Ma vie de libertin - suite - 4ème histoire.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - suite - 4ème histoire.
La découverte du libertinage.
Ma première maitresse.
Durant la période de mariage, j’étais resté sage et fidèle à ma compagne. A 41 ans, veuf depuis près de deux ans, j’élevais seul mes enfants déjà grands avec l’aide d’une femme de ménage qui s’occupait de la maison trois fois par semaine.
Comme chaque vendredi soir en sortant du bureau, j’avais fait le détour par le supermarché du secteur pour y faire les achats pour la semaine à venir. J’étais en train de ranger tout ce que j’avais acheté lorsque j’ai entendu non loin de moi une voix de femme s’exclamer :
• Ah non ! Ce n’est pas vrai comment je vais faire avec deux pneus à plat ?
Je me suis approché pour voir ce que je pouvais faire pour lui venir en aide. Les deux roues du côté gauche de sa voiture n’étaient pas simplement crevées, les pneus étaient lacérés, donc impossibles à réparer avec une simple bombe anti-crevaison. Nous avions deux voitures identiques, la seule option qui était possible était de lui prêter ma roue de secours pour qu’elle puisse regagner son domicile assez proche de la galerie commerciale. Je l’ai aidée à changer ses deux roues et en nous suivant, je l’ai accompagnée jusqu’à chez elle.
Arrivés chez elle, elle m’offrit un pot. Elle habitait un joli appartement dans un immeuble récent édifié au milieu d’un parc arboré. De l’avant dernier étage, on dominait un peu ce quartier de la ville. J’ai téléphoné à mes enfants (ce n’était pas encore l’époque du portable) en arrivant chez Sandrine. Nous avons bavardé un peu pour faire connaissance.
Elle vivait seule la plupart du temps avec sa fille de 16 ans car son mari travaillait sur une plate forme pétrolière au large de l’Ecosse et elle possédait un institut de beauté assez coté dans les beaux quartiers de la ville. Sandrine m’avait expliqué au cours de la conversation qu’elle était d’origine franco libanaise mais qu’elle vivait en France depuis son adolescence.
C’est vrai qu’elle était assez typée. Brune de peau avec des cheveux longs noirs de geai coiffés en chignon, à près de 40 ans, elle avait des formes pleines d’une femme mature. Sous son chemisier un peu échancré, je pouvais voir la naissance des deux seins opulents et elle avait des hanches assez larges. Vers 20 heures, nous nous sommes séparés. Elle ferait réparer ses roues le lendemain et je pourrais venir récupérer la mienne dès le lundi soir.
Le lundi soir, j’ai été retardé par un rendez vous qui s’est prolongé aussi, j’ai appelé Sandrine pour lui dire que je ne pourrais passer qu’après 21 heures au plus tôt. Prévenus eux aussi, mes enfants savaient se débrouiller seuls. Finalement il était plus près de 21 heures 30 quand je suis arrivé chez elle.
Sandrine m’a ouvert le parking souterrain et j’ai rapidement mis en place ma roue de secours. Nous sommes remontés au 6ème étage où je me suis lavé les mains et une nouvelle fois nous avons bavardé de tout et de rien, de son pays natal, de voyages, des enfants et de leurs problèmes, de nos goûts, de notre amour pour le soleil… Sa fille Natacha avait le même âge que ma fille Aline et elles fréquentaient le même lycée mais ne semblaient pas se connaitre, mes deux garçons étaient un peu plus jeunes.
Sandrine trouvait les soirées longues car actuellement sa fille passait la nuit du lundi au mardi chez une copine pour travailler à un devoir de groupe. Assise dans un fauteuil en face de moi, elle avait tantôt une pose alanguie où je voyais ses cuisses entrouvertes jusqu’en haut des bas, tantôt elle se penchait vers moi et là, c’est sa poitrine qui s’offrait à mes regards. Tout cela ne me laissait pas insensible, c’était une femme désirable, en manque de sexe comme moi, sevré depuis le décès de ma compagne. J’avais envie d’elle et elle le savait… et elle m’allumait discrètement.
