Ma première fois, et quelle première ! - histoire érotique

Ceci est mon premier récit et il sera l'introduction de ma vie sexuelle, mon dépucelage quoi.

Pour me présenter je vous dirais que je suis en couple avec 2 enfants. Je vais sur ma trentième année et je commence à me sentir frustré sexuellement à cause des aventures de mon passé qui me hantent sans cesse.

Ce premier récit ne concernera pas ma compagne mais la jeune femme qui m'a rendu fou de sexe à tout jamais.

A l'époque j'avais 17 ans. J'étais un garçon assez commun mais surtout très timide. J'ai donc connu l'amour sur le tard car au lieu de courir après les filles, j'étais surtout occupé à faire le con et à me faire passer pour le guignol de service. Mais un jour, j'ai connu Claire (je précise dès maintenant que j'ai changé les noms des personnes concernées). C'était à une soirée pour fêter la fin du BAC, dans la maison du frèred'un copain. A vrai dire, moi je savais que j'allais redoublé vu ce que j'avais fourni comme travail, mais j'avais quand même envie de marquer le coup.

Claire était en "couple" à ce moment là mais j'avoue que j'ai craqué sur elle dès la première fois...jeunesse quand tu nous tient...j'étais fleur-bleue à l'époque et je pense que je tombais facilement amoureux.

Pour accélérer l'histoire, nous avons tous les deux redoublé notre Terminal et nous sommes devenu ami l'année d'après. Claire était dans la classe (avant de redoubler) de mon ami d'enfance qui, lui, allait poursuivre ses études "à la ville". C'est là-bas que Claire et moi nous avions été convié pour un week-end entre pote. Claire avait 21 ans et elle avait le permis. C'est elle qui nous avait amené à la ville (dont je tairais le nom). Il ne se passa rien de particulier durant le week-end si ce n'est que Claire dormit dans l'appartement d'un autre ami, donc impossible pour moi de tenter quoi que ce soit. J'étais même très jaloux de cette situation mais je savais que sur le chemin du retour (150 Km quand même) j'aurais le temps de me rattraper. Comme un con j'avais rien tenter sur l'aller...

Au bout de 150 km de voiture et de conversations banales, sur le retour, je n'avais toujours pas réussi à m'y prendre correctement pour lui avouer mes sentiments. Il y avait par contre un certaine tension dans la voiture. Aujourd'hui encore je me demande comment la suite a pu se produire tellement j'étais nouille. J'avoue que mon cerveau a complètement oublié ce qu'on s'est dit pour retenir uniquement le dénouement.
Tout ce que je sais c'est que j'ai réussi à rassembler mon courage pour lui dire :

N : Claire... je me sens trop bien avec toi... je ... je crois que je t'aime... (mais quel boulet quand j'y repense).

C : Écoutes, Nelson, je crois que je suis pas une fille pour toi... je suis une fille à problème tu sais.

N : Je m'en fou, moi je te trouve parfaite, tu es trop belle et j'ai trop envie de t'embrasser quand je suis avec toi !

C : Nelson...

C'est dans ce moment d'hésitation que nous nous somme embrassés. Claire, était ensuite venu sur mes genoux pour continuer ce baiser langoureux. Ma timidité était encore très présente mais je me suis surpris à lui demander sa langue, qu'elle ne la mettait pas trop en avant dans ce baiser (hésitation aussi peut être). C'est alors qu'elle m'embrassa de manière très torride. Nos langues bougeaient dans tous les sens. Elle aspirait la mienne ce qui me mettait dans tous mes états.
C'est alors qu'elle me glissa une phrase à l'oreille :

C : J'ai envie de toi.

J'étais tétanisé. Je lui dit qu'on pouvait pas continuer ça devant chez moi mais elle me coupa la parole pour me demander si je connaissais un endroit tranquille. J'habitais un petit village alors je lui ai indiqué un chemin de terre non loin de notre position initiale.

J'étais maintenant devant le fait accompli.

Il faisait nuit, j'étais avec la fille de mes rêves dans une voiture, et on allait faire l'amour.

Claire ne coupa pas le contact car nous étions en hiver, elle alluma la lumière du plafond et elle se pencha sur mes lèvres de nouveaux. Nous parlions entre 2 baisers :

C : Tu es puceau c'est ça ? N'ai pas peur de me le dire.

N : Oui...

C : Alors on va tacher de bien faire. Je t'aime bien moi aussi et je vais te montrer qu'elle genre de fille je peux être. Ça te fait peur ?

