Ma vie de libertin - De brèves aventures - De la piscine en club libertin. - histoire érotique

A l’automne suivant, j’ai rencontré à la piscine que je fréquentais assidument pour me maintenir en forme, une femme sensiblement de mon âge, c'est-à-dire au début de la quarantaine. Ce jour là Catherine, une habituée des lieux est arrivée avec un maillot de bain tellement mini que le slip était tout simplement un string comme ceux qui se portent dans certains camps naturistes. Un des maitres nageurs lui a fait l’observation de sa tenue non conforme et lorsqu’elle est passée près de moi en revenant de se changer, elle m’a fait un clin d’œil en disant : Qui ne tente rien…
Je l’avais déjà croisée plus d’une fois aussi, nous avons engagé la conversation sur un ton badin. C’est là que j’ai découvert que Catherine était une exhibitionniste et qu’elle fréquentait de temps à autre différents clubs échangistes de la région. De mon côté, j’ai évoqué mon attirance pour le naturisme et le libertinage.
C’est elle qui lança une invitation à l’accompagner dans un club échangiste qui, justement venait d’ouvrir en grande banlieue et devrait satisfaire nos affinités coquines. Veuf depuis quelques années, ayant depuis des maîtresses occasionnelles, j’étais totalement libre de la suivre pour une aventure échangiste. J’en n’avais eu l’opportunité à plusieurs reprises depuis que .ma liaison avec Sandrine avait pris fin. Rendez vous fut pris pour le samedi suivant.
Après quelques kilomètres de route, nous sommes arrivés devant ce club situé dans la périphérie d’une ville de la banlieue parisienne. La soirée n’était pas encore très avancée car il n’y avait pas beaucoup de voitures sur le parking. Après les vestiaires, nous avons été pris en charge par une hôtesse très légèrement vêtue. Après avoir payé notre droit d’entrée, elle nous a fait découvrir les différents salons et le sauna jacuzzi. Aucun salon n’était encore occupé. Il régnait partout une lumière atténuée et les salons étaient confortablement équipés avec des profonds fauteuils et canapés, des poufs rembourrés de diverses hauteurs. Il y avait même une salle pour les amateurs de sadomasochisme. Nous sommes revenus au bar. Il y avait encore peu de monde. Seuls trois couples s’y trouvaient et bavardaient pour faire connaissance.
Nous nous sommes joints à eux pour prendre la coupe de champagne de l’accueil et nous restaurer au buffet qui était disposé dans un angle. Tous avaient sensiblement notre âge sauf l’un des hommes qui semblait plus proche de la cinquantaine. Peu à peu d’autres couples sont arrivés. La plupart des participants de la soirée connaissaient déjà les lieux et certains, après avoir bu la coupe de champagne d’accueil, passaient rapidement dans l’un ou l’autre des salons qui, dans une semi obscurité complice, étaient pourvus de tout le confort pour des étreintes diversifiées.
Catherine et moi n’avions jamais baisé ensemble. C’était là une belle occasion et le goût de ma compagne pour l’exhibitionnisme allait être comblé. Nous sommes allés dans le salon orange où se trouvaient déjà Amandine et Thierry, qui étaient présents à notre arrivée au club. Leurs vêtements étaient posés dans un coin et ils ne portaient plus qu’un soutien gorge et un string pour elle et un boxer pour lui. Ils échangeaient des caresses et des baisers sur l’un des divans.
Catherine fait voler ses vêtements. En fait elle ne portait même pas de string et s’est rapidement débarrassée de son soutien gorge et de sa robe fourreau très largement échancrée qui lui arrivait à mi cuisses. Rapidement déshabillé aussi, j’ai entrepris Catherine sur un autre divan placé dans une alcôve. Presque immédiatement elle s’est mise à genou entre mes cuisses et a entrepris une belle fellation. Waouh, une suceuse habile ! Comme elle était en levrette, l’autre couple s’est approché et l’homme lui a caressé ses seins pendant que la femme venait m’embrasser.
