs heures, les jeunes mariés ne se trouvaient déjà plus dans leur lit. Le bruit de l’eau qui coule et des rires provenaient de la salle de bain. A l’intérieur, les deux tourtereaux échangeaient de passionnants baisers. Zack s’arrêta un moment, prit les deux mains de Frida, et les plaça juste au-dessus de sa tête contre le mur. Cela surprit légèrement Frida mais l’excita encore plus.
Le jeune homme approcha de nouveau son visage de celui de sa femme, puis posa délicatement ses lèvres sur son cou. Il lui donna de nombreux baisers sur cette partie du corps tandis qu’il malaxait tendrement sa poitrine avec sa deuxième main. Frida se mordilla la lèvre inferieure alors que son niveau d’excitation augmentait de plus en plus.
Pendant leur petit échange, madame Maze sentit la main de son mari descendre progressivement le long de son ventre et s’arrêter au niveau de son entrejambe. Là, son homme commença à caresser sa partie intime. Il ne fallut pas très longtemps avant que cette dernière n’explose. Elle se débattit légèrement pour que son époux la libère mais sans aucun succès. Sa poigne se fit même plus forte.
A cause des différentes sensations qu’elle éprouvait, Frida Maze gesticulait dans tous les sens. Zack finit par relâcher sa femme qui passa immédiatement après ses bras autour de son cou. Toutefois, alors qu’il faisait rentrer un de ses doigts en elle, cette dernière resserra son étreinte. Les deux amoureux continuèrent dans cette position pendant deux à trois minutes avant que le jeune homme ne rajoute un second doigt. A cet instant, son épouse cessa de l’embrasser. Elle posa juste sa tête contre lui et le serra encore plus fort.
Zack continua de jouer avec sa petite femme durant de très minutes. A force de faire des va-et-vient en elle, cette dernière se mit à produire de charmants petits gémissements mais commença également à le griffer au niveau du dos. Cela ne le gêna pas. Il trouvait même cela très agréable, surement un coté sadique insoupçonné chez lui. Sentant ses doigts devenir de plus en plus humide, le jeune homme mit plus d’entrain dans ce qu’il faisait, ce qui rendit les délicieux sons émis par la jeune femme beaucoup plus récurrents et importants.
- Arrête ! Arrête ! s’exclama brusquement Frida avec une voix fébrile.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Cela ne te plait pas ? lui demanda-t-il tout en retirant ses doigts de son appareil génital.
La demoiselle ne répondit pas immédiatement à ses questions. Elle se remettait tout d’abord de ses émotions. Elle ne savait pas ce qui lui arrivait mais l’homme se trouvant devant elle semblait être une toute autre personne. C’était un peu comme si elle découvrait une nouvelle facette de lui.
- C’est pas que je n’aime pas. C’est juste beaucoup trop soudain, lui répondit-elle finalement une minute après.
- Je vois. Pardonne-moi d’avoir été aussi brusque. Cela ne se reproduira plus.
- Non ! Je veux que ça se reproduise. Je veux découvrir cette partie de toi, dit-elle.
- En es-tu certaine ? questionna-t-il à nouveau.
- Oui !
De la détermination pouvait à ce moment se lire dans les yeux de Frida. Elle était décidément prête à voir les bons comme les mauvais cotés de son mari. En voyant cela, Zack ne pouvait qu’afficher un joyeux sourire. Cependant, la jeune femme se doutait que cela ne présageait rien de bon pour son corps.
Le jeune homme attrapa le menton de sa femme et approcha de nouveau ses lèvres des siennes. Le couple Maze recommença à s’embrasser très passionnément. Frida plaça à son tour ses mains sur le torse de son mari et, comme lui, descendit progressivement jusqu’à son bassin. Là, elle attrapa l’organe qui pendait entre ses jambes. Parce qu’elle les avait brusquement stoppés, il s’était légèrement ramolli. Elle allait donc l’aider à redevenir aussi dure qu’avant.
Frida fit des mouvements de va-et-vient avec ses mains. Cette dernière le sentit alors devenir de plus en plus dure et chaud. Dès qu’elle le trouva assez robuste, la jeune femme cessa d’embrasser son époux, approcha sa bouche de son oreille, et lui murmura quelques mots.
- J’ai envie de toi ici et maintenant, lui dit-elle de manière très sensuelle.
