Ma belle soeur 2/4
Récit érotique écrit par Paul-Henri [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma belle soeur 2/4
Après mon aventure il y a 3 mois avec ma belle soeur Béatrice, je ne savais pas comment trouver les mots pour lui faire comprendre que je voulais remettre cela.
Cette matinée en sa compagnie il y a quelques semaines avait été inoubliable et d’après mes souvenirs, elle m’avait laissé un bon message pour recommencer, elle avait été très clair, enfin je crois, dans mon esprit.
Et bien nous y voilà, je sens que l’opportunité va arriver. En effet, j’ai une formation à Paris, à 3 stations de métro de son travail. Elle bosse dans les cosmétiques à Paris, Ludovic, son mari travaille dans la région parisienne et ma femme, qui se trouve être sa soeur travaille à la Défense, donc pas de danger qu’on se croise.
Aller, je me lance...
«Salut Béa, c’est moi, Stéphane, ça va ?»
«Oui, salut, très bien et toi ? tu es où ?»
«Et bien je suis à la maison, mais je voulais juste te dire que j’ai une formation la semaine prochaine à Paris, juste à coté de ton bureau et j’aurai aimé savoir si tu voulais bien qu’on se voit, de nouveau, j’ai très envie qu’on se retrouve pour un peu de folie comme ça, juste pour profiter de la vie tous les deux»
«Tu parles de sexe j’imagine ? tu seras où ?»
«dans le quartier de l’Opéra, on pourrait se retrouver un midi pour quelques folies toi et moi qu’en dis-tu ?»
«Ouais, ça me branche, mais pas à coté de mon bureau, je ne tiens pas à ce qu’on me voit avec toi, même si tu es mon beau-frère, je veux qu’on se trouve un petit hôtel proche de ton centre de formation».
«Je m’occupe de cela, pas de soucis, je te tiens au courant, mardi midi, ça te va ?»
«Impec pour mardi.... Dis, Stéph, tu seras en costume j’espère, mets le gris clair avec les bandes verticales bleues je l’aime bien celui là»
«Ok, et moi, je peux choisir ce que tu mets ???»
«Non, toi tu subiras, tu verras bien ce que je porterais la semaine prochaine. Bisous salut... et fais de beaux rêves....»
Quelle nuit horrible je viens de passer, je n’ai fais que de penser, à rêver de ce qui allait se produire, il faut que je sois bon, que je ne craque pas... Qu’est-ce qu’elle voulais dire par tu «subiras»... ? Je ne sais pas, ... trop de questions, d’interrogations, je suis pressé que cela avance pour enfin me retrouver avec elle, sans prise de tête.
Mardi matin, la chambre est réservée à mon nom qui sera «notre» nom à tous les deux pour quelques heures. Nous sommes tous les deux mariés, avec des alliances, donc on se fera facilement passer pour mari et femme, alors vis à vis du gérant, ça peut le faire. Je me lave, et me prépare comme elle me l’a demandé.
La matinée passe. Je lui envoie un petit SMS.
«Tout va bien ? on se voit comme prévu ?»
«OK»
J’ai le ventre noué, je me suis «astiqué la nouille» hier soir, afin de ne pas éjaculer de façon précoce et pouvoir en profiter, et lui donner du plaisir autant, qu’elle m’en procurera.
11:50, je pars en direction de l'hôtel, je la vois sortir de la bouche de métro.
Petit sac à main rouge, tailleur gris sombre avec une jupe qui arrive aux genoux, un chemisier perle laissant transparaitre un soutien-gorge noir, des sandales fines à talon avec juste une petite lanière autour de la cheville et une autre proche des orteils pour maintenir le pied. Bref, la classe, la super classe.
Je lui fais un petit bisous sur la bouche, je ferme les yeux, et essaie de garder ce moment pour moi, simple, sentir sa peau, son odeur, ses cheveux etc.
On entre dans la chambre, elle referme la porte derrière elle, je me retourne et l’embrasse, elle se laisse faire. Je glisse mes mains sur ses fesses et la presse contre mon corps. Elle me repousse sur le lit en souriant.
«Hey, attends un peu, calmos, tu veux, on as le temps non ?»
Elle s’assied sur une chaise, croise les jambes doucement et fait des aller/retour le long de ses mollets et re-croisant les jambes de l’autre coté.
