Marié , deux enfants ... - histoire érotique

Marié, deux enfants, c’est mon état civil, pas le titre d’une célèbre série américaine !
Notre ainée a bientôt dix huit ans et le petit dernier six ans, une grossesse non prévue cependant bienvenue dans notre vie, ma femme a quarante trois ans et moi quarante quatre, notre vie est sans nuages bien que le plaisir charnel soit quasi au ras des pâquerettes suite a l’accouchement du petit dernier
Je fais partie du comité des fêtes de notre bourgade de deux milles habitants,
Le weekend dernier nous avions organisés une fête pour récompenser notre équipe féminine de handball dont Béa notre ainée fait partie
Une fête qui été réussie au-delà de nos espérances … et bien au-delà des miennes lorsque ma fille m’a présenté a Audrey, sa copine déménagée depuis quelques années dans une ville voisine, de plus c’est la fille de notre traiteur
De loin j’avais déjà remarqué, et je n’étais pas le seul mâle, cette silhouette sublime, cambrée comme un arc ce qui fait ressortir sa poitrine de jeune femme et un p’tit cul tout rond, caché sous un mini short lui-même drapé ‘une sorte de jupette, ce qui donne l’illusion quelle se balade habillée quasiment ‘ à ras la moule’ !
De prés, c’est pire, de magnifiques yeux vert taillés en amandes, dont l’un d’eux est caché derrière une frange, ce qui lui donne un air encore plus coquin, un petit nez en trompette et une bouche sensuelle sur laquelle ont rêve de déposer un baiser … ou autre chose…
Lorsqu’elle se penche devant moi pour embrasser mon fils, je peux voir les balconnets de dentelle verts d’où débordent d’une poitrine généreuse que je ne me prive pas de lorgner
Si je vous dis que son front est juste a quelques centimètres de ma braguette ….j’ai un coup de chaud ! Ça réveille en moi un instinct de chasseur que je croyais disparut a jamais, elle a l’âge de ma fille me direz vous ? Et alors ? Ce n’est pas ma fille !
Tout ça n’a pas échappé à cette nana éveillée qui me lance des regards tantôt provocateurs, tantôt innocents, mais que je qualifierais pleins de promesses
Dés lors au cours de cette fête nos chemins se croisent et recroisent, pour être disponible pour le service je me suis placé à l’extrémité d’une table pour le repas

- Je peux m’assoir là ?
- Heuuuu, si tu veux, mais c’est un banc, ce n’est pas confortable
- Prés de vous je serais carrément à l’aise …

Nos cuisses sont soudées et pourtant nous ne somment pas très serrés entre convives, profitant que nous soyons le dos a un mur, donc protégés de la vue du reste des invités, dans un geste ‘paternel’, je lui caresse ses longs cheveux blonds du bout des doigts, puis la courbure de ses reins … et encore plu bas, mais cette fois ma main s’est plaquée sur le short, mon majeur s’encastre volontairement entre les deux lobes, elle glousse car je ne devais pas être loin de toucher sa petite pastille

- Monsieur Grégory ! Vous me chatouillez !
- Pas de monsieur entre nous ma petite Audrey ! mais dit moi ? tu as dût remarquer tous ces jeunes qui n’arrêtent pas de te solliciter ?
- Bien sûr, c’est justement pour être tranquille que je cherche votre protection ! j’en ai marre de leur empressement, surtout qu’ils ne sont pas expérimentés et puis tout a l’heure, lorsque que j’ai dis bonjour a votre fils j’ai tout de suite remarquées vos mains
- Mes mains ? qu’ont-elles de spécial ?
- Si vous ne le savez pas moi, je le sais… OUPS !! j’ai dût trop boire, j’ai fais quelques gouttes dans ma culotte, où sont les toilettes ?
- Au fond du couloir, à gauche
- Merci, j’y vais vite !

