Mere et fille ... la mere... 1/2 - histoire érotique

Divorcé depuis cinq ans je loue le même bungalow dans un camping du littoral atlantique, deux jours après mon arrivée j’ai hérité de deux voisins, ou plutôt deux voisines, vu la ressemblance je dirais la trentaine pour la mère et dix-sept-dix-huit pour la fille , moi j’en ai quarante cinqD’aspect agréable et souriantes, le contact a été très facile, vers dix heures là mère va faire les courses au centre commercial du camping alors que la fille n’émerge du mobil-home que vers onze heures les cheveux en bataille et les yeux gonflés de sommeil, malgré cela elle resplendit de la beauté insolente de l’adolescence, une poitrine gonflée comme si elle sortait d’une clinque de chirurgie plastique, et je ne parle pas de ce p’tit cul moulé dans un mini short une taille au-dessous de la sienne , montrer cela a un célibataire en recherche constante de femme devrait être condamnable La maman est très sociable, ce matin elle s’est arrêtée pour me demander des renseignements sur la vie du camping et de ses environs à visiter, je dirais après l’avoir dévisagée longuement et discrètement qu’elle n’a rien à envier à sa fille, des formes et des rondeurs agréables et bien placées qui feraient mon bonheur ! nous nous somment présentés : elle en plein tourment conjugal, moi à peine émergé d’une séparation difficile, elle affublée d’une ado en pleine croissance hormonale se prenant déjà pour une ‘femme’ à part entière, moi, heureusement sans enfants - Que dois-je faire Henri ? tout ce que je dis à Camille est ‘nase’ ou dépassé à ses yeux, je ne suis bonne qu’à accepter ses lubies et l’autoriser à sortir le soir, modérément mais jusqu’à quelles limites ?
- Je vous comprends Clotilde, c’est extrêmes difficile, il ne faut pas la brusquer au risque de la voir fuguer avec n’importe quel beau parleur … elle prend un contraceptif ?
- Heureusement, mais je lui fais confiance dans le choix de ses relations- Et vous ?
- Quoi moi ? mes relations ? !! vous êtes un plaisantin Henri, et j’aime les gens ouverts ! hélas mes relations ne viennent pas souvent me rendre visite !
- Il faut forcer le destin, je vous invite vous et Camille à l’apéro - MAMAN ???? qu’est-ce que tu fous ? et mon p’tit dej ? bonjour monsieur- Salut Camille, je te rends ta mère !
A l’apéro nous avons beaucoup parlé, j’ai su notamment qu’elle est en brouille passagère avec son mari qu’elle est photographe- Où puis-je faire quelques beaux clichés d’animaux sauvage ? on m’a dit qu’il y avait des bêtes par ici ?
- Effectivement, des lapins de garenne dans les dunes, quelques biches et cerfs en sous-bois, et quelques écureuils téméraires se baladent dans le camping mais en forêt ils sont plus à l’aise - Des écureuils ? magnifique ! vous m’y emmèneriez ? je n’ose pas m’aventurer seule dans cette immense forêt - Pas de problème, cet après-midi si vous voulez- Hoouuuaaais ! tu viens avec nous Camille ?
- T’es dingue ? je ne veux pas me faire bouffer par les moustiques, je vais à la plage- D’accord ? dois-je mettre des chaussures hautes ? , - Pied nus ça ira, ce sont des sentiers sablonneux, des vêtements léger car il n’y a pas de brise en forêt - Vous suggérez un maillot de bain ?
- Pour ma part c’est ce que je vais mettre Lorsqu’elle m’a vu avec un plaid sous le bras Clotilde s’est posé des questions - La position allongée est indispensable pour observer les écureuils à la cime des pins, sinon vos vertèbres vont souffrir- Bien vu, je ne voyais pas ça comme ça - Je ne vais pas vous violer sur ce plaid voyons !
Finalement elle m’a fait cogiter à une chose que je n’osais évoquer … un homme en quête d’aventures et une belle femme a moitié nue en plein bois …huuuuummmmmmmmmJe ne peux détacher mes yeux de cet arrière train à peine caché par un maillot étroit qui se dandine gracieusement devant moi - C’est encore loin ?
- Nous arrivons, marchons silencieusement… stop ! en voilà deux qui jouent - Où ça ?
- Ici tout en haut - Je ne vois rien - Approchez-vous de moi et suivez mon doigt Clotilde s’est placée devant moi … j’ai posé une main sur son épaule et pointé mon autre bras vers la cime, ce faisant elle laisse sa tête reposer sur mon torse ce qui pourrait faire croire à un abandon total- Regardez-les se courir après autour du tronc- Haa ooouuiiiiiiiii ! c’est marrant …Plus ça va plus la femme se laisse aller sur moi, nos corps s’épousent parfaitement … va-t-elle sentir mon érection naissante ? mes mains tremblent sur la peau brulante de ses épaules, j’ai une vue plongeante sur la vallées de sa poitrine où dégoulines quelques gouttes de sueur, elle bredouille d’une voix cassée par un trouble apparent- Qu’est-ce qu’il fait chaud …- Je vais souffler dans votre cou … ffffffffftttt ! ffffffffftttt !