«Vas y, tourne toi, que je puisse te voir dans ton costume» me lance-t-elle.
J’avance un peu, me tourne, enlève ma veste, bref, je fais le play-boy qui défile pour de la haute couture...
«La classe, j’aime bien, enlève ton pantalon et montre ce que tu as en dessous... ou plutôt non, viens approche toi, je vais m’occuper de cette partie là»
Je m’approche d’elle, une bosse se dessine déjà fortement au niveau de mon bas ventre, elle la regarde se développer un peu plus, elle me regarde, me sourit, et me caresse le pantalon dirigeant sa main vers ma fermeture éclaire et la descend, enlève ma ceinture et mon bouton de pantalon, et voilà, je suis en chaussettes et boxer.
Elle approche sa tête de mon sexe, je sens son souffle chaud au travers de mon boxer.
«Enlève ta chemise et tes chaussettes, mais garde ton boxer, le temps que je quitte ma veste».
Je m'exécute. Elle est toujours assise en face de moi, je suis resté debout, elle glisse sa main droite dans mon boxer pour en extraire la Bête ! Mon pieux droit et ferme gonflé de désir, elle le caresse de ses doigts, elle approche sa bouche mais ne me suce pas encore elle frôle mon sexe de sa joue, de ses lèvres, elle m’excite à mort, j’aime ça. De sa main gauche elle me caresse les couilles qui se raffermissent à son contact, puis elle passe un doigt dessous en m'écartant les jambes, semblant aller doucement mais surement vers mon anus... Elle prend à présent ma tige de ses deux mains, toujours en la frôlant de tous les cotés, puis passe ses doigts dans mon boxer pour me le descendre. D’un coup franc, elle baisse mon boxer en vient prendre à pleine bouche l’objet de ses désirs, mon gland apparent est englouti dans sa bouche chaude et humide, elle avale mon sexe dans sa totalité et je sens sa langue le long de ma queue.
«oh oui, vas y Béa, c’est bon ça»
Je lui prends la tête pour l’appuyer contre moi encore plus, mais elle saisie mes deux mains et me les maintiens derrière le dos. Elle veut tout maîtriser, elle ne souhaite pas que je m’emporte en faisant n’importe quoi, OK, pas de problème... Je garde les mains dans le dos et commence à gémir doucement.
«Stéph, recule à présent et assied toi sur le lit. Ne dis rien»
Je fais ce qu’elle me demande, je m’assieds sur le lit, elle se lève de la chaise sur laquelle elle était installée depuis le début.
«Quoique je fasse, reste assis tant que je ne te demande rien !»
Elle remonte doucement sa jupe, ce qui laisse découvrir ses cuisses et sa culotte de type shorty en dentelle rouge et noir, magnifique. Elle se retourne, en s’appuyant les mains sur la table, m’offrant une vue exceptionnelle sur son cul que je souhaite lécher, pénétrer, faire jouir.... Je prends sur moi et ne bouge pas.
Elle tourne la tête vers moi.
«C’est ça que tu veux hein ! Vas-y, dis le»
«Oui, tu es magnifique, je veux te caresser, glisser mes doigt sous ton shorty, te pénétrer, te prendre»
«On va voir si tu le mérites vraiment. Viens vers moi doucement et lèche-moi et caresse-moi du bas de mes talons jusqu’en haut de ma tête. Si tu n’oublies rien, je te laisserai aller plus loin».
Je me lève et m’approche d’elle.
«Comment veux-tu commencer par le bas, si tu restes en haut ! mets toi à quatre-pattes pour venir à moi !»
Je me mets à quatre-pattes, et je m’approche, je regarde ses fesses bien dessinées et bien «habillées», ses cuisses, la petite lanière de cuir qui maintien ses sandales rouges à talon aiguille. Je commence à baiser son mollet, puis son talon.
«Il y a plus bas que mon talon à lècher, il y a le talon de mes chaussures ! Vas-y, commence par le bas».
OK, elle se la joue dominatrice, c’est bon, j’accepte, je lèche et embrasse son talon aiguille comme elle l’a fait avec mon sexe précédemment, puis caresse ses pieds de mes mains, je remonte le long de ses mollets tout en passant mes mains sur toutes les parties basses de son corps.
