Ma vie de libertin - suite - 5ème histoire.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - suite - 5ème histoire.
La mère et la fille.
Au début des années 1980, c’était les prémices de la multiplication de ces clubs coquins après les théâtres érotiques qui depuis quelques années se développaient dans les quartiers chaudes de certaines villes.
A un peu plus de 40 ans, j’avais des goûts simples et la fréquentation des clubs me permettait de baiser sans complications… Les femmes plus ou moins jeunes qui y allaient ne s’embarrassaient pas non plus ! Elles étaient là pour la même chose ! Baiser tout en s’éclatant.
Cette histoire est une des premières aventures qui a duré un peu plus qu’une soirée… mais je conserve de la brève liaison que j’ai eue avec Martine, d’excellents souvenirs et une envie que je n’ai pas pu assouvir. Je l’ai rencontrée dans un des clubs du centre de Paris dans lesquels j’avais mes habitudes depuis quelques mois. Martine était une jolie femme (une « couguar » comme on les appelle maintenant). Sensiblement du même âge que moi, grande, avec des formes bien arrondies, elle avait une poitrine opulente comme je les aime, avec des tétons proéminents et des globes d’un blanc laiteux avec de fines veines bleutées. Une taille étroite toujours ceinte d’une chaîne en or, des hanches larges et des fesses rondes bien galbées lui donnaient une jolie silhouette. Elle avait des yeux gris avec des rides d’expression, un nez un peu large et des lèvres qui appelaient le baiser et dont elle savait se servir pour sucer les bites qui s’offraient à elles. De longs cheveux gris cendré descendaient jusqu’au milieu du dos, bref une belle femme qui était avide de sexe…
Le premier soir où nous nous sommes rencontrés, elle était au milieu d’un groupe de trois hommes d’une trentaine d’années et d’une femme dans une des salles du club. J’avais joué les voyeurs, regardant comment elle se faisait prendre en double pénétration après que la femme ait préparé son anus par une série de baisers plus ou moins profonds et des manœuvres digitales. Le troisième homme était dans sa bouche et la femme se caressait le minou en les matant elle aussi. C’était chaud ! En effet, son sodomite et celui qu’elle suçait sont venus cracher leur jouissance sur son dos pendant que celui qui lui prenait la chatte jouissait.
J’en avais assez vu et j’étais suffisamment excité par le spectacle que ce groupe m’avait offert si bien que j’ai coincé une jeunette dans le jacuzzi et je l’ai baisée en levrette, à moitié dans l’eau… Je l’avais remarquée au bar lorsque j’étais arrivé et elle m’avait attiré aussitôt. Nous nous sommes séparés rapidement et errant dans les différents salons, j’ai retrouvé Martine avec qui j’ai plaisanté en la félicitant de sa performance ! Cette coquine m’a dit alors :
• Je n’ai pas fini ma soirée ! J’en veux encore !
• OK ! Si un vieux te convient, je suis ton homme !
Elle avec un sourire très coquin elle a apprécié :
• Pas de problème ! A ce que je vois, une bite bien trapue mais pas trop longue, çà va être bon !
C’est vrai que depuis que j’étais sorti du jacuzzi, j’étais nu, retrouvant dans le club mes habitudes de nudité. Il n’y avait pas de soleil, mais cela ne me gênait pas… et je n’étais pas le seul à déambuler dans le plus simple appareil. Nous avions envie d’être seuls aussi avons-nous cherché une alcôve qui soit libre pour nous y réfugier.
En fait, il s’agissait de celle où il y a deux fauteuils club et cuir qui font face à une sorte de siège avec des étriers, un siège un peu semblable à celui des gynécologues mais rembourré aux bons endroits pour être confortable. Ce siège a des utilisations variées ! Une femme peut s’y masturber à son aise devant les voyeurs assis dans les fauteuils, elle peut aussi se faire baiser, l’homme debout entre ses cuisses largement ouvertes… Mais nous ne l’avons pas utilisé, préférant un des vastes fauteuils où je me suis installé, Martine en travers de mes cuisses pour nous embrasser et nous cajoler jusqu’à ce que ma bite soit au maximum de sa bandaison.
