Manon 3
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Manon 3
Un brin déprimé, je passais le balai dans toute ma maison. La nuit dernière, j'avais organisé une fête chez moi, et ça s'était très bien passé. Ce matin, tous mes invités étaient partis, et je faisais le ménage. J'étais un peu triste, car ma soirée ne s'était pas passée comme prévu. Aucun incident d'aucune sorte, certes, mais j'avais espéré passer une soirée quelque peu… épicée. J'avais invité Manon, une belle blonde que j'avais connue au lycée, et avec qui j'avais eu le grand plaisir de coucher une ou deux fois. Manon était depuis très longtemps en couple, mais elle aimait tromper son mec avec moi, m'affirmant que je comblais les lacunes de son amoureux. J'avais espéré remettre le couvert avec elle hier soir, mais elle avait souplement esquivé mes avances. J'en étais un peu triste, et me demandais le pourquoi de la chose. J'étais ainsi en pleine rumination, lorsque quelqu'un toqua à la porte. Surpris, j'allai ouvrir, et fus assez étonné de voir Manon sur le seuil de ma porte. Elle était terriblement sexy, vêtue d'un débardeur bleu au décolleté large, et d'un mini short qui mettait en valeur ses belles jambes et son attrayant postérieur. Manon était grande, presque ma taille, d'un blond éclatant, avait de magnifiques yeux bleus, et avait une poitrine plutôt généreuse, du 90c. Bref, le fait de la voir sur le seuil de ma porte, avait de quoi réjouir…
« Qu'est ce que tu fais là. »
Manon rougit un peu, et se mit à parler vite :
« Il faut qu'on se dépêche, mon mec est dans la voiture devant chez toi. Je lui ai dit que j'avais oublié un truc chez toi, on a pas beaucoup de temps. Je peux entrer ? »
« Euh… dis je un peu étonné. Oui bien sur, entre. »
Je refermai la porte une fois Manon entrée. J'avais toujours du mal à comprendre ce qu'il se passait.
« Excuse moi pour hier. On pouvait pas baiser, j'étais venue avec une amie à mon mec, elle m'aurait balancée si elle nous avait vus... »
« Euh ok. Dis je toujours abasourdi. »
« Bon… On commence ? Faut faire vite, dit Manon. »
Voyant que je restais interdit, Manon décida de couper court à toute discussion, et se jeta sur moi. Elle m'enlaça, et m'embrassa comme une folle, me poussant vers le canapé. Toujours surpris, je lui rendis néanmoins son baiser avec passion et vigueur. Elle me jeta sur le canapé, j'y tombai assis. Souriante, elle retira son mini-short, et son shorty. Puis elle m'arracha pantalon et caleçon sans ménagement. Si j'étais toujours sonné par le tournant pris par les événements, mon sexe en revanche s'était déjà réveille et bien réveillé…
« Désolée, dit elle, mais on a pas le temps de faire des préliminaires. Et je préfère qu'on se déshabille pas totalement, c'est plus sûr. »
Et sur ce, elle s'empala sur ma queue, s'asseyant sur moi. Elle se mit à bondir et rebondir sur mon engin comme une folle, me culbutant contre le canapé. Elle me tenait par les épaules et me regardait dans les yeux en gémissant à pleine voix. Le plaisir m'assaillait par vagues successives, et je ne tardai pas à me tortiller tant c'était bon. Je commençais à réaliser ce qu'il se passait, et je dois dire que je me dis que c'était de la folie. A tout moment le copain de Manon pouvait débarquer et nous voir, mais Manon semblait prendre plaisir dans le danger. Quant à moi, je ne pouvais plus protester de toute façon, le plaisir était trop fort. Il faut dire que Manon ne ménageait pas sa peine. Elle bondissait et rebondissait sur ma queue comme une folle, ou secouait son corps de gauche à droite, ravie qu'elle était de pouvoir me baiser. Elle gémissait à pleine voix, et écrasait sa poitrine contre mon visage, m'excitant encore plus. De temps à autre, elle se penchait sur moi et me mordait le menton, quelle furie ! Elle se mit à me donner de puissants coups de reins d'avant en arrière, m'enfonçant dans le dossier du canapé, me culbutant comme une folle. On sentait qu'elle voulait en finir au plus vite et me faire jouir tout de suite. Seulement, je n'étais pas de cet avis. Il fallait que je la calme tout de suite.
