Ma vie de libertin - De brèves aventures - Sur la plage du Cap d'Agde.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - De brèves aventures - Sur la plage du Cap d'Agde.
Sans compagne avec qui passer les vacances d’été, j’avais décidé de changer mes habitudes. Je voulais aller reconnaître les camps et plages naturistes de la côte languedocienne dont parait-il la réputation n’était déjà plus à faire.
Quelques semaines auparavant, à la suite d’un désistement, j’avais eu la chance de pouvoir trouver à louer un bungalow dans un camping (non naturiste hélas) du Cap d’Agde. En cours de route, j’avais pris en charge une autostoppeuse qui, à sa façon, m’avait remercié… Arrivé au petit matin après avoir traversé une bonne partie de la France, j’avais attendu l’ouverture de l’accueil pour prendre possession des lieux et profiter d’un repos bien mérité jusqu’aux environs de midi.
Après un rapide déjeuné à la terrasse d’une pizzéria du centre, je me dirigeai vers la mer. Short, cache sexe, teeshirt, serviette de plage, crème solaire et, indispensables préservatifs, voila tout mon équipement. Dès mon arrivée sur la plage, je me suis débarrassé des vêtements inutiles. Le sexe dissimulé par un « minimum », je me suis mêlé aux groupes de la foule qui, étendus à l’abri de parasols ou dissimulés derrière des paravents prenait le soleil en faisant la sieste. Presque tous étaient entièrement nus.
Soudain mon regard a été attiré par un groupe d’hommes et de femmes qui faisaient un cercle autour d’un grand parasol couché, leur attention fixée vers le centre. Je m’approchai. Quel spectacle ! Une belle blonde aux cheveux mi-longs, au teint hâlé et à la silhouette longiligne, avec une poitrine menue faisait une fellation à un homme d’une trentaine d’année, allongé sur le sable, le torse relevé en appui sur les coudes, les cuisses largement ouvertes. Bâti en athlète, bronzé, doté d’un sexe d’une taille plus que respectable, il appréciait visiblement la caresse. Bon nombre d’hommes du cercle se masturbaient allégrement en observant ou se faisaient sucer. Des femmes avaient des doigts dans leur chatte ou se caressaient le clitoris ou un sein.
La blonde a quitté sa position à genoux pour s’allonger sur le sable. L’homme s’est relevé, le sexe à la main il est venu se placer au dessus de son visage. Il s’est masturbé quelques secondes et a éjaculé une importante quantité de sperme, maculant sa face et les cheveux. Certains des hommes qui se paluchaient s’approchèrent et se vidèrent aussi sur le visage ou le torse de la femme qui étendait le sperme sur ses seins en les massant. Oulla ! Le séjour commençait bien.
Pour apprécier le spectacle, je m’étais approché au maximum du cercle. Je m’étais placé derrière une jeune brunette (20 ans au grand maximum) aux cheveux noirs descendant presque au creux des reins, très bronzée, le bas du dos cambré comme un africaine, avec une mignonne paire de seins avec des tétons très saillants de la taille d’un pois chiche. Ce que je voyais et le contact qu’elle avait cherché en me sentant derrière elle avaient mis mes sens en émoi.
Ma bite était dressée et se trouvait dans le haut de la raie du cul de la belle. Elle ne disait rien, au contraire, elle bougeait des hanches et faisait rouler mes couilles entre ses globes. Lorsque le cercle se dispersa, elle m’invita à la suivre à l’abri d’un immense parasol. Elle se colla à moi, pressant ses tétons durcis contre mon torse, ondulant des hanches, ma bite pressée contre son ventre. Elle était beaucoup plus petite que moi, environ 1m60, et 45 kg tout mouillés, bref un mignon petit tanagra. Le fait qu’elle avait l’âge de ma fille ne m’a pas arrêté. Elle savait ce qu’elle voulait et mes habitudes de libertinage ont fait le reste.
