Marie, un amour très secret. 7 - histoire érotique

La porte grince, j'ai du mal à ouvrir les yeux, il fait encore nuit, il faut vraiment que je mettes un peu de graisse sur les gonds de cette foutue porte d'entrée.
J'entends Marie se dévêtir, pour me rejoindre dans le lit et faire un peu de bruit en tâtonnant sur le chevet de son coté.
J'aime la sentir se blottir contre mon dos. Elle passe sa main doucement dans mes cheveux, puis me dépose un baiser dans le creux du cou.
Sa main touche mes fesses, je sens le contact froid du gel qu'elle a déposé sur son sexe, je me cambre pour l'aider à me pénétrer.
"Tu ne dors pas, Mon amour?".
"Plus maintenant, continues, prends-moi!".
Elle se glisse lentement dans mon anus, et me sodomise avec volupté.
"Oh, mon amour, j'aime ton cul!".
"Il est à toi, Marie, j'aime tellement t'appartenir mon amour!".
En gémissant, elle demande doucement:"C'est vrai que tu ne vois plus d'autres hommes?".
"C'est vrai, Marie, je n'en ressens plus le besoin, j'ai essayé au début de notre histoire, mais je me suis dégouté, comme toi avec l'autre homme".
"Je t'aime Patrick, tu es le seul avec qui je fais ça avec tendresse, je suis folle de ton cul, j'adore lui faire l'amour".
"Ouh, je le sens, ahhrrrrr, oui, fais moi l'amour encore, ahhhhhhhhhh".
Mon corps se cambre sous ses assauts, puissants et passionnés, je l'entends gémir en me disant des mots d'amour, annonçant son éjaculation pendant que j'orgasme moi aussi.
Nos plaisirs se rejoignent en une interminable suite de râles libérateurs.
Quelques minutes après, j'arrive à ouvrir les yeux, elle est encore en moi, je l'entends ronflotter.
Son sexe commence à glisser hors de mon anus, provoquant un écoulement anal de sperme.
Je cherche à tâtons un mouchoir en papier pour m'essuyer, puis l'accompagne dans son sommeil.
Comme souvent, c'est moi qui sort du sommeil en premier, je soulève doucement le drap pour l'admirer.
Elle est sur le dos, ses seins fermes sont pointés vers le haut, son ventre bouge au rythme de ses soupirs de respiration.
Son visage angélique est toujours aussi magnifique, même son pénis lui va bien, c'est probablement grâce à ma bisexualité que je ne l'ai pas rejetée en découvrant son corps.
Je l'aime telle qu'elle est. J'ai envie d'elle encore, mais je dois m'en empêcher, elle est si belle dans son sommeil.
Je m'habille sans la réveiller, puis me rend dans la cuisine en tirant la porte pour ne pas faire de bruit.
Je petit déjeune tranquillement, puis une heure après, j'entends:"Mon amour? Tu es là?".
Je la rejoins en lui disant:"Toujours, mon amour, merci pour cette nuit!".
"Hummm, c'était boooonnnnnnnnnnnn". En s'étirant sur toute la largeur du lit.
Je me défait de mes vêtements, et replonge dans le lit.
Nos corps se cherchent à nouveau.
"Je vais t'aimer Marie, je te préviens, j'ai une grosse envie, tu vas beaucoup jouir!".
"Humm, des promesses, des promesses!".
"Vicieuse!".
Je plonge entre ses cuisses que j'écarte pour me permettre de la pénétrer en lui faisant l'amour avec mes mains et ma bouche.
Comme toujours notre communion est parfaite.
Elle m'honore de plusieurs orgasmes pris dans plusieurs positions différentes.
"Ahhhhhhhh, j'en peux plus Patrick, tu m'épuises de jouissance!".
Je la mets alors en levrette et l'encule sauvagement en la frappant sur les fesses.
Elle gueule son plaisir, j'ose alors lui dire:"Allez jouis salope, t'aimes ça aussi te faire défoncer le cul!".
"Ou.... oui, j'aime ça aussi, c'est encore meilleur avec toi, arhhhhhhhhhhhhh".
La fin de notre délire vicieux est sauvage et sans retenue, j'éjacule de tout mon corps dans son cul qui s'écroule sous mes assauts.
Je suis en sueur, les gouttes coulent de mon front sur son dos, ma respiration commence à reprendre son rythme normal.
"Mon amour, tu m'as épuisée! Je sens plus mon cul!".