Me voilà à genoux à présent je m’attaque aux cuisses, derrière les cuisses, les mains baladeuses que j’ai s’occupant du devant, puis je passe mes doigts entre son shorty et ses fesses. Douce sensation, mes mains essaient d’ouvrir doucement ses fesses et je plonge ma tête à travers sa culotte dans ses fesses. Je dégrafe sa jupe pour la faire descendre en bas, puis je remonte vers ses hanches, je suis collé à elle à présent, mon sexe est calé entre sa raie des fesses, le long du shorty. Elle tourne légèrement la tête et bouge doucement son bassin pour m’exciter.
«Tu te débrouilles très bien, tu sais, tu me fais mouiller, termine de m’exciter et tu pourras alors me prendre comme tu le souhaites»
Sodomie !! c’est le premier truc qui me vient à l’esprit, j’aimerai bien l’enculer, la prendre par derrière et la faire jouir. Avec ma femme, on a un peu testé, juste un doigt bien mouillé, puis un peu le bout du gland, mais bon c’est la mère de mes enfants, ma femme, ici, avec sa soeur, ce n’est pas la même chose, on veut juste s’amuser, profiter, alors je vais me lâcher, il faut juste que je termine de bien la chauffer cette salope.. Qu’est-ce qui me prend. Comment je parle !! Je ne me reconnais pas.
Je remonte les mains le long de son dos lui enlève son soutien-gorge puis passe les mains devant pour lui caresser les mamelons. Le bout de ses tétons est tout dur, elle est excité. Ses seins ne sont pas gros, peu importe, malaxe sa poitrine de façon appliquée, puis je lui titille le bout des tétons, elle pousse des petits cris. Je me penche dans son cou, je l’embrasse, à droite, à gauche, je lui mordille le lobe de l’oreille avant d’y plonger la langue, elle me donne un coup de rein en arrière et pousse un cri d’extase.
«Oh oui, Stéphane, c’est bon continue, je suis à point, tu vas pouvoir faire de moi ta Chose dans quelques instants, excite moi encore un peu à présent que tu m’as bien chauffée.»
Ni une ni deux, je baisse son shorty, je la retourne, me mets à genoux et prends à pleine bouche son sexe, je sens ses lèvres s’écarter au passage de ma langue et ses poils et odeur de cyprine monter le long de mes narines. Oh oui, j’aime ça...
Elle prend ma tête pour la serrer contre son sexe et m’enfoncer encore plus profondément. Je ne demande que cela. Ma langue entre dans son intimité, ma main droite remonte le long de ses pieds, ses mollets ses cuisses et doucement je lui écarte les cuisse pour plonger mon index dans son vagin. Elle gémit de nouveau. Après quelques instant j’introduis également le majeur et fais de petits aller et retours tout en lui léchant le clitoris.
Je la retourne afin de lui mouiller la raie et de la préparer à ma future sodomie tant souhaitée. Je lui lèche bien les lèvres puis remonte par derrière vers l’anus. A ma surprise, elle écarte ses fesses d’une main afin que j’y pénètre plus facilement et de l’autre, m’appuie la tête. Je crache sur sa rondelle pour bien la mouiller et remet un doigt dans son vagin. Elle bouge son bassin pour s’enfoncer elle même sur mon doigt. Puis je sens ma langue prête à s’enfoncer dans son cul, je n’attends plus, doucement je fait pénétrer ma langue dans son intimité. Elle tient encore ma tête et se l’enfonce dans le cul avec ma petite langue humide. Puis ensuite, j’enfonce doucement l’index dans son rectum, mon majeur étant encore dans son vagin, elle jouit.....
«Tu me fais jouir, maintenant prends moi ! Je veux sentir ta bite en moi»
Elle se retourne face à moi, me suce le gland et les couilles puis se retourne de nouveau dos à moi pour que je la prenne.
Je la pénètre d’un coup dans le sexe. Ma tige tellement humide entre très facilement dans sa chatte tellement ouverte de plaisir. Doucement, rapidement, doucement rapidement, les aller-retours s’enchainent.
«Mets toi à quatre pattes sur le lit, à présent c’est ton tour».
Elle m’écoute, je la regarde, je vois ses deux escarpins dans le prolongement de ses mollets, puis ses cuisses et enfin son cul. Je lui écarte les jambes et la pénètre de nouveau. Sa rondelle bien fermée mais toute mouillée n’attends que moi, je décide de doucement lui caresser l’anus de mon index tout en la limant puis décide de doucement y plonger mon doigt.