Et si je la suivais ? Ce n’est pas l’endroit idéal pour avoir une relation sexuelle de bonne qualité et puis il y a toujours du va-et-vient, mais nous pourrions parler plus librement, aller, j’y vais…
Au moment ou j’arrive, elle sort, son regard brille de malice, je vais pour lui parler mais elle ne s’arrête pas, au moment ou nous nous croisons quelque chose tombe de sa main, quelque chose qui ressemble a un mouchoir de dentelle …

- Audrey ! Tu as perdu ……

Inutile d’insister, elle a déjà disparut, je me penche et ramasse un slip de dentelle, un mini slip encore chaud et parfumé de sa vulve, je me précipite a mon tour dans les WC, une fois a l’abri des regards, je déplie précautionneusement ce trophée, il porte, le fond en coton est marqué de quelques traces d’urine et de mouille …. Quelles merveilleuses effluves …en frottant le slip sur mes narines je caresse ma queue tendue à l’ extrême, sans toutefois vouloir décharger, je me réserve pour plus tard … je me contente d’y ajouter la goutte de plaisir qui suinte a mon bout violacé avant de rejoindre la salle ou je retrouve Audrey assise de façon que je ne puisse rater le fond de son shorty qui moule parfaitement son abricot

- Petite imprudente, sait-tu qu’en deux coups de reins je pourrais transpercer ton short et ta chatte ?
- Même pas peur ! j’en prends le risque, mais pas ici …

Elle se relève et part vers la sortie qui mène au parking, elle se retourne brièvement pour s’assurer que je vais la suivre … ma femme est très occupée par la buvette, ma fille garde son frère … personne ne s’inquiéteras de mon absence, par discrétion je prends un autre chemin
Où est-elle ? Je vais jusqu’au fond ou est garé un camping-car, celui de ses parents, les mains derrière le dos, elle est appuyée sur la carrosserie, poitrine en avant, jambes ouvertes, offerte a mes envies

- J’ai faillis attendre …
- Qu’espères-tu ? il y a trop de risques, si ma femme me surprend avec ton slip dans la poche, c’est le divorce assuré
- Et ça ? personne ne viendra nous chercher ici

Audrey balance un porte clé au bout de ses doigts

- Montez seulement lorsque je vous appellerais

Son p’tit cul disparait dans la cabine, après une minute une petite voix me hèle

- Je suis prête …montez vite et refermez la porte derrière vous …

Elle est prête ? Et moi donc ! Ma queue raide est pliée en deux dans mon slip, les deux marches sont escaladées d’un seul bond, personne sur le lit …je tourne la tête à droite, le siège baquet passager est retourné vers l’intérieur, Audrey, nue, est exposée, le mot est faible, façon ‘Emmanuelle’ en plus hard, sa craquette luisante de mouille est ouverte a cause de ses genoux repliés et ouverts

- Fait de moi ce que tu veux …mais avant fait comme moi, enlève tous tes vêtements …

Fascinée par ma bite elle tend la main

- Approche …donne moi ta pine de cheval

Ses doigts se referment sur mon gland d’où suinte une nouvelle grosse goutte de liquide séminal, elle tire sur ma queue jusqu'à ce qu’elle puisse passer la langue dessous

- J’adore ce jus incolore, c’est moins acre que le sperme, donne m’en encore
- Presse ma bite
- Huuuuummmm, comme ça ?
- Dépêche, après c’est moi qui te bouffe
- Tu me défonceras comme tu l’as dit ?
- Je vais te clouer sur le lit, promis, mais avant je vais te bouffer le minou sur ce siège, dans la position où tu es ta moule juteuse est ouverte à point

Audrey suce mon gland en aspirant très fort pour en extraire son jus, une fois tari elle le rejette

- Lèche- moi, je ne veux pas avaler ton sperme
- Ecarte bien tes pieds … houuua ! tu es bien fendue … Mmuuuuuummmmmm !
- Hooooouuuuuu ça fait drôle ! ta langue entre très profond !...met moi un doigt la aussi….
- Ou ça ?
- Dans mon petit trou, j’adore ça
- Pourquoi pas la verge ?
- Houlà ! tu as vus la grosseur de ton gland ? nous verrons plus tard !
- Je vais savamment t’ouvrir avec ma langue

