Ma trahison
Récit érotique écrit par Laure60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma trahison
Dans le précédent épisode mon amoureux Pierre m'a déflorée.
Après cet épisode et en dehors du weekend nous nous voyons deux fois dans la semaine.
Pierre me caresse beaucoup en me procurant beaucoup de plaisir avant de me pénétrer.
Nos ébats suivant le temps se passent sur le siège arrière de la voiture ou sur un plaid posé sur l'herbe. Parfois dans les bois debout: il me prend en se mettant face à moi jambes fléchies ou je m'agrippe à son cou et lui me soulève en mettant ses mains sous mes cuisses puis il m'empale sur sa verge et nous remuons tant bien que mal.
Une fois pendant que son pénis me défonce avec entrain le vagin, entre deux baisers, il me dit à l'oreille:
<<Laure il va falloir que tu me la suces>>.
<<Oui, je vais y penser>>.
Lors de nos rencontres suivantes je n'en fais rien. Pourtant je connais la pratique car la mère de mon amie Josée se vante sans détour qu'elle fait des pipes à ses amants avec maint détails sur sa façon de procéder, du sperme qui coule dans sa bouche et comment elle l'avale car les hommes adorent ça.
Bien que j'aie des sentiments pour Pierre cela ne m'empêche pas parfois dans la journée de flirter avec d'autres jeunes hommes.
Il faut dire que dans mon quartier je suis à bonne école:
-La maison côté gauche la mère ne cache pas sa liaison avec un homme plus jeune, sa fille aînée a changé plusieurs fois de compagnon, son autre fille qui a mon âge passe de pénis en pénis et s'évertue à piquer les copains des autres filles en écartant les cuisses.
-En face pendant que son mari passe sa vie au bar du coin la femme reçoit des hommes (l'un d'entre eux sort son sexe dans le couloir avant d'entrer chez elle), elle dit à qui veut l'entendre qu'elle ne pas vivre sans sexe.
-au coin de la rue il y a le bar. La femme a régulièrement des amants et les trois filles ne se privent pas d'écarter les cuisses avec différents jeunes hommes.
-Un peu plus loin il y a ma meilleure copine Josée. Sa mère rejoint souvent des routiers à la sortie du bourg et me raconte ce quelle fait avec eux.
Puis un jour je flirte avec Daniel un copain de Pierre, celui-ci veut aller plus loin dans notre rapport et me donne un rendez-vous pour le lendemain.
Je m'y rends, il me prend dans ses bras et nous commençons à nous embrasser, son frère qui est assis pas loin de nous me parle de Pierre et pour paraître indifférente je sort une méchanceté concernant celui-ci. Quelle surprise quand Pierre sort d'un fourré situé de l'autre côté de la route.
Là je me sens mal, je ne sais plus quelle attitude adopter.
Pierre vient vers moi et je reçois une paire de gifles puis il s'en va après m'avoir traitée de putain et autres.
Pendant plusieurs jours je suis triste et je pleure. Je demande à une connaissance commune d'intercéder auprès de Pierre pour qu'il vienne me voir et que je lui demande de me pardonner.
Après m'avoir fait languir il accepte de me voir.
Je me mets sur mon 31 pour lui plaire: belle robe, beaux dessous, bas blancs avec porte-jarretelles et maquillage sur les conseils de la mère de Josée.
Je l'attends anxieuse à la sortie du bourg.
Il arrive, s'arrête et attend que je monte dans son auto. Je m'assois sur le siège passager.
<<Enlève ta culotte et jette là sur le siège arrière>>.
Jusqu'à maintenant il n'a jamais vu mon intimité car je n'ai jamais enlevée ma culotte en sa présence.
<<Non ne me demande pas ça>>.
<<Pas de problème Laure descends de la voiture et dégage>>.
Vaincue je m'exécute, je soulève mes fesses et fait glisser ma culotte puis la fait coulisser le long de mes jambes que je relève pour la retirer.
Je la jette sur le siège arrière. Je me sens gênée et mes joues ont pris de la couleur.
Nous partons jusqu'à un endroit herbeux protégé de la vue par des arbres.
Il descend de la voiture et me demande d'en faire autant puis il étale un plaid sur l'herbe.
<<LAURE déshabilles toi et mets toi à genoux>>.
<<Ne me demandes pas çà, j'aurais trop honte>>.
<<Ou tu le fais, tu arrêtes de te comporter comme une gamine, si nous continuons ensemble je veux fréquenter une vraie femme qui s'asume>>.