- Haaaaaa merci ! mais ça ne dure pas assez longtemps - Je vais faire mieux …Une seule pression de mes doigts a suffi à faire sauter l’agrafe du soutien-gorge qui tombe à ses pieds, sans refus de sa part j’empaume et malaxe ses seins fièrement dressés qui remontent en même temps que sa respiration augmente de volume- Vous voyez les deux écureuils sur cet arbre ?
- Oui ! c’est magnifique- Vous voyez leur queue en panache ?
- Oui…, d’ailleurs je me demande s’il n’y en a pas un qui s’est glissé entre nous … - Vous sentez une queue en panache ?
- Exactement, et très dure, mais ça ne me gêne pas, je suppose que c’est dût a notre proximité … a propos, où nichent ces petits animaux ?
- Ils trouvent des trous pour s’abriter, pourquoi ?
- Celui qui pousse dans mon dos as-t-il trouvé un refuge ?
- Non, pas encore … pensez-vous qu’il va trouver à se loger ?
- Oui, si je me retourne il existe une grotte faite exprès pas très loin de lui, vous pouvez la visiter de vos doigts afin de vérifier son volumeUne de mes mains lâche un sein pour glisser vers le maillot, les nouettes défaites le sou vêtement rejoint le soutien-gorge, mes doigts s’infiltrent dans la toison frisée et courte décollant au passage les lèvres gonflées de désir, mon index et mon majeur fouillent cette cavité poisseuse, la femme s’alanguit entre mes bras - Vous devriez étaler le plaid afin que je puisse suivre les évolutions des écureuils sans fatiguer mes cervicales … - Tout de suite Clotilde… voilà, c’est fait- Allongez-vous près de moi, je n’aime pas être dominée, profitez-en pour libérer votre petit animal - Petit animal ? ta petite grotte va être en peine de l’accueillir totalement- En effet il est de taille ! et il possède deux grosses pommes de pins à croquer, je vais le prendre dans mon viseur ne bouge plus … clic-clac, c’est dans la boite !
- C’est dangereux ce que tu fais là ? et si ta fille ou ton mari vérifie ton appareil ?
- J’en fous- Tu tiens toujours à photographier tes écureuils ?
- Laissons-les vivre leur vie, vivons la notre - Ouvre tes cuisses je vais visiter ta cavité avec mes doigts et ma langueMalgré la chaleur et la sueur qui dégouline entre nous je la baise comme un forcené, ses cris inhumains font fuir toute la faune de la forêt À peine calmés nous regagnons discrètement mon bungalow climatisé afin de se désaltérer et de prendre une douche commune sous laquelle elle me fait une pipe magistrale qui ravive nos instincts sexuels, je l’ai prise debout dans la douche avant de l’emmener encore mouillée (extérieurement et intérieurement) sur mon lit où elle m’a chevauché durant des minutes avant que je la prenne en levrette Après avoir prévenue sa fille par téléphone Clotilde passe la nuit chez moi, nous avons improvisé un diner à poil entrecoupé de positions scandaleuses, mais au matin alors que le soleil est déjà levé, je caresse la vulve de ma maitresse pour la réveiller afin de lui en remettre un p’tit coup, on tambourine a la porte - Maman ! maman … MAMANANNNN !!!!!!
Je me lève en catastrophe oubliant ma nudité que j’ai juste le temps de cacher derrière la porte quand j’ai ouvert, Camille en furie est entrée pour se diriger directement vers la chambre où sa mère est aussi nue que moi - Aaaahhh t’es là ! je te signale que papa est à l’accueil du camping, il vient passer la journée et attend que tu aille le récupérer- Oooh merde ! il ne manquait plus que lui ! bon j’y vais- Prend une douche avant, si tu voyais ta chatte on dirait un bulldog qui a bouffé un yaourt ! de plus tu pue le cul à vingt mètres, Henri ne t’as pas ratée !
- Aaah ça suffit ! occupe-toi de ce qui te regarde, tu m’accompagne à l’accueil ?
- T’es folle ? soit vous allez vous engueuler toute la journée avec papa, soit vous allez baiser comme des bêtes et je ne veux pas assister à ça - Eh bien que vas-tu faire toute la journée ?
- Je crois qu’Henri n’as pas le choix que de m’inviter chez lui, n’est-ce pas Henri ???
- Heeeuuuu jeeeeeeeee… non c’n’est pas possible voyons !
- Dans ce cas papa va tousser lorsqu’il va savoir …- Bonnnnnn, boooooonnnn, ça va, reste ici, mais fait toi toute petite - ……. A SUIVRE…….