Merveilleuse Initiatrice
Récit érotique écrit par Sandratvtg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur transexuel.
- • 31 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Sandratvtg ont reçu un total de 192 619 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2006 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 621 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Merveilleuse Initiatrice
<p>Merveilleuse initiatrice,
Je sonne à la porte, une superbe brune m’ouvre en souriant.
Elle est habillée d’une guêpière bleue qui contient difficilement ses seins volumineux et lourds, d’un adorable slip assorti, et de bas à couture tendus outrageusement par ses jarretelles.
Malgré son opulente chevelure, son maquillage, ses traits fins qui la rendent ultra féminine, je devine à travers ses dessous, un renflement à la naissance de ses cuisses fuselées. Emoustillé par cette ambivalence, je décide de m’abandonner totalement à cette magnifique représentante du 3eme sexe qui saura mieux que quiconque me donner du plaisir.
Très attirante, elle me prend la main pour me faire entrer dans son univers.
Après quelques banalités échangées, je me sens à l’aise et elle me pose des questions plus directes :
Pourquoi es- tu venu me voir ?
- J’ai toujours souhaité rencontrer une créature de rêves telle que toi. Je ne suis pas attiré par les hommes mais j’aime faire l’amour à une jolie fille ambiguë qui est souvent plus féminine que les autres femmes.
- Tu devras d’abord me laisser faire ton initiation. Es-tu prêt à commencer ?
- Oui, mais ne me déçoit pas Natacha.
- Je saurai te surprendre en dépassant tes attentes. Laisse moi maintenant te montrer mes talents car je meurs d’envie de faire couler ton gros clito.
Elle m’enlève tous mes vêtements en multipliant ses caresses.
Avec un regard amusé, elle voit ma queue se dresser quand elle soupèse mes bourses pour apprécier mon potentiel et s’exclame :
- Eh bien, elle semble s’apprivoiser facilement. J’aime que ta queue ait un gland très épais. Je vais mieux la sentir et elle me donnera plus de plaisir, rajoute-t-elle en souriant.
Puis, elle m’invite à choisir dans son armoire la lingerie que je vais porter avant de me faire asseoir devant sa coiffeuse.
- Comme tu seras bientôt une femme attirante, je vais t’appeler Sandra à partir de maintenant, me dit-t-elle.
Pendant qu’elle oeuvre à ma renaissance, elle s’adresse désormais à moi au féminin et poursuit ma mutation en me posant des faux cils et du fard à paupières.
Elle m’applique généreusement sur les lèvres un rouge ardent pour les mettre en valeur.
Enfin, elle choisit une perruque mi courte, très glamour qui achève ma métamorphose.
- Essayons maintenant la lingerie, un cadeau emballé me fait toujours davantage saliver, d’autant que tu as fait un très bon choix ma chérie.
Elle me fait passer les dentelles coquines qui m’ont fait craquer.
Puis, elle me lace le corset ivoire en dentelle marron qui comprime ma taille et contient difficilement mes seins en silicone dans les bonnets 105c.
Elle palpe ma poitrine et me dit :
- Tu n’as rien à m’envier, ils sont lourds et denses et nous avons les mêmes mensurations.
Natacha est cependant d’une taille plus petite que moi et ses formes m’apparaissent plus généreuses.
Je contemple un instant cette femelle épanouie avec sa longue chevelure brune qui porte tous les symboles de la féminité tant dans son physique que dans sa façon d’être.
Elle a en plus un superbe sexe en semi érection que je vois s’allonger peu à peu au travers de sa lingerie transparente et qui contraste avec son visage de madone.
Ce paradoxe m’excite au plus au point et j’ai une envie folle de la prendre.
Natacha se rend compte de l’effet qu’elle produit.
- Reste tranquille ma belle, j’ai d’autres projets pour toi en ce moment.
Avec un sourire prometteur, elle glisse un adorable slip ouvert sur mes hanches.
Il est fendu en son milieu et entoure ma queue d’une fine dentelle en dégageant un large accès à ma grotte.
- Tu es plus craquante avec cette lingerie qui encadre tes fesses et j’aurai un accès plus facile à ton intimité, m’assure-t-elle.
Enfin, comme je l’aime, elle accroche très haut sur mes cuisses mes bas de couleur crème aux huit jarretelles enrubannées de mon corset.
Peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m’aide à me glisser dans une superbe robe de nuit fendue jusqu’à la taille.
Je suis très troublée par l’aspect érotique de cette lingerie et je ressens un plaisir indéfinissable à me contempler devant le miroir. Je plaque mon sexe vers l’arrière pour me sentir plus femme.
J’admire ma silhouette vaporeuse et mes seins dressés en prenant des poses suggestives.
J’aime me voir sanglée dans mon corset qui comprime mes seins et met ma taille en valeur. J’adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.
Natacha s’approche de moi, avec un regard de louve.
- Tu es très excitante Sandra, s’exclame t-elle.
Avec un sourire malicieux, elle glisse sa main dans la fente de mon slip pour saisir mon sexe serré entre mes cuisses.
Avec douceur, elle me masturbe en jouant avec mes bourses qu’elle tire vers le bas pour me décalotter le gland.
J’ai une érection spectaculaire et la supplie une fois encore :
- Natacha, j’ai envie de toi, laisse moi te faire l’amour.
Sans me répondre, elle me pousse sans résistance vers la table d’initiation où elle me fait m’allonger face à une grande glace murale.
Je dois maintenant me soumettre à une séance mystérieuse qui me rend nerveuse.
- Tu vas découvrir de nouveaux plaisirs avant de jouir dans mes fesses, me dit-t-elle d’un regard prometteur.
Avec un sourire rassurant, elle m’aide à placer mes talons aiguilles dans les étriers. Puis, elle m’écarte les jambes et m’attache solidement les poignets et les chevilles.
Elle contemple un instant mon sexe en érection et soupire :
- Je vais être obligée de te vider les couilles pour te calmer.
Elle passe aussitôt à l’action et me fouille avidement la bouche avec sa langue tout en me caressant les cuisses à la jonction des bas. Sa main s’attarde sur mon périnée et remonte doucement vers ma rosette qu’elle masse d’une manière circulaire avec l’un de ses doigts.
L’effet est prodigieux et mon sexe se dresse d’un coup en se frottant sur le satin de ma robe de nuit qu’il soulève.
Satisfaite, elle relève mon déshabillé sur mes seins et s’empare de ma verge.
Puis, elle me masturbe avec trois doigts en suivant sur mon visage la montée du plaisir.
Ensuite, elle engouffre sa main dans la fente de mon slip et plonge son majeur lubrifié dans mes fesses en le recourbant pour que sa pulpe soit en contact avec ma glande d’amour.
Ayant une grande expérience de cette pratique, elle la masse longuement et méthodiquement en variant les pressions pour me donner un bonheur intense qui me conduit peu à peu à l’orgasme.
Elle me voit soupirer de plaisir et me chuchote à l’oreille.