<<Qu'est ce qui va m'arriver, que vas tu me faire>>.
<<D'abord à genoux tu vas t'expliquer et me demander pardon, ensuite tu doit accepter d'être punie pour ta conduite et surtout ce que tu as dit sur moi>>.
<<Ca va me faire mal, je ne veux pas être frappée sur la figure>>.
<<Tu n'as pas le choix, tu seras punie comme on le fait à une gamine qui n'est pas sage et comme ça a du t'arriver quand tu étais enfant>>.
Il a pris l'ascendant sur moi, j'obéis et commence à me dévêtir le figure empourprée et gênée.
Il me demande de garder mes bas et le porte-jarretelles.
A genoux, honteuse j'essaie de m'expliquer et lui demande pardon les larmes aux yeux.
Il s'assoit sur le plaid et me demande de me coucher sur le ventre sur ses genoux, je m'exécute.
Les premières claques sur mes fesses me font sursauter et sont douloureuses.
J'implores sa pitié et me retourne.
Il reste inflexible et je me remets en position, les coups reprennent qui font mal, j'essaye de me protéger avec mes mains qu'il finit par attacher ensemble à l'aide d'un chiffon pour être tranquille.
Les claques qui me font souffrir et pleurer pleuvent. j'ai l'impression que ça ne s'arrêtera pas et que ça dure une éternité.
La fin du supplice arrive, mes fesses sont bien rouges et me cuisent.
Je dois me remettre à genoux les mains toujours entravées.
Pierre passe ses jambes entre mon corps et mes bras.
Tout en sortant son sexe qui est gros et raide, il me donne des directives.
<<Tu vas embrasser puis lécher et enfin sucer ma queue>>.
<<Sans les mains pour la tenir ce n'est pas possible>>.
<<Laure un peu d'imagination, je vais te guider>>.
J'obéis, en me tordant le cou j'embrasse puis lèche son pénis partout en suivant ses directives et quand il éstime que c'est suffisant je prends son engin dans ma bouche et j'essaie de l'enfoncer au maximum dans ma gorge jusqu'à ce que mon nez touche son ventre. J'ai des haut-le-coeur mais je m'éfforce de le faire coulisser dans ma bouche en serrant au mieux sa queue avec mes lèvres.
Tout en disant ce qu'il faut que je fasse il caresse mes joues et ferme les yeux pour mieux jouir du moment.
Au bout d'un moment je fatigue et je commence à avoir des crampes à la machoire.
Après un moment qui m'a paru une éternité il pose ses mains sur ma nuque et appuie, son pénis est complètement entré dans ma bouche. Je sens qu'il gonfle encore et s'agite. Des giclées de sperme envahissent ma bouche, frappent la gorge et du liquide s'échappe aux comissures de mes lèvres.
Ses mains appuyant toujours sur ma nuque je ne peux pas dégager la verge de ma bouche il me demande d'avaler, ce que je fais en m'étranglant.
Finalement son sperme a un meilleur goût que je ne le pensais.
Il libère mes mains du lien et dit:
<<C'est du travail bâclé, tâche de faire mieux à l'avenir car la suite de ta punition sera de me faire des pipes lors de nos rendez-vous pendant quinze jours, ta chatte restera au repos et si tu as des envies tu n'auras qu'à te masturber>>.
<<Tu es méchant avec moi>>.
<<Non! tu l'as mérité>>.
Je baisse la tête vaincue.
Le deux semaines qui suivent Pierre vient me voir plus souvent que d'habitude et là c'est fellations, fellations et rien que fellations.
Quelques baisers et quelques caresses quand il est satisfait de mes pipes.
Je me plains du fait qu'il ne me procure pas de plaisir. Sa réponse:
<<Tu es punie et tu n'as qu'à t'en procurer toi même en te masturbant>>.
Je crois qu'avec lui je n'ai pas fini d'en voir.
L'avenir me donnera raison mais je ne serais pas une oie blanche non plus.
Après cet épisode et en dehors du weekend nous nous voyons deux fois dans la semaine.
Pierre me caresse beaucoup en me procurant beaucoup de plaisir avant de me pénétrer.
Nos ébats suivant le temps se passent sur le siège arrière de la voiture ou sur un plaid posé sur l'herbe. Parfois dans les bois debout: il me prend en se mettant face à moi jambes fléchies ou je m'agrippe à son cou et lui me soulève en mettant ses mains sous mes cuisses puis il m'empale sur sa verge et nous remuons tant bien que mal.