Martine s’est placée d’elle-même en levrette, à genoux sur l’assise d’un des fauteuils et les bras en appui sur le haut du dossier. J’avais une vue imprenable sur ses fesses très fendues avec quelques poils qui folâtraient dans la raie et sa taille étroite bien marquée avec deux fossettes à la hauteur des reins. Elle avait encore le sphincter un peu dilaté de la double pénétration qu’elle avait subie quelques temps plus tôt, mais la prendre par la porte de service ne m’intéressait pas !
Ce que je voulais, c’est la baiser normalement, comme j’aime ! La levrette a toujours été une de mes positions préférée et là, je n’allais pas laisser passer cette opportunité de prendre cette belle femme dans la plénitude de ses 40 ans, une femme pour autant que j’en ai jugé, très chaude, ardente baiseuse. J’ai pris un préservatif se trouvant sur une petite table et dès que j’ai été couvert, j’ai glissé ma bite entre les cuisses de la belle, allant et venant sur sa fente humide avant de l’embrocher d’un coup sec qui a fait claquer mes cuisses contre son cul. Waouh ! Qu’elle était chaude ! Je sentais la chaleur de sa chatte au travers du préservatif et elle savait se servir des ses muscles intimes qui malaxaient mon gland chaque fois que j’arrivais tout au fond.
Même si j’avais déjà baisé quelques temps auparavant, là, je savourais et je voulais profiter le plus possible de cette quadra appétissante. Si je ne dédaigne pas faire l’amour avec une femme bien plus jeune, à mon âge, il est préférable de tomber sur une femelle expérimentée, suffisamment patiente pour accepter une montée plus progressive de la jouissance pour bien s’éclater.
Mes mains autour de sa taille, j’allais et venais dans sa chatte, parfois doucement, parfois plus vite et d’une manière plus virile en faisant claquer mon ventre contre ses belles fesses bien rondes qui se logeaient dans le creux de l’aine. Tantôt Martine inclinait sa tête vers l’avant comme pour regarder par en dessous les va-et-vient de ma bite dans son vagin, tantôt elle la relevait et en la faisant tourner dans tous les sens, elle balayait son dos de ses longs cheveux ! C’était très érotique et très stimulant à la fois ! On aurait dit, une cavale en colère alors qu’elle savourait tout autant que moi ce que nous faisions.
Je sentais la jouissance monter doucement dans mes reins et je crois que cela devait être la même chose pour Martine qui se ruait de plus en plus fort au devant de la pénétration de mon sexe. Je ne me retenais plus et je copulais de plus en plus vite si bien que soudain, je me suis lâché au fond de la capote, remplissant le bout de plusieurs jets généreux, et là, c’est Martine qui a joui à son tour ! De me sentir gicler au fond de sa chatte, elle s’est mise à jouir, poussant un feulement rauque, expression de son plaisir.
Quand nous nous sommes désunis, elle s’est tournée vers moi en disant :
• Tu me fais un sacré coquin ! Je t’ai vu baiser vite fait avec une jeunette mais là, tu as su m’emmener au 7ème ciel. Tu m’as baisée comme j’aime !
• Tant mieux ! C’était aussi très bon pour moi ! Je peux te retourner le compliment : tu es un bon coup !
Après nous être essuyé le sexe, nous avons trouvé deux paréos que nous avons noués autour de notre taille et nous sommes allés au bar où nous avons pris un pot tout en bavardant. L’un et l’autre, nous étions libres de toute attache sentimentale et nous avons convenu de nous revoir pour d’autres sorties en club. L’un et l’autre, nous savions que ces soirs là, nous n’aurions pas d’exclusive et cela ne nous gênait pas ! Nous serions là pour baiser, ensemble ou séparément avec des partenaires de rencontre… Puis nos relations ont évolué. Martine a accepté de venir finir la nuit chez moi et au moins une fois par semaine, elle venait désormais me retrouver pour passer la nuit et nous ne nous privions pas de nous envoyer en l’air… pour notre plus grande satisfaction d’autant quil ne nous était pas nécessaire de nous protéger...