- Tu vois ma chérie l’avantage avec une fille comme moi, c’est que je sais exactement ce qui te fait bander. Je vais maintenant faire couler ton clito sans que tu puisses me résister.
Au moment propice, un simple effleurement du doigt sur mon frein suffit à me faire décharger.
Elle appuie avec insistance sur mon point G et tourne avec habilité ses doigts dans mon fourreau pour extraire mes dernières gouttes de sperme.
- Laisse moi te vider complètement ma belle, me dit-elle en me pressant la queue.
Je jouis longuement en voyant ma semence se répandre en une coulée épaisse d’abord, puis au fur et à mesure que je me vide en un mince filet blanchâtre qui se répand sur mon corset et mes bas.
Je reste toute étourdie, les yeux mi clos et en extase quand elle recueille dans sa bouche mes dernières gouttes de sève.
- On dirait que je te fais de l’effet ma belle car ton corset est complètement inondé de sperme, s’extasie t-elle en m’épongeant de son mieux.
Elle met à profit mon relâchement pour poursuivre sa tâche.
- Je vais maintenant t’épiler la queue et ton petit trou pour que tu sois plus présentable.
Munie d’un rasoir, elle égalise avec soin les contours de mon gazon en sculptant un triangle parfait.
Elle empoigne mon sexe à pleine main et le soulève pour raser de prés mon œillet qui va être l’objet de toute son attention.
J’ai un frisson devant son regard ambigu lorsqu’elle fait glisser lentement la lame le long de ma queue pour supprimer toute pilosité.
- Je vais aussi te faire un brin de toilette, me dit-elle.
Avec douceur, elle plaque mes bourses sur mon ventre et m’enfile une canule dans l’anus pour commencer un lavement.
Pendant que mes intestins se remplissent d’eau, elle me masturbe en faisant vivre et s’allonger ma verge entre ses doigts.
Le visage à la hauteur de son bassin, je me rends compte que cette situation ne la laisse pas indifférente.
Son sexe grandit à vue d’œil et finit par jaillir de son slip ouvert.
Plaqué contre son ventre par une érection impressionnante, il dépasse largement la hauteur de son nombril.
Natacha est dotée d’une queue assez exceptionnelle, très longue et qui s’élargit de plus en plus jusqu’à la racine.
Après un bref échange du regard, elle m’enfonce sa verge dans la gorge et je lui lèche la couronne du gland et le frein jusqu’à ce que le lavement se termine.
Elle monte ensuite sur la table. A califourchon sur mon ventre, elle me fait évacuer en jets discontinus les trois litres d’eau dans un bassin.
La tête entre ses cuisses, je ne résiste pas à l’envie de lui titiller l’oeillet pendant qu’elle me pompe divinement le nœud.
Son bassin se fait plus lourd sous mes caresses et finit par se plaquer contre ma bouche.
Le visage enfoui dans ses dessous, je l’entends gémir de plaisir.
A regret, elle se lève et retire sa robe de nuit. Elle garde sa guêpière qui contient difficilement ses seins volumineux et me laisse admirer sa queue dressée entre ses cuisses gainées de nylon.
Elle enfile avec lenteur une paire de gants lubrifiés en me fixant d’un regard lourd.
Bien assurée sur ses talons aiguilles, elle prend place entre mes cuisses.
- Il me faut maintenant élargir ta rondelle le plus possible ma chérie.
Une vague de plaisir me parcourt l’échine lorsqu’elle pousse son index dans mon œillet. Puis, sans hésitation, elle glisse très vite deux autres doigts dans mon fourreau.
Elle trouve rapidement ma glande intime qu’elle masse d’une manière appuyée.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et je vois que ton petit trou est déjà bien élargi. Tu dois aimer te faire prendre par de gros calibres, n’est ce pas ? s’exclame-t-elle.
Embarrassée, je ferme les yeux pour ne pas lui répondre.
Avec application, elle me sonde habilement et s’arrête dés qu’elle voit une goutte de sperme perler sur mon gland.
J’ai le pressentiment qu’elle me réserve d’autres surprises lorsqu’elle agite sous mes yeux avec un regard trouble un imposant gode noir d’une taille peu commune.
Elle le tient à deux mains en raison de son diamètre et l’applique contre ma rosette.
Devant la glace, je la vois peser de tout son poids en essayant sans succès de me pénétrer.
Enervée par cet échec, elle me dit d’une voix sèche :
- Pousse quand je te le dirai, il finira par rentrer.
Elle attend que je lui obéisse et exerce simultanément une forte pression qui efface les plis de ma rosette. Elle finit par céder d’un coup en laissant s’engouffrer en moi cet énorme sexe.
Je pousse un cri qui la surprend et l’arrête net dans sa course.
Puis, elle continue à me fouiller le ventre en tournant vicieusement le pal jusqu’à ce qu’il disparaisse en moi.
Plusieurs fois de suite, elle prend un plaisir pervers à le retirer lentement pour observer ma rosette se dérouler sur le gode et s’enrouler à nouveau lorsqu’elle l’enfonce dans mes reins.
Elle me cloue sur la table et m’écarte les cuisses pour essayer d’autres angles d’attaques.
Messaline insatiable, elle sonde longuement les moindres replis de mes entrailles et me voit tressaillir de plaisir.
- Tu vas bientôt décharger ton foutre, me dit-elle en se penchant sur moi.
Le contraste de son beau visage et de son langage m’excite au plus au point.
Elle redouble d’ardeur et me fait suffoquer de plaisir.
D’un poignet expert, elle décrit de larges rotations pour assouplir mes sphincters.
Je m’agite dans tous les sens et m’enfonce sans le vouloir toujours plus loin sur ce sexe monstrueux.
Déchaînée, elle écarte la fente de mon slip et me pilonne sans arrêt les reins jusqu’à ce qu’elle voit mes cuisses trembler et mes pieds se raidir lui annoncer mon orgasme.
Dans le même temps, faisant appel à toute son expérience, elle me masturbe et me frotte habilement le gland avec son pouce jusqu’à ce que mon sperme jaillisse par saccades sur mon corset. Je la sens s’activer dans mon ventre tant que durent mes spasmes et mes gémissements.
Je récupère à peine de cet orgasme quand je l’entends me dire :
- J’utilise un dernier jouet pour finir de rôder ton œillet ma chérie.
Elle choisit à cet effet un objet impressionnant constitué de nombreux anneaux d’un diamètre croissant jusqu’à la racine.
Elle l’agite cyniquement devant mes yeux et me dit :
- Regarde avec quoi je vais transpercer ta rosette.
Elle me le montre complaisamment et le dépose un instant sur ma poitrine pour que j’évalue mieux son poids et sa circonférence.
Lorsque qu’elle l’empoigne à nouveau, je regrette fortement de ne pouvoir serrer les cuisses, étant toujours attachée à la table, écartelée et offerte à ses caprices.
Elle se place entre mes jambes et l’appuie franchement contre ma rondelle.
- C’est le plus gros que j’ai pu trouver et tu vas prendre un gode de sept cent grammes dans les fesses me souffle-elle à l’oreille.
