MA VOISINE

- Par l'auteur HDS Dresser -
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : MA VOISINE Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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MA VOISINE
Rapidement, je suis en couple et nous habitons en appartement. Forcément, il y à toujours une personne qui embête toute la copropriété. Ma femme et cette femme qui habite seule avec ces deux enfants ne peuvent pas se voir. Voilà donc une petite présentation.

Donc, un samedi, ma femme au bureau, rentrant d’une petite course, je croise cette voisine, Chrystelle qui est en difficulté. Ces commissions se sont étalées sur le sol. Je propose de l’aider, un premier refus. J’insiste, et fini par participer au ramassage. Une fois fait, je l’aide à monter l’ensemble chez elle. Surpris, elle me fait entrer et me propose même un café, que j’accepte volontiers. Chrystelle est une femme de 45 ans environ, petite, plutôt bien faite, blonde avec une longue tignasse dont je ne suis pas fan. J’arrive à engager une bonne discussion, malgré nos divergences, surtout que nous sommes que tous les deux, ses enfants étant chez le père pour le week. A un moment, je lui prends la main et la tire vers moi. Elle se retrouve dans mes bras. Nos regards se fixent un long moment. Une des mes mains descend vers ses fesses et les caressent. Elle ne dit rien. Mon autre main commence à caresser les seins, pas un mot, pas un refus. Alors j’entreprends de lui retirer son pull, elle se laisse faire. Je lui fais descendre son jean qu’elle retire aussitôt. La voilà maintenant en sous-vêtement devant moi. Je dégrafe sons soutient gorge et libère ses seins. Ils sont de bonne taille avec de grosses auréoles. Je commence à malaxer l’ensemble, chauffer les tétons qui commencent à durcir. Chrystelle, étant toujours dans l’acceptation, je décide de continuer. Mes mains retirent la petite culotte et je découvre un sexe poilu, taillé, mais poilu. Mes doigts vont très vite tâter l’entrejambe que je découvre bien poilu également, alors je commence à caresser le clitoris de Chrystelle qui se laisse toujours faire. Je pose mes mains sur ses épaules et j’appuis pour la descendre à la hauteur de ma queue. Elle résiste, disant qu’elle n’aime pas sucer.

Ce n’est pas grave tu vas apprendre
Je force un peu plus et la fait mettre à genoux. Je sors ma queue et lui donne à sucer. Timidement, avec sa langue elle lèche ma queue, trop timide pour moi. Je prends ma bite en main et force l’entrée de sa bouche. Elle sert les dents. Je la prends par sa tignasse de merde et la fixe.

Essais de sucer une bonne queue, ouvra ta bouche et suce
Je force encore et j’obtient que ma queue pénètre sa bouche. Lentement je baise sa bouche. Voyant que finalement la situation semble ne plus la déranger, je prends par derrière sa tête et donne les mouvements pour faire une bonne pipe. Chrystelle est partie pour me faire une bonne pipe, même si elle est par moment maladroite, c’est pas trop mal. Je la fais me branler en même temps avec une de ses mains. Nos regards se croisent, elle semble moins apeurée qu’au début, voir commencer à aimer. Chrystelle me suce un sacré long moment, faisant monter le jus. Elle n’aime pas sucer, attends, je vais te donner encore plus. Je sens que je vais lâcher mon jus, à ce moment, je prends sa tête entre mes mains et je jouis dans sa bouche.

-aahh, avale moi ça
Chrystelle tente de se retirer, mais impossible, j’avais prévu ce moment. Je gicle trois ou quatre bonnes doses de sperme dans sa bouche et je l’oblige à bien tout avaler. Je la relève.

Tu vois c’est pas si compliquer de sucer, en plus tu est toute mouilléeEn passant ma main dans son entrecuisse, j’ai constaté qu’elle était bien humide. Elle est donc prête pour plus. Je la tourne sur elle-même. La fenêtre de la cuisine étant ouverte, je lui fais prendre appuis dessus, ainsi elle me présente son cul. Chrystelle, résiste, sans résister, elle tente juste de se tenir le plus éloignée de la fenêtre. Elle ne pourra rester ainsi très longtemps. Je présente ma queue devant son sexe poilu et la pénètre gentiment. Elle est prise sur ton la longueur de ma queue.

Non, attends une capote, mets une capotePas la peine, je suis sûr que t’as pas connu d’autre mec que ton ex et moi je suis clean
Et je commence à la baiser, oui la baiser, c’est tout ce que je voulais d’elle. J’y vais bien à fond, cherchant à aller encore plus loin en elle, au plus profond d’elle. Par moment j’écarte ses fesses ce qui me permets de voir une raie fessière bien garnie en poils cachant une rondelle bien brune, bien large. A chaque pénétration, ses seins se baladent d’avant en arrière. La respiration de Chrystelle est de plus en plus forte, montrant qu’elle prend du plaisir à se faire baiser ainsi. Comme je l’avais présagé, elle est obligée de se rapprocher de la fenêtre, la position actuelle étant quelque peu inconfortable et fatigante. Elle tente de rester au maximum à l’intérieur de la cuisine, mais mes coups sont faits pour qu’elle sorte la tête par la fenêtre.

Tu es au 3eme, personne ne te voit
Je la baise encore et encore, j’ai envie de lui faire voir ce que c’est que de se faire sauter à la sauvage, comme ça. Chrystelle sort de petits cris étouffés de sa bouche. Je la prends bien par les hanches et je la baise ardemment. En quelques minutes je déverse mon jus dans cette chatte de frustrée. Je lui remplie bien la chatte tout en continuant à la prendre. Lorsque je me retire, j’essuis ma queue sur ses fesses et me rhabille. Avant de partir je lui laisse mon 06 au cas ou.