Le jeune homme regarda sa femme pendant quelques secondes avant d’attraper une de ses jambes et de la soulever. Celle-ci, qui tenait toujours dans ses mains le pénis de son mari, le conduisit tout doucement vers l’entrée de son vagin. Parce que c’était sa seconde relation sexuelle, Zack rentra délicatement en elle. Le travail qu’il avait précédemment effectué lui facilitait grandement la tâche.
Bien qu’il ne fût qu’à moitié dedans, le jeune homme se sentait très à l’étroit. Il continua cependant de pousser jusqu’à ce que son sexe soit complètement à l’intérieur. Dès que ce fut le cas, le ressortit légèrement avant de repartir de plus belle. Les mouvements de va-et-vient se succédèrent en même temps que les gémissements de Frida qui avait de nouveau mis ses bras autour de lui. Le couple poursuivit leur partie de jambes en l’air dans cette position pendant près de dix avant de passer à une autre posture.
Zack retira son pénis de sa femme et retourna cette dernière. Il posa ensuite sa main gauche sur sa hanche et la tira vers lui tandis qu’avec l’autre, il attrapait son sexe. Ce fut donc avec un peu plus d’entrain qu’il la pénétra de nouveau. Le jeune homme était beaucoup plus énergique. Comme sa femme s’en doutait, il n’avait plus rien à voir avec celui avec qui elle partagea son lit la veille. Ce n’était pas pour la déplaire, on pouvait même dire qu’elle appréciait son petit coté bestial.
La mari de Frida la plaqua contre le mur de la salle de bain, puis plaça ses bras autour d’elle. Ses mouvements de va-et-vient s’intensifièrent par la suite. La jeune femme se mit alors à émettre des sons ressemblant plus à des cris de douleur qu’à des gémissements. Ils continuèrent ainsi pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’ils entendent des bruits provenant de la porte d’entrée de leur chambre. Au début, ils ne prêtèrent pas attention à ces derniers et poursuivirent ce qu’ils faisaient. Toutefois, ils furent obligés de s’arrêter car la personne cognant à leur porte devenait de plus en plus insistante.
Zack retira son pénis de sa femme, attrapa vite fait une serviette qu’il enfila autour de sa taille, puis sortir de la salle de bain. Se trouvant désormais devant la porte de leur chambre d’hôtel, le jeune homme jeta un coup d’œil à travers le judas et se rendit compte que la personne qui les avait interrompus était un membre du personnel Kalaha.
- Bonjour ! Que puis-je faire pour vous aider ? demanda Zack après avoir ouvert la porte.
- Bonjour monsieur. Plusieurs de nos clients nous ont reporté d’étranges bruits en provenance de cette chambre. Est-ce que tout se passe bien ? questionna l’employé.
Comprenant de quoi il en retournait, Zack ne put que se sentir gêné. Sans s’en rendre compte, sa femme et lui avaient attiré l’attention sur eux. Non, pour être plus précis, c’était sa faute si ce jeune homme avait dû se déplacer jusqu’à sa chambre.
- Chérie ! C’était qui ? demanda à son tour Frida Maze en sortant de la salle de bain.
Lorsqu’elle remarqua que son mari n’était pas seul, la demoiselle bondit pour aller se cacher dans un coin.
- Nous sommes sincèrement désolés. Nous n’avions pas pour but de déranger les autres clients de l’hôtel, répondit monsieur Maze.
- Je comprends. J’en réfèrerai à mes supérieurs. Veuillez s’il-vous-plait demander à votre épouse de crier moins fort, rétorqua le jeune homme.
- Je tacherai de lui en parler.
Après que les deux se soient souhaités une excellente journée, Zack referma la porte de sa chambre. A ce moment, Frida, qui avait tout entendu, sortit de sa cachette. Son visage était aussi rouge qu’une tomate.
- Je n’arrive pas à croire que nos voisins nous aient entendus, s’exclama-t-elle.
- Tu n’as pas à te sentir responsable pour ça. Tout est ma faute. Si je ne m’étais pas autant acharné, tout ceci ne se serait jamais produit, rétorqua Zack.
Le jeune homme s’approcha de sa femme et la prit dans ses bras. Ce fut à cet instant que la serviette qu’il avait autour de la taille se détacha et tomba à même le sol.
- Ta ser…- Chute ! Je sais. Profite juste de l’instant présent, l’interrompit-il.
