Ma vie de libertin - De brèves aventures - Une exhibitionniste en peine ville.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - De brèves aventures - Une exhibitionniste en peine ville.
Le dernier soir de mes vacances, je me trouvais à la terrasse d’un café-brasserie sur le Cours Gambetta à proximité du centre historique de Montpellier. Je prenais un pot avant de diner puis de regagner le bungalow que j’avais loué pour la semaine dans un camping proche du bord de mer. J’avais passé la journée à visiter les ruines des châteaux cathares nombreux dans cette région et je profitais du calme relatif pour rêvasser en pensant aux quelques bonnes fortunes dont j’avais profité au cours de ces brèves vacances. En cette période estivale, à plus de 22 heures, la terrasse était bondée d’une foule bigarrée et bruyante.
Au moment où le garçon m’a apporté mon repas, j’ai aperçu une jeune femme, jolie blonde décolorée au corps légèrement potelé assise non loin de moi. Vêtue d’une jupe courte en toile légère et d’un caraco de couleur vive largement décolleté, elle ne tenait pas en place sur sa chaise.
Elle n’arrêtait pas de croiser et décroiser ses jambes en faisant remonter sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses ou encore quand elle ouvrait largement le compas de ses jambes je pouvais voir jusqu’au slip. Savait-elle qu’elle offrait cette vue à plusieurs personnes ? J’en profitais et tout en mangeant, je jetais des coups d’œil discrets dans sa direction.
Quelle n’a pas été ma surprise lorsque le garçon est venu pour encaisser sa consommation, elle s’est étirée, en levant les bras de chaque côté de sa tête, elle a fait remonter ses seins jusqu’à ce que les aréoles sortent au dessus du tissu du caraco. Elle ne portait pas de soutien gorge et ses seins, assez volumineux et pour autant que je puisse en juger, un peu flasques, étaient à moitié visibles. Elle ne semblait pas gênée de s’exhiber ainsi devant le garçon et ses voisins de table.
Lorsqu’elle a quitté la terrasse, je l’ai suivie quelques temps du regard puis elle a disparu. Dix minutes plus tard, elle est repassée devant la terrasse et avec un regard effronté, elle m’a dévisagé en faisant coulisser la pointe de sa langue entre ses lèvres d’une manière obscène.
Là j’ai compris que son manège précédent était destiné attirer mes regards sur elle. Elle m’avait dragué d’une manière ostensible. Elle s’est éloignée en de dandinant et en faisant rouler ses hanches dans une des petites ruelles qui descendent de la place vers les quartiers plus récents. J’ai quitté la terrasse de la brasserie et je l’ai suivie à une dizaine de mètres derrière. Soudain, elle a disparu sous un porche d’immeuble. Au moment où j’arrivais à sa hauteur, elle m’attendait en souriant et me dit avec un accent du Québec assez prononcé :• Alors coquin ! Le spectacle t’a plu ? Viens, je vais t’offrir la suite ! Suis-moi !
Nous sommes passés sous le porche et nous avons débouché dans un petit jardin public éclairé par quelques lampadaires. Elle s’est retournée vers moi et elle a dénoué les cordons de son caraco qui est tombé à ses pieds dans l’herbe de la pelouse. Âgée d’une trentaine d’années, pas très grande, elle avait des seins généreux qui tombaient légèrement. Dans sa carnation de blonde, elle avait des aréoles rose foncé avec des bouts peu saillants. Elle a ensuite fait glisser sa jupe sur ses hanches, découvrant un mini string en dentelle blanche dont le cordon épousait ses hanches rebondies :• Alors, je te plais ?
Il aurait fallu être un goujat pour dire le contraire. Avec ses formes pleines, elle ne correspondait certes pas aux canons de la mode actuelle qui prônent toujours la minceur voire la maigreur pour les jeunes femmes mais elle était agréable à regarder et était désirable au point que ma bite était dressée dans mon boxer et faisait une fois encore une belle bosse sur le devant de mon pantalon.
Je n’avais pas encore fait un geste dans sa direction, je la regardais en me demandant quelle allait être la suite. M’emmènerait-elle dans sa chambre ou accepterait-elle de venir au camping avec moi ? C’est elle qui a pris l’initiative. Elle a collé sa main droite sur le devant de mon pantalon pour masser mon sexe encore prisonnier. Avec sa main gauche elle a agacé mes tétons en les griffant de ses ongles longs et acérés. Puis, à genoux devant moi, elle a fait glisser le zip de mon pantalon et le boxer pour prendre mon sexe à deux mains et le glisser entre ses lèvres.
