Maurice ou l'art d'etre cocu
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2015 dans la catégorie Plus on est
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Maurice ou l'art d'etre cocu
Ce matin depuis la fenêtre de la cuisine, en buvant mon café, je regardais ma femme Estelle étendre son linge… a quarante deux ans elle a encore ‘du chien’ ses bras levés tirent sur sa robe et découvre ses cuisses musclées, et là je me dis qu’il faut tenir le coup lorsque je suis entre ces deux ‘brancards’, il ne faut pas lui en promettre a cette maitresse femme ! chose que je reconnais, il m’est difficile d’assumer, elle se contente de mes quinze centimètres et de mon éjaculation quasi précoce, souvent après les rapports elle reste au lit pour se finir a la main, je l’entend geindre lorsqu’elle jouit
Plus je la regarde évoluer derrière son linge plus je me dis qu’il se passe quelque chose de pas normal … ses yeux sont dirigés vers la haie du voisin, elle en met du temps à étendre mes teeshirts, enfin elle revient en courant, son regard reflète autant la stupeur que l’étonnement
- Que t’arrive-t-il chérie ?
- Tu ne devineras jamais, c’est Antoine - Antoine ? Attila ? le copain de valentin notre vieux voisin ?
- Oui ! et alors ?
- Eh bien pendant que j’étendais le linge il est venu vers l’arbre prés de la haie, je suppose qu’il ne m’a pas remarquée derrière les draps étendus … et il a sorti son engin, quand je dis son engin c’est peu dire - Tu veux dire plus que mes seize centimètres ne font pas le poids à coté ?
- Ne te vexe pas Maurice mais c’est vrai, il était a cinq mètres de moi, en urinant il a fait coulisser la peau très loin en arrière - Il s’est décalotté ?
- Oui et sa verge a commencé à grossir - C’est pour le mater que tu as arrêté d’étendre le linge ?
- Ben ça surprend et je voulais voir jusqu’à quel point ça pouvait grossir - Et alors ?
- Elle est devenue très vite comme ça et aussi grosse que ça ….
- C’est sans doute pour cela qu’il est surnommé Attila !
En disant cela elle mime la dimension avec sa main étendue, elle pose deux doigt sur son poignet où elle pense avoir deviné la longueur, et, de son pouce et son index qui ne se rejoignent pas, elle fait un rond que j’estime a six centimètres, a coté j’ai l’air d’un petit gamin
- Il l’a secouée a pleines mains, le gland était grenat, de grosses gouttes transparentes perlaient au bout j’étais tellement médusée que je n’ai pas pu bouger, et puis ‘ça’ a fusé sur l’arbre, ‘ça’ dégoulinait le long du tronc, avant de la ranger il l’à tapée sur l’arbre pour faire tomber les dernières gouttes de sperme comme s’il s’agissait d’un vulgaire bout de bois, je me suis décidée à repartir avant qu’il ne s’aperçoive de ma présence - Approche … - Pour quoi faire ?
- Je veux constater l’état de ton entrejambe- Non chéri, j’ai trop honte - Tu es trempée ? ta culotte colle à ta chatte, ça t’a émoustillée salope !
- Baise-moi plutôt que de me faire des remontrances
Elle n’a jamais été aussi excitée, je suis certain qu’elle fantasmait sur ce membre qui lui ouvrait la chatte, je dois prendre les devants je préfère être cocu ‘volontaire’ plutôt que ça se fasse dans mon dos, le lendemain je suis allé voir le voisin avec qui j’ai longtemps discuté, il a été vachement étonné mais n’a pas dit non a mon projet….
- Chérie ?
- Oui Maurice ?
- Tu reste à la maison demain matin ?
- Bien sûr pourquoi ?
- Le voisin valentin et son copain vont passer deux stères de bois par-dessus la haie, ensuite ils viendront le ranger - Ils … ils vont venir ici ?
- Oui valentin et Attila !
- Ah bon ?
- N’oublie pas de les inviter à entrer pour boire une bière- Que crois-tu ? j’ai du savoir vivre ! sois rassuré, je les chouchouterais - N’en fait pas trop quand même !
