Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - WE à Deauville

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - WE à Deauville Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - WE à Deauville
Week-end à Deauville.

Moi : Nous nous sommes déjà rencontrés à deux reprises. A ta demande, j’ai réservé une chambre pour le week-end à l’hôtel Ibis de Deauville. D’après le plan il semble bien situé. Je fais confiance à ton choix.
Vendredi en début d’après midi alors que je viens de faire les 350 km de route qui me séparent de toi, je te prends au bas de ton immeuble dans le quartier Montmartre. Après les effusions de nos retrouvailles, nous quittons assez facilement Paris car il est encore tôt dans l’après midi et, devisant gaiement nous faisons la route vers la côte normande.
Nous ne sommes pas particulièrement pressés sur la route et nous arrivons vers 19 heures. Après avoir pris la clé magnétique de notre chambre nous montons nous installer. Nos bagages sont assez légers ce qui facilite notre installation mais un peu ralentie car la moindre occasion, je t’arrête pour t’enlacer et t’embrasser en laissant courir mes mains sur ton corps.
Au travers de ton chemisier et de ton soutien gorge je sens que Tic et Tac, tes deux beaux seins, ne sont pas insensibles à mes caresses. Les tétons sont dardés. Je suis sur qu’ils font au moins un bon centimètre. Tu te frottes à moi comme une chatte en chaleur mais l’un comme l’autre, nous résistons à l’appel des sens. Tu remets un peu d’ordre dans ta coiffure (artistement coiffée ou décoiffée) et nous gagnons le restaurant où nous dînons légèrement.
Malgré notre impatience à nous retrouver dans l’intimité de notre chambre, nous marchons un peu au hasard dans la ville que tu me fais découvrir. C’est vrai que l’avant saison en ce début de printemps est propice à la flânerie. Vers 23 heures nous nous retrouvons comme par miracle devant notre hôtel. Coquine ! Sans que je m’en doute, tu as guidé nos pas pour revenir au point de départ. Nous gagnons rapidement notre chambre, heureusement située au dernier étage et dont la grande baie vitrée donne sur un bassin du port.
Sitôt la porte refermée, je te prends dans mes bras et je te porte sur le lit. Je commence à te déshabiller et dès que ta poitrine est nue, je vais honorer Tic et Tac de mes baisers. Nous achevons de nous dévêtir mutuellement en échangeant de nombreuses caresses. Mon sceptre est dressé, prêt à partir à l’assaut.


DIANE : Mes tétons sont déjà durs, ta queue, elle, déjà dressée comme prête à une inquisition, nos langues se mêlent en un ballet sensuel. Mais j’ai mon idée. En effet, et je te l’avouerai plus tard, je me suis permis de rappeler l’hôtel après ta réservation, pour m’assurer d’un détail concernant la chambre réservée. Je veux un GRAND bain.
Alors, sans dire mot, je me lève et t’entraîne doucement vers la salle de bain. En chemin je n’y résiste pas, je me retourne et, m’agenouillant face à toi, je lèche tendrement ce gland rouge de désir mais je ne m’y attarde pas. Je repars aussitôt vers le bain. J’entre dedans, tu restes un instant devant à me regarder alors que, me saisissant du tuyau de douche, je fais couler l’eau sur ma gorge, un filet se concentre entre mes seins puis s’évase sur mes hanches, et se réunit enfin pour inonder ma chatte déjà très gonflée.
Je me retourne alors, et laisse l’eau désormais ruisseler dans mon dos, s’écraser dans le creux de mes reins et se concentrer en un filet serré entre mes fesses. Je cambre pour satisfaire à ta vue et te permettre de deviner, sous l’eau, mon sexe qui gonfle encore. Je suis excitée à mort ! C’est alors que tu t’approches et entre dans la baignoire, me prends doucement la pomme de douche des mains et entreprends de la dévisser. Le jet est maintenant plus concentré mais moins violent.
