Marie, un amour très secret.3, Chez Marie.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Marie, un amour très secret.3, Chez Marie.
Au retour, Lisa a voulu faire l'amour, ces deux jours sans moi avait provoqué cette envie légitime.
Je l'ai aimée passionnément plus longtemps que d'habitude, la fréquence de mes rapports avec Marie m'a rendu plus endurant.
Ma culpabilité me donnait envie de lui prouver que je l'aimais elle aussi, même si elle ne savait pas pour Marie et moi.
Le soir, je la raccompagne jusqu'au bus comme tous les soirs, puis me dirige ensuite pour la première fois chez Marie.
En entrant, j'entends de la musique, elle écoute "My Girl" des Temptations.
Je sais qu'elle ne m'a pas entendu arriver, je la vois de dos, se dandiner sur la musique.
Ce moment est magique, je m'approche en lui posant une main sur les yeux et l'autre sur la taille en accompagnant sa danse et profite du refrain pour lui murmurer à l'oreille:"I guess you'd say, What can make me feel this way? My girl".
Elle se retourne à ce moment, et je change les paroles en "Talkin' bout Marie".
On s'embrasse fougueusement.
"Oh, mon amour, je sais que tu m'aimes toi aussi, j'aimerai tant que tu quittes Lisa, je deviens jalouse, j'aime pas ça!".
"Je sais Marie, je ne peux pas, je comprendrais que tu me quittes, ce serait mieux pour toi".
"Je peux pas, Patrick! Je t'aime trop! Tu as changé ma vie, même si ça fait mal, j'ai besoin du bonheur que tu me donnes".
"Tu mérites tellement plus!".
"Non, c'est toi qu'il me f...".
Je lui pose le doigt sur la bouche, pour la faire taire.
"Chutt, on va changer de sujet, sinon je vais encore pleurer, à moi aussi, notre amour me fais mal!".
Je l'embrasse longuement, puis écarte son corsage en dentelle, défait son soutien-gorge.
Je me nourri de ses seins, les réunit en les serrant l'un près de l'autre, puis passe ma bouche d'un téton à l'autre.
Je fait tomber ses vêtements, puis m'attarde sur sa queue que je suce tendrement, un petit moment.
Je remonte vers son visage, et lui murmure.
"Je t'aime trop moi aussi, malgré l'overdose de sexe entre nous, j'ai encore envie de tendresse avec toi!".
"Alors, fais moi l'amour Patrick".
Elle penche la tête en arrière, me donnant son cou pour un baiser appuyé qui la fait gémir de plaisir.
Elle me prend par la main et m'entraine dans sa chambre.
Je me mets complètement nu, elle m'imite. Puis nos corps se réunissent à nouveau, je la retourne et plonge entre ses fesses pour lui offrir un anulingus tendre et humide.
Je me place contre son anus puis la pénètre doucement en la couvrant de longues caresses.
Notre accouplement respire la passion, nos mots d'amour se mêlent et ne cessent d'envahir la chambre.
Je la retourne encore, puis la soulève par les cuisses, je passe une main sous ses fesses, et dirige ma queue dans son anus.
Ses bras enserrent mon cou, elle râle de plaisir en laissant sa tête tomber en arrière pendant que je la fais s'empaler sur moi en mouvements lancinants, au rythme des musiques qui continuent de se diffuser dans la pièce à coté.
Je la pose ensuite délicatement sur le bord du lit, puis m'allonge pour la laisser me chevaucher et reprendre le plaisir là nous avions arrêté.
Son corps se secoue doucement sur mon membre tendu comme un arc, je caresse ses seins avec passion, puis lentement, je me dirige vers sa queue que je masturbe doucement.
Notre chorégraphie sensuelle est parfaite, elle tourne un instant sa tête.
"Qu'est qu'il y a?".
"Rien, je crois, continue je vais jouir, mon amour".
"Moi aussi, Marie".
Marie se met à orgasmer puissamment de l'anus, elle râle bruyamment, puis quitte ma queue pour venir éjaculer entre mes lèvres, pendant que je sens mon éjaculation arriver moi aussi.
Elle m'entend gémir, et se dirige vers mon sexe pour me laisser éjaculer dans sa bouche à son tour.
Elle revient à mon niveau pour que nous puissions nous enlacer tendrement en mêlant nos langues avec mon sperme.
Puis, elle se dresse et dit:"Sandra? c'est toi?".
Son amie travestie, entre dans la pièce et répond:"Oui, je suis désolée!".
"Ca fait longtemps que tu es là?".