Et voilà, les dés sont jetés …il ne me reste plus qu’à trouver un endroit d’où je pourrais suivre les événements sans être découvert, valentin sait qu’ils devront se positionner afin que j’en vois le plus possible En embrassant Estelle comme si c’était la première fois je suis sorti de la maison la boule au ventre, deux heures plus tard je reçois un coup de fil de valentin qui me signale qu’ils ont terminés et que ma femme venait de les inviter à boire une bière… garé deux rues plus loin je suis revenu par le garage que j’avais pris soin de laisser ouvert, j’ai attendu qu’ils soient tous les trois a la cuisine pour me faufiler dans la chambre d’amis Malgré mon angoisse ma queue ne demande qu’à se raidir, je me débarrasse des chaussures, du pantalon et du boxer tendu par ma modeste bite, valentin complimente ma femme sur sa tenue…. Ce matin elle était vêtue d’une simple blouse entièrement boutonnée, qu’a-t-elle dessous ? Mystère, des rires commencent à fuser
- Vous avez de jolies jambes Estelle - Merci Atti …pardon … merci Antoine.
- Vous alliez dire Attila ? ne soyez pas confuse tout les amis m’appellent ainsi - Tu sais pourquoi Estelle ?
- Eeeeuuuuuhhh non ….
- Eh bien je vais te le dire !
- Valentin ! tu vas faire rougir madame- Estelle est une femme qui connaît la vie, elle doit en avoir vu d’autres … - D’autres quoi ???
- Énormes verges, énormes queues, énormes bites, tu sais ce que c’est non ?
- Je ne connais que celle de mon mari et je m’en contente - Tu t’en contente, c’est le mot ! laisse mon copain Attila te caresser les seins …- Valentin je suis fidèle à Maurice- Caresser les seins n’est pas tromper, allez laisse le faire, - Arrêtez ou je crie ! … ôtez vos grosses mains Attila … ne faites pas ça … Oooohhhhhhhhhhh noooonnn- Vos seins sont très fermes Estelle - Je vais déboutonner sa blouse- Valentin tu es un fripon ! … je suis quasiment nue dessous … - C’est bien ce que nous espérions, regarde moi ce ventre plat Attila- Vous vous gavez de mes formes alors que je ne vois rien de vous, ce n’est pas juste - Donne moi ta main … ma braguette est ouverte, plonge a l’intérieur et serre très fort ce que tu vas y trouver - Vous me tutoyez ?
- Ne fais pas ta mijaurée je sais que tu as vus ma queue et depuis tu ne pense qu’a une chose : te la prendre entre les cuisses- Qui t’a dit ça ?
- J’ai mes sources - Alors ? comment la trouves-tu ?
- Elle … elle est énorme, je sens des veines que je n’avais pas vues l’autre jour - Si tu savais combien ça fait du bien à l’intérieur d’une chatte, attend je vais déboucler ma ceinture, tu va jouer avec - Ta petite culotte est très humide, je vais t’en débarrasser - Valentin je ne te croyais pas aussi vicieux !
Au risque d’être découvert je mes suis faufilé dans le couloir pour découvrir une situation irréelle, ma femme bloquée entre les deux hommes, la blouse ouverte, le soutient gorge relevé, la culotte a mis cuisses et des mains et partout et surtout des doigts dans sa chatte ! Une des siennes agrippe le membre monstrueux, ses yeux sont braqués sur cette hampe qui tressaute entre ses doigts qui n’en font pas le tour
- Décalotte-moi …- Sa chatte dégouline Attila ! j’ai déjà mis quatre doigts !
- Enfonce lui une bouteille de bière, ma queue entrera plus facilement une fois bien ouverte- Vous êtes deux tortionnaires mais j’aime ça, ça me change de mon pauvre mari qui ne me satisfait pas entièrement…- Ne critique pas Maurice, il fait beaucoup pour te rendre heureuse, enlève toute tes fringues, écarte tes pieds que je t’enfonce le goulot - C’est froid !
