Marie, un amour très secret. Une simple journée. 2

- Par l'auteur HDS Plaisir39 -
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Récit libertin : Marie, un amour très secret. Une simple journée. 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Marie, un amour très secret. Une simple journée. 2
Le petit déjeuner fut bref, mais très agréable, le bonheur de Marie, suite à l'annonce de ces deux jours a vivre comme un couple normal, la rendait encore plus magnifique.
"Je dois passer chez moi, pour prendre quelques affaires, j'appelle Sandra pour lui dire et on y va mon amour!".
"Bien sur, comme ça, je saurai ou tu habites!".
Elle me saisit le visage, entre ses mains, me dépose un baiser et ajoute:"Je suis trop heureuse, je t'aime!".
Comme à chaque fois, je l'admire en train de s'habiller, je m'étonne encore du peu de maquillage nécessaire à sa mise en beauté.
J'aime son coté naturel, elle n'a besoin de rien pour être belle, j'aurai tant aimé qu'elle naisse avec le sexe qui aurait du être le sien.
Elle remarque mon regard.
"Qu'est-ce qu'il y a, je suis mal maquillée?".
"Non, mon amour, au contraire, tu es tellement belle que je me demande pourquoi, tu es avec moi, j'ai l'impression d'être avec une star, tu représentes un fantasme, pour moi, tu sais!".
"Quel fantasme, une trans comme moi?".
"Non, idiote! j'ai toujours été attiré par les filles rousses aux yeux verts, ça doit venir de mon enfance, j'adorai une actrice qui s'appelait Susan Hayward, et j'adore ton air entre Audrey Hepburn et Meg Ryan, même tes cheveux courts sont un fantasme!".
"Humm, merci, mon amour, Meg Ryan, carrément! C'est une femme qui m'a toujours inspiré, mais tu es beau, toi aussi, je ne voudrais personne d'autre que toi!".
Avant de partir, je choisi quelques CDs pour la route et quelques affaires de rechange.
Finalement, nous choisissons de nous rendre à Fréjus, dans un hôtel en périphérie.
Arrivés dans l'hôtel, je donne mon vrai nom, en disant "Monsieur et Madame G...", son air radieux me rempli de bonheur.
Nous installons nos affaires, puis je l'attend près de la porte pour ressortir.
Elle vient vers moi, puis nous nous embrassons fougueusement.
Elle se tourne en se collant au mur et en soulevant sa jupe, me montrant ses splendides fesses.
"Prends moi comme ça, fais moi jouir!".
Je me baisse pour plonger entre ses deux lobes d'amour, après avoir baissé son string.
Je salive abondamment sur son anus en une caresse buccale, longue et passionnée.
Je me relève et m'enfonce en elle, progressivement, d'un mouvement tendre et ferme.
Au bout de quelques minutes d'assauts, elle m'annonce son orgasme anal.
"Je jouis mon amour, encore, ahhhhhh".
Je commence à ralentir mes mouvements quand je comprends que son plaisir retombe.
"Non, continue, je veux que tu jouisses dans mon cul! S'il te plais!".
"Coquine!".
"C'est toi qui me rends comme ça!".
Je reprend mes assauts, jusqu'à l'explosion délicieuse de mon jus dans son anus.
Après mon éjaculation, je vais dans la salle de bain, pour m'essuyer la queue, puis, je lui tends du papier toilette.
Elle s'essuie vite fait en ajoutant:"Ca ira comme ça, je veux te garder en moi encore un peu!".
Nous sortons de l'hôtel en nous tenant la main, puis nous trouvons une brasserie restaurant, ou nous commandons un petit repas.
J'aime voir son bonheur à chaque "Messieurs Dame" que le serveur nous lance.
Je remarque quelques regards envieux à mon égard, j'entend même une femme s'extasier devant la beauté de Marie.
Après le repas, je lui propose d'aller nous baigner, je connais un peu la ville et lui conseille une plage retirée, vers Saint-Aygulf.