Je la saisis par les hanches, et la soulevant, je traversai le salon pour venir l'écraser contre le mur. Elle poussa un petit cri de surprise et de plaisir devant ma sauvagerie. Toujours en la portant, je me mis à lui donner de puissants coups de reins, la culbutant contre le mur avec force, tout en lui embrassant le cou avec passion. Les gémissements de Manon redoublèrent, et elle enroula ses jambes autour de ma taille, me collant contre elle. Le contact était plus intime, mon torse se pressait contre sa poitrine, pressant ses merveilleux seins. Nous nous embrassions à pleine bouche, et Manon haletait, hors d'haleine… quand elle ne gémissait pas à pleine voix. Le plaisir montait terriblement en nous deux, et je me mis à accélérer le rythme arrachant à Manon de véritable hurlement de jouissance.
Je fus fatigué de la baiser en la portant, et décidai de changer de position. Je la posai au sol, et la ramenai vers le canapé, et la fis se mettre dessus à quatre pattes. Je la saisis alors par les hanches, et la pris sauvagement en levrette. Je lui donnai de puissants coups de reins, allant d'avant en arrière inlassablement. Je baisais Manon aussi vite et fort que possible, sous ses encouragements « viiite viiite dépêche toi mon mec va se poser des questions, vas y baise moi plus fort tu peux le faire allez vas y ! » elle gémissait tout disant ça, signe qu'elle prenait son pied comme jamais. Moi même je frémissais de la tête aux pieds, et pourtant j'accélérais encore et encore. Je claquai les fesses de Manon, lui arrachant un petit couinement de plaisir, et lui tirais les cheveux pour qu'elle me regarde dans les yeux. Tout en lui tenant les cheveux d'une main, l'épaule d'une autre main, je lui donnais de profonds coups de reins qui cognèrent le fond de son intimité, la faisant hurler comme jamais. « Bordel mais qu'est ce que j'aime ta queue en moi qu'est ce qu'elle bonne c'est pas possible ! » cria-t-elle. Je sentais que l'orgasme approchait, et voulais qu'elle finisse en apothéose. Je lui saisis les hanches, et m'appliquai à lui administrer une rafale de coup de reins rapides et secs, qui la firent crier en continu, tandis qu'elle était assaillie par un orgasme dévastateur. Je fis durer cette orgasme de longues, très longues secondes jusqu'à ce qu'elle perde la tête et semble sur le point de s'évanouir. Lorsque j'en eus fini avec elle, elle était étendue sur le canapé, complètement sonnée. « Mon mec m'a jamais fait ça, dit elle » C'était parfait pour elle, mais moi, je n'avais pas joui, et je voulais mon apothéose à moi.
Je la fis se relever, et lui présentai mon sexe, devant sa bouche. Sonnée comme elle était, elle mit un temps à comprendre le subtil message que je lui envoyais là, mais avec un sourire, elle s'exécuta. Elle prit mon sexe en bouche, et se mit à me sucer comme une folle. Elle devait me faire jouir vite, à tout moment son mec risquait de débarquer. Elle me pompa très rapidement, coulissant sur ma queue de haut en bas, l'inondant de salive. Elle s'interrompit pour me donner de furieux coups de langues sur le gland, me faisant gémir de plaisir. Elle se mit ensuite à lécher mes boules et à les embrasser et même les mordiller. Puis elle me reprit en bouche, et se déchaîna, allant et venant à fond, me faisant complètement fondre. C'était délicieux, mais je devais accélérer le travail. Je la saisis par les cheveux, et me mis à contrôler le va-et-vient, lui baisant la bouche avec force, frissonnant de plaisir. Manon gémit et me regarda droit dans les yeux, et voir ce merveilleux visage que j'étais entrain de baiser si sauvagement augmenta d'un coup le plaisir que j'en tirais. J'accélérai encore, et lorsque mon sexe fut en plein dans sa bouche, et que Manon fit jouer sa langue très adroitement je n'en pus plus, et explosai littéralement, inondant sa bouche. Ressortant ma queue, j'arrosai aussi son si beau visage, prenant plaisir à le maculer.