Je me cambre encore un peu, alors que flattant ma fesse de ta main gauche, tu diriges le jet sur ma chatte que je t’offre volontiers. Comme c’est bon, je ne peux plus désormais quitter ton bâton d’amour des yeux ! Je le sens prêt à l’action. Doucement et fermement, tu t’approches de moi et présentes ton sexe motivé à l’entrée de ma chatte. Je me cambre un peu plus encore, comme c’est bon de m’offrir à toi !
Et immédiatement je sens ton gland envahir ma chatte gourmande ! Une salve de plaisir parcourt mon corps, la mouille mêlée à l’eau rend la pénétration immédiatement profonde. J’entends un doux râle sortir de ta gorge. Comme c’est bon ! Mais tu te ravises et ressors, laissant ma chatte gonflée se tendre encore plus vers ton sexe, comme pour le tenter !
Reviens mon amour, j’ai besoin de toi ! Je reste là haletante, cambrée au maximum, j’attends ta décision :• Viens mon amour, je t’en supplie, reviens !


LUI :• Ne t’inquiète pas ! Je reviens tout de suite !
Je prends rapidement dans mon bagage le petit cadeau acheté à ton intention et je te rejoins dans la salle de bain où l’eau continue de ruisseler sur ton corps. Tu te présentes de dos et l’eau suit les creux de tes reins avant de se perdre entre Boule et Bill, tes globes fessiers et jaillir comme une source entre tes cuisses. Quel spectacle ! Je te le dis :• Ne bouge pas ! Tu vas voir çà va être divin !
Je pose ma main gauche au creux de tes épaules et je t’incite à te courber vers l’avant pour ouvrir la fente de tes fesses. Sachant combien tu es ouverte, je glisse sans peine dans ton petit trou un œuf vibrant dont je garde la télécommande en main. J’arrête l’eau et je te rejoins dans l’immense baignoire et je t’enlace à nouveau, pressant ma bite contre ta chatte. D’un mouvement de hanches en te dressant un peu sur les pieds tu viens t’empaler sur mon sceptre de chair et je commence à te besogner en douceur. Je sais que tu apprécies aussi bien la douceur que les assauts plus virils.
Là, il faut faire attention car le fond de la baignoire est glissant mais je te tiens fermement, un bras passé autour de ta taille, ma main folâtrant sur tes fesses tout en tenant la télécommande que je viens de mettre en route. Tu apprécies : Oh ! Que c’est bon cette sensation, cette vibration dans mon cul !
Je la ressens aussi au travers des parois de ton sexe. J’ai eu une bonne idée en faisant cette emplette. Elle va compléter ta collection de jouets qui, je l’ai découvert lors de notre première rencontre, est assez fournie. Excités par cette expérience, notre jouissance ne tarde pas à nous envahir et je déverse un flot de sperme en toi. Tu ronronnes comme une belle chatte amoureuse et satisfaite.
Nous sortons de la baignoire et, revêtus des peignoirs mis à notre disposition par l’hôtel, nous allons continuer nos ébats sur le grand lit. Tu as toujours l’œuf vibrant dans ton petit trou mais il est arrêté.
Nous nous embrassons et nous nous caressons longuement. Mon goût pour tes beaux globes fait que ce sont eux qui bénéficient le plus de mes caresses. Les tiennes vont aussi bien vers ma bite que vers mes tétons dont tu as deviné qu’ils étaient sensibles eux aussi. Heureusement que la chambre est correctement chauffée car nous sommes déjà nus depuis longtemps. Soudain, tu te retournes et tu viens gober mon gland.
Tes cuisses sont de part et d’autre de ma tête et j’ai la vision de ta chatte toute dépourvue de poils (j’aime), de tes grandes lèvres entrouvertes qui laissent apercevoir les petites et ton clitoris qui est sorti de son capuchon. Comme un gros chat que je suis, je lape ton sexe, tantôt ma langue à plat, tantôt enroulée pour la faire pénétrer dans ton conin.