Les deux tourtereaux restèrent comme cela pendant une ou deux minutes avant que Zack Maze ne propose à son épouse de se rhabiller et d’aller prendre leur petit déjeuner au restaurant de l’hôtel. Son ventre s’étant mis à gargouiller, ce fut avec grand plaisir qu’elle accepta sa proposition.
Le jeune homme approcha de nouveau son visage de celui de sa femme, puis posa délicatement ses lèvres sur son cou. Il lui donna de nombreux baisers sur cette partie du corps tandis qu’il malaxait tendrement sa poitrine avec sa deuxième main. Frida se mordilla la lèvre inferieure alors que son niveau d’excitation augmentait de plus en plus.
Pendant leur petit échange, madame Maze sentit la main de son mari descendre progressivement le long de son ventre et s’arrêter au niveau de son entrejambe. Là, son homme commença à caresser sa partie intime. Il ne fallut pas très longtemps avant que cette dernière n’explose. Elle se débattit légèrement pour que son époux la libère mais sans aucun succès. Sa poigne se fit même plus forte.
A cause des différentes sensations qu’elle éprouvait, Frida Maze gesticulait dans tous les sens. Zack finit par relâcher sa femme qui passa immédiatement après ses bras autour de son cou. Toutefois, alors qu’il faisait rentrer un de ses doigts en elle, cette dernière resserra son étreinte. Les deux amoureux continuèrent dans cette position pendant deux à trois minutes avant que le jeune homme ne rajoute un second doigt. A cet instant, son épouse cessa de l’embrasser. Elle posa juste sa tête contre lui et le serra encore plus fort.
Zack continua de jouer avec sa petite femme durant de très minutes. A force de faire des va-et-vient en elle, cette dernière se mit à produire de charmants petits gémissements mais commença également à le griffer au niveau du dos. Cela ne le gêna pas. Il trouvait même cela très agréable, surement un coté sadique insoupçonné chez lui. Sentant ses doigts devenir de plus en plus humide, le jeune homme mit plus d’entrain dans ce qu’il faisait, ce qui rendit les délicieux sons émis par la jeune femme beaucoup plus récurrents et importants.
- Arrête ! Arrête ! s’exclama brusquement Frida avec une voix fébrile.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Cela ne te plait pas ? lui demanda-t-il tout en retirant ses doigts de son appareil génital.
La demoiselle ne répondit pas immédiatement à ses questions. Elle se remettait tout d’abord de ses émotions. Elle ne savait pas ce qui lui arrivait mais l’homme se trouvant devant elle semblait être une toute autre personne. C’était un peu comme si elle découvrait une nouvelle facette de lui.
- C’est pas que je n’aime pas. C’est juste beaucoup trop soudain, lui répondit-elle finalement une minute après.
- Je vois. Pardonne-moi d’avoir été aussi brusque. Cela ne se reproduira plus.
- Non ! Je veux que ça se reproduise. Je veux découvrir cette partie de toi, dit-elle.
- En es-tu certaine ? questionna-t-il à nouveau.
- Oui !
De la détermination pouvait à ce moment se lire dans les yeux de Frida. Elle était décidément prête à voir les bons comme les mauvais cotés de son mari. En voyant cela, Zack ne pouvait qu’afficher un joyeux sourire. Cependant, la jeune femme se doutait que cela ne présageait rien de bon pour son corps.
Le jeune homme attrapa le menton de sa femme et approcha de nouveau ses lèvres des siennes. Le couple Maze recommença à s’embrasser très passionnément. Frida plaça à son tour ses mains sur le torse de son mari et, comme lui, descendit progressivement jusqu’à son bassin. Là, elle attrapa l’organe qui pendait entre ses jambes. Parce qu’elle les avait brusquement stoppés, il s’était légèrement ramolli. Elle allait donc l’aider à redevenir aussi dure qu’avant.
Frida fit des mouvements de va-et-vient avec ses mains. Cette dernière le sentit alors devenir de plus en plus dure et chaud. Dès qu’elle le trouva assez robuste, la jeune femme cessa d’embrasser son époux, approcha sa bouche de son oreille, et lui murmura quelques mots.
- J’ai envie de toi ici et maintenant, lui dit-elle de manière très sensuelle.
Le jeune homme regarda sa femme pendant quelques secondes avant d’attraper une de ses jambes et de la soulever. Celle-ci, qui tenait toujours dans ses mains le pénis de son mari, le conduisit tout doucement vers l’entrée de son vagin. Parce que c’était sa seconde relation sexuelle, Zack rentra délicatement en elle. Le travail qu’il avait précédemment effectué lui facilitait grandement la tâche.