Je me recule pour regarder mon sexe sortir de son anus, puis écarte ses fesses, son trou est béant et plein de sécrétions anales.
Elle ferme et ouvre plusieurs fois son anus, puis rejette mon jus qui coule alors jusqu'à ses testicules.
"Tu m'excites, tu deviens de plus en plus cochonne, j'adore!".
"C'est toi qui me rends comme ça!".
Voila, j'ai tant de souvenirs avec elle que je n'ai jamais partagé avec quiconque (tout raconter paraitrait répétitif), je vous raconterai notre dernière nuit avant la fin.
J'espère que vous ne jugerez pas notre histoire comme quelque chose de sale et pervers, parce qu'il n'y avait que de l'amour.
je vais donc vous parler de son dernier appel au début des années 2000, mais tout cela fait remonter des moments magnifiquement douloureux.
Avec Lisa, nous avons changé d'appartement plusieurs fois, au gré de nos besoins, et de l'agrandissement de notre petite famille.
Un jour que Lisa travaillait et que nos enfants étaient à l'école, le téléphone fixe sonne.
"Allo?".
"Patrick?". Je reconnais sa voix aussitôt.
"Marie!".
"Oui, c'est moi!".
"Co... comment t'as eu mon numéro?".
"Il y a internet, maintenant mon amour!".
"Pourquoi tu m'appelles (mon amour) encore comme ça Marie!".
"Parce que je t'aimerai toujours, tu le sais! je vis avec, c'est tout, toi aussi, tu m'aimes encore, pas vrai?".
"Oui! je peux pas t'oublier, mais qu'est ce que tu deviens?".
"Oh, la vie et ses déboires, j'ai rompu avec Jean-Marc, nos rapports étaient devenus fades et sans passion, ça m'a fait mal, et puis j'ai connu Pascal, grâce à toi encore!".
"Quoi?".
"Ben, ma séparation me causait beaucoup de soucis, Pascal était devenu une sorte de confident, un collègue de bureau devenu un ami en fait, et il écoutait la radio au travail. Ah! je t'ai pas dit, je travaille dans un cabinet de gestion de patrimoine. Donc, à un moment, j'ai entendu notre chanson "My girl" et là, j'ai fondu en larmes! Il m'a prise dans ses bras et je lui raconté notre histoire. Me voir pleurer, lui a donné le courage de m'avouer qu'il m'aimait lui aussi, mais comme il est hétéro, il refoulait ses sentiments. Nous avons fait l'amour et nous ne nous sommes plus quittés depuis.
"C'est génial, Marie! Je suis heureux pour toi".
"Il te ressemble beaucoup. Indirectement, notre histoire me guide, elle m'aide à être heureuse, même loin de moi, tu me protèges sans le savoir! (elle entend mes sanglots) Ne pleures pas Patrick, je vais bien! Et toi qu'est-ce que tu deviens?".
J'essuie mes larmes et réponds:"J'ai deux beaux enfants, j'ai crée ma propre affaire de...., voilà, je suis toujours avec Lisa, on s'aime toujours, avec des accidents parfois, et une grosse évolution sexuelle. Mais ça fait partie de la vie, et Pascal, il t'aime comme il faut?".
"Ah, ah, au niveau sexuel, tu veux tout savoir, oui, il te ressemble beaucoup, je t'ai dit, il a eu un petit blocage sur le coté homo de nos relations, mais, il a très vite adoré ça, et on vit notre amour sans tabou aujourd'hui. On va partir à l'étranger pour nous marier, c'est pas encore possible en France, il a eu deux enfants avec sa première femme, mais il est d'accord pour qu'on adopte, on verra, on a plusieurs choix aussi, à l'étranger, peut-être une mère porteuse. Je t'ai appelé parce que j'ai encore entendu notre chanson récemment, je t'ai dis que je te donnerai des nouvelles coute que coute!".
"Merci, mon amour, ça me fait du bien de savoir tout ça, même si je suis heureux et que j'arrive pas à t'oublier!, Notre amour était parfait, on a pas eu la chance de nous détester avant de nous quitter, c'est ce qui le rend idéal!".
"C'est ce que je pense aussi (j'entends ses sanglots), bon, mon amour, il me faut te dire adieu, cette fois, je dois vivre ma vie, je t'oublierai jamais!""Moi aussi, Marie, je t'aimerai toujours, adieu, et sois heureuse surtout!".
J'éloigne le téléphone, j'ai pas le courage de raccrocher, un petit instant qui parait interminable passe, puis:"Click,....tut... tut... tut... tut...".