L’effet est fulgurant et ne se fait pas attendre. Elle bascule la tête en arrière en poussant un gémissement de plaisir. Elle prend ma main pour s’exciter elle même de mon doigt dans son cul. Elle se retire, s’allonge sur le dos et bascule ses jambes en arrière. Je à genoux sur le lit face à elle, elle sert doucement ses jambes autour de mon cou et ma tige excitée au possible la pénètre de nouveau. J’embrasse ses jambes, ses mollets, ses pieds, ses talons aiguilles fins. Elle bascule ses jambes en arrière encore plus afin d’ouvrir et d’offrir sa rondelle à mon gland en quête de zone interdite. Je m’approche et appose mon sexe sur son fion dégoulinant de salive et de cyprine. A la posée de mon engin, je sens son anus s’ouvrir délicatement, je pousse doucement un peu plus loin, et ma fine tige la pénètre. Ça y est, je sodomise ma belle soeur.
«Vas-y, c’est boooon, Stéph, continue, baise moi, encore plus fort»
J’appuie mes mains sur ses cuisses pour bien lui faire écarter le cul et je bascule mon bassin pour qu’à chaque aller-retour, je lui mette bien la queue au fond du trou. L’ensemble de mon sexe est excité par ce conduit trop étroit et qui frotte la totalité de mon pénis.
«C’est bon Béa, c’est bon, tu la sens bien te défoncer ma bite hein!»
«Oh oui, vas-y continue, bien à fond, je jouis»
«Moi aussi je vais jouir, encore , encore, encore....»
«Jouis sur ma chatte, sur ma toison, je veux sentir ton sperme chaud sur moi».
Je sors ma bite de son cul pour éjaculer sur elle. Je ne maîtrise plus rien du tout, ça part dans tous les sens, sur son ventre, ses seins, et même sur le coin de sa bouche... Elle me regarde, elle a l’air comblée. Elle s’essuie le coin de la bouche d’un doigt qu’elle lèche par la suite.
Je m’allonge, ou plutôt m’écroule sur le lit à coté d’elle. Elle me suce un peu avant de se mettre sur moi, ma pine ramollie dans sa chatte.
«Alors cher amant... As tu apprécié ce petit jeu ?»
«Tu parles, tu m’as épuisé, c’était génial. Ca va la sodomie ? tu n’as pas eu mal»
«Pas trop non, tu as bien lubrifié avant c’était bien, puis excitant après. C’est quoi qui t’a excité le plus ?»
«Tu veux jouer la psy maintenant ?»
«Non, juste pour la prochaine fois, recommencer ce qui marche et arrêter le reste»
«Et bien on garde tout !!! Non sérieux, j’aime bien qu’on se voit comme ça en cachette. J’adore ta façon de t’habiller, tu es toujours classe et je trouve cela excitant. J’aime bien la lingerie, fine, les bas, les body, etc. les chaussures ou bottes fines, je trouve que cela habille la jambe parfaitement bien. Puis le fait que tu diriges les opérations au début, ça m’a choqué, mais j’ai apprécié. Pas de trucs qui font mal, pas de SM, non, je n’aimerai pas, mais oui pour un peu de domination bien équilibrée en fonction du temps, je dois avoué y avoir prit du plaisir. Puis tout le reste impeccable, j’adore te sucer, te caresser, te déshabiller. J’aime quand tu fais aussi tout cela pour moi. Peut être qu’avec quelques sex toy, ça pourrait être marrant aussi non ?»
«Je suis d’accord avec toi, si les sextoys ne sont pas que pour moi. Vous aussi vous pouvez en avoir quelques uns, j’essaierai de trouver un site et je t’enverrai quelques suggestion. Et une relation avec un homme ça te dirait ?»
«Ah non, pas du tout, je ne suis pas homo, pas avec les hommes, à la rigueur avec une autre femme, oui, c’est le fantasme de tous les mecs d’avoir deux femmes pour sois, mais pas avec un autre mec, ça non !»
«OK, je prends note, pas de soucis, l’important c’est qu’on soit d’accord... si tu as des tenues que tu souhaiterais que je porte, envoie moi ça et je verrais la surprise que je te garde pour la prochaine fois...»