Cette coquine savait s’y prendre pour sucer un sexe mâle ! En quelques mouvements dans sa bouche chaude, ma hampe avait atteint son développement maximum. Elle s’est relevée, m’a tourné le dos et s’est appuyée, les bras sur le socle d’une statue, offrant ainsi la vue de sa croupe large et généreusement fendue sur laquelle elle avait remonté sa jupe. Elle a fait glisser son string en me disant :• Baise-moi vite et fort, j’aime le risque de me faire surprendre en pleine action.
J’ai rapidement couvert d’un préservatif ma queue sortie par la braguette et me glissant entre ses cuisses, j’ai pénétré sa chatte d’une longue poussée jusqu’à être au contact de ses fesses. J’avais devant moi la vue de son dos avec au niveau des reins une magnifique arabesque tatouée dont une des pointes se perdait dans la raie, comme pour indiquer l’entrée. D’une voix un peu vulgaire, elle m’incitait à voix haute :• Oui ! Oui ! Baise-moi fort ! Défonce-moi la chatte ! Bourre-moi ma connasse !
Et je ne me faisais pas prier. Avec de longs mouvements du bassin, j’entrais et je sortais de sa chatte pour mieux la reprendre avec vigueur. A chaque fois, elle émettait un feulement de jeune fauve. Je me suis penché pour saisir un de ses seins dans ma main droite tout en maintenant mon équilibre avec la gauche posée entre ses épaules. Sa poitrine ballotait doucement à chaque poussée que je donnais. Les seins un peu mous pendaient et j’ai réussi à prendre un téton entre deux doigts pour le pincer doucement. Je ne sais pas si elle était sensible de la poitrine mais elle est partie peu après, criant sa jouissance et en s’agitant vivement sur la queue fichée dans sa chatte.
Je n’avais pas encore joui quand d’un mouvement de la croupe, elle m’a fait sortir. En se retournant elle s’est agenouillée devant moi, a retiré le préservatif et embouché à nouveau mon sexe prêt à éclater tellement sa fellation était bonne. C’est ce qu’elle cherchait. Au moment où j’ai senti que j’allais cracher mon sperme, j’ai voulu me retirer mais elle m’a retenu pour que je me vide dans sa bouche.
J’aurais cru qu’elle allait recracher ce que je venais de lui donner mais non ! Elle a tiré la langue pour bien me le montrer puis elle a tout dégluti :• C’est bon ! Il m’en faut une rasade comme cela avant de dormir ! Bonne nuit !
Elle a ramassé ses vêtements et pendant que je me demandais si j’avais rêvé, elle s’est esquivée. D’elle, je ne connais que son prénom : Viviane. J’ai retrouvé ma voiture garée à quelques rues de là et je suis rentré au camping. Le lendemain je prenais la route pour rentrer à Paris.
Au moment où le garçon m’a apporté mon repas, j’ai aperçu une jeune femme, jolie blonde décolorée au corps légèrement potelé assise non loin de moi. Vêtue d’une jupe courte en toile légère et d’un caraco de couleur vive largement décolleté, elle ne tenait pas en place sur sa chaise.
Elle n’arrêtait pas de croiser et décroiser ses jambes en faisant remonter sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses ou encore quand elle ouvrait largement le compas de ses jambes je pouvais voir jusqu’au slip. Savait-elle qu’elle offrait cette vue à plusieurs personnes ? J’en profitais et tout en mangeant, je jetais des coups d’œil discrets dans sa direction.
Quelle n’a pas été ma surprise lorsque le garçon est venu pour encaisser sa consommation, elle s’est étirée, en levant les bras de chaque côté de sa tête, elle a fait remonter ses seins jusqu’à ce que les aréoles sortent au dessus du tissu du caraco. Elle ne portait pas de soutien gorge et ses seins, assez volumineux et pour autant que je puisse en juger, un peu flasques, étaient à moitié visibles. Elle ne semblait pas gênée de s’exhiber ainsi devant le garçon et ses voisins de table.
Lorsqu’elle a quitté la terrasse, je l’ai suivie quelques temps du regard puis elle a disparu. Dix minutes plus tard, elle est repassée devant la terrasse et avec un regard effronté, elle m’a dévisagé en faisant coulisser la pointe de sa langue entre ses lèvres d’une manière obscène.
Là j’ai compris que son manège précédent était destiné attirer mes regards sur elle. Elle m’avait dragué d’une manière ostensible. Elle s’est éloignée en de dandinant et en faisant rouler ses hanches dans une des petites ruelles qui descendent de la place vers les quartiers plus récents. J’ai quitté la terrasse de la brasserie et je l’ai suivie à une dizaine de mètres derrière. Soudain, elle a disparu sous un porche d’immeuble. Au moment où j’arrivais à sa hauteur, elle m’attendait en souriant et me dit avec un accent du Québec assez prononcé :• Alors coquin ! Le spectacle t’a plu ? Viens, je vais t’offrir la suite ! Suis-moi !