Comme mon œillet est déjà dilaté, elle m’enfonce aisément le premier tiers.
Puis, elle force mes sphincters, très étonnée de les voir absorber des diamètres croissants.
La pression qui s’exerce sur ma glande interne me fait dresser la queue et Natacha me tire ainsi mes premiers gémissements de plaisir et de douleur qui la galvanise.
Subissant cette lente pénétration, je ressens une douleur lancinante dans le ventre qui s’amplifie au fur et à mesure que mes chairs s’écartent pour laisser le passage à ce monstre.
Mes plaintes redoublent son ardeur et c’est avec excitation qu’elle pousse le dernier anneau dans ma grotte.
Elle reste fascinée de me voir engloutir un tel calibre.
Quant à moi, je me sens prise et possédée au-delà de mes espérances.
Avec stupeur, je me regarde dans la glace empalée sur cet énorme pieu qui sort d’une manière grotesque de mon ventre.
- Te voilà bien prise ma chérie, me dit-t-elle, étonnée d’avoir pu rentrer une telle masse dans mes fesses.
Pour diminuer cette tension, je pousse pour me libérer des anneaux les plus gros en regrettant très vite mon initiative.
Avec un sourire sadique, elle appuie fortement et à plusieurs reprises son genou sur le pal pour me l’enfoncer à nouveau dans les entrailles.
Chauffée à blanc, elle continue à s’activer entre mes jambes.
Enfin, elle me détache les pieds et m’oblige à refermer mes cuisses sur le gode pour achever ma dilatation.
Je sens vivre en moi cet énorme sexe qui me déclenche des contractions anales.
Sachant par avance ce qui m’attend, Natacha vérifie la solidité de mes autres liens.
Puis, elle me fourre dans la bouche une de ses culottes en dentelle et me bâillonne avec l’un de ses bas.
- Ecarte tes cuisses ma belle que je vois si tu es suffisamment dilatée.
Elle me libère du gode par un mouvement de torsion qui le décolle de ma muqueuse et me laisse largement ouverte à ses autres fantasmes.
Puis, elle prend un spéculum et l’engage dans mon fourreau.
C’est donc facilement qu’elle m’injecte le contenu d’une grosse seringue remplie d’un gel lubrifiant et antalgique qui prévient toute douleur.
- C’est parfait, te voilà prête pour la dernière partie de l’initiation ma chérie, me dit-t-elle avec un regard torride en me rattachant solidement les pieds aux étriers.
Ecartelée et totalement offerte, j’attends inquiète la suite des événements quand je la vois glisser ses doigts gantés dans mes fesses en les tournant lentement pour faire rentrer sa main peu à peu.
- Laisse toi aller, tu n’auras pas mal, m’affirme t-elle.
Agitée et déstabilisée, je tire inutilement sur mes liens pour me détacher.
Le corps en arc de cercle, je lui facilite involontairement la tâche en m’enfonçant davantage sur son bras tendu qu’elle pousse résolument en moi.
Elle me soulève à plusieurs reprises, fascinée de me voir m’embrocher toujours plus loin grâce au poids de mon corps.
- Je vais te sucer la queue en même temps, tu verras comme c’est bon, me dit-elle
Effectivement, je ne tarde pas à râler de plaisir devant son savoir faire diabolique.
Elle profite aussitôt de mon abandon pour introduire progressivement ses autres doigts.
Sans me quitter des yeux, elle me pompe la queue et godille dans mes fesses pour se frayer un passage dans mon ventre.
Elle me laisse m’apaiser un instant avant de faire coulisser ses mains l’une contre l’autre pour poursuivre sa progression.
Avec surprise, je la vois rentrer et sortir de mon fourreau avec une facilité déconcertante sans ressentir la moindre douleur grâce au gel anesthésiant.
- Regarde toi dans la glace, mes deux mains sont plongées dans tes fesses, me dit-elle avec exaltation.
Je comprends le plaisir qu’elle éprouve à me violer quand je me vois empalée sur ses poignets.
Un long moment, elle me regarde m’agiter pour essayer de trouver une position plus confortable mais hélas, je ne fais que m’enfoncer involontairement sur ses bras tendus.
Natacha finit par retirer une main pour me fouiller avec plus de détermination avec l’autre.
Puis, elle lèche mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.
Elle avale mes dernières giclées de sperme en me pressant les bourses.
Elle s’étonne de ressentir sur son poignet mes fortes contractions anales qui témoignent de l’intensité de mon orgasme.
- J’espère que lorsque je vais t’enculer tu me serreras la queue avec autant de force, me dit-t-elle brûlante de désir.
Puis, elle se retire lentement de moi, libérant une coulée de gel qui sort de mes fesses, glisse lentement sur mes cuisses et s’infiltre insidieusement dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma chérie, s’exclame t-elle en m’essuyant rapidement.
Enfin, elle me libère de mes liens et nous allons prendre un repos bien mérité en nous asseyant sur un tabouret de bar pour siroter un cocktail.
En manque, Natacha sent monter le désir dans ses reins. Elle se cambre et dresse ses seins provoquant pour m’aguicher.
Elle me regarde avec un sourire amusé fixer ses cuisses longues et fermes qu’elle croise et décroise avec une lenteur calculée. Puis, elle fait crisser ses bas en me laissant entrevoir par instant ses jarretelles.
Avec un regard en coin, elle s’ingénie à faire monter ma libido.
Elle relève lentement sa nuisette et me dévoile peu à peu sa longue queue bandant mollement sur ses bas.
Prends la vite, elle ne demande que tes caresses, me dit-elle d’un regard suppliant.
Je la câline tendrement et la voit effectivement se dresser d’une manière impressionnante.
Ayant maintenant très envie que je la baise, elle m’entraîne sur le lit.
- Fais moi l’amour comme tu veux, je n’ai aucun tabou, me dit-elle
Allongée sur le côté, elle me tourne le dos et serre mon sexe entre ses cuisses en le frottant volontairement sur ses bas en nylon.
La stimulation de mon gland sur le voile satiné me déclenche immédiatement une forte érection.
Son regard se trouble lorsqu’elle voit ma verge luisante de désir, tressauter et laisser échapper quelques filaments blanchâtres sur sa jarretière.
- Laisse moi m’enfoncer dans tes reins, lui dis-je en l’implorant du regard.
- Oui mon ange, mais baise moi longtemps avant de décharger ton foutre.
Elle se met sur le ventre et rabat son sexe vers l’arrière.
J’ai ainsi une vue torride sur sa croupe rebondie, ses bourses et sa longue queue durcie qui sort de ses fesses.
Elle ouvre ses jambes pour me montrer son anneau palpitant qui s’élargit progressivement avec la montée de son désir.
Elle me fixe avec un regard de braise et se prépare à mon assaut.
Très impatiente, elle écarte ses fesses à deux mains.
- Viens me défoncer, j’ai le cul en feu, s’exclame t-elle.
Rien qu’à la voir s’offrir de cette manière, je bande comme un malade.