Après quelques minutes de silence, nous passâmes à la douche puis nous rhabillâmes avant de partir main dans la main de l’hôtel sous les yeux inquisiteurs et suspicieux du réceptionniste.
Cette matinée en sa compagnie il y a quelques semaines avait été inoubliable et d’après mes souvenirs, elle m’avait laissé un bon message pour recommencer, elle avait été très clair, enfin je crois, dans mon esprit.
Et bien nous y voilà, je sens que l’opportunité va arriver. En effet, j’ai une formation à Paris, à 3 stations de métro de son travail. Elle bosse dans les cosmétiques à Paris, Ludovic, son mari travaille dans la région parisienne et ma femme, qui se trouve être sa soeur travaille à la Défense, donc pas de danger qu’on se croise.
Aller, je me lance...
«Salut Béa, c’est moi, Stéphane, ça va ?»
«Oui, salut, très bien et toi ? tu es où ?»
«Et bien je suis à la maison, mais je voulais juste te dire que j’ai une formation la semaine prochaine à Paris, juste à coté de ton bureau et j’aurai aimé savoir si tu voulais bien qu’on se voit, de nouveau, j’ai très envie qu’on se retrouve pour un peu de folie comme ça, juste pour profiter de la vie tous les deux»
«Tu parles de sexe j’imagine ? tu seras où ?»
«dans le quartier de l’Opéra, on pourrait se retrouver un midi pour quelques folies toi et moi qu’en dis-tu ?»
«Ouais, ça me branche, mais pas à coté de mon bureau, je ne tiens pas à ce qu’on me voit avec toi, même si tu es mon beau-frère, je veux qu’on se trouve un petit hôtel proche de ton centre de formation».
«Je m’occupe de cela, pas de soucis, je te tiens au courant, mardi midi, ça te va ?»
«Impec pour mardi.... Dis, Stéph, tu seras en costume j’espère, mets le gris clair avec les bandes verticales bleues je l’aime bien celui là»
«Ok, et moi, je peux choisir ce que tu mets ???»
«Non, toi tu subiras, tu verras bien ce que je porterais la semaine prochaine. Bisous salut... et fais de beaux rêves....»
Quelle nuit horrible je viens de passer, je n’ai fais que de penser, à rêver de ce qui allait se produire, il faut que je sois bon, que je ne craque pas... Qu’est-ce qu’elle voulais dire par tu «subiras»... ? Je ne sais pas, ... trop de questions, d’interrogations, je suis pressé que cela avance pour enfin me retrouver avec elle, sans prise de tête.
Mardi matin, la chambre est réservée à mon nom qui sera «notre» nom à tous les deux pour quelques heures. Nous sommes tous les deux mariés, avec des alliances, donc on se fera facilement passer pour mari et femme, alors vis à vis du gérant, ça peut le faire. Je me lave, et me prépare comme elle me l’a demandé.
La matinée passe. Je lui envoie un petit SMS.
«Tout va bien ? on se voit comme prévu ?»
«OK»
J’ai le ventre noué, je me suis «astiqué la nouille» hier soir, afin de ne pas éjaculer de façon précoce et pouvoir en profiter, et lui donner du plaisir autant, qu’elle m’en procurera.
11:50, je pars en direction de l'hôtel, je la vois sortir de la bouche de métro.
Petit sac à main rouge, tailleur gris sombre avec une jupe qui arrive aux genoux, un chemisier perle laissant transparaitre un soutien-gorge noir, des sandales fines à talon avec juste une petite lanière autour de la cheville et une autre proche des orteils pour maintenir le pied. Bref, la classe, la super classe.
Je lui fais un petit bisous sur la bouche, je ferme les yeux, et essaie de garder ce moment pour moi, simple, sentir sa peau, son odeur, ses cheveux etc.
On entre dans la chambre, elle referme la porte derrière elle, je me retourne et l’embrasse, elle se laisse faire. Je glisse mes mains sur ses fesses et la presse contre mon corps. Elle me repousse sur le lit en souriant.
«Hey, attends un peu, calmos, tu veux, on as le temps non ?»
Elle s’assied sur une chaise, croise les jambes doucement et fait des aller/retour le long de ses mollets et re-croisant les jambes de l’autre coté.
«Vas y, tourne toi, que je puisse te voir dans ton costume» me lance-t-elle.
J’avance un peu, me tourne, enlève ma veste, bref, je fais le play-boy qui défile pour de la haute couture...