Nous sommes passés sous le porche et nous avons débouché dans un petit jardin public éclairé par quelques lampadaires. Elle s’est retournée vers moi et elle a dénoué les cordons de son caraco qui est tombé à ses pieds dans l’herbe de la pelouse. Âgée d’une trentaine d’années, pas très grande, elle avait des seins généreux qui tombaient légèrement. Dans sa carnation de blonde, elle avait des aréoles rose foncé avec des bouts peu saillants. Elle a ensuite fait glisser sa jupe sur ses hanches, découvrant un mini string en dentelle blanche dont le cordon épousait ses hanches rebondies :• Alors, je te plais ?
Il aurait fallu être un goujat pour dire le contraire. Avec ses formes pleines, elle ne correspondait certes pas aux canons de la mode actuelle qui prônent toujours la minceur voire la maigreur pour les jeunes femmes mais elle était agréable à regarder et était désirable au point que ma bite était dressée dans mon boxer et faisait une fois encore une belle bosse sur le devant de mon pantalon.
Je n’avais pas encore fait un geste dans sa direction, je la regardais en me demandant quelle allait être la suite. M’emmènerait-elle dans sa chambre ou accepterait-elle de venir au camping avec moi ? C’est elle qui a pris l’initiative. Elle a collé sa main droite sur le devant de mon pantalon pour masser mon sexe encore prisonnier. Avec sa main gauche elle a agacé mes tétons en les griffant de ses ongles longs et acérés. Puis, à genoux devant moi, elle a fait glisser le zip de mon pantalon et le boxer pour prendre mon sexe à deux mains et le glisser entre ses lèvres.
Cette coquine savait s’y prendre pour sucer un sexe mâle ! En quelques mouvements dans sa bouche chaude, ma hampe avait atteint son développement maximum. Elle s’est relevée, m’a tourné le dos et s’est appuyée, les bras sur le socle d’une statue, offrant ainsi la vue de sa croupe large et généreusement fendue sur laquelle elle avait remonté sa jupe. Elle a fait glisser son string en me disant :• Baise-moi vite et fort, j’aime le risque de me faire surprendre en pleine action.
J’ai rapidement couvert d’un préservatif ma queue sortie par la braguette et me glissant entre ses cuisses, j’ai pénétré sa chatte d’une longue poussée jusqu’à être au contact de ses fesses. J’avais devant moi la vue de son dos avec au niveau des reins une magnifique arabesque tatouée dont une des pointes se perdait dans la raie, comme pour indiquer l’entrée. D’une voix un peu vulgaire, elle m’incitait à voix haute :• Oui ! Oui ! Baise-moi fort ! Défonce-moi la chatte ! Bourre-moi ma connasse !
Et je ne me faisais pas prier. Avec de longs mouvements du bassin, j’entrais et je sortais de sa chatte pour mieux la reprendre avec vigueur. A chaque fois, elle émettait un feulement de jeune fauve. Je me suis penché pour saisir un de ses seins dans ma main droite tout en maintenant mon équilibre avec la gauche posée entre ses épaules. Sa poitrine ballotait doucement à chaque poussée que je donnais. Les seins un peu mous pendaient et j’ai réussi à prendre un téton entre deux doigts pour le pincer doucement. Je ne sais pas si elle était sensible de la poitrine mais elle est partie peu après, criant sa jouissance et en s’agitant vivement sur la queue fichée dans sa chatte.
Je n’avais pas encore joui quand d’un mouvement de la croupe, elle m’a fait sortir. En se retournant elle s’est agenouillée devant moi, a retiré le préservatif et embouché à nouveau mon sexe prêt à éclater tellement sa fellation était bonne. C’est ce qu’elle cherchait. Au moment où j’ai senti que j’allais cracher mon sperme, j’ai voulu me retirer mais elle m’a retenu pour que je me vide dans sa bouche.
J’aurais cru qu’elle allait recracher ce que je venais de lui donner mais non ! Elle a tiré la langue pour bien me le montrer puis elle a tout dégluti :• C’est bon ! Il m’en faut une rasade comme cela avant de dormir ! Bonne nuit !
Elle a ramassé ses vêtements et pendant que je me demandais si j’avais rêvé, elle s’est esquivée. D’elle, je ne connais que son prénom : Viviane. J’ai retrouvé ma voiture garée à quelques rues de là et je suis rentré au camping. Le lendemain je prenais la route pour rentrer à Paris.
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