- C’est bon pour rafraichir ta moule enflammée, je pousse …et voilà elle est rentrée à moitié - Pousse encore, j’ai l’habitude de m’enfoncer une bombe de laque sous la douche- Tu va être servie en grosseur, la bombe d’Attila crache aussi, pas de la laque, mais tout aussi collant - Courbe toi pour prendre mon nœud en bouche ma jolie - Tu vas me décrocher la mâchoire- Lèche ce que tu ne peu avaler- Valentin va me faire jouir avec cette bouteille encore à moitié pleine dans le vagin, la mousse me fait une sensation bizarre
Pliée en deux ma femme passe sa langue sortie sur toute la longueur du membre, elle embrasse le bout avant de le rentrer dans son palais, ses deux mains font coulisser lentement la peau, l’homme pose une main sur sa tête pour lui indiquer la cadence, cette position permet a valent de secouer encore plus le flacon qui se déverse dans le fourreau, la pression fait sortir de la mousse blanche qui glisse le long des cuisses Juste un instant l’envie d’arracher ma femme a ces deux mâles en rut m’a effleuré mais l’excitation a vite pris le dessus, je me branle comme un forcené devant ce spectacle d’orgie, soudain Estelle pousse un véritable beuglement elle vient de jouir en avalant la sauce qu’Attila vient de lui injecter dans la gorge, dont la moitié tombe sur le carrelage
- Je crois qu’elle est prête pour faire le grand saut, elle vient de remplir la bouteille de bière avec la sève de sa moule !
- Le mieux est qu’elle vienne s’empaler sur moi son poids suffira à l’emmancher et tu pourras jouer avec son petit trou
Mon dieu ils vont la prendre en double ? Ce n’était pas prévu, ils vont lui éclater ses trous, il faut que j’intervienne avant qu’ils ne la mutilent a jamais, valentin m’a vu arriver et se jette sur moi avant que ma femme ne m’ait vu
- Tu es fou Maurice ? tu veux tout faire foirer ?
- Mais vous allez lui faire mal !
- Tu as vu sa chatte ? elle est ouverte comme une bouche de métro, avec la bouteille j’avais trois doigts dans son cul, si tu veux te joindre a nous attend qu’elle soie bien partie, quand je l’aurais enculée je te ferais signe, il te restera sa bouche ! on voit tout d’ici, regarde là enjamber son amant, regarde ses doigts ouvrir sa matrice pour faire entrer le gland … Aaaaahhh comme elle l’avale facilement ! … bon reste là j’y vais
Médusé je regarde le gros membre qui disparait peu à peu dans ma femme, ses lèvres étirées ont disparu, ce n’est qu’un pieu planté dans son ventre, juste au dessus je reconnais a peine sa cible fripée qui se détend par spasmes, après m’avoir fait un clin d’œil valentin se positionne derrière le couple adultère qui visiblement n’attend plus que lui
- Ça va Estelle ? tu supporte son chibre ?
- J’ai honte pour mon mari, mais Attila me comble le minou à merveille- Lâche toi, ton mari ne demande que ton bonheur, il est fier de toi en ce moment - Comment le sais-tu ? il est au travail et je le trompe avec deux retraités vicieux !
- Ne bougez plus, je vais la sodomiser…putain ça force …. Pousse Estelle !
- Si je pousse davantage je ne réponds plus de rien … AIIIIIIIIIIIIEEEEEE !!!!!!!
- Et voilà, je suis dans ton cul !
- Vous allez me fendre en deux comme une buche - Dans un instant c’est toi qui va sauter sur nos queues, il te reste un trou de libre non ?
- Ma bouche ?
- Oui … MAURICE ? approche c’est le moment de participer !
- MAURICE ?????? il est ici ? lâchez moi je veux partir - Tout doux ma belle, nous ne t’avons pas encore montré ce que deux belles verges peuvent provoquer comme plaisir chez une femme - Laisse-les te baiser ma chérie c’est moi qui leurs ais demandé de me faire cocu, tu rêvais de cette grosse bite, un jour ou l’autre tu l’aurais fait ? je me trompe ?
- J’avoue que tu as raison, j’aurais fais n’importe quoi pour qu’Attila me fourre sa grosse bite - Et alors ? elle est comment ?