Une fois pendant que son pénis me défonce avec entrain le vagin, entre deux baisers, il me dit à l'oreille:
<<Laure il va falloir que tu me la suces>>.
<<Oui, je vais y penser>>.
Lors de nos rencontres suivantes je n'en fais rien. Pourtant je connais la pratique car la mère de mon amie Josée se vante sans détour qu'elle fait des pipes à ses amants avec maint détails sur sa façon de procéder, du sperme qui coule dans sa bouche et comment elle l'avale car les hommes adorent ça.
Bien que j'aie des sentiments pour Pierre cela ne m'empêche pas parfois dans la journée de flirter avec d'autres jeunes hommes.
Il faut dire que dans mon quartier je suis à bonne école:
-La maison côté gauche la mère ne cache pas sa liaison avec un homme plus jeune, sa fille aînée a changé plusieurs fois de compagnon, son autre fille qui a mon âge passe de pénis en pénis et s'évertue à piquer les copains des autres filles en écartant les cuisses.
-En face pendant que son mari passe sa vie au bar du coin la femme reçoit des hommes (l'un d'entre eux sort son sexe dans le couloir avant d'entrer chez elle), elle dit à qui veut l'entendre qu'elle ne pas vivre sans sexe.
-au coin de la rue il y a le bar. La femme a régulièrement des amants et les trois filles ne se privent pas d'écarter les cuisses avec différents jeunes hommes.
-Un peu plus loin il y a ma meilleure copine Josée. Sa mère rejoint souvent des routiers à la sortie du bourg et me raconte ce quelle fait avec eux.
Puis un jour je flirte avec Daniel un copain de Pierre, celui-ci veut aller plus loin dans notre rapport et me donne un rendez-vous pour le lendemain.
Je m'y rends, il me prend dans ses bras et nous commençons à nous embrasser, son frère qui est assis pas loin de nous me parle de Pierre et pour paraître indifférente je sort une méchanceté concernant celui-ci. Quelle surprise quand Pierre sort d'un fourré situé de l'autre côté de la route.
Là je me sens mal, je ne sais plus quelle attitude adopter.
Pierre vient vers moi et je reçois une paire de gifles puis il s'en va après m'avoir traitée de putain et autres.
Pendant plusieurs jours je suis triste et je pleure. Je demande à une connaissance commune d'intercéder auprès de Pierre pour qu'il vienne me voir et que je lui demande de me pardonner.
Après m'avoir fait languir il accepte de me voir.
Je me mets sur mon 31 pour lui plaire: belle robe, beaux dessous, bas blancs avec porte-jarretelles et maquillage sur les conseils de la mère de Josée.
Je l'attends anxieuse à la sortie du bourg.
Il arrive, s'arrête et attend que je monte dans son auto. Je m'assois sur le siège passager.
<<Enlève ta culotte et jette là sur le siège arrière>>.
Jusqu'à maintenant il n'a jamais vu mon intimité car je n'ai jamais enlevée ma culotte en sa présence.
<<Non ne me demande pas ça>>.
<<Pas de problème Laure descends de la voiture et dégage>>.
Vaincue je m'exécute, je soulève mes fesses et fait glisser ma culotte puis la fait coulisser le long de mes jambes que je relève pour la retirer.
Je la jette sur le siège arrière. Je me sens gênée et mes joues ont pris de la couleur.
Nous partons jusqu'à un endroit herbeux protégé de la vue par des arbres.
Il descend de la voiture et me demande d'en faire autant puis il étale un plaid sur l'herbe.
<<LAURE déshabilles toi et mets toi à genoux>>.
<<Ne me demandes pas çà, j'aurais trop honte>>.
<<Ou tu le fais, tu arrêtes de te comporter comme une gamine, si nous continuons ensemble je veux fréquenter une vraie femme qui s'asume>>.
<<Qu'est ce qui va m'arriver, que vas tu me faire>>.
<<D'abord à genoux tu vas t'expliquer et me demander pardon, ensuite tu doit accepter d'être punie pour ta conduite et surtout ce que tu as dit sur moi>>.
<<Ca va me faire mal, je ne veux pas être frappée sur la figure>>.
<<Tu n'as pas le choix, tu seras punie comme on le fait à une gamine qui n'est pas sage et comme ça a du t'arriver quand tu étais enfant>>.
Il a pris l'ascendant sur moi, j'obéis et commence à me dévêtir le figure empourprée et gênée.
Il me demande de garder mes bas et le porte-jarretelles.