«La classe, j’aime bien, enlève ton pantalon et montre ce que tu as en dessous... ou plutôt non, viens approche toi, je vais m’occuper de cette partie là»
Je m’approche d’elle, une bosse se dessine déjà fortement au niveau de mon bas ventre, elle la regarde se développer un peu plus, elle me regarde, me sourit, et me caresse le pantalon dirigeant sa main vers ma fermeture éclaire et la descend, enlève ma ceinture et mon bouton de pantalon, et voilà, je suis en chaussettes et boxer.
Elle approche sa tête de mon sexe, je sens son souffle chaud au travers de mon boxer.
«Enlève ta chemise et tes chaussettes, mais garde ton boxer, le temps que je quitte ma veste».
Je m'exécute. Elle est toujours assise en face de moi, je suis resté debout, elle glisse sa main droite dans mon boxer pour en extraire la Bête ! Mon pieux droit et ferme gonflé de désir, elle le caresse de ses doigts, elle approche sa bouche mais ne me suce pas encore elle frôle mon sexe de sa joue, de ses lèvres, elle m’excite à mort, j’aime ça. De sa main gauche elle me caresse les couilles qui se raffermissent à son contact, puis elle passe un doigt dessous en m'écartant les jambes, semblant aller doucement mais surement vers mon anus... Elle prend à présent ma tige de ses deux mains, toujours en la frôlant de tous les cotés, puis passe ses doigts dans mon boxer pour me le descendre. D’un coup franc, elle baisse mon boxer en vient prendre à pleine bouche l’objet de ses désirs, mon gland apparent est englouti dans sa bouche chaude et humide, elle avale mon sexe dans sa totalité et je sens sa langue le long de ma queue.
«oh oui, vas y Béa, c’est bon ça»
Je lui prends la tête pour l’appuyer contre moi encore plus, mais elle saisie mes deux mains et me les maintiens derrière le dos. Elle veut tout maîtriser, elle ne souhaite pas que je m’emporte en faisant n’importe quoi, OK, pas de problème... Je garde les mains dans le dos et commence à gémir doucement.
«Stéph, recule à présent et assied toi sur le lit. Ne dis rien»
Je fais ce qu’elle me demande, je m’assieds sur le lit, elle se lève de la chaise sur laquelle elle était installée depuis le début.
«Quoique je fasse, reste assis tant que je ne te demande rien !»
Elle remonte doucement sa jupe, ce qui laisse découvrir ses cuisses et sa culotte de type shorty en dentelle rouge et noir, magnifique. Elle se retourne, en s’appuyant les mains sur la table, m’offrant une vue exceptionnelle sur son cul que je souhaite lécher, pénétrer, faire jouir.... Je prends sur moi et ne bouge pas.
Elle tourne la tête vers moi.
«C’est ça que tu veux hein ! Vas-y, dis le»
«Oui, tu es magnifique, je veux te caresser, glisser mes doigt sous ton shorty, te pénétrer, te prendre»
«On va voir si tu le mérites vraiment. Viens vers moi doucement et lèche-moi et caresse-moi du bas de mes talons jusqu’en haut de ma tête. Si tu n’oublies rien, je te laisserai aller plus loin».
Je me lève et m’approche d’elle.
«Comment veux-tu commencer par le bas, si tu restes en haut ! mets toi à quatre-pattes pour venir à moi !»
Je me mets à quatre-pattes, et je m’approche, je regarde ses fesses bien dessinées et bien «habillées», ses cuisses, la petite lanière de cuir qui maintien ses sandales rouges à talon aiguille. Je commence à baiser son mollet, puis son talon.
«Il y a plus bas que mon talon à lècher, il y a le talon de mes chaussures ! Vas-y, commence par le bas».
OK, elle se la joue dominatrice, c’est bon, j’accepte, je lèche et embrasse son talon aiguille comme elle l’a fait avec mon sexe précédemment, puis caresse ses pieds de mes mains, je remonte le long de ses mollets tout en passant mes mains sur toutes les parties basses de son corps.