Je ne sais pas où elle voulait en venir mais j'allais vite le comprendre.

N : Non ça va.

C : Ok alors je vais tout te faire. On est plus très frais à cette heure mais moi ça ne me dérange pas de te sucer, d'avoir ta queue dans ma bouche. Ok ?

N : Heu..ok de tout façon je te trouve trop belle donc...

C : Ok tais toi ! Ne parles pas et savoures le moment.

Claire dégrafa mon pantalon et sorti mon sexe pour le mettre directement en bouche. Ce fut ma première fellation et de loin la meilleur de toute ma vie. Claire me masturbait en aspirant mon sexe. Elle faisait ça tantôt vite tantôt doucement. Elle me fixer du regard en gémissant. Elle me souriait en frottant mon sexe contre sa joue.

J'étais surpris mais aux anges. C'était une pipe de film porno !

A un moment, Claire me demanda si j'aimais ça et me dit que je pouvais éjaculer quand je voulais.

A ces paroles, ce fut l'explosion de plaisir. Claire se jeta sur mon gland pour le maintenir entre ses lèvres. Elle me vidait de tout mon sperme en gémissant de plus belle. Pour finir elle posta son visage en face du mien, toujours avec ce sourire coquin et elle ouvrit la bouche pour me prouver qu'elle avait tout avaler.

J'étais sidéré !

C : Alors ça t'as plu hein ?

N : Oh oui carrément !

C : Maintenant je vais te faire découvrir le corps d'une femme.

Claire était dans un état second, elle n'était plus la femme douce que j'avais l'habitude de voir. J'étais impressionné mais à la fois satisfait d'être tombé sur ce que je pensais être une nymphomane.

Nous avions baissé les sièges de la R5 et retiré tous nos vêtements.

Claire était brune, 1m65, avec de jolis rondeurs. Elle n'était ni grosse ni maigre. Ses seins était les premiers que je voyais d'aussi près et ils avaient une bonne taille (un bonnet D). Son sexe n'était pas épilé mais ce n'étais pas non plus la jungle.

N : Claire tu es magnifique !

C : Je ne suis pas un canon de beauté, mais j'assume mon corps.

J'avais pris de l'assurance et je mettais penché sur ses seins pour les embrasser. Je suçais ses tétons durcis par le froid (on avait coupé le contact de la voiture finalement) et je les faisais rouler sous ma langue.. Claire avait pris une de mes mains pour la poser sur son sexe. Elle était trempée et quand j’introduis un doigt dans sa fente, le bruit me plaisais.
C'est alors que ma partenaire pris les choses en main.

C : Attends Nelson, je vais me placer au dessus de toi et je vais te driver. Tu veux me lécher hein ?

J'étais maintenant allongé sur le siège passager en position couchette et Claire avait écarté allègrement ses jambes au dessus de mon visage. Elle se tenait à une poignée au plafond de la voiture, sa jambe droite était sur la banquette arrière et la gauche entre mes jambes à moi. Une vraie acrobate !
Ses lèvres était ouvertes et garni de "mouille blanche". Son odeur m'enivrais alors je la respirais très fort.

C : Tu as l'air d'aimer mon odeur pas fraiche mon petit cochon ! Moi j'aime être dans cette position, ça fait vraiment la fille qui veut se faire brouter ! Vas y rinces toi bien les yeux. Écartes moi bien.

Une fois de plus, ses paroles me rendait fou. Je profitais pleinement de la situation en explorant cette chatte. J'écartais, je suçais, je doigtais, je faisais rentrer ma langue.

Claire avait avancé un peu plus ses fesses de mon visage. Elle était presque assise sur ma bouche. Elle me demandais d'aspirer son clitoris en m'indiquant sa place. Elle gémissait de nouveau mais cette fois ce n'étais pas pour m’exciter : elle jouissais.

Un léger filet blanchâtre apparu à l'entrée de ses petite lèvres. Je n'ai pas eu le temps d'y gouter car Claire s'empressa de le prendre avec ses doigts (elle se tenais plus que d'une main, l'acrobate !)

Elle me mis ses doigts dans la bouche en me qualifiant de nouveau de petit cochon. J'étais ravi mais Claire avait une autre carte de son jeu à me montrer.

C : Tiens regarde, moi aussi je vais gouter... mmm... j'adore me gouter !

N : Wouaw ! T'es trop belle quand tu fais ça !