Bien qu’il ne fût qu’à moitié dedans, le jeune homme se sentait très à l’étroit. Il continua cependant de pousser jusqu’à ce que son sexe soit complètement à l’intérieur. Dès que ce fut le cas, le ressortit légèrement avant de repartir de plus belle. Les mouvements de va-et-vient se succédèrent en même temps que les gémissements de Frida qui avait de nouveau mis ses bras autour de lui. Le couple poursuivit leur partie de jambes en l’air dans cette position pendant près de dix avant de passer à une autre posture.
Zack retira son pénis de sa femme et retourna cette dernière. Il posa ensuite sa main gauche sur sa hanche et la tira vers lui tandis qu’avec l’autre, il attrapait son sexe. Ce fut donc avec un peu plus d’entrain qu’il la pénétra de nouveau. Le jeune homme était beaucoup plus énergique. Comme sa femme s’en doutait, il n’avait plus rien à voir avec celui avec qui elle partagea son lit la veille. Ce n’était pas pour la déplaire, on pouvait même dire qu’elle appréciait son petit coté bestial.
La mari de Frida la plaqua contre le mur de la salle de bain, puis plaça ses bras autour d’elle. Ses mouvements de va-et-vient s’intensifièrent par la suite. La jeune femme se mit alors à émettre des sons ressemblant plus à des cris de douleur qu’à des gémissements. Ils continuèrent ainsi pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’ils entendent des bruits provenant de la porte d’entrée de leur chambre. Au début, ils ne prêtèrent pas attention à ces derniers et poursuivirent ce qu’ils faisaient. Toutefois, ils furent obligés de s’arrêter car la personne cognant à leur porte devenait de plus en plus insistante.
Zack retira son pénis de sa femme, attrapa vite fait une serviette qu’il enfila autour de sa taille, puis sortir de la salle de bain. Se trouvant désormais devant la porte de leur chambre d’hôtel, le jeune homme jeta un coup d’œil à travers le judas et se rendit compte que la personne qui les avait interrompus était un membre du personnel Kalaha.
- Bonjour ! Que puis-je faire pour vous aider ? demanda Zack après avoir ouvert la porte.
- Bonjour monsieur. Plusieurs de nos clients nous ont reporté d’étranges bruits en provenance de cette chambre. Est-ce que tout se passe bien ? questionna l’employé.
Comprenant de quoi il en retournait, Zack ne put que se sentir gêné. Sans s’en rendre compte, sa femme et lui avaient attiré l’attention sur eux. Non, pour être plus précis, c’était sa faute si ce jeune homme avait dû se déplacer jusqu’à sa chambre.
- Chérie ! C’était qui ? demanda à son tour Frida Maze en sortant de la salle de bain.
Lorsqu’elle remarqua que son mari n’était pas seul, la demoiselle bondit pour aller se cacher dans un coin.
- Nous sommes sincèrement désolés. Nous n’avions pas pour but de déranger les autres clients de l’hôtel, répondit monsieur Maze.
- Je comprends. J’en réfèrerai à mes supérieurs. Veuillez s’il-vous-plait demander à votre épouse de crier moins fort, rétorqua le jeune homme.
- Je tacherai de lui en parler.
Après que les deux se soient souhaités une excellente journée, Zack referma la porte de sa chambre. A ce moment, Frida, qui avait tout entendu, sortit de sa cachette. Son visage était aussi rouge qu’une tomate.
- Je n’arrive pas à croire que nos voisins nous aient entendus, s’exclama-t-elle.
- Tu n’as pas à te sentir responsable pour ça. Tout est ma faute. Si je ne m’étais pas autant acharné, tout ceci ne se serait jamais produit, rétorqua Zack.
Le jeune homme s’approcha de sa femme et la prit dans ses bras. Ce fut à cet instant que la serviette qu’il avait autour de la taille se détacha et tomba à même le sol.
- Ta ser…- Chute ! Je sais. Profite juste de l’instant présent, l’interrompit-il.
Les deux tourtereaux restèrent comme cela pendant une ou deux minutes avant que Zack Maze ne propose à son épouse de se rhabiller et d’aller prendre leur petit déjeuner au restaurant de l’hôtel. Son ventre s’étant mis à gargouiller, ce fut avec grand plaisir qu’elle accepta sa proposition.
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