Cela a duré jusqu’aux vacances estivales. La dernière fois où nous sommes sortis en club, Martine est arrivée avec un jeune couple à plus de minuit. Je l’avais attendue depuis près d’une heure. Elle s’est excusée de son retard et m’a présenté sa fille Marina et Serge, son copain du moment :
• Ces deux coquins avaient envie de découvrir le libertinage ! Quoi de mieux qu’une première sortie en club avec des personnes qu’on connait ?
• Je suis tout à fait d’accord… Quand on connait les us et coutumes des lieux c’est plus facile de s’adapter !
Nous avons pris un pot tous les quatre au bar avant de déambuler en couple dans les divers locaux où les activités coquines étaient bien lancées en ce samedi soir ! Martine avait glissé son bras sous celui de Serge et j’étais avec Marina. Cette dernière ressemblait beaucoup à sa mère, les mêmes cheveux noirs longs et ondulés naturellement, le même visage ovale éclairé par des grands yeux bleu foncé, des lèvres pulpeuses, qui si elles étaient aussi bonnes que celles de Martine devaient bien sucer ! Aussi grandes l’une que l’autre, la seule différence résidait dans les formes qui étaient plus menues : une jolie poitrine se devinait sous le haut de la robe bustier qui, largement fendu laissait voir des hanches rondes assez peu marquées sous la taille.
Quand nous avons eu terminé notre visite des lieux, nous nous sommes séparés. Avec Martine, nous sommes allés dans le coin balnéo où, après nous être déshabillés entièrement, nous nous sommes glissés dans un jacuzzi. Nous avons été rejoints par un homme d’une trentaine d’années et chacun d’un côté de Martine, nous avons entrepris de la caresser, l’un s’occupait de la poitrine pendant que l’autre fourrageait dans la fourche des cuisses parcourue par les bulles et les remous du bassin. Martine masturbait doucement nos membres qui bandaient déjà bien. Soudain, elle s’est redressée et elle est sortie du bassin pour aller s’allonger sur un des matelas de plage étendus à proximité en nous disant :
• Venez ! Rejoignez-moi !
Comment résister à pareille invitation ? Martine avait envie d’avoir deux hommes pour la contenter, et bien, c’est ce que nous avons fait ! Je la savais être une adepte des partenaires multiples. Pendant que Manuel, notre compagnon lui faisait un cunnilingus, Martine me suçait comme elle sait si bien le faire. Puis, elle a fait coucher Manuel sur le dos, la bite dressée comme un mat. Elle a couvert ce sexe long et fin avec un gland proéminent et s’est empalée le cul sur ce sceptre de chair en me disant de la prendre par devant !
Je me suis placé entre ses cuisses et celles de Manuel et je me suis introduit dans sa chatte accueillante ! Elle était bouillante et humide si bien que j’ai entré sans difficulté ma queue courte et trapue. Nous avons accordé nos mouvements jusqu’à ce que tous les trois nous partions dans une jouissance de folie qui nous a arraché des grognements de plaisir.
Manuel nous a quittés rapidement en nous disant qu’il allait retrouver sa femme qui devait avoir terminé son premier gang bang !
Quand j’ai dit à Martine que je me ferais bien sa fille, elle m’a rétorqué que cela m’étonnerait qu’elle accepte car elle n’aimait que les jeunes hommes et qu’elle était raide dingue de son homme. Bref, je suis resté sur ma faim et après les vacances, je n’ai plus revu Martine et dans le club que nous fréquentions habituellement, personne n’avait de ses nouvelles…
Puis, j’ai découvert d’autres clubs échangistes dans Paris… A cette époque, ils n’étaient pas encore très nombreux.