Manon m'adressa un grand sourire, puis alla se débarbouiller, avant de se rhabiller et de retourner voir son mec. Plus tard elle me dit qu'il ne s'était douté de rien.
« Qu'est ce que tu fais là. »
Manon rougit un peu, et se mit à parler vite :
« Il faut qu'on se dépêche, mon mec est dans la voiture devant chez toi. Je lui ai dit que j'avais oublié un truc chez toi, on a pas beaucoup de temps. Je peux entrer ? »
« Euh… dis je un peu étonné. Oui bien sur, entre. »
Je refermai la porte une fois Manon entrée. J'avais toujours du mal à comprendre ce qu'il se passait.
« Excuse moi pour hier. On pouvait pas baiser, j'étais venue avec une amie à mon mec, elle m'aurait balancée si elle nous avait vus... »
« Euh ok. Dis je toujours abasourdi. »
« Bon… On commence ? Faut faire vite, dit Manon. »
Voyant que je restais interdit, Manon décida de couper court à toute discussion, et se jeta sur moi. Elle m'enlaça, et m'embrassa comme une folle, me poussant vers le canapé. Toujours surpris, je lui rendis néanmoins son baiser avec passion et vigueur. Elle me jeta sur le canapé, j'y tombai assis. Souriante, elle retira son mini-short, et son shorty. Puis elle m'arracha pantalon et caleçon sans ménagement. Si j'étais toujours sonné par le tournant pris par les événements, mon sexe en revanche s'était déjà réveille et bien réveillé…
« Désolée, dit elle, mais on a pas le temps de faire des préliminaires. Et je préfère qu'on se déshabille pas totalement, c'est plus sûr. »
Et sur ce, elle s'empala sur ma queue, s'asseyant sur moi. Elle se mit à bondir et rebondir sur mon engin comme une folle, me culbutant contre le canapé. Elle me tenait par les épaules et me regardait dans les yeux en gémissant à pleine voix. Le plaisir m'assaillait par vagues successives, et je ne tardai pas à me tortiller tant c'était bon. Je commençais à réaliser ce qu'il se passait, et je dois dire que je me dis que c'était de la folie. A tout moment le copain de Manon pouvait débarquer et nous voir, mais Manon semblait prendre plaisir dans le danger. Quant à moi, je ne pouvais plus protester de toute façon, le plaisir était trop fort. Il faut dire que Manon ne ménageait pas sa peine. Elle bondissait et rebondissait sur ma queue comme une folle, ou secouait son corps de gauche à droite, ravie qu'elle était de pouvoir me baiser. Elle gémissait à pleine voix, et écrasait sa poitrine contre mon visage, m'excitant encore plus. De temps à autre, elle se penchait sur moi et me mordait le menton, quelle furie ! Elle se mit à me donner de puissants coups de reins d'avant en arrière, m'enfonçant dans le dossier du canapé, me culbutant comme une folle. On sentait qu'elle voulait en finir au plus vite et me faire jouir tout de suite. Seulement, je n'étais pas de cet avis. Il fallait que je la calme tout de suite.