J'étais complètement fou... fou amoureux avec mes répliques de puceau. Claire a continué à alterner entre sa bouche et la mienne. Elle avait remarqué que je bandais de nouveau à fond et elle bougeait sa cheville à coté de mes couilles. En un éclair elle se mit à genoux sur son siège et repris mon sexe de nouveau dans sa bouche.

Elle se mit à me masturber tendrement et elle me fixa dans les yeux.

C : Alors qu'est ce que je suis ?

N : Heu... je sais pas (j'étais de nouveau hésitant)

C : Mais si n'ai pas peur de le dire, je suis une ?

N : Heu... une... cochonne ?

C : (Claire fit la moue pour dire non) Non je suis une ? (Là elle reprit mon sexe en bouche en gémissant l'espace de 2 ou 3 secondes)

N : Ohhh... t'es... une salope...

C : Mmm oui ! Une belle salope. Mais pas n’importe-quelle salope. Je suis TA salope... rien qu'à toi, compris ?

Claire voulait faire tomber l'ultime barrière qui m'empêchait d’apprécier ce moment comme elle l’appréciait. A ce moment là je l'ai appeler salope à plusieurs reprise : "ma salope". On s'embrassait de nouveau en ce masturbant mutuellement.

C : Tu vois moi le sexe ça me rend folle c'est pour ça que j'évite d'avoir des mecs. J'ai peur que ça balance et que ça se vente.

N : Ohhh je dirais rien ! Je te le jure, je t'aime trop. Tu rends pas compte à quel point tu me rends heureux là.

C : Ça j'ai compris que tu m'aimais. Je sais pas si c'est parce que tu es puceau mais tu es le premier que j'entends parler comme ça. Écoutes, si tu ne dis pas qu'on est ensemble, je te ferais tout ce que tu veux !

N : Oui, oui, oui ma salope !

C : Oh tu es mignon ! Aller maintenant on va baiser comme des tarés... enfin faire l'amour.

Claire s'était mise sur moi tant bien que mal. La voiture étroite n'aidait pas.
On bougeait nos bassins comme des fous. Je suçais ses seins avec ses encouragements lubriques, "bouffes les !", "pinces les !". Une vrai folle.
De mon coté je la complimentais sur ses talents en la qualifiant du mot qu'elle aimait tant.
Lorsque je pris ses fesses dans mes mains, j’eus l'idée de trouver son petit trou.
Claire me lança un regard coquin :

C : Vas y tu peux visiter mais on fera pas de sodomie, pas cette fois !

N : Ohhh, tu vas encore me rendre fou avec ce que tu dis !

C : Je sais ! D'ailleurs pour info je ne suce pas ce qui sort de mon cul, de ma chatte par contre...

N : Oh Claire ! Je vais jouir !

Claire savait parfaitement ce qu'elle faisait. Elle me crie "attends" et elle se retira pour se placer de nouveau a genoux sur son siège. Elle me branla devant son visage et se fie arroser par mon sperme. Une fois la tempête terminé, elle entama une nouvelle fellation pour me nettoyer. Elle me regardais dans les yeux avec un regard de satisfaction. Ensuite elle poussa le restant du sperme autour de ses lèvres jusqu'à l'intérieur de sa bouche. Une vraie star du porno !

C : Et voilà ! Alors tes impressions ? (Claire me parlais en me branlant tout naturellement)

N : Franchement, j'en reviens toujours pas ! Tu m'as fais vivre un moment inoubliable !

C : C'était le but.

Elle s'était redressé pour m'embrasser tendrement.
Il était temps de rentrer. Nous avions cours le lendemain et il était près de 3h du matin.
Claire m'expliqua une dernière fois ses conditions pour notre relation.

C : Ok donc tu dis rien à personne. Tu pourras disposer de moi à tout moment et moi de toi aussi. Si tu veux me prendre au lycée, je crois savoir que nous avons une heure de perm en commun le jeudi et une le vendredi. Tu auras le droit de tout me faire sauf sucer après la sodomie, d'accord ?

N : Ok, d'ailleurs maintenant j'ai hâte d'essayer.

C : Ça viendra. Ne sois plus timide avec moi maintenant. Je serais ta chose et toi la mienne. Sois juste normal devant les autres.



C'est sur ce discours cru que se termina ma première aventure. Claire était bien nymphomane.
J'espère que mon récit vous aura plu. Moi je suis vraiment ravi de l'avoir couché sur papier (comme j'ai pu).
D'autres aventures viendront.

Merci.