Au début des années 1980, c’était les prémices de la multiplication de ces clubs coquins après les théâtres érotiques qui depuis quelques années se développaient dans les quartiers chaudes de certaines villes.
A un peu plus de 40 ans, j’avais des goûts simples et la fréquentation des clubs me permettait de baiser sans complications… Les femmes plus ou moins jeunes qui y allaient ne s’embarrassaient pas non plus ! Elles étaient là pour la même chose ! Baiser tout en s’éclatant.
Cette histoire est une des premières aventures qui a duré un peu plus qu’une soirée… mais je conserve de la brève liaison que j’ai eue avec Martine, d’excellents souvenirs et une envie que je n’ai pas pu assouvir. Je l’ai rencontrée dans un des clubs du centre de Paris dans lesquels j’avais mes habitudes depuis quelques mois. Martine était une jolie femme (une « couguar » comme on les appelle maintenant). Sensiblement du même âge que moi, grande, avec des formes bien arrondies, elle avait une poitrine opulente comme je les aime, avec des tétons proéminents et des globes d’un blanc laiteux avec de fines veines bleutées. Une taille étroite toujours ceinte d’une chaîne en or, des hanches larges et des fesses rondes bien galbées lui donnaient une jolie silhouette. Elle avait des yeux gris avec des rides d’expression, un nez un peu large et des lèvres qui appelaient le baiser et dont elle savait se servir pour sucer les bites qui s’offraient à elles. De longs cheveux gris cendré descendaient jusqu’au milieu du dos, bref une belle femme qui était avide de sexe…
Le premier soir où nous nous sommes rencontrés, elle était au milieu d’un groupe de trois hommes d’une trentaine d’années et d’une femme dans une des salles du club. J’avais joué les voyeurs, regardant comment elle se faisait prendre en double pénétration après que la femme ait préparé son anus par une série de baisers plus ou moins profonds et des manœuvres digitales. Le troisième homme était dans sa bouche et la femme se caressait le minou en les matant elle aussi. C’était chaud ! En effet, son sodomite et celui qu’elle suçait sont venus cracher leur jouissance sur son dos pendant que celui qui lui prenait la chatte jouissait.
J’en avais assez vu et j’étais suffisamment excité par le spectacle que ce groupe m’avait offert si bien que j’ai coincé une jeunette dans le jacuzzi et je l’ai baisée en levrette, à moitié dans l’eau… Je l’avais remarquée au bar lorsque j’étais arrivé et elle m’avait attiré aussitôt. Nous nous sommes séparés rapidement et errant dans les différents salons, j’ai retrouvé Martine avec qui j’ai plaisanté en la félicitant de sa performance ! Cette coquine m’a dit alors :
• Je n’ai pas fini ma soirée ! J’en veux encore !
• OK ! Si un vieux te convient, je suis ton homme !
Elle avec un sourire très coquin elle a apprécié :
• Pas de problème ! A ce que je vois, une bite bien trapue mais pas trop longue, çà va être bon !
C’est vrai que depuis que j’étais sorti du jacuzzi, j’étais nu, retrouvant dans le club mes habitudes de nudité. Il n’y avait pas de soleil, mais cela ne me gênait pas… et je n’étais pas le seul à déambuler dans le plus simple appareil. Nous avions envie d’être seuls aussi avons-nous cherché une alcôve qui soit libre pour nous y réfugier.
En fait, il s’agissait de celle où il y a deux fauteuils club et cuir qui font face à une sorte de siège avec des étriers, un siège un peu semblable à celui des gynécologues mais rembourré aux bons endroits pour être confortable. Ce siège a des utilisations variées ! Une femme peut s’y masturber à son aise devant les voyeurs assis dans les fauteuils, elle peut aussi se faire baiser, l’homme debout entre ses cuisses largement ouvertes… Mais nous ne l’avons pas utilisé, préférant un des vastes fauteuils où je me suis installé, Martine en travers de mes cuisses pour nous embrasser et nous cajoler jusqu’à ce que ma bite soit au maximum de sa bandaison.