- C’est indescriptible, je suis tellement ouverte que les queues m’arrachent des sensations encore inconnues jusque là - Ne parle plus chérie, savoure les membres qui te défonce - Donne moi le tient mon amour, je vais te sucer ainsi je serais remplie de partout !
C’est ainsi que je suis devenu cocu mais heureux de voir ma femme pleinement satisfaite une fois par semaine
Plus je la regarde évoluer derrière son linge plus je me dis qu’il se passe quelque chose de pas normal … ses yeux sont dirigés vers la haie du voisin, elle en met du temps à étendre mes teeshirts, enfin elle revient en courant, son regard reflète autant la stupeur que l’étonnement
- Que t’arrive-t-il chérie ?
- Tu ne devineras jamais, c’est Antoine - Antoine ? Attila ? le copain de valentin notre vieux voisin ?
- Oui ! et alors ?
- Eh bien pendant que j’étendais le linge il est venu vers l’arbre prés de la haie, je suppose qu’il ne m’a pas remarquée derrière les draps étendus … et il a sorti son engin, quand je dis son engin c’est peu dire - Tu veux dire plus que mes seize centimètres ne font pas le poids à coté ?
- Ne te vexe pas Maurice mais c’est vrai, il était a cinq mètres de moi, en urinant il a fait coulisser la peau très loin en arrière - Il s’est décalotté ?
- Oui et sa verge a commencé à grossir - C’est pour le mater que tu as arrêté d’étendre le linge ?
- Ben ça surprend et je voulais voir jusqu’à quel point ça pouvait grossir - Et alors ?
- Elle est devenue très vite comme ça et aussi grosse que ça ….
- C’est sans doute pour cela qu’il est surnommé Attila !
En disant cela elle mime la dimension avec sa main étendue, elle pose deux doigt sur son poignet où elle pense avoir deviné la longueur, et, de son pouce et son index qui ne se rejoignent pas, elle fait un rond que j’estime a six centimètres, a coté j’ai l’air d’un petit gamin
- Il l’a secouée a pleines mains, le gland était grenat, de grosses gouttes transparentes perlaient au bout j’étais tellement médusée que je n’ai pas pu bouger, et puis ‘ça’ a fusé sur l’arbre, ‘ça’ dégoulinait le long du tronc, avant de la ranger il l’à tapée sur l’arbre pour faire tomber les dernières gouttes de sperme comme s’il s’agissait d’un vulgaire bout de bois, je me suis décidée à repartir avant qu’il ne s’aperçoive de ma présence - Approche … - Pour quoi faire ?
- Je veux constater l’état de ton entrejambe- Non chéri, j’ai trop honte - Tu es trempée ? ta culotte colle à ta chatte, ça t’a émoustillée salope !
- Baise-moi plutôt que de me faire des remontrances
Elle n’a jamais été aussi excitée, je suis certain qu’elle fantasmait sur ce membre qui lui ouvrait la chatte, je dois prendre les devants je préfère être cocu ‘volontaire’ plutôt que ça se fasse dans mon dos, le lendemain je suis allé voir le voisin avec qui j’ai longtemps discuté, il a été vachement étonné mais n’a pas dit non a mon projet….
- Chérie ?
- Oui Maurice ?
- Tu reste à la maison demain matin ?
- Bien sûr pourquoi ?
- Le voisin valentin et son copain vont passer deux stères de bois par-dessus la haie, ensuite ils viendront le ranger - Ils … ils vont venir ici ?
- Oui valentin et Attila !
- Ah bon ?
- N’oublie pas de les inviter à entrer pour boire une bière- Que crois-tu ? j’ai du savoir vivre ! sois rassuré, je les chouchouterais - N’en fait pas trop quand même !