J’ai remis la télécommande en route. Je l’avais programmée avec des cycles de vibrations fortes et d’autres plus douces que tu as déjà éprouvées dans la salle de bain. Là, tu ne tardes pas à manifester à nouveau ton plaisir et tu le laisses éclater, inondant ma bouche de ta cyprine (à peine fontaine ? tu serais-tu retenue ? oui je pense car le lit aurait été souillé !) Je n’ai pas encore joui mais tu sens que ce n’est pas loin ! Tu te retournes et comme lors de notre rencontre à l’hôtel à Paris, tu viens me chevaucher en amazone.
Ma bite dressée va se perdre dans ta grotte d’amour et tu commences à me travailler par un lent mouvement de va-et-vient doublé de l’action de tes muscles intimes. Je ne peux m’empêcher d’aller titiller les tétons de Tic et Tac. Tu apprécies et moi j’adore tes beaux seins ronds et généreux. Je ne sais combien de temps dure cette étreinte mais mon sperme s’écoule en toi une nouvelle fois et là c’est ensemble que nous jouissons, mon sexe fiché au fond du tien et l’œuf vibrant dans ton cul. Tu es prise de partout !
En peu de temps, je t’ai fait l’amour deux fois ! Et je n’en suis pas encore rassasié. Mais nous nous glissons dans les draps et tu viens te blottir contre moi en disant combien tu es bien avec moi…Quel aveu ! Je te réponds que moi aussi, je suis bien avec toi. J’aime notre complicité sans complication. Nous savons ce que nous recherchons : uniquement la satisfaction d’un irrésistible besoin sexuel et te sachant libertine, je sais que tu ne caches rien à Hervé. C’est d’ailleurs mieux ainsi !
Tant que nous en aurons envie, nous profiterons de notre temps libre et des opportunités diverses pour de belles escapades amoureuses. La fatigue de la route, nos joutes amoureuses, l’heure tardive ont raison de nous. C’est dans le bras l’un de l’autre que nous nous endormons.
Le matin, le soleil est déjà haut quand nous sortons de la torpeur de la nuit. Nous ne nous sommes pas désunis dans notre sommeil. Tu es encore dans mes bras dans une position quasi inchangée, Tic et Tac pressés contre mon torse, tes longs cheveux blonds masquant une partie de ton visage, nos jambes mêlées. Tous les deux nous avons faim ! Mais de quoi avons-nous faim ? D’un petit déjeuner bien reconstituant ou de nouvelles caresses, prélude à une nouvelle joute amoureuse ?
Tout d’abord reconstituer nos forces : Je commande un solide petit déjeuner car à quelle heure allons-nous déjeuner ? Nous sommes encore dans le lit quand la serveuse nous apporte la table roulante sur laquelle trônent diverses bonnes choses. Nous prenons notre temps et tout en bavardant, en nous confiant les petits secrets de notre vie, nous arrivons aux alentours de 11 heures du matin. L’un comme l’autre nous avons besoin d’une bonne douche. Elle va nous rendre du tonus et éliminer les traces de nos ébats de la veille.
Mais j’ai une idée folle en tête ! Hier soir la douche était là pour nous mettre en condition. Là, c’est moi qui prends les choses en main (si je puis dire). Tu as relevé tes cheveux pour éviter de trop les mouiller. Alors que tu te glisses sous la douche, je t’y rejoins et je commence à te laver, faisant ruisseler sur ton corps magnifique des flots de mousse parfumée.
Et tu en fais autant avec moi ! Cette douche mutuelle est de nouveau l’occasion d’échanger de multiples caresses. J’ai encore envie de toi ! Mon sceptre de chair en témoigne : il est dressé vers toi comme un I. Nous nous séchons rapidement et une fois encore le lit nous accueille…

DIANE : Humm ! Ma peau est douce et délicatement parfumée de cette mousse soyeuse dont tu as couvert mon corps avec cette tendresse que désormais je te connais bien. J’ai envie de m’abandonner totalement au service de ton plaisir. Je sais déjà que tu me le rendras bien !