Martine s’est placée d’elle-même en levrette, à genoux sur l’assise d’un des fauteuils et les bras en appui sur le haut du dossier. J’avais une vue imprenable sur ses fesses très fendues avec quelques poils qui folâtraient dans la raie et sa taille étroite bien marquée avec deux fossettes à la hauteur des reins. Elle avait encore le sphincter un peu dilaté de la double pénétration qu’elle avait subie quelques temps plus tôt, mais la prendre par la porte de service ne m’intéressait pas !
Ce que je voulais, c’est la baiser normalement, comme j’aime ! La levrette a toujours été une de mes positions préférée et là, je n’allais pas laisser passer cette opportunité de prendre cette belle femme dans la plénitude de ses 40 ans, une femme pour autant que j’en ai jugé, très chaude, ardente baiseuse. J’ai pris un préservatif se trouvant sur une petite table et dès que j’ai été couvert, j’ai glissé ma bite entre les cuisses de la belle, allant et venant sur sa fente humide avant de l’embrocher d’un coup sec qui a fait claquer mes cuisses contre son cul. Waouh ! Qu’elle était chaude ! Je sentais la chaleur de sa chatte au travers du préservatif et elle savait se servir des ses muscles intimes qui malaxaient mon gland chaque fois que j’arrivais tout au fond.
Même si j’avais déjà baisé quelques temps auparavant, là, je savourais et je voulais profiter le plus possible de cette quadra appétissante. Si je ne dédaigne pas faire l’amour avec une femme bien plus jeune, à mon âge, il est préférable de tomber sur une femelle expérimentée, suffisamment patiente pour accepter une montée plus progressive de la jouissance pour bien s’éclater.
Mes mains autour de sa taille, j’allais et venais dans sa chatte, parfois doucement, parfois plus vite et d’une manière plus virile en faisant claquer mon ventre contre ses belles fesses bien rondes qui se logeaient dans le creux de l’aine. Tantôt Martine inclinait sa tête vers l’avant comme pour regarder par en dessous les va-et-vient de ma bite dans son vagin, tantôt elle la relevait et en la faisant tourner dans tous les sens, elle balayait son dos de ses longs cheveux ! C’était très érotique et très stimulant à la fois ! On aurait dit, une cavale en colère alors qu’elle savourait tout autant que moi ce que nous faisions.
Je sentais la jouissance monter doucement dans mes reins et je crois que cela devait être la même chose pour Martine qui se ruait de plus en plus fort au devant de la pénétration de mon sexe. Je ne me retenais plus et je copulais de plus en plus vite si bien que soudain, je me suis lâché au fond de la capote, remplissant le bout de plusieurs jets généreux, et là, c’est Martine qui a joui à son tour ! De me sentir gicler au fond de sa chatte, elle s’est mise à jouir, poussant un feulement rauque, expression de son plaisir.
Quand nous nous sommes désunis, elle s’est tournée vers moi en disant :
• Tu me fais un sacré coquin ! Je t’ai vu baiser vite fait avec une jeunette mais là, tu as su m’emmener au 7ème ciel. Tu m’as baisée comme j’aime !
• Tant mieux ! C’était aussi très bon pour moi ! Je peux te retourner le compliment : tu es un bon coup !
Après nous être essuyé le sexe, nous avons trouvé deux paréos que nous avons noués autour de notre taille et nous sommes allés au bar où nous avons pris un pot tout en bavardant. L’un et l’autre, nous étions libres de toute attache sentimentale et nous avons convenu de nous revoir pour d’autres sorties en club. L’un et l’autre, nous savions que ces soirs là, nous n’aurions pas d’exclusive et cela ne nous gênait pas ! Nous serions là pour baiser, ensemble ou séparément avec des partenaires de rencontre… Puis nos relations ont évolué. Martine a accepté de venir finir la nuit chez moi et au moins une fois par semaine, elle venait désormais me retrouver pour passer la nuit et nous ne nous privions pas de nous envoyer en l’air… pour notre plus grande satisfaction d’autant quil ne nous était pas nécessaire de nous protéger...