J’écarte fébrilement la fente de son slip et la pénètre avec fougue.
Une fois mon gland passé, je m’enfonce d’un coup jusqu’à la garde.
Elle succombe un instant sous l’assaut avant de reprendre le dessus.
Courtisane expérimentée, elle contracte son muscle intime, roule du bassin en tournoyant ses fesses sur ma verge.
Pendant un long moment, elle me comble de bonheur sans que je me lasse d’explorer ses reins.
Soudain, elle se lève et sort d’un tiroir quelques objets.
- Je reprends l’initiative et tu ne vas pas le regretter, m’annonce t-elle.
Elle me culbute sur le lit en riant et m’enfonce lentement une à une des boules anales pour amplifier mon plaisir ainsi qu’un anneau pénien destiné à me grossir la queue.
Ravie du résultat, elle prend ma verge en main et l’enfonce à nouveau dans ses fesses.
- Elle est plus grosse maintenant et je la sens mieux, me dit-elle satisfaite.
Adoptant la position « en petites cuillères », elle s’embroche sur mon sexe turgescent qui lui racle fortement la muqueuse.
Je la vois se mordre les lèvres pour ne pas crier son plaisir et je l’entends me dire d’une voix rauque :
- Oui défonce moi, va plus profond dans mes reins, transperce moi avec ton épée.
J’empoigne alors ses seins superbes pour la presser contre moi.
Très excitée, elle me souffle à l’oreille :
- Maintenant ne bouge plus, et laisse moi te pomper avec mon cul.
Elle balance lentement sa croupe d’avant en arrière et comprime mon sexe à intervalles réguliers avec ses muscles intimes qui deviennent une véritable pompe à sperme.
- Je vais jouir, lui dis-je d’une voix étranglée.
Aussitôt, elle tire sur le fil qui pend entre mes jambes et m’arrache d’un coup les cinq boules anales placées dans mon fourreau.
Je laisse échapper un cri de plaisir quand ma semence se déverse à gros bouillons dans son ventre.
Nous prenons un repos bien mérité jusqu’à ce que Natacha montre des signes d’impatience.
Le désir lui taraude toujours les reins et elle ne pense plus qu’à jouir à son tour.
Je la contemple un moment, les reins cambrés par ses talons aiguilles et ses seins jaillissant de sa guêpière, elle est vraiment très belle. Un sourire aux lèvres, elle se masturbe lentement sans me quitter des yeux. Puis, elle s’avance vers moi, tenant sa queue en main impressionnante et vibrante de désir. Je fonds à l’idée qu’elle va bientôt la planter dans mes reins.
Impatiente de passer à l’action, Natacha m’allonge sur le lit, un coussin sous le ventre et se glisse entre mes jambes.
Elle contemple un instant mes fesses encadrées de chaque côté par les dentelles de mon slip ouvert, ainsi que mes bas attachés haut sur mes cuisses.
- Tu as encore l’œillet bien ouvert, s’exclame t-elle.
Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut attendre plus longtemps et me chevauche telle une amazone.
Pendant un moment, elle se masturbe dans la raie de mes fesses en bandant toujours plus fort.
Puis, elle les écarte et me sodomise lentement en voyant avec fascination sa queue disparaître peu à peu dans mon cul. Je m’ouvre alors progressivement au diamètre croissant de son sexe en tremblant de plaisir.
Elle me baise sous tous les angles et sort parfois de mon fourreau en se laissant retomber de tout son poids pour mieux me transpercer.
Plaquée contre le lit très ferme, les seins écrasés sur le matelas, elle me poignarde profondément sans scrupule. Parfois, elle s’arrête pour éviter de décharger trop vite.
Je perçois alors mieux sa verge qui vit et tressaute de désir dans mon fourreau.
Quand elle me besogne à nouveau, j’aime entendre les claquements de son bas ventre sur ma croupe et sentir ses testicules me fouetter les fesses.
Enfin, elle me bascule sur le côté et remonte une de mes jambes pour pouvoir me pénétrer jusqu’à la racine de son sexe.
- Je suis maintenant à fond dans ton cul ma chérie.
- Laisse moi te faire jouir, lui dis-je d’une voix étouffée.
Avant qu’elle ne me réponde, je lui presse sournoisement les bourses et serre sa queue avec mes muscles intimes.
Natacha veut se dégager pour retarder son orgasme, mais j’écrase son bassin contre mes fesses.
Son foutre fuse et s’écrase avec force sur ma paroi anale et je sens son sperme m’inonder les entrailles. Elle râle de plaisir lorsque je contracte à nouveau mes sphincters pour pomper le reste de sa semence.
Terrassée, elle me laisse lui enlever ses dernières forces.
Eperdue de reconnaissance, elle m’embrasse à pleine bouche en farfouillant dans mes dessous.
J’ai lubrifié ton petit trou pour un moment, me chuchote t-elle avec satisfaction.
Après un repos bien mérité, insatiable, elle m’invite une fois encore à poursuivre nos ébats. Elle a une ultime gâterie à me faire découvrir.
Prends moi une dernière fois, me dit-elle d’une voix chaude et un regard prometteur.
Nous sommes allongées sur le côté et je bande mollement mais suffisamment pour la pénétrer car elle a le cul encore très dilaté.
Elle applique un vibromasseur sur sa queue qui s’allonge rapidement en s’étalant sur sa guêpière.
Puis, elle me demande de ne plus bouger pendant qu’elle se pénètre avec le gode vibrant.
Avec surprise, je sens qu’il s’engouffre dans ses fesses.
Très vite, il me presse la verge en remontant lentement jusqu’à mon gland.
Une fois bien en place, elle actionne le moteur et me fixe intensément pour suivre la montée de mon désir.
J’éprouve une sensation indescriptible quand le vibro fait palpiter sa paroi anale sur ma verge en faisant vibrer mon frein.
Le plaisir est trop fort et je m’apprête à me retirer.
- Reste dans mon cul et laisse moi t’achever, me dit-t-elle sobrement en amplifiant sournoisement le moteur de l’engin.
Elle se colle contre moi pour mieux sentir mes spasmes quand je gicle une fois de plus dans son ventre.
- A ton tour de me faire jouir, me dit-t-elle en me donnant le gode vibrant.
Elle sait que je suis experte dans son maniement et m’implore du regard, impatiente de pouvoir libérer sa tension.
J’effleure son frein avec le vibro. Très vite, je la vois s’agiter et fermer les yeux pour mieux apprécier ce massage.
Peu à peu, son désir montant crescendo, elle me supplie de conclure.
- Fais moi jouir ma chérie, je n’en peux plus d’attendre. J’ai la queue tellement tendue qu’elle me fait mal.
Malgré son souffle court et son agitation, je retarde encore un moment sa délivrance avant de l’achever.
Puis, j’amplifie les vibrations sur son gland en massant son périnée. En même temps, je m’enfonce aussi loin que possible dans ses fesses.
Son plaisir monte d’une manière irréversible, elle se tétanise avant d’exploser en libérant de longs et puissants jets de sperme qui éclaboussent sa guêpière.