"On sera à coté de la plage nudiste, ça te déranges?".
"Pas du tout! Et toi?".
"Non, il suffit que je ne regarde pas, c'est tout, les vieux à poil, c'est pas mon truc!".
"Ha, ha, t'as raison, ça va être drôle, je crois!".
Dans la voiture, je la sens pensive, je devine qu'elle a quelque chose en tête.
Nous marchons dans les dunes de sable pour arriver enfin sur la plage, on passe entre les serviettes et les corps nus pour atteindre la plage des "tissus".
On étale nos serviettes, puis nous nous mettons en maillot, je la regarde cacher son sexe entre ses jambes, pour ne pas montrer qu'elle possède un pénis.
Nos regards se croisent à cet instant précis, elle remarque mon air attristé.
Elle attrape les serviettes au sol, puis me dit:"Viens! J'ai envie d'assumer ce que je suis, et montrer que j'ai droit à l'amour, moi aussi!".
Je la suis vers la plage nudiste, elle s'arrête en plein milieu, puis enlève son maillot, révélant son corps aux autres, puis va plonger dans la mer.
Après l'effet de surprise, je l'imite et la rejoins dans l'eau.
Après quelques brasses, nous revenons au bord, en marchant et nous embrassant, seuls nos torses dépassent de l'eau.
Mes mains caressent ses fesses.
"Mon amour, je m'excuse pour ça!".
Je lui réponds:"Pour quoi?".
Un bruit de bulles, s'échappe de l'eau, entre ses fesses, et je reconnais une tache de sperme liquéfié qui sort de son anus.
On se met à rire, puis nous allons nous allonger sur nos serviettes, quelques personnes nous regardent.
Certains sont critiques et gênés, mais d'autres aussi, sont admiratifs de notre amour et du physique de Marie.
J'aime la regarder nue sur le ventre, avec ses magnifiques fesses au soleil.
Je pose mon bras autour de sa taille, et lui dis:"Je suis bien mon amour!".
"Moi aussi, Patrick, c'est le plus beau jour de ma vie!".
"C'est pas fini, il reste demain!".
"Je sais, mais rien que ça, ça me rends heureuse!".
Au bout d'une heure, d'exposition solaire et d'aller retour dans la mer, elle attend d'être allongée à mes cotés pour me dire:"J'ai envie de toi!".
Je lui réponds:"Suis-moi!".
Je l'emmène dans les dunes entre des arbustes, en emportant une serviette.
Ayant trouvé un endroit tranquille, je la serre contre moi, en me plaçant contre ses fesses.
Mon sexe trouve vite le chemin délicieux de son cul, qu'elle fait osciller pour accélérer ma pénétration.
"Ca craint pas, ici?" me demande t'elle.
"C'est le lieu ou les échangistes se rencontrent, j'estime qu'ils n'ont pas à nous juger!".
Après quelques assauts, je la met en levrette sur la serviette, puis l'encule plus sauvagement, je devine qu'elle est excitée par la situation et en a envie.
"Arrrrhhh, Patrick, je jouis, arhhhhhhh, arhhhhhhhh, arhhhhhhh".
Quand elle revient à une complète lucidité, je l'aide à se relever, puis reprends la serviette et nous retournons à notre emplacement sur la plage nudiste après avoir croisé un voyeur en érection.
Nous restons jusqu'à 17 heures environ, puis décidons de nous balader sur la plage de Fréjus, à nouveau habillés, bien sûr.
Des marchands ambulants sont sur le trottoir de la plage, je lui offre une petite bague et un collier fantaisie.
Encore une fois, j'aime la voir heureuse d'entendre les gens dire:"Bonsoir, mademoiselle!".
"Ca vous va bien, vous le mettez en valeur!".
J'aime sentir sa tête sur mon épaule en marchant, serrée contre moi.
