Ma femme et les Kabyles - histoire érotique

Je suis un homme habitant Annaba (l’est Algérien), la cinquantaine et très aisé. Ma femme est une jolie brune avec une poitrine assez généreuse, 45 ans, de l’est aussi. Nous sommes mariés depuis 15 ans, et nous avons toujours connu une certaine harmonie dans nos relations sexuelles. Je ne me doutais pas de son fantasme, qui je dois l'avouer m'a énormément excité.
Tout a commencé lorsque nous sommes partis en vacance en Kabylie. C'était en juillet dernier, et ma femme Warda avait beaucoup insisté pour partir dans une ville du centre. Je fus séduit par son idée et je ne me doutais de rien...
Ma femme était très excitée à l'idée de partir. Elle voulait faire l'amour fréquemment, ce qui n'était pas pour me déplaire, mais je ne l’avais jamais vu comme ça! Lorsque nous sommes arrivés à Tizi-Ouzou, elle n’arrêtait pas de mater les hommes, et j'étais un peu jaloux. 'Un peu' car étonnement je ressentais l'envie qu'elle fasse l'amour avec eux. Warda s'exhibait volontiers à la plage comme au bord de la piscine. Les hommes de l’hôtel, les touristes comme les animateurs la mataient sans scrupule. C'est vrai qu'elle est bien faite et très mignonne. Elle bronzait, et souvent elle se passait de la crème en se pelotant les seins d'une manière très érotique et provocante. Ça m'excitait énormément et souvent je bandais comme un fou.
Le soir nous allions à la discothèque, et Warda s'habillait de façon provocante: Mini-jupe, petit haut moulant, et grand décolleté. Elle se déchaînait sur la piste de danse et allumait tous les mecs, surtout les animateurs qui étaient tous des arabes. Elle se frottait à eux leur caressant le cul. Parfois, certains n'hésitaient pas à la peloter. Ils ne pensaient qu'à une chose : la baiser. La salope! Tout ça sous mes yeux! Je dois avouer que ça me faisait bander et mon fantasme était qu'elle se fasse prendre par ces animateurs.
Je n'allais pas être déçu! Ma femme Warda avait sympathisée avec les kabyles du groupe d'animations, et souvent elle bavardait des heures avec eux, les faisant rire. Un après-midi, alors que nous étions en train de bronzer au bord de la piscine, Warda me demanda les clefs de la chambre. Je lui donnai et elle partit l'air de rien, prétextant qu'elle avait oublié sa crème solaire. Je n'étais pas dupe, elle ne sait pas mentir et j'avais vu clair dans son jeu. Je décidais donc de la suivre discrètement.
Trois animateurs l'attendaient devant la porte de la chambre: trois Kabyles très excité. Ils pénétrèrent dans la chambre, mais j'avais un double et j'ai pu également entrer me cachant dans la salle de bain. Elle se déshabilla doucement pour faire monter le désir, puis Ils commencèrent par lui malaxer les seins tout en lui roulant des pelles. Ensuite, ils s'allongèrent sur le lit, nu, et ma femme les masturba. Un des Kabyles réclama une fellation, elle s'exécuta sans broncher avec plaisir. Elle prit son zob et l'enfonça dans sa bouche. Elle suçait son gland avec délice. Un des deux autres lui léché le vagin et ma femme poussait des petits cris de plaisir. Moi, je me masturbais. J'aurais voulu participer, mais je savais que là où j'étais c'était plus excitant.
Soudain, ma femme s'arrêta et demanda qu'on la prenne par derrière « begouri » : 'faites- moi mal, je veux sentir vos « zob » aux plus profond de moi'. Le plus grand des trois arriva par derrière et lui pénétra violemment son gros zob marron dans sa petite chatte arabe. Elle poussa un cri de douleur et de plaisir. Le va-et-vient commença ; il lui pris les seins et la traitait de salope : 'Prends-ça qahba (pute), je vais te défoncer petite allumeuse'. Un autre lui enfonça son sexe dans la bouche : 'vas-y suce, suce moi bien qahba !. Je me branlais et je sentais que j'allais éjaculer, mais je me retenais, c'était trop rapide.
Le kabyle qui la prenait par derrière éjacula en elle. Elle eut un orgasme au même moment: 'Oh oui! c'est bon!' Le troisième kabyle la prit en levrette. La chatte de ma femme était bien lubrifiée par le sperme de celui qui venait d'éjaculer. Il la pénétra sans problème et avec force. Ma femme voulait l'emballer, il lui roulait des pelles pendant qu'elle passait la main dans ses cheveux crépu. Il lui défonçait la chatte. Elle jouissait de nouveau et lui venait d'éjaculer en elle en poussant un cri de plaisir. Ma femme décida que le troisième allait l'enculer : « niyektremti ! » 'Vas-y encule-moi'. Le jeune kabyle n'hésita pas, il la sodomisa par derrière. Il lui perforait le cul avec force en la traitant de sale chienne arabe. 'Je te nique ma pute, prends ça'. Il se retira pour éjaculer sur elle. Je ne pouvais plus me retenir et je jouissais aussi! Ah la salope!
Lorsque nous sommes rentrés à Annaba, j’ai décidé de renouveler l'expérience avec des gros zob. Elle adorait ça, alors pourquoi la priver?