Deux semaines plus tard, samedi matin 9h00, mon téléphone sonne, je décroche.

Salut, c’est Chrystelle, j’ai une fuite, tu peux me dépanner ?

Je monte rapidement. L’accueil est souriant, donc agréable. Je vais voir son problème, qui en réalité n’en ait pas un, je répare en dix minutes et elle me propose un café. J’ai bien compris qu’elle avait envie de se faire sauter.

Tu ne m’aurais pas fait venir pour profiter de ma queue ?
Quoi, mais non, mais….

Je m’approche d’elle et la fixe avec mon regard noir et dominateur. C’est ce que je veux qu’elle voie de moi et uniquement ça, elle n’aura rien d’autre. J’empoigne sa tignasse blonde.

Eh bien tu vas apprendre à aimer sucer une belle tige, déshabilles toi
Chrystelle me regarde, hésite et retire sont haut, laissant apparaître ses seins libres de tout entrave, puis elle retire son short, laissant apparaître son sexe toujours poilu. Je la prends par la main et nous allons dans son salon. Je retire mes vêtements et m’affale dans son canapé. Je fais prendre ma queue en bouche par Chrystelle. Elle me prend avec délicatesse et commence de petites sucions. Elle a encore beaucoup à apprendre celle-là. Je prends forme sous les coups de langue de la voisine. Elle suce déjà mieux, mettant plus de plaisir dans ce qu’elle fait. A un moment, le téléphone sonne.
C’est ma fille je dois répondreNon pour le moment tu t’occupes de ma queue
Je prends le téléphone dans ma main, lui interdisant de répondre. Surprise, elle ne dit rien et reprend sa fellation. Je repousse Chrystelle et la fait mettre à quatre pattes sur son canapé. Son sexe est luisant de mouille, c’est donc que sucer une queue l’excite. Je me présente devant se sexe poilu et la pénètre pour mon plaisir de la dominer. Je démarre des allers retours en elle qui rapidement déclenche des soupirs de plaisir. A ce moment, je prends son téléphone et rappel le dernier numéro appelant, donc sa fille.

Tiens, tu peux parler à ta filleNon, non, arrête, pas maintenant
Je lui tends le smartphone qui déjà sonne. J’entends une voie féminine dire « allo, maman », Chrystelle ne peut plus faire marche arrière, elle est obligée de parler avec sa fille. Pendant ce temps je me fais un malin plaisir continuer à bien la prendre, bien profond, bien fort. La conversation avec sa fille est de ce fait un peu compliquer, ce qui m’encourage à en faire plus. Mes mains viennent caresser, malaxer ses seins, je pince ses tétons, elle se tord, tente d’échapper à ce traitement, mais n’y arrive pas, je maitrise. La conversation avec sa fille devenant compliquée, elle abrège en lui disant qu’elle la rappelle dans l’après-midi. La ligne de téléphone coupée, je la retourne sur le dos pour la prendre encore plus profondément et je laboure ce sexe tout en venant frapper contre son pubis pour lui stimuler le bouton. En quelques minutes, je libère mon jus dans son sexe, la remplissant.

Chrystelle, reste dans cette position, alors sans perdre de temps, un de mes doigts va récolter mon jus qui coule de son intimité et je me dirige vers sa rondelle.

Non non pas çaQuoi ton ex ne t’a jamais sodomisé ?
NonJamais il n’a essayé ?
Juste avec deux ou trois doigts, c’est tout, mais je ne préfère pas
Ne tenant pas compte de ces remarques, un doigt lubrifié de sa mouille et de mon jus lui pénètre le cul. Elle se laisse faire pour le moment. Je tente donc un deuxième doigt, qui lui entre également. Mon sperme coule de son sexe vers son cul, la lubrification se fait facilement, je commence des allers retours dans ce trou. Voyant que Chrystelle ne refuse rien, je tente un troisième doigt.

Arrête, non, tu vas me faire mal, je veux pas
Je lui remonte les fesses, Ma queue déjà bien dure se présente devant l’anus, je crache sur le trou déjà lubrifié et tente de rentrer. Je force, alors que Chrystelle me dit non, mais sans se débattre.

Si tu ne veux pas avoir mal, fais comme si tu allais faire ta crotte, tu vas voir ça va renter
A un moment je la sens pousser et ma queue commence à entrer.

Aie, j’ai malLaisse toi faire et pousse, t’arrête pasJe prends un peu de mon jus qui coule de son sexe pour améliorer la pénétration. Je pousse petit à petit, cette fois elle ne dit rien, je sens qu’elle est stressée, mais je persévère. Finalement ma queue lui prend entièrement son fondement. Sans trop bouger, je tente de petit mouvement. Je sens sa rondelle s’ouvrir doucement. Je sors entièrement et la repénètre à plusieurs reprises pour l’ouvrir un peu plus et ça marche. Les « aie » disparaissent et je la sodomise pour mon plaisir. Je la remets à quatre pattes et lui reprend le fondement. Je me mets à lui baiser le cul et elle semble aimer. Quelques claques sur les fesses pour la stimuler un peu plus et j’utilise son cul encore et encore. Mon plaisir commence à monter, Chrystelle elle ne proteste plus, sa respiration fait comprendre que son plaisir est proche, voir même très proche. En moins de 5 minutes je la sens prendre son plaisir, sa tête s’affalant dans les coussins qui sont sur son canapé. Pour moi, je dois encore lui ramoner le cul, je veux la remplir encore une fois. Pas loin de dix bonnes minutes après, je la remplie de mon jus. Chrystelle s’affale totalement sur le canapé. Je me nettoie la queue, me rhabille et quitte son appartement
Nous nous sommes revue quelques fois, jusqu’au jour ou j’ai décidé de mettre fin à cette aventure.

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