Cela a duré jusqu’aux vacances estivales. La dernière fois où nous sommes sortis en club, Martine est arrivée avec un jeune couple à plus de minuit. Je l’avais attendue depuis près d’une heure. Elle s’est excusée de son retard et m’a présenté sa fille Marina et Serge, son copain du moment :
• Ces deux coquins avaient envie de découvrir le libertinage ! Quoi de mieux qu’une première sortie en club avec des personnes qu’on connait ?
• Je suis tout à fait d’accord… Quand on connait les us et coutumes des lieux c’est plus facile de s’adapter !
Nous avons pris un pot tous les quatre au bar avant de déambuler en couple dans les divers locaux où les activités coquines étaient bien lancées en ce samedi soir ! Martine avait glissé son bras sous celui de Serge et j’étais avec Marina. Cette dernière ressemblait beaucoup à sa mère, les mêmes cheveux noirs longs et ondulés naturellement, le même visage ovale éclairé par des grands yeux bleu foncé, des lèvres pulpeuses, qui si elles étaient aussi bonnes que celles de Martine devaient bien sucer ! Aussi grandes l’une que l’autre, la seule différence résidait dans les formes qui étaient plus menues : une jolie poitrine se devinait sous le haut de la robe bustier qui, largement fendu laissait voir des hanches rondes assez peu marquées sous la taille.
Quand nous avons eu terminé notre visite des lieux, nous nous sommes séparés. Avec Martine, nous sommes allés dans le coin balnéo où, après nous être déshabillés entièrement, nous nous sommes glissés dans un jacuzzi. Nous avons été rejoints par un homme d’une trentaine d’années et chacun d’un côté de Martine, nous avons entrepris de la caresser, l’un s’occupait de la poitrine pendant que l’autre fourrageait dans la fourche des cuisses parcourue par les bulles et les remous du bassin. Martine masturbait doucement nos membres qui bandaient déjà bien. Soudain, elle s’est redressée et elle est sortie du bassin pour aller s’allonger sur un des matelas de plage étendus à proximité en nous disant :
• Venez ! Rejoignez-moi !
Comment résister à pareille invitation ? Martine avait envie d’avoir deux hommes pour la contenter, et bien, c’est ce que nous avons fait ! Je la savais être une adepte des partenaires multiples. Pendant que Manuel, notre compagnon lui faisait un cunnilingus, Martine me suçait comme elle sait si bien le faire. Puis, elle a fait coucher Manuel sur le dos, la bite dressée comme un mat. Elle a couvert ce sexe long et fin avec un gland proéminent et s’est empalée le cul sur ce sceptre de chair en me disant de la prendre par devant !
Je me suis placé entre ses cuisses et celles de Manuel et je me suis introduit dans sa chatte accueillante ! Elle était bouillante et humide si bien que j’ai entré sans difficulté ma queue courte et trapue. Nous avons accordé nos mouvements jusqu’à ce que tous les trois nous partions dans une jouissance de folie qui nous a arraché des grognements de plaisir.
Manuel nous a quittés rapidement en nous disant qu’il allait retrouver sa femme qui devait avoir terminé son premier gang bang !
Quand j’ai dit à Martine que je me ferais bien sa fille, elle m’a rétorqué que cela m’étonnerait qu’elle accepte car elle n’aimait que les jeunes hommes et qu’elle était raide dingue de son homme. Bref, je suis resté sur ma faim et après les vacances, je n’ai plus revu Martine et dans le club que nous fréquentions habituellement, personne n’avait de ses nouvelles…
Puis, j’ai découvert d’autres clubs échangistes dans Paris… A cette époque, ils n’étaient pas encore très nombreux.
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