Me voilà à genoux à présent je m’attaque aux cuisses, derrière les cuisses, les mains baladeuses que j’ai s’occupant du devant, puis je passe mes doigts entre son shorty et ses fesses. Douce sensation, mes mains essaient d’ouvrir doucement ses fesses et je plonge ma tête à travers sa culotte dans ses fesses. Je dégrafe sa jupe pour la faire descendre en bas, puis je remonte vers ses hanches, je suis collé à elle à présent, mon sexe est calé entre sa raie des fesses, le long du shorty. Elle tourne légèrement la tête et bouge doucement son bassin pour m’exciter.
«Tu te débrouilles très bien, tu sais, tu me fais mouiller, termine de m’exciter et tu pourras alors me prendre comme tu le souhaites»
Sodomie !! c’est le premier truc qui me vient à l’esprit, j’aimerai bien l’enculer, la prendre par derrière et la faire jouir. Avec ma femme, on a un peu testé, juste un doigt bien mouillé, puis un peu le bout du gland, mais bon c’est la mère de mes enfants, ma femme, ici, avec sa soeur, ce n’est pas la même chose, on veut juste s’amuser, profiter, alors je vais me lâcher, il faut juste que je termine de bien la chauffer cette salope.. Qu’est-ce qui me prend. Comment je parle !! Je ne me reconnais pas.
Je remonte les mains le long de son dos lui enlève son soutien-gorge puis passe les mains devant pour lui caresser les mamelons. Le bout de ses tétons est tout dur, elle est excité. Ses seins ne sont pas gros, peu importe, malaxe sa poitrine de façon appliquée, puis je lui titille le bout des tétons, elle pousse des petits cris. Je me penche dans son cou, je l’embrasse, à droite, à gauche, je lui mordille le lobe de l’oreille avant d’y plonger la langue, elle me donne un coup de rein en arrière et pousse un cri d’extase.
«Oh oui, Stéphane, c’est bon continue, je suis à point, tu vas pouvoir faire de moi ta Chose dans quelques instants, excite moi encore un peu à présent que tu m’as bien chauffée.»
Ni une ni deux, je baisse son shorty, je la retourne, me mets à genoux et prends à pleine bouche son sexe, je sens ses lèvres s’écarter au passage de ma langue et ses poils et odeur de cyprine monter le long de mes narines. Oh oui, j’aime ça...
Elle prend ma tête pour la serrer contre son sexe et m’enfoncer encore plus profondément. Je ne demande que cela. Ma langue entre dans son intimité, ma main droite remonte le long de ses pieds, ses mollets ses cuisses et doucement je lui écarte les cuisse pour plonger mon index dans son vagin. Elle gémit de nouveau. Après quelques instant j’introduis également le majeur et fais de petits aller et retours tout en lui léchant le clitoris.
Je la retourne afin de lui mouiller la raie et de la préparer à ma future sodomie tant souhaitée. Je lui lèche bien les lèvres puis remonte par derrière vers l’anus. A ma surprise, elle écarte ses fesses d’une main afin que j’y pénètre plus facilement et de l’autre, m’appuie la tête. Je crache sur sa rondelle pour bien la mouiller et remet un doigt dans son vagin. Elle bouge son bassin pour s’enfoncer elle même sur mon doigt. Puis je sens ma langue prête à s’enfoncer dans son cul, je n’attends plus, doucement je fait pénétrer ma langue dans son intimité. Elle tient encore ma tête et se l’enfonce dans le cul avec ma petite langue humide. Puis ensuite, j’enfonce doucement l’index dans son rectum, mon majeur étant encore dans son vagin, elle jouit.....
«Tu me fais jouir, maintenant prends moi ! Je veux sentir ta bite en moi»
Elle se retourne face à moi, me suce le gland et les couilles puis se retourne de nouveau dos à moi pour que je la prenne.
Je la pénètre d’un coup dans le sexe. Ma tige tellement humide entre très facilement dans sa chatte tellement ouverte de plaisir. Doucement, rapidement, doucement rapidement, les aller-retours s’enchainent.
«Mets toi à quatre pattes sur le lit, à présent c’est ton tour».
Elle m’écoute, je la regarde, je vois ses deux escarpins dans le prolongement de ses mollets, puis ses cuisses et enfin son cul. Je lui écarte les jambes et la pénètre de nouveau. Sa rondelle bien fermée mais toute mouillée n’attends que moi, je décide de doucement lui caresser l’anus de mon index tout en la limant puis décide de doucement y plonger mon doigt.