"Assez, pour vous entendre et vous voir, oui, désolée, la porte n'était pas fermée!".
Marie attrape le drap pour nous couvrir et ajoute:"Tu peux nous attendre dans le salon, s'il te plait!".
On échange un dernier baiser passionné, puis elle part se doucher, je la rejoins presque aussitôt.
Nous retrouvons son amie et parlons de choses banales. Marie se rend ensuite aux toilettes.
Sandra me dit:"Depuis qu'elle te connait, elle est radieuse, malheureuse aussi par moment""Tu m'en veux de la faire souffrir, j'ai l'impression".
"Oui et non, votre amour est évident, j'en suis même un peu jalouse, j'aimerai qu'on m'aime comme tu l'aimes".
"Pour éviter ça, on aurait jamais du passer le cap du baiser, on a eu un coup de foudre".
"Vous êtes beaux, tous les deux, fait attention à elle, elle est fragile!".
"Je sais, pour l'instant, on vit notre amour, au jour le jour".
"Par contre, je peux te demander quelque chose?".
"Pas de souci, c'est quoi?".
"Je sens une gène quand tu me parles, je me trompe?".
"Désolé, c'est vrai, je n'apprécie pas ton style de personne, je trouve que Marie ne fais pas partie de votre monde, elle est si naturelle".
"Je m'en doutais".
"Excuses-moi, je pense que vous n'avez pas besoin de jouer un rôle pour vivre votre féminité, vous surjouez, au risque d'être des caricatures de vous même. Pas comme Marie, qui est vraiment femme depuis toujours".
"C'est notre façon d'être, on sait que ça dérange, mais on le vit nous aussi a notre façon".
"Ca n'empêche pas que je te trouve sympa, si tu es sa meilleure amie, c'est que tu es une bonne personne".
"Merci, tu es gentil!".
"Bon, vous parlez de moi, encore?".
Je me lève et embrasse Marie tendrement en ajoutant:"Oui, on dit que tu n'es pas si terrible que ça en fait!".
"Salaud!".
On rit gentiment, puis je la laisse se préparer et se rendre à son travail avec son amie, et retourne chez moi.
Au matin, je la retrouve à mes cotés, elle m'a laissé dormir en me rejoignant à l'appartement grâce au double des clés que je lui ai offert.
Comme elle a moins dormi que moi, je la laisse tranquille, et commence à déjeuner seul, en préparant de quoi la satisfaire quand elle se réveillera.
Je fini d'agrémenter son plateau avec un petit chocolat chaud, et vais la retrouver au moment ou elle sort de son sommeil.
"Bonjour, mon amour!".
"Bonjour, tu es adorable, je t'aime!".
Elle déjeune dans le lit, puis pose le plateau par terre et nos corps se mélangent à nouveau passionnément.
Après notre plaisir commun, elle me dit que Sandra lui a raconté notre conversation.
"Tu penses vraiment que je ne fais pas partie de leur univers?".
"Complètement, c'est pas parce que tu es transexuelle, que tu dois vivre avec des travesties, tu es femme naturellement, tu n'as pas besoin de perruque, de faux seins, tu n'as pas leur exubérance".
"Tu confirmes ce que je ressentais depuis quelques temps déjà, mais j'ai du mal à trouver ma place"Je la regarde dans les yeux et lui dit:"Vis ta vie de femme, sans être en marginalité, un jour, tu rencontreras un homme qui t'aime telle que tu es, c'est possible puisque je t'aime, moi, mais il te choisira parce qu'il sera plus courageux que moi, ou n'aura pas toutes ces barrières sociales que j'ai".
"Pour le moment, c'est toi que je veux!".
Elle se blottit contre moi pendant un long moment que je n'ai pas envie d'interrompre.
Je lui propose de manger plus tôt afin d'éviter le retour de Lisa, ce qu'elle accepte, mais comme nous avons encore le temps avant le repas, je lui montre quelques photos de moi, plus jeune, avec des amis, la famille, puis passe très vite celles avec Lisa et enfin enfant.
Elle me dit alors:"J'ai l'impression de me voir en noir et blanc! Toi aussi, tu ressemblais à une petite fille".
"Ben, j'étais plus petit que la moyenne, et ma mère ne voulait pas me couper mes cheveux, par contre, je me suis toujours sentis garçon, même si aujourd'hui, je pense avoir une grosse partie féminine, surtout dans la sensibilité".
"C'est surement pour ça, qu'on est si bien ensemble, on est opposés tout en se ressemblant énormément".