Catherine a lâché mon sexe et leur a dit :
• Tout à l’heure si vous voulez, mais là c’est notre première baise, laissez nous la savourer !
Ils se sont éloignés de quelques pas mais ont continué à nous regarder tout en se caressant allégrement. Catherine s’est allongée sur le divan et m’a ouvert les cuisses en me tendant les bras. Je l’ai prise avec douceur puis j’ai accéléré mes mouvements la baisant bien à fond jusqu’à ce que la jouissance nous emporte et que j’envoie de belles giclées de sperme au fond de la capote. Sur quelle baiseuse j’étais tombé.
Quelque temps plus tard, c’est elle qui s’est dirigée vers Amandine et Thierry qui étaient en pleine action. Adossé au dossier du divan, Thierry était chevauché par Amandine qui lui tournait le dos. D’une main elle s’est mise à caresser l’opulente poitrine qui s’offrait à elle et de l’autre les couilles qui ballotaient entre les cuisses de Thierry. J’ai observé la scène quelques minutes et je suis allé les rejoindre pour des baisers profonds donnés à chacune. Quand Amandine et Thierry eurent joui à leur tour, cette dernière nous dit :
• Mon compagnon va nous rejoindre. Ce que nous avons fait n’était qu’une mise en train ! Depuis quelques temps, j’ai envie d’une double pénétration et là je vais en profiter. Restez près de nous si vous voulez !
Au même moment Norbert, le compagnon d’Amandine est entré dans le salon, un sexe imposant dressé au vent, il s’est allongé sur le dos sur le grand pouf central, Amandine est venue se placer sur lui en amazone puis s’est couchée sur lui, offrant la vue de sa croupe et de son anus plissé. Thierry, pourvu d’un sexe long et fin se couvrit à nouveau d’un préservatif, glissa une noisette de gel lubrifiant dans le petit trou et commença l’enculade de la belle dans une position proche de la levrette. Quel spectacle. C’était vraiment très chaud. Les deux males ont accordé leurs mouvements et leur bite pistonnait tour à tour la chatte et le cul d’Amandine.
La position semblait assez difficile à tenir d’autant que la belle bougeait beaucoup, roulant des hanches à chaque pénétration. Norbert pistonnait avec douceur sa compagne mais son sexe entrait profondément dans sa chatte pendant que Thierry défonçait le petit trou de la belle. Bientôt la jouissance les emporta.
Le spectacle nous avait particulièrement émoustillés mais nous avons fait un tour dans les divers salons pour découvrir ce qui s’y déroulait. La soirée était lancée. Dans tous les salons il y avait des groupes, trios, quatuors et un duo lesbien que Catherine s’est empressée de rejoindre.
Alors que je m’éloignais à la recherche d’une bonne fortune, ses deux compagnes m’ont fait signe de les rejoindre. Carmen et Sylvie, deux femmes d’à peine trente ans, découvraient elles aussi le club. Je me suis retrouvé au milieu de trois femmes désirables et chaudes.
Après nous être pas mal caressés les uns les autres, Carmen m’a invitée à la baiser pendant que Sylvie harnachait Catherine avec un gode ceinture de belle taille pour se faire baiser elle aussi : Lesbiennes mais bisexuelles ces deux coquines ! Chacun prit son plaisir en se regardant, puis ce fut au tour de Catherine de recevoir son plaisir grâce aux caresses des deux comparses. L’une lui pelotait et suçait les seins, l’autre lui faisant un cunnilingus en lui pénétrant la chatte de plusieurs doigts réunis.
Cette nuit là, nous avons quitté le club assez vite, nous promettant d’y revenir. J’ai fini la nuit dans le lit de Catherine où nous avons baisé encore une fois.
Chaque fois quand nous avions passé la soirée dans le club, je terminais la nuit dans le lit de Catherine où nous avons eu de bonnes séances de baise. Puis nos routes se sont séparées ! Chacun partant vers d’autres aventures…