On n’entend plus que ses HOO, ses HAA, ‘c’est BOOOONN’, elle a nouées ses chevilles dans mon cou afin que je reste soudé a sa vulve, son cul monte et descend tellement que je suis empégué jusqu’au front, même mon nez sert de sexe, je vais profiter de son parfum de femme toute la soirée, heureusement que sa chatte est en dehors du siège car lorsqu’elle se met à brailler une giclée fuse du vagin et s’étale sur le plancher, ses jambes et ses bras retombent, ses yeux sont devenus vitreux par la jouissance dégagée

- Accroche toi a mon cou, je vais te faire voyager jusqu’au lit
- Et si tu m’embrochais comme ça, debout ? mes copains ne sont pas assez costauds
- Nous tes jambes autour de mes reins et remonte un peu … là, ça va… attend que je cherche l’entrée de ta craquette …laisse toi descendre doucement …
- Vous m’ouvrez en deux … HHHOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAAAA !!!!
- T’as mal ?
- Nnnnnnnnooooooooooooooonnnnnnnnnnnnn !!!! poussez sur mes fesses afin que je remonte …
- Laisse-toi retomber d’un coup…
- Wooooooouuuuuuuuuuaaaaaauuuuuuuuhh ! c’est comme les montagnes russes ! quel pied ! encore !! encore !!
- STOP ! je veux avoir le contrôle, je vais poser ton cul sur le lit et te défoncer a ma manière, ça va être comme les montagnes russes avec des étoiles en plus
- Alors je vais me mettre a genoux, baisez moi en levrette
- Si tu veux mais ainsi je vais gagner quelques centimètres, ça va piquer !

La vue qu’elle m’offre me rend fou furieux, je pointe sa moule et m’accroche a ses hanches ainsi je peux la tirer a moi a ma guise, au début je laisse quelques centimètres dehors, puis au fur et a mesure de l’accouplement j’entre totalement dans son fourreau de chair dilaté, a défaut de pouvoir entrer, mes couilles frappent violemment son clitoris, subitement je suis fasciné par son œillet défripé …je stoppe net mes mouvements et en visant bien je laisse tomber un filet de salive au centre

- T’arrête pas merde ! j’allais jouir !
- Moi aussi, mais j’ai décidé de décharger dans ton cul
- Non ! non !
- Ne bouge pas c’est ainsi que tu aurais mal, laisse toi faire …
- Salaud… doucement au début hein ?
- Promis … décontracte toi …
- AAAAIIIIIIEEEEEE !!!! hhhhhhhhuuuuuuuuummmmmmmm va-y, pousse encore !
- C’est très serré je vais gicler …
- Moi aussi je me touche le clito pour me faire partir
- Déchargeons ensembles …attention … oooouuuuaaaaaaaaaaaaaaah tiiiiiiiieeeeennnnnnnnt
- Nnnnnnnnooooooooooooooonnnnnnnnnnnnn !! C’est booooooooonnnnnn

Et là, la catastrophe ……..

- AUDREY ????? AUDREY ? tu es là ?? c’est maman, pourquoi t’enferme-tu ? tu es malade pour crier ainsi ? tu n’es pas seule ? OUVRE !!
- Deux minutes maman… merde de merde ! quelle poisse, habille-toi vite
- Elle va me voir...
- C’est ton problème mon vieux !

Pour débander c’est radical ! le visage encore cramoisi et essoufflés d’avoir tiré un coup elle ouvre la porte …

- Vous ?? vous avez fait ça avec ma fille ?
- C’est un bon coup maman !!
- File d’ici toi, j’ai deux mots à dire à monsieur, assoyez vous là
- Mais …
- Je sais, vous allez me dire : elle est majeure

Soudain son ton c’est adouci et elle s’est assise au bord du lit taché par nos sécrétions, elle a passé un doigt dessus et là humé avant de le sucer

- Ce n’est pas du pipi de chat ça, et a voir la flaque sous vos pied vous vous en êtes donnés a cœur joie
- Mais…
- Silence, il y a deux écoles, soit je vous dénonce a votre femme soit … regardez ceci et dite moi ce que vous en pensez …