Je commence à adorer que tu prennes les choses en mains lors de nos ébats et tu fais ça avec grand art. Je m’étends sur le lit et ondule en offrant à ta vue tantôt mes fesses, tantôt mes seins. Je roule sur le dos comme une chatte, m’étire, me cambre. Je vois dans ton regard une envie qui se retransmet presque aussitôt sur ton bâton d’amour.
Je me sens mouiller rien qu’à te voir approcher de moi. Tu t’assoies au bord du lit, saisis mes chevilles et les écartes d’un mouvement précis et puissant ! De toute manière je n’ai aucune envie de te résister. Une goutte de mouille sourd déjà de ma chatte, ce que tu as très bien vu. De ta voix calme, douce et sereine, tu m’ordonnes alors de ne pas bouger.
J’obtempère et reste là, allongée sur le dos, les jambes écartées. De ton index expert, tu viens écraser cette goutte de mouille sur mon clitoris. J’écarte au maximum les cuisses pour que ton accès y soit plus facile : l’effet immédiat est que ton doigt entier est gluant de mon désir !
Avec une infinie tendresse, tu décides d’enfoncer ce doigt doucement dans mon vagin. J’en ronronne et je perds je contrôle de mes hanches.et c’est toi désormais, qui, du bout de ton doigt, en diriges tous les effets. Je me soumets !
Saisissant les ceintures de nos peignoirs tu enlaces alors mes poignets et les attaches aux boules qui ornent la tête de lit. Je me retrouve attachée sur le dos et toujours les jambes écartées en grand.
Oh mon dieu ! Je sens ma chatte dégouliner à présent. Rien ne t’échappe, je le sais, tu me regardes et vois rien qu’a mes yeux ce que je ressens, puis tu te lèves, et reviens aussitôt avec cet œuf vibrant qui m’a fait tant de bien déjà. Tu le frottes sur mon sexe gonflé et voilà que tu le mets en marche. Il vibre sur mon bourgeon d’amour… wouaaahhhh …. Sublime, puis tu le promènes sur mon corps jusqu’aux tétons. Humm ! Ils sont désormais archi durs et tu ne résistes pas à les taquiner de ta langue, à les mordiller. Je n’y tiens plus, je m’entends te dire alors dans un souffle :Mon amour. J’ai envie de toi !
Me remontant alors énergiquement les jambes en l’air, tu plonges l’œuf vibrant encore dans mon cul qui appelle, déjà tout dilaté et mouillé… wouaaahhhh… c’est délicieux… et le laissant là, tu enfonces d’un coup tout ton sexe hyper bandé dans ma chatte détrempée… Raaaaahh !!!
L’effet est immédiat… un premier jet de cyprine arrive instantanément, et, se heurtant à ton sexe dur, le contourne et dégouline sur mes cuisses et entre mes fesses. Mon amour... Tu te retires alors, me détachant, tu me retournes de manière à ce que je me retrouve le cul bien en l’air et la tête sur le lit … Je m’offre à toi chéri… Que feras tu de moi ? Je suis à toi !


MOI : Oui ! Tu es à moi ! La position dans laquelle je t’ai mise est une invitation ! Tu sais ce qui t’attends ! Prestement je retire l’œuf vibrant de ta gaine étroite et d’une seule poussée (tu es tellement ouverte et mouillée) j’investis ce pertuis chaud qui m’attire.
Oh ! Que c’est bon ! C’est chaud et doux ! Pour la seconde fois depuis que nous nous sommes rencontrés, je te sodomise. Longuement je vais et viens dans ton fourreau qui est de plus en plus ouvert et humide. Mon plaisir monte, monte, monte ! Le tien aussi ! Entre mes bras, je te sens vibrer, tu ronronnes, manifestant ainsi ton contentement de cette saillie bestiale, je te tiens par les hanches et tes seins aux tétons érigés frottent sur le drap, augmentant ainsi leur réceptivité. Humm ! Que c’est bon ! Soudain, je me tétanise ! Cela part du creux de mes reins jusqu’à la pointe de mon gland et je me vide au fond du préservatif : Ooooh ! Que c’est bon !