Je me suis dirigé vers elle et je l’ai fait se lever pour la prendre dans mes bras. Mes lèvres se sont posées sur les siennes pour un doux baiser qui s’est rapidement enflammé. Nos langues se livraient à un duel sensuel et humide, nos mains parcouraient nos corps impatients. Son bassin collé contre le mien, Sandrine s’est mise à onduler comme une danseuse arabe, tournoyant des hanches. Je n’en pouvais plus.
En quelques minutes de ce manège, ma bite était dressée comme un I dans mon slip. Ses mains sont descendues jusqu’à ma taille, ont dégrafé le pantalon et sorti ma queue. Basculant en arrière sur le divan, Sandrine m’a entrainé sur elle en ouvrant largement ses cuisses et remontant sa jupe sous ses fesses. D’une main, j’ai tiré son string sur le côté et d’une violente poussée, je me suis introduit dans sa chatte trempée de mouille.
Au début, je la besognais rapidement mais j’ai ralenti le mouvement, je ne voulais pas partir trop vite et je voulais aussi profiter le plus possible de cette étreinte qui serait peut-être sans lendemain. Un peu plus de trois ans sans baiser, je devais faire attention à ce que mon plaisir n’arrive pas trop vite pour que Sandrine ait le temps de venir elle aussi à la jouissance.
Nous n’avions pas eu le temps d’ôter un quelconque vêtement tellement nous étions pressés de baiser. Au bout de quelques temps, Sandrine a commencé à jouir. Cela a été le signal. J’ai lâché quelques bonnes rasades de sperme au fond de sa chatte. L’un et l’autre nous étions un peu essoufflés tellement la joute avait été violente. Nous sommes restés enlacés de longues minutes, puis Sandrine m’a dit :
• MERCI. Tu as su m’attendre.
Puis elle m’a guidée vers sa chambre où nous nous sommes déshabillés entièrement. C’était effectivement une belle femme mature à la peau ambrée, avec une poitrine lourde mais bien ferme dont les tétons saillaient légèrement au centre d’une aréole brun foncé. Son pubis était dépourvu de toute toison mais à la teinte de la peau, on devinait que, laissée libre de repousser, elle aurait été drue. Sandrine m’expliqua que c’était sa mère qui lui avait rasé la première fois la toison la veille du mariage. Depuis, elle avait continué elle-même, ne voulant pas le faire faire par une de ses employées. Elle se sentait bien ainsi mais peu de femmes étaient dans son cas. Elle n’en voyait que deux ou trois dans son institut qui acceptaient d’avoir le pubis nu...
Nous sommes montés sur le lit. Elle m’a fait coucher sur le dos et en se penchant vers moi, elle a embouché ma bite pour une fellation savante et goulue. Je n’avais jamais été sucé de la sorte par ma femme… J’avais presque oublié la merveilleuse sensation d’avoir la bite dans une bouche chaude et accueillante !
Elle prenait mon sexe le plus loin possible dans sa bouche et le ressortait copieusement enduit de salive puis faisant coulisser sa main droite le long de la hampe, elle n’avait plus que mon gland dans la bouche. Elle le pompait rien qu’en gonflant et dégonflant ses joues. Avec un tel traitement, ma bite n’a pas tardé à se dresser, raide, gorgée de sang et de désir. Sandrine s’est relevée pour se mettre en levrette, les mains appuyées sur le pied du lit, face à un grand miroir. Elle m’offrait ainsi la vue sur ses fesses, sa taille fine et cambrée avec deux fossettes au bas du dos. J’ai toujours aimé particulièrement cette position où l’homme est totalement libre de ses mouvements pour pénétrer sa partenaire.
J’ai placé mes mains de chaque côté de sa taille et je me suis introduit une nouvelle fois dans sa chatte, chaude et inondée de nos sécrétions. Je nous voyais dans la glace et cela était très excitant pour nous deux. Entre ses bras, je voyais ses beaux seins généreux balancer doucement. Là, j’ai pris tout mon temps et je l’ai baisée longuement, faisant monter sa jouissance puis en la laissant repartir plusieurs fois. Je me retenais et lorsque n’en pouvant plus, j’ai accéléré mes mouvements, nous avons atteint la jouissance en même temps. Une nouvelle fois, j’ai jeté au fond de sa chatte quelques belles giclées de sperme. Waaouuuhhh ! Que c’était bon de baiser à nouveau. Nous sommes restés sans nous désunir de longs moments puis quand je suis sorti de sa chatte, elle est venue embrasser ma bite en disant qu’elle lui avait fait du bien.