L'heure arrive ou une petite faim nous tenaille, nous choisissons un petit restaurant de plage, puis rentrons à l'hôtel pour nous aimer encore et encore.
En passant la porte de l'hôtel, elle se déshabille directement, puis saute sur le lit, nue, en disant:"Viens!".
Je l'imite, puis la rejoins, elle m'impose de m'allonger sur le dos, puis prend ma queue dans sa bouche et me dévore avec passion.
Elle gobe mes couilles par intermittence, puis pompe ma bite frénétiquement.
"Marie, arrêtes, je vais pas tarder a jouir, si tu continue comme ça!".
"Ah non! Je te veux encore en moi!".
Elle stoppe sa fellation, puis me chevauche en me montrant son magnifique cul, qu'elle empale avec patience sur ma queue.
Elle prend appuie sur mes jambes, et me baise ainsi en s'enfonçant mon membre profondément.
Mes mains caressent ses fesses tendrement pendant qu'elles s'agitent sur mon sexe.
Je l'entend gémir de plaisir, puis orgasmer enfin dans des râles qui me remplissent de bonheur.
Elle pivote pour s'allonger avec son dos contre mon torse.
Je lui caresse les seins, elle gémit à nouveau.
"Ils t'apportent du plaisir?"Elle me répond:"Oui, de plus en plus!".
Je les malaxent alors de plus belle, en pensant aux orgasmes mammaires de Lisa, mais je n'atteindrai pas un plaisir aussi fort chez Marie.
Pendant cette caresse, mon sexe continue de la sodomiser. Marie, accompagne mes mouvements en tortillant du cul.
En entendant ses gémissements augmenter de volume, je comprends qu'elle atteint un nouvel orgasme anal.
Je choisis ce moment pour la rejoindre en éjaculant de tout mon être en elle.
Nous atteignons un moment de communion magique, je le fais durer en continuant de bouger en elle lentement, tout en la caressant du bout des ongles sur toutes les parties accessibles de son corps.
"Ohhhhhhhhhhhhh, Patrick, tu me fais si bien l'amour!".
"Parce que je t'aime comme un fou, Marie!".
Elle se sépare de mon sexe dans son cul, puis viens au dessus de mon visage.
"Prend moi dans ta bouche, j'ai envie!".
J'ouvre mes lèvres, pour laisser entrer son sexe qui prend une forme plus dure au fur et à mesure qu'elle glisse dans ma bouche.
Elle me baise tendrement la gorge, lorsque son membre est en érection maximale, elle redescend entre mes cuisses, qu'elle relève pour me pénétrer elle aussi, en ajoutant.
"Je veux encore t'aimer comme ça!".
"Si tu veux, Marie! Je suis à toi jusqu'à Lundi matin! Alors prends-moi!".
Son sexe bandé à l'extrême, me pénètre sans difficulté, ses assauts sont frénétiques, je sens la passion dans sa possession, j'ai un orgasme anal puissant moi aussi.
Puis, je l'attire vers moi en l'embrassant et relevant au maximum, mes cuisses pour mieux lui offrir mon cul, et je lui murmure:"Plus tendrement, maintenant!".
Elle m'écoute et me pénètre fermement avec douceur, notre échange patient, nous amène à sentir monter très lentement notre plaisir commun.
C'est Marie qui annonce la première qu'elle va éjaculer, je la rassure en confirmant que moi aussi, je suis au bord de l'orgasme anal.
Son visage se déforme sous l'envahissement de son plaisir, je sens chaque spasme d'éjaculation dans mon anus, en orgasmant moi aussi.
Nos râles sont étouffés par un baiser passionné, interminable.
Nous ne séparons nos lèvres que lorsque notre plaisir redescend, lentement.
"Marie, je commence à aimer ça de plus en plus avec toi! J'aime quand tu me prends avec tendresse!".
"Moi, j'aime te rendre ce que tu me donnes!".