Epuisées, nous décidons de passer la nuit ensemble.
Avant de m’endormir, je me couche sur le côté en me collant contre elle.
Dans la nuit, me croyant endormie, elle me viole à plusieurs reprises.
Je la laisse faire car j’aime être bercée par son sexe qui s’active en moi avant de perdre sa semence.
Au petit matin, Natacha, les mamelons dressés s’étire en cambrant sa magnifique poitrine.
Elle m’embrasse avec fougue et me dit :
Cette nuit, j’ai réalisé mon fantasme. Je t’ai prise plusieurs fois quand tu dormais en déchargeant toute ma sève dans tes reins. A un point tel, que j’ai du t’enfoncer un plug pour retenir le sperme qui coulait de tes fesses et se répandait sur les draps.
Heureuses de notre rencontre, nous prenons date pour nous revoir prochainement.
Sandra
</p>
Je sonne à la porte, une superbe brune m’ouvre en souriant.
Elle est habillée d’une guêpière bleue qui contient difficilement ses seins volumineux et lourds, d’un adorable slip assorti, et de bas à couture tendus outrageusement par ses jarretelles.
Malgré son opulente chevelure, son maquillage, ses traits fins qui la rendent ultra féminine, je devine à travers ses dessous, un renflement à la naissance de ses cuisses fuselées. Emoustillé par cette ambivalence, je décide de m’abandonner totalement à cette magnifique représentante du 3eme sexe qui saura mieux que quiconque me donner du plaisir.
Très attirante, elle me prend la main pour me faire entrer dans son univers.
Après quelques banalités échangées, je me sens à l’aise et elle me pose des questions plus directes :
Pourquoi es- tu venu me voir ?
- J’ai toujours souhaité rencontrer une créature de rêves telle que toi. Je ne suis pas attiré par les hommes mais j’aime faire l’amour à une jolie fille ambiguë qui est souvent plus féminine que les autres femmes.
- Tu devras d’abord me laisser faire ton initiation. Es-tu prêt à commencer ?
- Oui, mais ne me déçoit pas Natacha.
- Je saurai te surprendre en dépassant tes attentes. Laisse moi maintenant te montrer mes talents car je meurs d’envie de faire couler ton gros clito.
Elle m’enlève tous mes vêtements en multipliant ses caresses.
Avec un regard amusé, elle voit ma queue se dresser quand elle soupèse mes bourses pour apprécier mon potentiel et s’exclame :
- Eh bien, elle semble s’apprivoiser facilement. J’aime que ta queue ait un gland très épais. Je vais mieux la sentir et elle me donnera plus de plaisir, rajoute-t-elle en souriant.
Puis, elle m’invite à choisir dans son armoire la lingerie que je vais porter avant de me faire asseoir devant sa coiffeuse.
- Comme tu seras bientôt une femme attirante, je vais t’appeler Sandra à partir de maintenant, me dit-t-elle.
Pendant qu’elle oeuvre à ma renaissance, elle s’adresse désormais à moi au féminin et poursuit ma mutation en me posant des faux cils et du fard à paupières.
Elle m’applique généreusement sur les lèvres un rouge ardent pour les mettre en valeur.
Enfin, elle choisit une perruque mi courte, très glamour qui achève ma métamorphose.
- Essayons maintenant la lingerie, un cadeau emballé me fait toujours davantage saliver, d’autant que tu as fait un très bon choix ma chérie.
Elle me fait passer les dentelles coquines qui m’ont fait craquer.
Puis, elle me lace le corset ivoire en dentelle marron qui comprime ma taille et contient difficilement mes seins en silicone dans les bonnets 105c.
Elle palpe ma poitrine et me dit :
- Tu n’as rien à m’envier, ils sont lourds et denses et nous avons les mêmes mensurations.
Natacha est cependant d’une taille plus petite que moi et ses formes m’apparaissent plus généreuses.
Je contemple un instant cette femelle épanouie avec sa longue chevelure brune qui porte tous les symboles de la féminité tant dans son physique que dans sa façon d’être.
Elle a en plus un superbe sexe en semi érection que je vois s’allonger peu à peu au travers de sa lingerie transparente et qui contraste avec son visage de madone.
Ce paradoxe m’excite au plus au point et j’ai une envie folle de la prendre.
Natacha se rend compte de l’effet qu’elle produit.
- Reste tranquille ma belle, j’ai d’autres projets pour toi en ce moment.
Avec un sourire prometteur, elle glisse un adorable slip ouvert sur mes hanches.
Il est fendu en son milieu et entoure ma queue d’une fine dentelle en dégageant un large accès à ma grotte.
- Tu es plus craquante avec cette lingerie qui encadre tes fesses et j’aurai un accès plus facile à ton intimité, m’assure-t-elle.
Enfin, comme je l’aime, elle accroche très haut sur mes cuisses mes bas de couleur crème aux huit jarretelles enrubannées de mon corset.
Peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m’aide à me glisser dans une superbe robe de nuit fendue jusqu’à la taille.
Je suis très troublée par l’aspect érotique de cette lingerie et je ressens un plaisir indéfinissable à me contempler devant le miroir. Je plaque mon sexe vers l’arrière pour me sentir plus femme.
J’admire ma silhouette vaporeuse et mes seins dressés en prenant des poses suggestives.
J’aime me voir sanglée dans mon corset qui comprime mes seins et met ma taille en valeur. J’adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.
Natacha s’approche de moi, avec un regard de louve.
- Tu es très excitante Sandra, s’exclame t-elle.
Avec un sourire malicieux, elle glisse sa main dans la fente de mon slip pour saisir mon sexe serré entre mes cuisses.
Avec douceur, elle me masturbe en jouant avec mes bourses qu’elle tire vers le bas pour me décalotter le gland.
J’ai une érection spectaculaire et la supplie une fois encore :
- Natacha, j’ai envie de toi, laisse moi te faire l’amour.
Sans me répondre, elle me pousse sans résistance vers la table d’initiation où elle me fait m’allonger face à une grande glace murale.
Je dois maintenant me soumettre à une séance mystérieuse qui me rend nerveuse.
- Tu vas découvrir de nouveaux plaisirs avant de jouir dans mes fesses, me dit-t-elle d’un regard prometteur.
Avec un sourire rassurant, elle m’aide à placer mes talons aiguilles dans les étriers. Puis, elle m’écarte les jambes et m’attache solidement les poignets et les chevilles.
Elle contemple un instant mon sexe en érection et soupire :
- Je vais être obligée de te vider les couilles pour te calmer.
Elle passe aussitôt à l’action et me fouille avidement la bouche avec sa langue tout en me caressant les cuisses à la jonction des bas. Sa main s’attarde sur mon périnée et remonte doucement vers ma rosette qu’elle masse d’une manière circulaire avec l’un de ses doigts.
L’effet est prodigieux et mon sexe se dresse d’un coup en se frottant sur le satin de ma robe de nuit qu’il soulève.