L’effet est fulgurant et ne se fait pas attendre. Elle bascule la tête en arrière en poussant un gémissement de plaisir. Elle prend ma main pour s’exciter elle même de mon doigt dans son cul. Elle se retire, s’allonge sur le dos et bascule ses jambes en arrière. Je à genoux sur le lit face à elle, elle sert doucement ses jambes autour de mon cou et ma tige excitée au possible la pénètre de nouveau. J’embrasse ses jambes, ses mollets, ses pieds, ses talons aiguilles fins. Elle bascule ses jambes en arrière encore plus afin d’ouvrir et d’offrir sa rondelle à mon gland en quête de zone interdite. Je m’approche et appose mon sexe sur son fion dégoulinant de salive et de cyprine. A la posée de mon engin, je sens son anus s’ouvrir délicatement, je pousse doucement un peu plus loin, et ma fine tige la pénètre. Ça y est, je sodomise ma belle soeur.
«Vas-y, c’est boooon, Stéph, continue, baise moi, encore plus fort»
J’appuie mes mains sur ses cuisses pour bien lui faire écarter le cul et je bascule mon bassin pour qu’à chaque aller-retour, je lui mette bien la queue au fond du trou. L’ensemble de mon sexe est excité par ce conduit trop étroit et qui frotte la totalité de mon pénis.
«C’est bon Béa, c’est bon, tu la sens bien te défoncer ma bite hein!»
«Oh oui, vas-y continue, bien à fond, je jouis»
«Moi aussi je vais jouir, encore , encore, encore....»
«Jouis sur ma chatte, sur ma toison, je veux sentir ton sperme chaud sur moi».
Je sors ma bite de son cul pour éjaculer sur elle. Je ne maîtrise plus rien du tout, ça part dans tous les sens, sur son ventre, ses seins, et même sur le coin de sa bouche... Elle me regarde, elle a l’air comblée. Elle s’essuie le coin de la bouche d’un doigt qu’elle lèche par la suite.
Je m’allonge, ou plutôt m’écroule sur le lit à coté d’elle. Elle me suce un peu avant de se mettre sur moi, ma pine ramollie dans sa chatte.
«Alors cher amant... As tu apprécié ce petit jeu ?»
«Tu parles, tu m’as épuisé, c’était génial. Ca va la sodomie ? tu n’as pas eu mal»
«Pas trop non, tu as bien lubrifié avant c’était bien, puis excitant après. C’est quoi qui t’a excité le plus ?»
«Tu veux jouer la psy maintenant ?»
«Non, juste pour la prochaine fois, recommencer ce qui marche et arrêter le reste»
«Et bien on garde tout !!! Non sérieux, j’aime bien qu’on se voit comme ça en cachette. J’adore ta façon de t’habiller, tu es toujours classe et je trouve cela excitant. J’aime bien la lingerie, fine, les bas, les body, etc. les chaussures ou bottes fines, je trouve que cela habille la jambe parfaitement bien. Puis le fait que tu diriges les opérations au début, ça m’a choqué, mais j’ai apprécié. Pas de trucs qui font mal, pas de SM, non, je n’aimerai pas, mais oui pour un peu de domination bien équilibrée en fonction du temps, je dois avoué y avoir prit du plaisir. Puis tout le reste impeccable, j’adore te sucer, te caresser, te déshabiller. J’aime quand tu fais aussi tout cela pour moi. Peut être qu’avec quelques sex toy, ça pourrait être marrant aussi non ?»
«Je suis d’accord avec toi, si les sextoys ne sont pas que pour moi. Vous aussi vous pouvez en avoir quelques uns, j’essaierai de trouver un site et je t’enverrai quelques suggestion. Et une relation avec un homme ça te dirait ?»
«Ah non, pas du tout, je ne suis pas homo, pas avec les hommes, à la rigueur avec une autre femme, oui, c’est le fantasme de tous les mecs d’avoir deux femmes pour sois, mais pas avec un autre mec, ça non !»
«OK, je prends note, pas de soucis, l’important c’est qu’on soit d’accord... si tu as des tenues que tu souhaiterais que je porte, envoie moi ça et je verrais la surprise que je te garde pour la prochaine fois...»
Après quelques minutes de silence, nous passâmes à la douche puis nous rhabillâmes avant de partir main dans la main de l’hôtel sous les yeux inquisiteurs et suspicieux du réceptionniste.
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