Nous nous enlaçons, puis on allume la télévision de la chambre en restant nus.
Moins d'une heure après, on recommence à s'aimer plus frénétiquement, à un moment pendant que l'encule en levrette, elle lâchera:"Oui, défonces-moi mon amour!".
Je serre alors ses fesses fermement, presque en les pinçant, pour m'accrocher à son cul pour la défoncer plus fort.
Puis je lui claque les fesses, par moment, elle se met alors a gueuler sans retenue jusqu'à l'orgasme anal.
Elle s'écroule sur le lit ensuite, en disant:"Oufffff, même ça tu le fais bien!, j'ai adoré mon amour".
Elle voit mon sexe toujours en érection, et ajoute:"Tu vas pas rester comme ça?".
"Non, je suis pas pressé, prends ton temps, je me fais pas de souci, je sais que tu sais me faire jouir!".
Après un moment de calme, elle se saisit de ma bite, puis m'honore d'une délicieuse fellation jusqu'à l'éjaculation dans sa gorge chaude.
Nous tombons alors dans les bras de Morphée.
A cause de mon sommeil léger, je me suis réveillé dans la nuit, une érection nocturne me faisait mal, à cause de la tension que cela engendrait dans mon muscle pénien.
Je n'ai pu m'empêcher de lui enfoncer mon membre tendu à l'extrême dans l'anus, notre communion fut bestiale et libératrice pour moi qui ai éjaculé en elle, puis me suis endormi aussitôt après, jusqu'au matin.
C'est Marie qui me réveille, je la vois debout, sortant de la douche, elle me dit:"Bonjour, mon amour!""Bonjour!".
"Tu sais que tu m'as tuée cette nuit, je sentais plus mon cul!".
"Désolé, c'est mon érection qui m'a réveillé!".
"Il faut pas t'excuser, j'ai adoré, tu recommences quand tu veux!".
Puis elle m'embrasse.
Je lui suggère d'aller déjeuner sur la plage, puis de retourner à la plage naturiste pour nous baigner.
Devant son insistance, je la laisserai me sucer dans les dunes, puis lui ferai l'amour encore une fois sans éjaculer, l'accumulation de rapports sexuels, me rendait trop endurant, malgré l'excitation de l'entendre orgasmer sous mes assauts.
On décide d'aller manger une grosse salade repas en bord de mer.
Je lui demande:"Ce soir, tu préfères rentrer ou rester à l'hôtel? On a jusqu'à Lundi 14 h environ".
"Je veux faire durer, on reste ici! J'oublie la réalité avec toi, j'ai le temps de retrouver les soucis dus à ce que je suis".
"Tu as raison, mon amour! Et la chambre est déjà payée en plus".
"Mademoiselle! Monsieur, qu'est ce que je vous propose?". Dit un serveur.
Marie lui sourit et réponds:"On va prendre une grosse salade repas!".
"Pas de souci, je vous apporte la carte!".
Elle me regarde en souriant.
"J'ai pas envie que ça s'arrête!".
"Sois patiente, tu le vivras un jour, je te le souhaite, mais tu sais que ce ne sera pas avec moi!".
Ses yeux se mettent a briller et s'embuent de larmes.
"Excuses-moi Marie, pensons à autre chose!".
Je lui prends la main sans la lâcher jusqu'à l'arrivée de nos assiettes.
Puis, nous allons nous promener main dans la main dans les rues proches de la plage de Fréjus et Saint Raphael.
Malheureusement, nous croisons le seul ami que je connaisse, qui habite dans le coin.
Il profite que Marie s'éloigne (elle a toujours peur qu'on devine qui elle est) pour admirer une vitrine, pour me demander:"T'es plus avec Lisa? C'est qui cette bombe!".
"Chtt, si, je suis toujours avec elle, s'il te plait, je compte sur ta discrétion!".