Nous étions bien échauffés. Dénouant le cordon de mon cache sexe, elle tomba à genoux devant moi et emboucha ma bite pour une gorge profonde, une vraie pompe à bite. Elle a avalé mon sexe d’un seul coup jusqu’à la garde. Puis elle a entrepris les lents mouvements d’aspiration et de va-et-vient. Heureusement que j’avais déjà baisé la veille en cours de route ! Mais, je me retenais d’éjaculer dans sa bouche. Je voulais autre chose, et, tirant de la poche de mon short roulé en boule sur le sol un préservatif, je le lui tendis.
Des ses doigts fins et agiles elle en couvrit mon sexe et s’allongeant sur le dos, elle ouvrit ses cuisses. Sa chatte très foncée était dépourvue de toute toison, les lèvres intimes bien dessinées et gorgées de sang. Le spectacle était d’une indécence totale mais oh combien excitant avec ses petits seins ronds et haut perchés et son visage perdu dans ses longs cheveux noirs.
A genoux entre ses cuisses, je relevai son bassin en l’approchant de mon sexe. Je me plaçai à l’entrée de sa vulve et d’une seule poussée, je me glissai dans son fourreau jusqu’à la garde dans une estocade brutale. Elle était tellement mouillée que j’entrai sans effort dans cette chatte serrée. Oulla ! Chaude comme la braise la mignonne ! Je continuai à l’éperonner pendant quelques minutes, puis, me dégageant de sa chatte, je fis mettre ma belle en levrette. Mes deux mains de chaque côté de sa taille cambrée, je présentai ma bite entre ses fesses pour reprendre notre séance de baise. Je ne connaissais même pas son prénom et nous n’avions échangé que de rares paroles.
Après de brefs instants de cette étreinte improvisée mais délicieuse arriva notre jouissance commune. Je déversai dans la capote une bonne quantité de sperme. Restant en elle quelques minutes sous le regard d’un couple de voyeurs, je savourais ces instants de bonheur. Puis nous désunissant, nous sommes allés nager intégralement nus dans les vagues toutes proches. Puis nous nous sommes séparés : L’un et l’autre nous avions eu ce que nous cherchions !
Mon séjour au Cap d’Agde commençait bien.
Quelques semaines auparavant, à la suite d’un désistement, j’avais eu la chance de pouvoir trouver à louer un bungalow dans un camping (non naturiste hélas) du Cap d’Agde. En cours de route, j’avais pris en charge une autostoppeuse qui, à sa façon, m’avait remercié… Arrivé au petit matin après avoir traversé une bonne partie de la France, j’avais attendu l’ouverture de l’accueil pour prendre possession des lieux et profiter d’un repos bien mérité jusqu’aux environs de midi.
Après un rapide déjeuné à la terrasse d’une pizzéria du centre, je me dirigeai vers la mer. Short, cache sexe, teeshirt, serviette de plage, crème solaire et, indispensables préservatifs, voila tout mon équipement. Dès mon arrivée sur la plage, je me suis débarrassé des vêtements inutiles. Le sexe dissimulé par un « minimum », je me suis mêlé aux groupes de la foule qui, étendus à l’abri de parasols ou dissimulés derrière des paravents prenait le soleil en faisant la sieste. Presque tous étaient entièrement nus.
Soudain mon regard a été attiré par un groupe d’hommes et de femmes qui faisaient un cercle autour d’un grand parasol couché, leur attention fixée vers le centre. Je m’approchai. Quel spectacle ! Une belle blonde aux cheveux mi-longs, au teint hâlé et à la silhouette longiligne, avec une poitrine menue faisait une fellation à un homme d’une trentaine d’année, allongé sur le sable, le torse relevé en appui sur les coudes, les cuisses largement ouvertes. Bâti en athlète, bronzé, doté d’un sexe d’une taille plus que respectable, il appréciait visiblement la caresse. Bon nombre d’hommes du cercle se masturbaient allégrement en observant ou se faisaient sucer. Des femmes avaient des doigts dans leur chatte ou se caressaient le clitoris ou un sein.