Satisfaite, elle relève mon déshabillé sur mes seins et s’empare de ma verge.
Puis, elle me masturbe avec trois doigts en suivant sur mon visage la montée du plaisir.
Ensuite, elle engouffre sa main dans la fente de mon slip et plonge son majeur lubrifié dans mes fesses en le recourbant pour que sa pulpe soit en contact avec ma glande d’amour.
Ayant une grande expérience de cette pratique, elle la masse longuement et méthodiquement en variant les pressions pour me donner un bonheur intense qui me conduit peu à peu à l’orgasme.
Elle me voit soupirer de plaisir et me chuchote à l’oreille.
- Tu vois ma chérie l’avantage avec une fille comme moi, c’est que je sais exactement ce qui te fait bander. Je vais maintenant faire couler ton clito sans que tu puisses me résister.
Au moment propice, un simple effleurement du doigt sur mon frein suffit à me faire décharger.
Elle appuie avec insistance sur mon point G et tourne avec habilité ses doigts dans mon fourreau pour extraire mes dernières gouttes de sperme.
- Laisse moi te vider complètement ma belle, me dit-elle en me pressant la queue.
Je jouis longuement en voyant ma semence se répandre en une coulée épaisse d’abord, puis au fur et à mesure que je me vide en un mince filet blanchâtre qui se répand sur mon corset et mes bas.
Je reste toute étourdie, les yeux mi clos et en extase quand elle recueille dans sa bouche mes dernières gouttes de sève.
- On dirait que je te fais de l’effet ma belle car ton corset est complètement inondé de sperme, s’extasie t-elle en m’épongeant de son mieux.
Elle met à profit mon relâchement pour poursuivre sa tâche.
- Je vais maintenant t’épiler la queue et ton petit trou pour que tu sois plus présentable.
Munie d’un rasoir, elle égalise avec soin les contours de mon gazon en sculptant un triangle parfait.
Elle empoigne mon sexe à pleine main et le soulève pour raser de prés mon œillet qui va être l’objet de toute son attention.
J’ai un frisson devant son regard ambigu lorsqu’elle fait glisser lentement la lame le long de ma queue pour supprimer toute pilosité.
- Je vais aussi te faire un brin de toilette, me dit-elle.
Avec douceur, elle plaque mes bourses sur mon ventre et m’enfile une canule dans l’anus pour commencer un lavement.
Pendant que mes intestins se remplissent d’eau, elle me masturbe en faisant vivre et s’allonger ma verge entre ses doigts.
Le visage à la hauteur de son bassin, je me rends compte que cette situation ne la laisse pas indifférente.
Son sexe grandit à vue d’œil et finit par jaillir de son slip ouvert.
Plaqué contre son ventre par une érection impressionnante, il dépasse largement la hauteur de son nombril.
Natacha est dotée d’une queue assez exceptionnelle, très longue et qui s’élargit de plus en plus jusqu’à la racine.
Après un bref échange du regard, elle m’enfonce sa verge dans la gorge et je lui lèche la couronne du gland et le frein jusqu’à ce que le lavement se termine.
Elle monte ensuite sur la table. A califourchon sur mon ventre, elle me fait évacuer en jets discontinus les trois litres d’eau dans un bassin.
La tête entre ses cuisses, je ne résiste pas à l’envie de lui titiller l’oeillet pendant qu’elle me pompe divinement le nœud.
Son bassin se fait plus lourd sous mes caresses et finit par se plaquer contre ma bouche.
Le visage enfoui dans ses dessous, je l’entends gémir de plaisir.
A regret, elle se lève et retire sa robe de nuit. Elle garde sa guêpière qui contient difficilement ses seins volumineux et me laisse admirer sa queue dressée entre ses cuisses gainées de nylon.
Elle enfile avec lenteur une paire de gants lubrifiés en me fixant d’un regard lourd.
Bien assurée sur ses talons aiguilles, elle prend place entre mes cuisses.
- Il me faut maintenant élargir ta rondelle le plus possible ma chérie.
Une vague de plaisir me parcourt l’échine lorsqu’elle pousse son index dans mon œillet. Puis, sans hésitation, elle glisse très vite deux autres doigts dans mon fourreau.
Elle trouve rapidement ma glande intime qu’elle masse d’une manière appuyée.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et je vois que ton petit trou est déjà bien élargi. Tu dois aimer te faire prendre par de gros calibres, n’est ce pas ? s’exclame-t-elle.
Embarrassée, je ferme les yeux pour ne pas lui répondre.
Avec application, elle me sonde habilement et s’arrête dés qu’elle voit une goutte de sperme perler sur mon gland.
J’ai le pressentiment qu’elle me réserve d’autres surprises lorsqu’elle agite sous mes yeux avec un regard trouble un imposant gode noir d’une taille peu commune.
Elle le tient à deux mains en raison de son diamètre et l’applique contre ma rosette.
Devant la glace, je la vois peser de tout son poids en essayant sans succès de me pénétrer.
Enervée par cet échec, elle me dit d’une voix sèche :
- Pousse quand je te le dirai, il finira par rentrer.
Elle attend que je lui obéisse et exerce simultanément une forte pression qui efface les plis de ma rosette. Elle finit par céder d’un coup en laissant s’engouffrer en moi cet énorme sexe.
Je pousse un cri qui la surprend et l’arrête net dans sa course.
Puis, elle continue à me fouiller le ventre en tournant vicieusement le pal jusqu’à ce qu’il disparaisse en moi.
Plusieurs fois de suite, elle prend un plaisir pervers à le retirer lentement pour observer ma rosette se dérouler sur le gode et s’enrouler à nouveau lorsqu’elle l’enfonce dans mes reins.
Elle me cloue sur la table et m’écarte les cuisses pour essayer d’autres angles d’attaques.
Messaline insatiable, elle sonde longuement les moindres replis de mes entrailles et me voit tressaillir de plaisir.
- Tu vas bientôt décharger ton foutre, me dit-elle en se penchant sur moi.
Le contraste de son beau visage et de son langage m’excite au plus au point.
Elle redouble d’ardeur et me fait suffoquer de plaisir.
D’un poignet expert, elle décrit de larges rotations pour assouplir mes sphincters.
Je m’agite dans tous les sens et m’enfonce sans le vouloir toujours plus loin sur ce sexe monstrueux.
Déchaînée, elle écarte la fente de mon slip et me pilonne sans arrêt les reins jusqu’à ce qu’elle voit mes cuisses trembler et mes pieds se raidir lui annoncer mon orgasme.
Dans le même temps, faisant appel à toute son expérience, elle me masturbe et me frotte habilement le gland avec son pouce jusqu’à ce que mon sperme jaillisse par saccades sur mon corset. Je la sens s’activer dans mon ventre tant que durent mes spasmes et mes gémissements.
Je récupère à peine de cet orgasme quand je l’entends me dire :
- J’utilise un dernier jouet pour finir de rôder ton œillet ma chérie.
Elle choisit à cet effet un objet impressionnant constitué de nombreux anneaux d’un diamètre croissant jusqu’à la racine.