"Bien sur, tu t'embêtes pas, mon salaud, elle est magnifique, moi, je pourrai pas faire ce que tu fais, je tomberai amoureux, elle est trop belle!".
"C'est mon souci!".
"Aîe! Lisa mérites pas ça, elle est tellement gentille!".
Cette fois, c'est moi qui ai les yeux humides.
"Bon, je la rejoins, elle m'attends, désolé!".
"Pas de souci, ça m'a fait plaisir de te voir!".
Je m'approche de Marie qui me questionne.
"Vous avez parlé de moi!".
"Oui, il m'envie! Il connait Lisa, mais m'a promis de garder le secret!".
"Moi c'est Lisa que j'envie! Elle est jolie, elle aussi, et a beaucoup plus de chance que moi!".
"Pas tant que ça, je l'ai beaucoup trompée, elle a été au courant de toutes mes aventures avec des filles, sauf toi!".
"Elle t'as pas quitté?".
"Non, elle m'aime trop, elle a patienté, en attendant que j'arrête, mais j'ai recommencé avec toi, j'ai pas résisté au coup de foudre".
"Elle t'aime comme moi alors!".
Je lui pose le doigt sur les lèvres.
"Chutt, allez, on va se balader vers les marchand ambulants!".
Elle se blottit contre moi, et nous reprenons notre déambulation.
Vers 16 heures, elle me dit:"Je veux encore faire l'amour, on retourne à l'hôtel, s'il te plais!".
"Tu vas m'épuiser, Marie!".
"Allez!".
On reprend la voiture, puis en passant la porte, elle se retourne pour se jeter sur ma bite comme une folle affamée.
Excité par sa fellation, humide et vicieuse, je la soulève pour l'emmener sur le bord du lit, je baisse sa jupe et son string sans les enlever.
Les vêtements enserrent ses jambes, que je soulève pour accéder à sa chatte anale.
Mon membre gonflé de désir, la pénètre assez vite profondément, je malaxe fermement ses seins en la burinant passionnément.
"Oui, mon amour, défonces-moi, j'avais encore envie de ça!".
Je fais claquer mon bas ventre contre son cul à chaque enfoncement.
Je m'amuse à faire frotter mon gland puissamment contre sa prostate en espérant parvenir à la faire éjaculer.
A force d'assauts appuyés, sa queue prend forme, puis en quelques minutes, je vois son gland devenir turgescent, et enfin, elle éjacule dans des râles interminables, comblée d'orgasme anal et pénien.
"Mon amour, tu es le seul qui me fait jouir comme ça!".
Je passe mon doigt sur son sperme, puis le porte à ses lèvres.
"J'aime notre complicité!".
Elle lèche avidement mon doigt, puis ajoute:"Encore!".
Je pose ma main sur les taches de sperme, puis racle le tout jusqu'à ses seins, Je les massent tendrement avec son jus d'amour, puis lui donne ma main a lécher.
Je n'arrête ce petit jeu que lorsqu'il n'est plus possible de récupérer son jus de plaisir.
Elle me demande:"T'as pas joui, encore!".
"Ecoutes, je te propose d'aller au cinéma, et on recommencera après!".
"Super! C'est une bonne idée!".
Elle passe sous la douche, puis ressort toujours aussi désirable.
J'avoue avoir oublier le film, insignifiant, mais qui a eu l'avantage d'avoir une ambiance sombre.
Cela a permis a Marie de m'honorer d'une longue fellation, dans la pénombre, j'ai du la stopper pour ne pas jouir dans sa bouche, je voulais me réserver pour le retour à l'hôtel.
En sortant, nous prenons un simple sandwich à cause de l'heure tardive, puis retournons nous aimer dans notre chambre.
Après une cavalcade sexuelle tantôt vicieuse et tantôt tendre dans des tas de positions différentes, elle me fera éjaculer dans son anus en étant sur moi, puis elle recommencera à me sucer et parviendra avec tout son talent à me faire encore éjaculer dans sa bouche.