Nous nous sommes quittés vers minuit et nous avons pris l’habitude de nous retrouver pour baiser presque tous les lundis car en plus, c’était le jour de fermeture de son institut. C’était sans complication, une baise hygiénique juste pour le plaisir. Lorsque je suis venu la troisième fois, nous avons fait l’amour comme des fous, changeant plusieurs fois de position et pour finir je suis venu entre ses seins qu’elle a pressés comme un fourreau autour de ma bite et j’ai éjaculé sur le haut de son buste. C’est là j’ai redécouvert la branlette espagnole dont la belle italienne m’avait gratifié au cours de l’été 1960.
Nus tous les deux sur le lit, nous avons mis quelques temps pour récupérer tout en bavardant. Sandrine m’a alors proposé de me raser le pubis en disant que de cette manière, nous serions à égalité. Je n’avais rien contre car j’ai toujours été avide d’expériences nouvelles et puis comme cela, je serais à l’aise pour faire du naturisme… Nous sommes passés dans la salle de bain où elle avait tout le nécessaire. Assis sur le bord de la baignoire les cuisses largement ouvertes, elle a enduit mon bas ventre d’une abondante mousse onctueuse et, avec un rasoir couteau, elle commencé à enlever les poils en partant du haut du pubis pour arriver au pied de ma bite qui était de nouveau raide. Quand elle a eu fini, elle m’a rincé avec la douche. Il ne restait plus que quelques poils au pied de mon sexe. Elle les a enlevés délicatement avec le rasoir. Elle avait la main légère, à aucun moment j’ai eu peur d’une coupure. Elle m’a séché avec une serviette chaude et m’a passé un baume apaisant pour atténuer le feu du rasoir. Cela faisait une impression bizarre mais agréable de me sentir nu à cet endroit.
Nous sommes revenus dans la chambre où Sandrine a de nouveau pris ma bite en bouche pour bien m’exciter. Quand elle a jugé que j’étais à son goût, elle s’est allongée sur le dos, deux oreillers sous le bas des reins pour relever la fourche de ses cuisses. Elle a mis ses mains derrière ses genoux pour maintenir ses jambes en V elle me dit :
• Viens, baise moi encore une fois !
Je ne demandais pas mieux. Je me suis approché de son sexe et j’ai à nouveau plongé ma bite dans cette chatte humide et chaude. Je la baisais depuis déjà cinq bonnes minutes quand elle m’a demandé de la sodomiser. Je n’avais jamais eu cette expérience et j’allais bien en profiter puisqu’elle s’offrait à moi ! Cette coquine lubrique était prête, son œillet plissé et son antre étaient pleins de gel lubrifiant. Bien que ma bite soit d’une taille assez imposante mais relativement courte, je suis entré avec une grande facilité dans son pertuis étroit. Dès que je l’ai embrochée jusqu’à la garde, j’ai senti ses muscles intimes commencer un massage. A chaque fois que j’arrivais au fond, j’avais l’impression qu’une bouche avide se refermait sur mon gland. Avec un tel traitement ma jouissance est arrivée, soudaine et violente. Lorsque Sandrine a senti les jets de sperme l’inonder, elle a joui à son tour, bramant haut et fort son plaisir.
Une heure plus tard, je regagnais discrètement mon domicile. Cette liaison a duré près de six mois avec une coupure d’un mois quand son mari est venu en congé en avril et pendant les vacances scolaires d’été. Après, nos rencontres se sont espacées pour diverses raisons puis nous avons cessé de nous voir.
Un jour, je l‘ai croisée à la sortie de son institut, elle était avec un jeune homme d’environ 25 ans. Leur attitude était sans équivoque. C’était son nouvel amant. Quant à moi, j’ai eu plusieurs aventures sans lendemain ou presque.
À plusieurs reprises je suis allé dans des camps naturistes sur la côte landaise ou vendéenne pour profiter pleinement du soleil. C’est aussi après ma liaison avec Sandrine que j’ai commencé à fréquenter les clubs échangistes qui commençaient à ouvrir dans certains quartiers de Paris. J’ai gardé le pubis rasé plusieurs années jusqu’à ce que je rencontre celle qui allait être ma seconde femme, qui, malheureusement a également été emportée par la maladie après seulement quelques mois de mariage...