A genoux, honteuse j'essaie de m'expliquer et lui demande pardon les larmes aux yeux.
Il s'assoit sur le plaid et me demande de me coucher sur le ventre sur ses genoux, je m'exécute.
Les premières claques sur mes fesses me font sursauter et sont douloureuses.
J'implores sa pitié et me retourne.
Il reste inflexible et je me remets en position, les coups reprennent qui font mal, j'essaye de me protéger avec mes mains qu'il finit par attacher ensemble à l'aide d'un chiffon pour être tranquille.
Les claques qui me font souffrir et pleurer pleuvent. j'ai l'impression que ça ne s'arrêtera pas et que ça dure une éternité.
La fin du supplice arrive, mes fesses sont bien rouges et me cuisent.
Je dois me remettre à genoux les mains toujours entravées.
Pierre passe ses jambes entre mon corps et mes bras.
Tout en sortant son sexe qui est gros et raide, il me donne des directives.
<<Tu vas embrasser puis lécher et enfin sucer ma queue>>.
<<Sans les mains pour la tenir ce n'est pas possible>>.
<<Laure un peu d'imagination, je vais te guider>>.
J'obéis, en me tordant le cou j'embrasse puis lèche son pénis partout en suivant ses directives et quand il éstime que c'est suffisant je prends son engin dans ma bouche et j'essaie de l'enfoncer au maximum dans ma gorge jusqu'à ce que mon nez touche son ventre. J'ai des haut-le-coeur mais je m'éfforce de le faire coulisser dans ma bouche en serrant au mieux sa queue avec mes lèvres.
Tout en disant ce qu'il faut que je fasse il caresse mes joues et ferme les yeux pour mieux jouir du moment.
Au bout d'un moment je fatigue et je commence à avoir des crampes à la machoire.
Après un moment qui m'a paru une éternité il pose ses mains sur ma nuque et appuie, son pénis est complètement entré dans ma bouche. Je sens qu'il gonfle encore et s'agite. Des giclées de sperme envahissent ma bouche, frappent la gorge et du liquide s'échappe aux comissures de mes lèvres.
Ses mains appuyant toujours sur ma nuque je ne peux pas dégager la verge de ma bouche il me demande d'avaler, ce que je fais en m'étranglant.
Finalement son sperme a un meilleur goût que je ne le pensais.
Il libère mes mains du lien et dit:
<<C'est du travail bâclé, tâche de faire mieux à l'avenir car la suite de ta punition sera de me faire des pipes lors de nos rendez-vous pendant quinze jours, ta chatte restera au repos et si tu as des envies tu n'auras qu'à te masturber>>.
<<Tu es méchant avec moi>>.
<<Non! tu l'as mérité>>.
Je baisse la tête vaincue.
Le deux semaines qui suivent Pierre vient me voir plus souvent que d'habitude et là c'est fellations, fellations et rien que fellations.
Quelques baisers et quelques caresses quand il est satisfait de mes pipes.
Je me plains du fait qu'il ne me procure pas de plaisir. Sa réponse:
<<Tu es punie et tu n'as qu'à t'en procurer toi même en te masturbant>>.
Je crois qu'avec lui je n'ai pas fini d'en voir.
L'avenir me donnera raison mais je ne serais pas une oie blanche non plus.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai adoré !!! Vivement la suite
Pas mall du tout
Très bon début de prise en mai!
Une bonne fessée, parfait pour commencer à apprendre la docilité!
Quant à sucer avec obligation d'avaler, incontournable obligation de toute salope débutante avant d'avoir le droit de déguster le sperme sous d'autres manières plus raffinées.
Je ne suis pas inquiète, je suis certaine que vous avez tout ce qu'il faut pour devenir une véritable cochonne vicieuse à souhaits, et que je pourrais m'exciter et jouir en lisant vos histoires!!!
Bisous d'une lectrice qui s'y connait. M S
Très bon début de prise en mai!
Une bonne fessée, parfait pour commencer à apprendre la docilité!
Quant à sucer avec obligation d'avaler, incontournable obligation de toute salope débutante avant d'avoir le droit de déguster le sperme sous d'autres manières plus raffinées.
Je ne suis pas inquiète, je suis certaine que vous avez tout ce qu'il faut pour devenir une véritable cochonne vicieuse à souhaits, et que je pourrais m'exciter et jouir en lisant vos histoires!!!
Bisous d'une lectrice qui s'y connait. M S
la situation se corse vivement la suite