La blonde a quitté sa position à genoux pour s’allonger sur le sable. L’homme s’est relevé, le sexe à la main il est venu se placer au dessus de son visage. Il s’est masturbé quelques secondes et a éjaculé une importante quantité de sperme, maculant sa face et les cheveux. Certains des hommes qui se paluchaient s’approchèrent et se vidèrent aussi sur le visage ou le torse de la femme qui étendait le sperme sur ses seins en les massant. Oulla ! Le séjour commençait bien.
Pour apprécier le spectacle, je m’étais approché au maximum du cercle. Je m’étais placé derrière une jeune brunette (20 ans au grand maximum) aux cheveux noirs descendant presque au creux des reins, très bronzée, le bas du dos cambré comme un africaine, avec une mignonne paire de seins avec des tétons très saillants de la taille d’un pois chiche. Ce que je voyais et le contact qu’elle avait cherché en me sentant derrière elle avaient mis mes sens en émoi.
Ma bite était dressée et se trouvait dans le haut de la raie du cul de la belle. Elle ne disait rien, au contraire, elle bougeait des hanches et faisait rouler mes couilles entre ses globes. Lorsque le cercle se dispersa, elle m’invita à la suivre à l’abri d’un immense parasol. Elle se colla à moi, pressant ses tétons durcis contre mon torse, ondulant des hanches, ma bite pressée contre son ventre. Elle était beaucoup plus petite que moi, environ 1m60, et 45 kg tout mouillés, bref un mignon petit tanagra. Le fait qu’elle avait l’âge de ma fille ne m’a pas arrêté. Elle savait ce qu’elle voulait et mes habitudes de libertinage ont fait le reste.
Nous étions bien échauffés. Dénouant le cordon de mon cache sexe, elle tomba à genoux devant moi et emboucha ma bite pour une gorge profonde, une vraie pompe à bite. Elle a avalé mon sexe d’un seul coup jusqu’à la garde. Puis elle a entrepris les lents mouvements d’aspiration et de va-et-vient. Heureusement que j’avais déjà baisé la veille en cours de route ! Mais, je me retenais d’éjaculer dans sa bouche. Je voulais autre chose, et, tirant de la poche de mon short roulé en boule sur le sol un préservatif, je le lui tendis.
Des ses doigts fins et agiles elle en couvrit mon sexe et s’allongeant sur le dos, elle ouvrit ses cuisses. Sa chatte très foncée était dépourvue de toute toison, les lèvres intimes bien dessinées et gorgées de sang. Le spectacle était d’une indécence totale mais oh combien excitant avec ses petits seins ronds et haut perchés et son visage perdu dans ses longs cheveux noirs.
A genoux entre ses cuisses, je relevai son bassin en l’approchant de mon sexe. Je me plaçai à l’entrée de sa vulve et d’une seule poussée, je me glissai dans son fourreau jusqu’à la garde dans une estocade brutale. Elle était tellement mouillée que j’entrai sans effort dans cette chatte serrée. Oulla ! Chaude comme la braise la mignonne ! Je continuai à l’éperonner pendant quelques minutes, puis, me dégageant de sa chatte, je fis mettre ma belle en levrette. Mes deux mains de chaque côté de sa taille cambrée, je présentai ma bite entre ses fesses pour reprendre notre séance de baise. Je ne connaissais même pas son prénom et nous n’avions échangé que de rares paroles.
Après de brefs instants de cette étreinte improvisée mais délicieuse arriva notre jouissance commune. Je déversai dans la capote une bonne quantité de sperme. Restant en elle quelques minutes sous le regard d’un couple de voyeurs, je savourais ces instants de bonheur. Puis nous désunissant, nous sommes allés nager intégralement nus dans les vagues toutes proches. Puis nous nous sommes séparés : L’un et l’autre nous avions eu ce que nous cherchions !
Mon séjour au Cap d’Agde commençait bien.
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