Ma première maitresse.
Durant la période de mariage, j’étais resté sage et fidèle à ma compagne. A 41 ans, veuf depuis près de deux ans, j’élevais seul mes enfants déjà grands avec l’aide d’une femme de ménage qui s’occupait de la maison trois fois par semaine.
Comme chaque vendredi soir en sortant du bureau, j’avais fait le détour par le supermarché du secteur pour y faire les achats pour la semaine à venir. J’étais en train de ranger tout ce que j’avais acheté lorsque j’ai entendu non loin de moi une voix de femme s’exclamer :
• Ah non ! Ce n’est pas vrai comment je vais faire avec deux pneus à plat ?
Je me suis approché pour voir ce que je pouvais faire pour lui venir en aide. Les deux roues du côté gauche de sa voiture n’étaient pas simplement crevées, les pneus étaient lacérés, donc impossibles à réparer avec une simple bombe anti-crevaison. Nous avions deux voitures identiques, la seule option qui était possible était de lui prêter ma roue de secours pour qu’elle puisse regagner son domicile assez proche de la galerie commerciale. Je l’ai aidée à changer ses deux roues et en nous suivant, je l’ai accompagnée jusqu’à chez elle.
Arrivés chez elle, elle m’offrit un pot. Elle habitait un joli appartement dans un immeuble récent édifié au milieu d’un parc arboré. De l’avant dernier étage, on dominait un peu ce quartier de la ville. J’ai téléphoné à mes enfants (ce n’était pas encore l’époque du portable) en arrivant chez Sandrine. Nous avons bavardé un peu pour faire connaissance.
Elle vivait seule la plupart du temps avec sa fille de 16 ans car son mari travaillait sur une plate forme pétrolière au large de l’Ecosse et elle possédait un institut de beauté assez coté dans les beaux quartiers de la ville. Sandrine m’avait expliqué au cours de la conversation qu’elle était d’origine franco libanaise mais qu’elle vivait en France depuis son adolescence.
C’est vrai qu’elle était assez typée. Brune de peau avec des cheveux longs noirs de geai coiffés en chignon, à près de 40 ans, elle avait des formes pleines d’une femme mature. Sous son chemisier un peu échancré, je pouvais voir la naissance des deux seins opulents et elle avait des hanches assez larges. Vers 20 heures, nous nous sommes séparés. Elle ferait réparer ses roues le lendemain et je pourrais venir récupérer la mienne dès le lundi soir.
Le lundi soir, j’ai été retardé par un rendez vous qui s’est prolongé aussi, j’ai appelé Sandrine pour lui dire que je ne pourrais passer qu’après 21 heures au plus tôt. Prévenus eux aussi, mes enfants savaient se débrouiller seuls. Finalement il était plus près de 21 heures 30 quand je suis arrivé chez elle.
Sandrine m’a ouvert le parking souterrain et j’ai rapidement mis en place ma roue de secours. Nous sommes remontés au 6ème étage où je me suis lavé les mains et une nouvelle fois nous avons bavardé de tout et de rien, de son pays natal, de voyages, des enfants et de leurs problèmes, de nos goûts, de notre amour pour le soleil… Sa fille Natacha avait le même âge que ma fille Aline et elles fréquentaient le même lycée mais ne semblaient pas se connaitre, mes deux garçons étaient un peu plus jeunes.
Sandrine trouvait les soirées longues car actuellement sa fille passait la nuit du lundi au mardi chez une copine pour travailler à un devoir de groupe. Assise dans un fauteuil en face de moi, elle avait tantôt une pose alanguie où je voyais ses cuisses entrouvertes jusqu’en haut des bas, tantôt elle se penchait vers moi et là, c’est sa poitrine qui s’offrait à mes regards. Tout cela ne me laissait pas insensible, c’était une femme désirable, en manque de sexe comme moi, sevré depuis le décès de ma compagne. J’avais envie d’elle et elle le savait… et elle m’allumait discrètement.
Je me suis dirigé vers elle et je l’ai fait se lever pour la prendre dans mes bras. Mes lèvres se sont posées sur les siennes pour un doux baiser qui s’est rapidement enflammé. Nos langues se livraient à un duel sensuel et humide, nos mains parcouraient nos corps impatients. Son bassin collé contre le mien, Sandrine s’est mise à onduler comme une danseuse arabe, tournoyant des hanches. Je n’en pouvais plus.