Je me retire jusqu’à l’orée de ton sphincter, j’ôte la capote et j’y déverse mon sperme que je repousse dans ton cul pendant que tu jouis une nouvelle fois. Cela bave tout autour ! Tu t’affales sur le ventre, ma bite fichée entre tes fesses. Je pèse de tout mon poids sur toi. Tu ondules des hanches pour bien sentir la pénétration. Oui ! Je suis encore raide en toi mais nous finissons par basculer sur le côté. Nous sommes dans la position de la cuillère, tes globes fessiers moulés contre mon ventre, mon sexe logé entre tes fesses (hélas il est sorti quand nous avons basculé). De ma main gauche je viens me saisir d’un de tes seins que j’englobe, le téton pincé entre deux doigts. Nous restons ainsi de longues minutes, retrouvant progressivement notre calme. Avons-nous sommeillé ?
Nous réalisons qu’il est bientôt 14 heures et que si nous voulons manger au restaurant de l’hôtel, il nous faut nous presser un peu. Nous passons vite fait dans la salle de bain et nous nous habillons. Tu es magnifique, tu portes un ensemble aux teintes mordorées rappelant les couleurs de l’automne mais qui va très bien avec tes yeux verts. La jupe arrive un peu au dessus du genou ce qui laisse apparaître une belle longueur de tes jambes. Aux pieds, tu portes des bottines en daim avec des talons hauts qui font ressortir le galbe de tes mollets et la cambrure de ton dos.
Quelle n’est pas ma fierté lorsque nous entrons dans la salle de restaurant, ton bras droit amoureusement passé sous mon bras gauche. Tu es si attirante que nombre de regards se tournent vers toi, certains admiratifs, d’autres avec une lueur d’envie ou de jalousie. Je ne sais !


DIANE : Bien sur, tu me connais ! Oui, moi qui ai dansé toute ma vie, j’aime attirer les regards. Mais il est une dimension supplémentaire aujourd’hui. J’aime être accrochée à ton bras sure de moi et quelque peu fière de me pavaner près d’un homme élégant, plus âgé que moi…, j’aime laisser deviner à qui le veut bien la reconnaissance que j’ai pour toi de ce plaisir que tu viens de me donner. J’aime savoir que tout le monde peut lire sur mon visage la tendresse et la force avec laquelle tu viens de me faire l’amour.
Et j’aime ça, parce que tout simplement j’en suis fière ! J’aime aussi ton élégance alors que tu tires ma chaise pour me permettre de m’y asseoir. J’aime ton sourire serein alors que tu t’installes en face de moi. J’aime l’empressement du garçon de salle à venir nous saluer. J’aime ta réponse distinguée. Je me contenterai moi de sourire en baissant le menton ! Oui c’est certain, je suis à toi.


MOI : Que t’arrive-t-il ? Toi que je commence à bien connaître, tu baisses les yeux. Toi, l’amante ardente, tu deviens timide ? C’est vrai qu’en y regardant d’un peu plus près, on distingue dans le regard des hommes qui nous entourent une lueur d’envie. De te posséder ou de jalousie à mon encontre ? Moi avec mes 50 ans bien sonnés et toi jeune femme dans la plénitude de la trentaine, nous faisons des envieux !
Je ne vois que toi et sans cesse, je pense au bonheur que tu me donnes. Le repas, rien que de mets succulents et reconstituants, est assez vite expédié. Tu me proposes de me faire découvrir la région.
Nous prenons la route côtière et sans nous presser nous admirons le paysage. C’est vrai que la région est belle sous le soleil printanier. Sur tes indications, nous laissons la voiture en bord de route et nous descendons vers la plage par un beau sentier bien large. Bras dessus, bras dessous, nous marchons lentement en savourant ces merveilleux instants que la vie nous offre. Contre mon bras, je sens la douce chaleur pesante de ton sein droit. Que je suis bien ! Quel sort m’as-tu jeté ? Quel filtre aphrodisiaque m’as-tu fait boire ?