Elle l’agite cyniquement devant mes yeux et me dit :
- Regarde avec quoi je vais transpercer ta rosette.
Elle me le montre complaisamment et le dépose un instant sur ma poitrine pour que j’évalue mieux son poids et sa circonférence.
Lorsque qu’elle l’empoigne à nouveau, je regrette fortement de ne pouvoir serrer les cuisses, étant toujours attachée à la table, écartelée et offerte à ses caprices.
Elle se place entre mes jambes et l’appuie franchement contre ma rondelle.
- C’est le plus gros que j’ai pu trouver et tu vas prendre un gode de sept cent grammes dans les fesses me souffle-elle à l’oreille.
Comme mon œillet est déjà dilaté, elle m’enfonce aisément le premier tiers.
Puis, elle force mes sphincters, très étonnée de les voir absorber des diamètres croissants.
La pression qui s’exerce sur ma glande interne me fait dresser la queue et Natacha me tire ainsi mes premiers gémissements de plaisir et de douleur qui la galvanise.
Subissant cette lente pénétration, je ressens une douleur lancinante dans le ventre qui s’amplifie au fur et à mesure que mes chairs s’écartent pour laisser le passage à ce monstre.
Mes plaintes redoublent son ardeur et c’est avec excitation qu’elle pousse le dernier anneau dans ma grotte.
Elle reste fascinée de me voir engloutir un tel calibre.
Quant à moi, je me sens prise et possédée au-delà de mes espérances.
Avec stupeur, je me regarde dans la glace empalée sur cet énorme pieu qui sort d’une manière grotesque de mon ventre.
- Te voilà bien prise ma chérie, me dit-t-elle, étonnée d’avoir pu rentrer une telle masse dans mes fesses.
Pour diminuer cette tension, je pousse pour me libérer des anneaux les plus gros en regrettant très vite mon initiative.
Avec un sourire sadique, elle appuie fortement et à plusieurs reprises son genou sur le pal pour me l’enfoncer à nouveau dans les entrailles.
Chauffée à blanc, elle continue à s’activer entre mes jambes.
Enfin, elle me détache les pieds et m’oblige à refermer mes cuisses sur le gode pour achever ma dilatation.
Je sens vivre en moi cet énorme sexe qui me déclenche des contractions anales.
Sachant par avance ce qui m’attend, Natacha vérifie la solidité de mes autres liens.
Puis, elle me fourre dans la bouche une de ses culottes en dentelle et me bâillonne avec l’un de ses bas.
- Ecarte tes cuisses ma belle que je vois si tu es suffisamment dilatée.
Elle me libère du gode par un mouvement de torsion qui le décolle de ma muqueuse et me laisse largement ouverte à ses autres fantasmes.
Puis, elle prend un spéculum et l’engage dans mon fourreau.
C’est donc facilement qu’elle m’injecte le contenu d’une grosse seringue remplie d’un gel lubrifiant et antalgique qui prévient toute douleur.
- C’est parfait, te voilà prête pour la dernière partie de l’initiation ma chérie, me dit-t-elle avec un regard torride en me rattachant solidement les pieds aux étriers.
Ecartelée et totalement offerte, j’attends inquiète la suite des événements quand je la vois glisser ses doigts gantés dans mes fesses en les tournant lentement pour faire rentrer sa main peu à peu.
- Laisse toi aller, tu n’auras pas mal, m’affirme t-elle.
Agitée et déstabilisée, je tire inutilement sur mes liens pour me détacher.
Le corps en arc de cercle, je lui facilite involontairement la tâche en m’enfonçant davantage sur son bras tendu qu’elle pousse résolument en moi.
Elle me soulève à plusieurs reprises, fascinée de me voir m’embrocher toujours plus loin grâce au poids de mon corps.
- Je vais te sucer la queue en même temps, tu verras comme c’est bon, me dit-elle
Effectivement, je ne tarde pas à râler de plaisir devant son savoir faire diabolique.
Elle profite aussitôt de mon abandon pour introduire progressivement ses autres doigts.
Sans me quitter des yeux, elle me pompe la queue et godille dans mes fesses pour se frayer un passage dans mon ventre.
Elle me laisse m’apaiser un instant avant de faire coulisser ses mains l’une contre l’autre pour poursuivre sa progression.
Avec surprise, je la vois rentrer et sortir de mon fourreau avec une facilité déconcertante sans ressentir la moindre douleur grâce au gel anesthésiant.
- Regarde toi dans la glace, mes deux mains sont plongées dans tes fesses, me dit-elle avec exaltation.
Je comprends le plaisir qu’elle éprouve à me violer quand je me vois empalée sur ses poignets.
Un long moment, elle me regarde m’agiter pour essayer de trouver une position plus confortable mais hélas, je ne fais que m’enfoncer involontairement sur ses bras tendus.
Natacha finit par retirer une main pour me fouiller avec plus de détermination avec l’autre.
Puis, elle lèche mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.
Elle avale mes dernières giclées de sperme en me pressant les bourses.
Elle s’étonne de ressentir sur son poignet mes fortes contractions anales qui témoignent de l’intensité de mon orgasme.
- J’espère que lorsque je vais t’enculer tu me serreras la queue avec autant de force, me dit-t-elle brûlante de désir.
Puis, elle se retire lentement de moi, libérant une coulée de gel qui sort de mes fesses, glisse lentement sur mes cuisses et s’infiltre insidieusement dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma chérie, s’exclame t-elle en m’essuyant rapidement.
Enfin, elle me libère de mes liens et nous allons prendre un repos bien mérité en nous asseyant sur un tabouret de bar pour siroter un cocktail.
En manque, Natacha sent monter le désir dans ses reins. Elle se cambre et dresse ses seins provoquant pour m’aguicher.
Elle me regarde avec un sourire amusé fixer ses cuisses longues et fermes qu’elle croise et décroise avec une lenteur calculée. Puis, elle fait crisser ses bas en me laissant entrevoir par instant ses jarretelles.
Avec un regard en coin, elle s’ingénie à faire monter ma libido.
Elle relève lentement sa nuisette et me dévoile peu à peu sa longue queue bandant mollement sur ses bas.
Prends la vite, elle ne demande que tes caresses, me dit-elle d’un regard suppliant.
Je la câline tendrement et la voit effectivement se dresser d’une manière impressionnante.
Ayant maintenant très envie que je la baise, elle m’entraîne sur le lit.
- Fais moi l’amour comme tu veux, je n’ai aucun tabou, me dit-elle
Allongée sur le côté, elle me tourne le dos et serre mon sexe entre ses cuisses en le frottant volontairement sur ses bas en nylon.
La stimulation de mon gland sur le voile satiné me déclenche immédiatement une forte érection.
Son regard se trouble lorsqu’elle voit ma verge luisante de désir, tressauter et laisser échapper quelques filaments blanchâtres sur sa jarretière.
- Laisse moi m’enfoncer dans tes reins, lui dis-je en l’implorant du regard.