Je la saisis par les hanches, et la soulevant, je traversai le salon pour venir l'écraser contre le mur. Elle poussa un petit cri de surprise et de plaisir devant ma sauvagerie. Toujours en la portant, je me mis à lui donner de puissants coups de reins, la culbutant contre le mur avec force, tout en lui embrassant le cou avec passion. Les gémissements de Manon redoublèrent, et elle enroula ses jambes autour de ma taille, me collant contre elle. Le contact était plus intime, mon torse se pressait contre sa poitrine, pressant ses merveilleux seins. Nous nous embrassions à pleine bouche, et Manon haletait, hors d'haleine… quand elle ne gémissait pas à pleine voix. Le plaisir montait terriblement en nous deux, et je me mis à accélérer le rythme arrachant à Manon de véritable hurlement de jouissance.
Je fus fatigué de la baiser en la portant, et décidai de changer de position. Je la posai au sol, et la ramenai vers le canapé, et la fis se mettre dessus à quatre pattes. Je la saisis alors par les hanches, et la pris sauvagement en levrette. Je lui donnai de puissants coups de reins, allant d'avant en arrière inlassablement. Je baisais Manon aussi vite et fort que possible, sous ses encouragements « viiite viiite dépêche toi mon mec va se poser des questions, vas y baise moi plus fort tu peux le faire allez vas y ! » elle gémissait tout disant ça, signe qu'elle prenait son pied comme jamais. Moi même je frémissais de la tête aux pieds, et pourtant j'accélérais encore et encore. Je claquai les fesses de Manon, lui arrachant un petit couinement de plaisir, et lui tirais les cheveux pour qu'elle me regarde dans les yeux. Tout en lui tenant les cheveux d'une main, l'épaule d'une autre main, je lui donnais de profonds coups de reins qui cognèrent le fond de son intimité, la faisant hurler comme jamais. « Bordel mais qu'est ce que j'aime ta queue en moi qu'est ce qu'elle bonne c'est pas possible ! » cria-t-elle. Je sentais que l'orgasme approchait, et voulais qu'elle finisse en apothéose. Je lui saisis les hanches, et m'appliquai à lui administrer une rafale de coup de reins rapides et secs, qui la firent crier en continu, tandis qu'elle était assaillie par un orgasme dévastateur. Je fis durer cette orgasme de longues, très longues secondes jusqu'à ce qu'elle perde la tête et semble sur le point de s'évanouir. Lorsque j'en eus fini avec elle, elle était étendue sur le canapé, complètement sonnée. « Mon mec m'a jamais fait ça, dit elle » C'était parfait pour elle, mais moi, je n'avais pas joui, et je voulais mon apothéose à moi.
Je la fis se relever, et lui présentai mon sexe, devant sa bouche. Sonnée comme elle était, elle mit un temps à comprendre le subtil message que je lui envoyais là, mais avec un sourire, elle s'exécuta. Elle prit mon sexe en bouche, et se mit à me sucer comme une folle. Elle devait me faire jouir vite, à tout moment son mec risquait de débarquer. Elle me pompa très rapidement, coulissant sur ma queue de haut en bas, l'inondant de salive. Elle s'interrompit pour me donner de furieux coups de langues sur le gland, me faisant gémir de plaisir. Elle se mit ensuite à lécher mes boules et à les embrasser et même les mordiller. Puis elle me reprit en bouche, et se déchaîna, allant et venant à fond, me faisant complètement fondre. C'était délicieux, mais je devais accélérer le travail. Je la saisis par les cheveux, et me mis à contrôler le va-et-vient, lui baisant la bouche avec force, frissonnant de plaisir. Manon gémit et me regarda droit dans les yeux, et voir ce merveilleux visage que j'étais entrain de baiser si sauvagement augmenta d'un coup le plaisir que j'en tirais. J'accélérai encore, et lorsque mon sexe fut en plein dans sa bouche, et que Manon fit jouer sa langue très adroitement je n'en pus plus, et explosai littéralement, inondant sa bouche. Ressortant ma queue, j'arrosai aussi son si beau visage, prenant plaisir à le maculer.
Manon m'adressa un grand sourire, puis alla se débarbouiller, avant de se rhabiller et de retourner voir son mec. Plus tard elle me dit qu'il ne s'était douté de rien.
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