Nous arrivons au bord de l’eau. La mer est étale et les vagues légères viennent se briser sur les galets. Une fois encore, nous profitons de la solitude pour nous enlacer.
Tu te presses contre moi, je sens tes seins contre mon torse. Mes bras autour de toi, les mains à hauteur de tes reins, je colle ton corps contre le mien. Tu ondules des hanches et je sens ton pubis contre le mien qui entreprend un savant massage. Tu te loves contre moi. Tu ronronnes déjà. Tes mains glissent sur mon torse par ma chemise entrouverte. Tu es excitée et ta langue à son tour parcourt ma poitrine, s’attarde sur mes tétons. Tu les lèches d’abord puis les saisis délicatement entre tes dents. Je tressaille sous cette caresse. Je bande. Alors, sans lâcher les tétons sur lesquels tu fais une obsession, tu défais ma ceinture et tu glisses ta main droite sur mon sexe déjà gonflé. Tu le caresses furtivement d’abord … Tu promènes tes doigts agiles de mon gland qui durcit à mes couilles rebondies. Je laisse descendre mes mains jusque sur tes fesses et je te plaque contre moi encore plus fort.
Mon désir de toi se manifeste à nouveau. Insidieusement, je remonte ta jupe et bientôt tu te retrouves le cul à l’air, seul le cordon de ton string le couvre. Coquine, comme d’habitude tu ne portes pas grand-chose pour couvrir cet endroit. Est-ce une invitation. J’ai faim de toi. Je ne suis pas encore rassasié. Je te guide vers un endroit où nous serons un peu plus à l’abri des regards indiscrets (cependant je ne pense pas que nous serions gênés d’être surpris ou observés).
Rapidement tu défais le zipper de mon pantalon et tu libères mon sexe de mon boxer. Tu gobes le gland pour achever ma bandaison. Lorsque je suis à ton goût, tu t’appuies sur un rocher en me tournant le dos. Ta jupe remontée sur tes reins, je ne prends pas le temps de baisser ton string. J’écarte le cordon et, d’une longue poussée lente, je te prends la chatte. Mon ventre collé contre tes fesses, je reste ainsi quelques instants, savourant la douce chaleur de ton fourreau humide. Nous sommes bien ainsi.
Je commence le mouvement alternatif qui progressivement va nous amener au point de non retour. Je sens ma bite de plus en plus dure et longue. Le spasme ne va pas tarder mais je veux encore savourer ces moments. De ton côté, tu exprimes ta satisfaction par des soupirs de plus en plus forts. Pour mieux me sentir, tu roules de la croupe et tu masses mon gland de tes muscles intimes. Ça y est ! Je pars ! Tu le sens et à ton tour, tu exhales ta jouissance. Je déverse un jet de sperme dans ton fourreau en te disant combien c’était bon de te baiser ainsi.
Remettant un peu d’ordre dans nos vêtements, nous nous allongeons au soleil pour bien profiter de ce temps béni qui succède à une belle étreinte amoureuse. Bercés par le bruit des vagues et les chants (pas très mélodieux) des goélands et autres oiseaux de mer, nous savourons ces instants de bonheur. Je me plais à rêver. Et si cela n’était qu’un prélude à quelque chose de plus intense encore et non un intermède de deux personnes avides de sexe ? Non, ce n’est qu’une illusion et nous le savons ! C’est à la nuit tombante que nous regagnons notre hôtel.


MOI : Comme nos vêtements sont quelque peu fripés et pleins de sable, nous passons rapidement sous la douche, qu’une fois encore, nous prenons ensemble. Quelle bonne idée tu as eue d’insister pour que je demande une chambre avec une telle salle de bains.