Je suis tombé dans un sommeil profond jusqu'au petit matin, sans me réveiller cette fois.
En me réveillant, je pense à tous nos ébats sexuels, et réalise, que je la baise plus souvent que Lisa, je ne sais pas si c'est à cause de la nouveauté de notre relation, ou si c'est parce qu'elle m'excite plus encore.
Aujourd'hui, je pense que son désir exacerbé de faire l'amour avec moi, venait de son coté masculin, et ce n'était pas pour me déplaire.
Nous passons la matinée à nous câliner et nous embrasser tendrement, puis prenons la route du retour.
Sur l'autoroute, je lui demande:"Arrêtes-toi sur une petite aire de repos, je veux t'aimer encore!".
"Moi aussi, j'en ai envie, ça tombe bien!".
Sur l'aire, je l'emmène dans les toilettes femme, et nous nous mélangeons encore tendrement d'abord, puis sauvagement en criant notre amour mutuellement.
Après notre orgasme commun, elle remarque des larmes dans mes yeux.
"Qu'est-ce qu'il y a?".
"Je t'aime comme un fou, mais en fait, je connais la fin de notre histoire".
"Comment ça?".
"Lisa va venir vivre avec moi quand elle aura 18 ans, et c'est dans quelques mois!".
En regagnant la voiture, il me vient une idée romantique pour lui montrer mon amour. je met un CD en sélectionnant un titre précis, puis lui demande de ne pas démarrer, tout en laissant la voiture allumée.
Je lui dis:"Viens!"Elle me rejoint à coté de ma porte passager, Je lance le morceau en disant pendant que je la prend par la taille:"Je veux danser avec toi!".
Puis je lui chantonne les paroles dans l'oreille en dansant tendrement avec elle:"I got sunshine on a cloudy day...."Puis au refrain:"My Girl, talking bout my girl".
J'ajoute:"Tu seras toujours "My girl" pour moi mon amour!".
Notre histoire a duré ce qu'elle a pu, nous avons eu une dernière nuit d'amour, la veille de l'arrivée de Lisa dans mon appartement.
Je la croiserai quelques fois ensuite, pendant quelques mois, puis plus rien, on recevait quelquefois des coups de téléphone, Lisa décrochait tout le temps, mais elle me disait que personne ne parlait au bout du fil.
Jusqu'au jour, ou enfin, j'ai décroché, je ne pensais pas qu'elle oserai m'appeler.
"Patrick, c'est Marie! Comment tu vas? On peut parler? Lisa n'est pas là?".
"Oui, tu peux! Je pense souvent à toi, tu sais!".
"Moi aussi, j'ai du mal à t'oublier, mais j'ai rencontré quelqu'un de gentil, il me regarde comme toi!".
"C'est super, je suis heureux pour toi! De mon coté, je dois te dire que Lisa est enceinte, ça me fait un peu peur, mais je dois assumer!".
"Encore une chose que je n'aurais jamais pu t'offrir, mon amour! Je vis à coté de Paris, maintenant!".
"J'ai essayé de revenir te voir, mais, tu n'y étais pas, je pense aussi que c'était mieux comme ça!'.
"J'aurais quand même aimer te voir! Mon amour, je t'oublierai jamais, et je t'aime encore, je crois!".
"Moi aussi, je t'oublierai jamais! J'espère qu'il t'aime aussi bien que tu le mérites".
"C'est pas aussi fort qu'avec toi, mais je l'aime aussi et c'est l'essentiel! Tu sais que "My Girl" est ma chanson préférée maintenant".
"Sois heureuse, mon amour!".
"Toi aussi, Patrick!".
Je raccroche, heureusement, Lisa ne remarquera pas les rougeurs causées par les larmes des sanglots que cet appel a engendré.
Elle ne devait pas souffrir de ça, il me faut assumer ma dernière connerie extraconjugale.

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