En quelques minutes de ce manège, ma bite était dressée comme un I dans mon slip. Ses mains sont descendues jusqu’à ma taille, ont dégrafé le pantalon et sorti ma queue. Basculant en arrière sur le divan, Sandrine m’a entrainé sur elle en ouvrant largement ses cuisses et remontant sa jupe sous ses fesses. D’une main, j’ai tiré son string sur le côté et d’une violente poussée, je me suis introduit dans sa chatte trempée de mouille.
Au début, je la besognais rapidement mais j’ai ralenti le mouvement, je ne voulais pas partir trop vite et je voulais aussi profiter le plus possible de cette étreinte qui serait peut-être sans lendemain. Un peu plus de trois ans sans baiser, je devais faire attention à ce que mon plaisir n’arrive pas trop vite pour que Sandrine ait le temps de venir elle aussi à la jouissance.
Nous n’avions pas eu le temps d’ôter un quelconque vêtement tellement nous étions pressés de baiser. Au bout de quelques temps, Sandrine a commencé à jouir. Cela a été le signal. J’ai lâché quelques bonnes rasades de sperme au fond de sa chatte. L’un et l’autre nous étions un peu essoufflés tellement la joute avait été violente. Nous sommes restés enlacés de longues minutes, puis Sandrine m’a dit :
• MERCI. Tu as su m’attendre.
Puis elle m’a guidée vers sa chambre où nous nous sommes déshabillés entièrement. C’était effectivement une belle femme mature à la peau ambrée, avec une poitrine lourde mais bien ferme dont les tétons saillaient légèrement au centre d’une aréole brun foncé. Son pubis était dépourvu de toute toison mais à la teinte de la peau, on devinait que, laissée libre de repousser, elle aurait été drue. Sandrine m’expliqua que c’était sa mère qui lui avait rasé la première fois la toison la veille du mariage. Depuis, elle avait continué elle-même, ne voulant pas le faire faire par une de ses employées. Elle se sentait bien ainsi mais peu de femmes étaient dans son cas. Elle n’en voyait que deux ou trois dans son institut qui acceptaient d’avoir le pubis nu...
Nous sommes montés sur le lit. Elle m’a fait coucher sur le dos et en se penchant vers moi, elle a embouché ma bite pour une fellation savante et goulue. Je n’avais jamais été sucé de la sorte par ma femme… J’avais presque oublié la merveilleuse sensation d’avoir la bite dans une bouche chaude et accueillante !
Elle prenait mon sexe le plus loin possible dans sa bouche et le ressortait copieusement enduit de salive puis faisant coulisser sa main droite le long de la hampe, elle n’avait plus que mon gland dans la bouche. Elle le pompait rien qu’en gonflant et dégonflant ses joues. Avec un tel traitement, ma bite n’a pas tardé à se dresser, raide, gorgée de sang et de désir. Sandrine s’est relevée pour se mettre en levrette, les mains appuyées sur le pied du lit, face à un grand miroir. Elle m’offrait ainsi la vue sur ses fesses, sa taille fine et cambrée avec deux fossettes au bas du dos. J’ai toujours aimé particulièrement cette position où l’homme est totalement libre de ses mouvements pour pénétrer sa partenaire.
J’ai placé mes mains de chaque côté de sa taille et je me suis introduit une nouvelle fois dans sa chatte, chaude et inondée de nos sécrétions. Je nous voyais dans la glace et cela était très excitant pour nous deux. Entre ses bras, je voyais ses beaux seins généreux balancer doucement. Là, j’ai pris tout mon temps et je l’ai baisée longuement, faisant monter sa jouissance puis en la laissant repartir plusieurs fois. Je me retenais et lorsque n’en pouvant plus, j’ai accéléré mes mouvements, nous avons atteint la jouissance en même temps. Une nouvelle fois, j’ai jeté au fond de sa chatte quelques belles giclées de sperme. Waaouuuhhh ! Que c’était bon de baiser à nouveau. Nous sommes restés sans nous désunir de longs moments puis quand je suis sorti de sa chatte, elle est venue embrasser ma bite en disant qu’elle lui avait fait du bien.