Coquine, tu devais savoir que cela existait dans cet hôtel. Y serais-tu déjà venue ? Si oui, je n’en suis pas jaloux, je profite sans vergogne de ta connaissance de lieux et je t’en remercie. Nous n’avons pas envie de redescendre au restaurant. Alors, je commande un en-cas – huîtres, saumon fumé et vin d’Alsace (Gewurztraminer vendanges tardives), cela te conviens ? – en attendant, nous plaisantons tout en chahutant un peu ! Je te lutine, allant cueillir un téton dans le décolleté de ta robe légère, flattant ta croupe d’une main insistante descendant jusqu’entre tes fesses. Cela présage une nouvelle soirée bien chaude.
Nous continuons notre repas ainsi, te donnant à manger des morceaux de saumon sur des petits blinis avec de la crème, bref, des jeux d’amants complices, amoureux ardents, qui profitent de la vie. Le vin, frais à point, nous a échauffé les esprits et les sens. Bientôt nous voilà de nouveau nus sur le grand lit.
Tu es en pleine forme. L’air de la mer (et peut-être le vin) a rosi tes pommettes donnant encore plus de luminosité à tes yeux verts. Qu’ils sont beaux ainsi, ourlés de noir, ton visage encadré par tes longs cheveux blonds. Tu te fais chatte, venant te blottir contre moi, frottant lascivement ton corps contre le mien. Tu cherches à faire naître ma vigueur… difficile ce soir. J’ai déjà trop donné ?
Non, je ne pense pas, mais un petit coup de fatigue m’empêche d’arriver à une bandaison satisfaisante. Qu’à cela ne tienne. Il y a d’autres moyens de te satisfaire. Je te demande si tu as tes jouets avec toi : - Oui, je ne voyage jamais sans.
Tu sorts de ton sac de voyage deux beaux godes souples de belle taille, un mauve foncé et un translucide. Waaouuhhhh ! Génial, tout ce qu’il me faut ! Tu te mets sur le dos, écartant les jambes, offrant à ma vue ta vulve déjà suintante de mouille.
Avec le gode translucide, je commence à agacer ton bouton d’amour, je le fais glisser entre tes lèvres roses, le fais pénétrer de quelques centimètres pour le ressortir aussitôt avant de l’enfoncer jusqu’à la garde. Quel spectacle plein de lubricité.
Je te quitte quelques secondes, je cours à la salle de bains et je reviens avec une grande serviette que je plie et glisse sous tes fesses. J’ai une idée qui a germé pendant que je te caressais : je vais faire jaillir la fontaine que tu as retenue à chaque fois.
Une fois installée, tu relèves tes jambes, ouvrant grand le V de tes cuisses en les rabattant le long de ton torse, ouvrant ainsi l’entrée de ton anus déjà déplissé. J’y introduis avec précautions le gros gode mauve mais tu es tellement ouverte et mouillée qu’il entre avec une facilité quelque peu déconcertante.
Tantôt à une main, tantôt à deux pour varier le rythme et la pénétration, je fais aller et venir les bites factices dans tes orifices d’amour. Tu ronronnes de plus en plus fort, tu te tords sous les assauts de ces godes qui occupent très profondément ta chatte et ton cul. Pendant ce temps ma bite a achevé de se relever. C’est de nouveau une flamberge triomphante. Mais je poursuis mon œuvre. Soudain, c’est le jaillissement de ta fontaine. Quel beau spectacle ! Tu portes tes mains sur ta chatte pour freiner le jet et te caresser en même temps.
Je n’en peux plus, je tire vivement la serviette qui est trempée, je la jette sur le sol et d’une poussée violente, je glisse mon sexe dans le tien. Il ne faut pas plus de quelques allers-retours pour que ma jouissance éclate en même temps qu’un second orgasme te tétanise. Tu m’emprisonnes en nouant tes jambes sur mon dos et je reste ainsi de longues minutes en toi en te disant des mots doux et fous à l’oreille. Et nous sombrons dans le sommeil, étroitement imbriqués l’un dans l’autre, éperdus de bonheur et de sensations oh combien merveilleuses.
Hélas! Tout a une fin ! Le lendemain en milieu de matinée nous quittons l’hôtel pour reprendre la route de Paris par le chemin des écoliers. Mais je le sais il y aura d’autres rencontres.

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