Elle avance ses fesses au bord du lit et écarte largement les genoux, j’ai juste le temps d’apercevoir un string bleu avant qu’il ne soit viré sur le coté, à présent je vois clairement une chatte entièrement rasée dans laquelle elle plonge un doigt

- J’ai compris, vous voulez que je vous baise aussi ?
- Sans préliminaires, ma fille a le chic pour trouver de bons amants, j’espère qu’après vos galipettes avec ma fille vous avez un peu de réserve n’est-ce pas ?
- Évidement, toutefois je ne vais pas tenir longtemps, ma verge est encore très sensible mais je peux tout de même vous assurer un orgasme
- Ha oui ? hé bien approchez vous et montrez moi l’objet du délit ensuite je vous dirais ce que j’attends de vous exactement
- Voilà, soyez rassurée ma queue va encore se tendre, il suffit de l’apprivoiser un peu
- Désirez vous que je vous suce ?
- Oui
- Donne … muuuuuummmmmm
- RRRRhhhhaaaaaaaaaa, tu aspire mieux que ta fille, c’est quand tu veux, dans la position que tu veux
- En levrette...
- C’est une position appréciée par la famille …
- Arrose moi l’intérieur ça va servir pour la suite
- Quelle suite ?
- J’ai vu que tu avais des mains idéales pour pratiquer un fisting
- C’est donc ça ? je vais te fourrer jusqu'à ma montre-bracelet
- OOOOUUUUUUUUUUUUII décharge vite, après je te pisserais a la figure

Je l’ai bourrée méthodiquement, sans excitation particulière, je fais simplement cela pour éviter un drame familial, comme prévu j’ai déchargé rapidement bien au fond de son vagin plus lâche que celui d’Audrey, elle a tout de même apprécié la dose

- Merci mon ami j’ai la chatte bien lubrifiée, je vais me mettre sur le dos, j’aime voir mes lèvres s’effacer sous la pression de la main, ouvre ce placard et prend la bouteille d’huile d’olive, tu m’en verse sur la chatte et sur tes doigts, allez va-y je suis prête
- Tu crois que je vais entrer facilement dans ta moule de petite fille ?
- N’aie pas peur de forcer j’aime quand ça tire

Une fois la figue bien tartinée d’huile je présente mes quatre doigts allongés et réunis en rond, je pénètre en tournant continuellement afin de repousser les lèvres, j’arrive vite a la partie la pus large de ma main, les lèvres ont disparut et ça résiste, la femme a ses yeux exorbités rivés sur son entrejambes, je me remets à bander comme un dingue, je dois absolument entrer ou lui péter le con, par à-coups je force la matrice a céder, soudain ma main est avalée par ce magma de chair en même temps qu’elle râle de plaisir, elle me saisi le poignet pour m’interdire tous mouvements

- Laisse-moi un instant pour m’habituer au volume, t’as une bonne pogne !
- Et ça te fait du bien ce genre de torture ?
- Ça vaut trois amants bien montés, ferme ton poing pour former un gland et commence à touiller ma craquette

A chaque mouvements des bruits mouillés et honteux sortent de ce cratère difforme, plus je manœuvre mon poignet plus elle ondule du cul, des suintements coulent sur le drap

- Je vais jouir, tient ton avant bras bien raide, je vais me finir moi-même dessus

Je m’aide de mon autre main pour maintenir droit ce membre factice mais combien efficace sur lequel elle rue comme possédée par Belzébuth, sa mouille mélangée a sa pisse gicle en tous sens m’inondant du torse aux cheveux, puis elle reste tendue comme un arc quelques secondes avant de s’arracher de mon poing et de s’effondrer dans un hurlement bestial, littéralement vidée physiquement et virginalement,
J’en ai profité pour me rhabiller et quitter silencieusement le camping car du bonheur pour tomber sur ma femme qui apparemment me cherche depuis un bon moment

- Où était tu chéri ? j’ai terminé mon boulot, je te cherche car tirer un p’tit coup me délasserait après ce dur labeur, as tu une idée où nous pourrions nous cacher ? mais tu sens l’urine ???? Mmmmmmuuuuuuummmmmmmmm ça m’excite ! allons vite derrière les bâtiments, baise moi a la hussarde le long du mur….