"Je te laisse regarder, je vais te faire un petit repas sympa, tu me laisses faire?".
"Avec plaisir, mon amour!"
Je l'ai aimée passionnément plus longtemps que d'habitude, la fréquence de mes rapports avec Marie m'a rendu plus endurant.
Ma culpabilité me donnait envie de lui prouver que je l'aimais elle aussi, même si elle ne savait pas pour Marie et moi.
Le soir, je la raccompagne jusqu'au bus comme tous les soirs, puis me dirige ensuite pour la première fois chez Marie.
En entrant, j'entends de la musique, elle écoute "My Girl" des Temptations.
Je sais qu'elle ne m'a pas entendu arriver, je la vois de dos, se dandiner sur la musique.
Ce moment est magique, je m'approche en lui posant une main sur les yeux et l'autre sur la taille en accompagnant sa danse et profite du refrain pour lui murmurer à l'oreille:"I guess you'd say, What can make me feel this way? My girl".
Elle se retourne à ce moment, et je change les paroles en "Talkin' bout Marie".
On s'embrasse fougueusement.
"Oh, mon amour, je sais que tu m'aimes toi aussi, j'aimerai tant que tu quittes Lisa, je deviens jalouse, j'aime pas ça!".
"Je sais Marie, je ne peux pas, je comprendrais que tu me quittes, ce serait mieux pour toi".
"Je peux pas, Patrick! Je t'aime trop! Tu as changé ma vie, même si ça fait mal, j'ai besoin du bonheur que tu me donnes".
"Tu mérites tellement plus!".
"Non, c'est toi qu'il me f...".
Je lui pose le doigt sur la bouche, pour la faire taire.
"Chutt, on va changer de sujet, sinon je vais encore pleurer, à moi aussi, notre amour me fais mal!".
Je l'embrasse longuement, puis écarte son corsage en dentelle, défait son soutien-gorge.
Je me nourri de ses seins, les réunit en les serrant l'un près de l'autre, puis passe ma bouche d'un téton à l'autre.
Je fait tomber ses vêtements, puis m'attarde sur sa queue que je suce tendrement, un petit moment.
Je remonte vers son visage, et lui murmure.
"Je t'aime trop moi aussi, malgré l'overdose de sexe entre nous, j'ai encore envie de tendresse avec toi!".
"Alors, fais moi l'amour Patrick".
Elle penche la tête en arrière, me donnant son cou pour un baiser appuyé qui la fait gémir de plaisir.
Elle me prend par la main et m'entraine dans sa chambre.
Je me mets complètement nu, elle m'imite. Puis nos corps se réunissent à nouveau, je la retourne et plonge entre ses fesses pour lui offrir un anulingus tendre et humide.
Je me place contre son anus puis la pénètre doucement en la couvrant de longues caresses.
Notre accouplement respire la passion, nos mots d'amour se mêlent et ne cessent d'envahir la chambre.
Je la retourne encore, puis la soulève par les cuisses, je passe une main sous ses fesses, et dirige ma queue dans son anus.
Ses bras enserrent mon cou, elle râle de plaisir en laissant sa tête tomber en arrière pendant que je la fais s'empaler sur moi en mouvements lancinants, au rythme des musiques qui continuent de se diffuser dans la pièce à coté.
Je la pose ensuite délicatement sur le bord du lit, puis m'allonge pour la laisser me chevaucher et reprendre le plaisir là nous avions arrêté.
Son corps se secoue doucement sur mon membre tendu comme un arc, je caresse ses seins avec passion, puis lentement, je me dirige vers sa queue que je masturbe doucement.
Notre chorégraphie sensuelle est parfaite, elle tourne un instant sa tête.
"Qu'est qu'il y a?".
"Rien, je crois, continue je vais jouir, mon amour".
"Moi aussi, Marie".
Marie se met à orgasmer puissamment de l'anus, elle râle bruyamment, puis quitte ma queue pour venir éjaculer entre mes lèvres, pendant que je sens mon éjaculation arriver moi aussi.
Elle m'entend gémir, et se dirige vers mon sexe pour me laisser éjaculer dans sa bouche à son tour.
Elle revient à mon niveau pour que nous puissions nous enlacer tendrement en mêlant nos langues avec mon sperme.
Puis, elle se dresse et dit:"Sandra? c'est toi?".
Son amie travestie, entre dans la pièce et répond:"Oui, je suis désolée!".
"Ca fait longtemps que tu es là?".
"Assez, pour vous entendre et vous voir, oui, désolée, la porte n'était pas fermée!".