Et voilà, les dés sont jetés …il ne me reste plus qu’à trouver un endroit d’où je pourrais suivre les événements sans être découvert, valentin sait qu’ils devront se positionner afin que j’en vois le plus possible En embrassant Estelle comme si c’était la première fois je suis sorti de la maison la boule au ventre, deux heures plus tard je reçois un coup de fil de valentin qui me signale qu’ils ont terminés et que ma femme venait de les inviter à boire une bière… garé deux rues plus loin je suis revenu par le garage que j’avais pris soin de laisser ouvert, j’ai attendu qu’ils soient tous les trois a la cuisine pour me faufiler dans la chambre d’amis Malgré mon angoisse ma queue ne demande qu’à se raidir, je me débarrasse des chaussures, du pantalon et du boxer tendu par ma modeste bite, valentin complimente ma femme sur sa tenue…. Ce matin elle était vêtue d’une simple blouse entièrement boutonnée, qu’a-t-elle dessous ? Mystère, des rires commencent à fuser
- Vous avez de jolies jambes Estelle - Merci Atti …pardon … merci Antoine.
- Vous alliez dire Attila ? ne soyez pas confuse tout les amis m’appellent ainsi - Tu sais pourquoi Estelle ?
- Eeeeuuuuuhhh non ….
- Eh bien je vais te le dire !
- Valentin ! tu vas faire rougir madame- Estelle est une femme qui connaît la vie, elle doit en avoir vu d’autres … - D’autres quoi ???
- Énormes verges, énormes queues, énormes bites, tu sais ce que c’est non ?
- Je ne connais que celle de mon mari et je m’en contente - Tu t’en contente, c’est le mot ! laisse mon copain Attila te caresser les seins …- Valentin je suis fidèle à Maurice- Caresser les seins n’est pas tromper, allez laisse le faire, - Arrêtez ou je crie ! … ôtez vos grosses mains Attila … ne faites pas ça … Oooohhhhhhhhhhh noooonnn- Vos seins sont très fermes Estelle - Je vais déboutonner sa blouse- Valentin tu es un fripon ! … je suis quasiment nue dessous … - C’est bien ce que nous espérions, regarde moi ce ventre plat Attila- Vous vous gavez de mes formes alors que je ne vois rien de vous, ce n’est pas juste - Donne moi ta main … ma braguette est ouverte, plonge a l’intérieur et serre très fort ce que tu vas y trouver - Vous me tutoyez ?
- Ne fais pas ta mijaurée je sais que tu as vus ma queue et depuis tu ne pense qu’a une chose : te la prendre entre les cuisses- Qui t’a dit ça ?
- J’ai mes sources - Alors ? comment la trouves-tu ?
- Elle … elle est énorme, je sens des veines que je n’avais pas vues l’autre jour - Si tu savais combien ça fait du bien à l’intérieur d’une chatte, attend je vais déboucler ma ceinture, tu va jouer avec - Ta petite culotte est très humide, je vais t’en débarrasser - Valentin je ne te croyais pas aussi vicieux !
Au risque d’être découvert je mes suis faufilé dans le couloir pour découvrir une situation irréelle, ma femme bloquée entre les deux hommes, la blouse ouverte, le soutient gorge relevé, la culotte a mis cuisses et des mains et partout et surtout des doigts dans sa chatte ! Une des siennes agrippe le membre monstrueux, ses yeux sont braqués sur cette hampe qui tressaute entre ses doigts qui n’en font pas le tour
- Décalotte-moi …- Sa chatte dégouline Attila ! j’ai déjà mis quatre doigts !
- Enfonce lui une bouteille de bière, ma queue entrera plus facilement une fois bien ouverte- Vous êtes deux tortionnaires mais j’aime ça, ça me change de mon pauvre mari qui ne me satisfait pas entièrement…- Ne critique pas Maurice, il fait beaucoup pour te rendre heureuse, enlève toute tes fringues, écarte tes pieds que je t’enfonce le goulot - C’est froid !