Nous nous sommes quittés vers minuit et nous avons pris l’habitude de nous retrouver pour baiser presque tous les lundis car en plus, c’était le jour de fermeture de son institut. C’était sans complication, une baise hygiénique juste pour le plaisir. Lorsque je suis venu la troisième fois, nous avons fait l’amour comme des fous, changeant plusieurs fois de position et pour finir je suis venu entre ses seins qu’elle a pressés comme un fourreau autour de ma bite et j’ai éjaculé sur le haut de son buste. C’est là j’ai redécouvert la branlette espagnole dont la belle italienne m’avait gratifié au cours de l’été 1960.
Nus tous les deux sur le lit, nous avons mis quelques temps pour récupérer tout en bavardant. Sandrine m’a alors proposé de me raser le pubis en disant que de cette manière, nous serions à égalité. Je n’avais rien contre car j’ai toujours été avide d’expériences nouvelles et puis comme cela, je serais à l’aise pour faire du naturisme… Nous sommes passés dans la salle de bain où elle avait tout le nécessaire. Assis sur le bord de la baignoire les cuisses largement ouvertes, elle a enduit mon bas ventre d’une abondante mousse onctueuse et, avec un rasoir couteau, elle commencé à enlever les poils en partant du haut du pubis pour arriver au pied de ma bite qui était de nouveau raide. Quand elle a eu fini, elle m’a rincé avec la douche. Il ne restait plus que quelques poils au pied de mon sexe. Elle les a enlevés délicatement avec le rasoir. Elle avait la main légère, à aucun moment j’ai eu peur d’une coupure. Elle m’a séché avec une serviette chaude et m’a passé un baume apaisant pour atténuer le feu du rasoir. Cela faisait une impression bizarre mais agréable de me sentir nu à cet endroit.
Nous sommes revenus dans la chambre où Sandrine a de nouveau pris ma bite en bouche pour bien m’exciter. Quand elle a jugé que j’étais à son goût, elle s’est allongée sur le dos, deux oreillers sous le bas des reins pour relever la fourche de ses cuisses. Elle a mis ses mains derrière ses genoux pour maintenir ses jambes en V elle me dit :
• Viens, baise moi encore une fois !
Je ne demandais pas mieux. Je me suis approché de son sexe et j’ai à nouveau plongé ma bite dans cette chatte humide et chaude. Je la baisais depuis déjà cinq bonnes minutes quand elle m’a demandé de la sodomiser. Je n’avais jamais eu cette expérience et j’allais bien en profiter puisqu’elle s’offrait à moi ! Cette coquine lubrique était prête, son œillet plissé et son antre étaient pleins de gel lubrifiant. Bien que ma bite soit d’une taille assez imposante mais relativement courte, je suis entré avec une grande facilité dans son pertuis étroit. Dès que je l’ai embrochée jusqu’à la garde, j’ai senti ses muscles intimes commencer un massage. A chaque fois que j’arrivais au fond, j’avais l’impression qu’une bouche avide se refermait sur mon gland. Avec un tel traitement ma jouissance est arrivée, soudaine et violente. Lorsque Sandrine a senti les jets de sperme l’inonder, elle a joui à son tour, bramant haut et fort son plaisir.
Une heure plus tard, je regagnais discrètement mon domicile. Cette liaison a duré près de six mois avec une coupure d’un mois quand son mari est venu en congé en avril et pendant les vacances scolaires d’été. Après, nos rencontres se sont espacées pour diverses raisons puis nous avons cessé de nous voir.
Un jour, je l‘ai croisée à la sortie de son institut, elle était avec un jeune homme d’environ 25 ans. Leur attitude était sans équivoque. C’était son nouvel amant. Quant à moi, j’ai eu plusieurs aventures sans lendemain ou presque.
À plusieurs reprises je suis allé dans des camps naturistes sur la côte landaise ou vendéenne pour profiter pleinement du soleil. C’est aussi après ma liaison avec Sandrine que j’ai commencé à fréquenter les clubs échangistes qui commençaient à ouvrir dans certains quartiers de Paris. J’ai gardé le pubis rasé plusieurs années jusqu’à ce que je rencontre celle qui allait être ma seconde femme, qui, malheureusement a également été emportée par la maladie après seulement quelques mois de mariage...
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