Marie attrape le drap pour nous couvrir et ajoute:"Tu peux nous attendre dans le salon, s'il te plait!".
On échange un dernier baiser passionné, puis elle part se doucher, je la rejoins presque aussitôt.
Nous retrouvons son amie et parlons de choses banales. Marie se rend ensuite aux toilettes.
Sandra me dit:"Depuis qu'elle te connait, elle est radieuse, malheureuse aussi par moment""Tu m'en veux de la faire souffrir, j'ai l'impression".
"Oui et non, votre amour est évident, j'en suis même un peu jalouse, j'aimerai qu'on m'aime comme tu l'aimes".
"Pour éviter ça, on aurait jamais du passer le cap du baiser, on a eu un coup de foudre".
"Vous êtes beaux, tous les deux, fait attention à elle, elle est fragile!".
"Je sais, pour l'instant, on vit notre amour, au jour le jour".
"Par contre, je peux te demander quelque chose?".
"Pas de souci, c'est quoi?".
"Je sens une gène quand tu me parles, je me trompe?".
"Désolé, c'est vrai, je n'apprécie pas ton style de personne, je trouve que Marie ne fais pas partie de votre monde, elle est si naturelle".
"Je m'en doutais".
"Excuses-moi, je pense que vous n'avez pas besoin de jouer un rôle pour vivre votre féminité, vous surjouez, au risque d'être des caricatures de vous même. Pas comme Marie, qui est vraiment femme depuis toujours".
"C'est notre façon d'être, on sait que ça dérange, mais on le vit nous aussi a notre façon".
"Ca n'empêche pas que je te trouve sympa, si tu es sa meilleure amie, c'est que tu es une bonne personne".
"Merci, tu es gentil!".
"Bon, vous parlez de moi, encore?".
Je me lève et embrasse Marie tendrement en ajoutant:"Oui, on dit que tu n'es pas si terrible que ça en fait!".
"Salaud!".
On rit gentiment, puis je la laisse se préparer et se rendre à son travail avec son amie, et retourne chez moi.
Au matin, je la retrouve à mes cotés, elle m'a laissé dormir en me rejoignant à l'appartement grâce au double des clés que je lui ai offert.
Comme elle a moins dormi que moi, je la laisse tranquille, et commence à déjeuner seul, en préparant de quoi la satisfaire quand elle se réveillera.
Je fini d'agrémenter son plateau avec un petit chocolat chaud, et vais la retrouver au moment ou elle sort de son sommeil.
"Bonjour, mon amour!".
"Bonjour, tu es adorable, je t'aime!".
Elle déjeune dans le lit, puis pose le plateau par terre et nos corps se mélangent à nouveau passionnément.
Après notre plaisir commun, elle me dit que Sandra lui a raconté notre conversation.
"Tu penses vraiment que je ne fais pas partie de leur univers?".
"Complètement, c'est pas parce que tu es transexuelle, que tu dois vivre avec des travesties, tu es femme naturellement, tu n'as pas besoin de perruque, de faux seins, tu n'as pas leur exubérance".
"Tu confirmes ce que je ressentais depuis quelques temps déjà, mais j'ai du mal à trouver ma place"Je la regarde dans les yeux et lui dit:"Vis ta vie de femme, sans être en marginalité, un jour, tu rencontreras un homme qui t'aime telle que tu es, c'est possible puisque je t'aime, moi, mais il te choisira parce qu'il sera plus courageux que moi, ou n'aura pas toutes ces barrières sociales que j'ai".
"Pour le moment, c'est toi que je veux!".
Elle se blottit contre moi pendant un long moment que je n'ai pas envie d'interrompre.
Je lui propose de manger plus tôt afin d'éviter le retour de Lisa, ce qu'elle accepte, mais comme nous avons encore le temps avant le repas, je lui montre quelques photos de moi, plus jeune, avec des amis, la famille, puis passe très vite celles avec Lisa et enfin enfant.
Elle me dit alors:"J'ai l'impression de me voir en noir et blanc! Toi aussi, tu ressemblais à une petite fille".
"Ben, j'étais plus petit que la moyenne, et ma mère ne voulait pas me couper mes cheveux, par contre, je me suis toujours sentis garçon, même si aujourd'hui, je pense avoir une grosse partie féminine, surtout dans la sensibilité".
"C'est surement pour ça, qu'on est si bien ensemble, on est opposés tout en se ressemblant énormément".
"Je te laisse regarder, je vais te faire un petit repas sympa, tu me laisses faire?".
"Avec plaisir, mon amour!"
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