- C’est bon pour rafraichir ta moule enflammée, je pousse …et voilà elle est rentrée à moitié - Pousse encore, j’ai l’habitude de m’enfoncer une bombe de laque sous la douche- Tu va être servie en grosseur, la bombe d’Attila crache aussi, pas de la laque, mais tout aussi collant - Courbe toi pour prendre mon nœud en bouche ma jolie - Tu vas me décrocher la mâchoire- Lèche ce que tu ne peu avaler- Valentin va me faire jouir avec cette bouteille encore à moitié pleine dans le vagin, la mousse me fait une sensation bizarre
Pliée en deux ma femme passe sa langue sortie sur toute la longueur du membre, elle embrasse le bout avant de le rentrer dans son palais, ses deux mains font coulisser lentement la peau, l’homme pose une main sur sa tête pour lui indiquer la cadence, cette position permet a valent de secouer encore plus le flacon qui se déverse dans le fourreau, la pression fait sortir de la mousse blanche qui glisse le long des cuisses Juste un instant l’envie d’arracher ma femme a ces deux mâles en rut m’a effleuré mais l’excitation a vite pris le dessus, je me branle comme un forcené devant ce spectacle d’orgie, soudain Estelle pousse un véritable beuglement elle vient de jouir en avalant la sauce qu’Attila vient de lui injecter dans la gorge, dont la moitié tombe sur le carrelage
- Je crois qu’elle est prête pour faire le grand saut, elle vient de remplir la bouteille de bière avec la sève de sa moule !
- Le mieux est qu’elle vienne s’empaler sur moi son poids suffira à l’emmancher et tu pourras jouer avec son petit trou
Mon dieu ils vont la prendre en double ? Ce n’était pas prévu, ils vont lui éclater ses trous, il faut que j’intervienne avant qu’ils ne la mutilent a jamais, valentin m’a vu arriver et se jette sur moi avant que ma femme ne m’ait vu
- Tu es fou Maurice ? tu veux tout faire foirer ?
- Mais vous allez lui faire mal !
- Tu as vu sa chatte ? elle est ouverte comme une bouche de métro, avec la bouteille j’avais trois doigts dans son cul, si tu veux te joindre a nous attend qu’elle soie bien partie, quand je l’aurais enculée je te ferais signe, il te restera sa bouche ! on voit tout d’ici, regarde là enjamber son amant, regarde ses doigts ouvrir sa matrice pour faire entrer le gland … Aaaaahhh comme elle l’avale facilement ! … bon reste là j’y vais
Médusé je regarde le gros membre qui disparait peu à peu dans ma femme, ses lèvres étirées ont disparu, ce n’est qu’un pieu planté dans son ventre, juste au dessus je reconnais a peine sa cible fripée qui se détend par spasmes, après m’avoir fait un clin d’œil valentin se positionne derrière le couple adultère qui visiblement n’attend plus que lui
- Ça va Estelle ? tu supporte son chibre ?
- J’ai honte pour mon mari, mais Attila me comble le minou à merveille- Lâche toi, ton mari ne demande que ton bonheur, il est fier de toi en ce moment - Comment le sais-tu ? il est au travail et je le trompe avec deux retraités vicieux !
- Ne bougez plus, je vais la sodomiser…putain ça force …. Pousse Estelle !
- Si je pousse davantage je ne réponds plus de rien … AIIIIIIIIIIIIEEEEEE !!!!!!!
- Et voilà, je suis dans ton cul !
- Vous allez me fendre en deux comme une buche - Dans un instant c’est toi qui va sauter sur nos queues, il te reste un trou de libre non ?
- Ma bouche ?
- Oui … MAURICE ? approche c’est le moment de participer !
- MAURICE ?????? il est ici ? lâchez moi je veux partir - Tout doux ma belle, nous ne t’avons pas encore montré ce que deux belles verges peuvent provoquer comme plaisir chez une femme - Laisse-les te baiser ma chérie c’est moi qui leurs ais demandé de me faire cocu, tu rêvais de cette grosse bite, un jour ou l’autre tu l’aurais fait ? je me trompe ?
- J’avoue que tu as raison, j’aurais fais n’importe quoi pour qu’Attila me fourre sa grosse bite - Et alors ? elle est comment ?
- C’est indescriptible, je suis tellement ouverte que les queues m’arrachent des sensations encore inconnues jusque là - Ne parle plus chérie, savoure les membres qui te défonce - Donne moi le tient mon amour, je vais te sucer ainsi je serais remplie de partout !
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