- Oui mon ange, mais baise moi longtemps avant de décharger ton foutre.
Elle se met sur le ventre et rabat son sexe vers l’arrière.
J’ai ainsi une vue torride sur sa croupe rebondie, ses bourses et sa longue queue durcie qui sort de ses fesses.
Elle ouvre ses jambes pour me montrer son anneau palpitant qui s’élargit progressivement avec la montée de son désir.
Elle me fixe avec un regard de braise et se prépare à mon assaut.
Très impatiente, elle écarte ses fesses à deux mains.
- Viens me défoncer, j’ai le cul en feu, s’exclame t-elle.
Rien qu’à la voir s’offrir de cette manière, je bande comme un malade.
J’écarte fébrilement la fente de son slip et la pénètre avec fougue.
Une fois mon gland passé, je m’enfonce d’un coup jusqu’à la garde.
Elle succombe un instant sous l’assaut avant de reprendre le dessus.
Courtisane expérimentée, elle contracte son muscle intime, roule du bassin en tournoyant ses fesses sur ma verge.
Pendant un long moment, elle me comble de bonheur sans que je me lasse d’explorer ses reins.
Soudain, elle se lève et sort d’un tiroir quelques objets.
- Je reprends l’initiative et tu ne vas pas le regretter, m’annonce t-elle.
Elle me culbute sur le lit en riant et m’enfonce lentement une à une des boules anales pour amplifier mon plaisir ainsi qu’un anneau pénien destiné à me grossir la queue.
Ravie du résultat, elle prend ma verge en main et l’enfonce à nouveau dans ses fesses.
- Elle est plus grosse maintenant et je la sens mieux, me dit-elle satisfaite.
Adoptant la position « en petites cuillères », elle s’embroche sur mon sexe turgescent qui lui racle fortement la muqueuse.
Je la vois se mordre les lèvres pour ne pas crier son plaisir et je l’entends me dire d’une voix rauque :
- Oui défonce moi, va plus profond dans mes reins, transperce moi avec ton épée.
J’empoigne alors ses seins superbes pour la presser contre moi.
Très excitée, elle me souffle à l’oreille :
- Maintenant ne bouge plus, et laisse moi te pomper avec mon cul.
Elle balance lentement sa croupe d’avant en arrière et comprime mon sexe à intervalles réguliers avec ses muscles intimes qui deviennent une véritable pompe à sperme.
- Je vais jouir, lui dis-je d’une voix étranglée.
Aussitôt, elle tire sur le fil qui pend entre mes jambes et m’arrache d’un coup les cinq boules anales placées dans mon fourreau.
Je laisse échapper un cri de plaisir quand ma semence se déverse à gros bouillons dans son ventre.
Nous prenons un repos bien mérité jusqu’à ce que Natacha montre des signes d’impatience.
Le désir lui taraude toujours les reins et elle ne pense plus qu’à jouir à son tour.
Je la contemple un moment, les reins cambrés par ses talons aiguilles et ses seins jaillissant de sa guêpière, elle est vraiment très belle. Un sourire aux lèvres, elle se masturbe lentement sans me quitter des yeux. Puis, elle s’avance vers moi, tenant sa queue en main impressionnante et vibrante de désir. Je fonds à l’idée qu’elle va bientôt la planter dans mes reins.
Impatiente de passer à l’action, Natacha m’allonge sur le lit, un coussin sous le ventre et se glisse entre mes jambes.
Elle contemple un instant mes fesses encadrées de chaque côté par les dentelles de mon slip ouvert, ainsi que mes bas attachés haut sur mes cuisses.
- Tu as encore l’œillet bien ouvert, s’exclame t-elle.
Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut attendre plus longtemps et me chevauche telle une amazone.
Pendant un moment, elle se masturbe dans la raie de mes fesses en bandant toujours plus fort.
Puis, elle les écarte et me sodomise lentement en voyant avec fascination sa queue disparaître peu à peu dans mon cul. Je m’ouvre alors progressivement au diamètre croissant de son sexe en tremblant de plaisir.
Elle me baise sous tous les angles et sort parfois de mon fourreau en se laissant retomber de tout son poids pour mieux me transpercer.
Plaquée contre le lit très ferme, les seins écrasés sur le matelas, elle me poignarde profondément sans scrupule. Parfois, elle s’arrête pour éviter de décharger trop vite.
Je perçois alors mieux sa verge qui vit et tressaute de désir dans mon fourreau.
Quand elle me besogne à nouveau, j’aime entendre les claquements de son bas ventre sur ma croupe et sentir ses testicules me fouetter les fesses.
Enfin, elle me bascule sur le côté et remonte une de mes jambes pour pouvoir me pénétrer jusqu’à la racine de son sexe.
- Je suis maintenant à fond dans ton cul ma chérie.
- Laisse moi te faire jouir, lui dis-je d’une voix étouffée.
Avant qu’elle ne me réponde, je lui presse sournoisement les bourses et serre sa queue avec mes muscles intimes.
Natacha veut se dégager pour retarder son orgasme, mais j’écrase son bassin contre mes fesses.
Son foutre fuse et s’écrase avec force sur ma paroi anale et je sens son sperme m’inonder les entrailles. Elle râle de plaisir lorsque je contracte à nouveau mes sphincters pour pomper le reste de sa semence.
Terrassée, elle me laisse lui enlever ses dernières forces.
Eperdue de reconnaissance, elle m’embrasse à pleine bouche en farfouillant dans mes dessous.
J’ai lubrifié ton petit trou pour un moment, me chuchote t-elle avec satisfaction.
Après un repos bien mérité, insatiable, elle m’invite une fois encore à poursuivre nos ébats. Elle a une ultime gâterie à me faire découvrir.
Prends moi une dernière fois, me dit-elle d’une voix chaude et un regard prometteur.
Nous sommes allongées sur le côté et je bande mollement mais suffisamment pour la pénétrer car elle a le cul encore très dilaté.
Elle applique un vibromasseur sur sa queue qui s’allonge rapidement en s’étalant sur sa guêpière.
Puis, elle me demande de ne plus bouger pendant qu’elle se pénètre avec le gode vibrant.
Avec surprise, je sens qu’il s’engouffre dans ses fesses.
Très vite, il me presse la verge en remontant lentement jusqu’à mon gland.
Une fois bien en place, elle actionne le moteur et me fixe intensément pour suivre la montée de mon désir.
J’éprouve une sensation indescriptible quand le vibro fait palpiter sa paroi anale sur ma verge en faisant vibrer mon frein.
Le plaisir est trop fort et je m’apprête à me retirer.
- Reste dans mon cul et laisse moi t’achever, me dit-t-elle sobrement en amplifiant sournoisement le moteur de l’engin.
Elle se colle contre moi pour mieux sentir mes spasmes quand je gicle une fois de plus dans son ventre.
- A ton tour de me faire jouir, me dit-t-elle en me donnant le gode vibrant.
Elle sait que je suis experte dans son maniement et m’implore du regard, impatiente de pouvoir libérer sa tension.
J’effleure son frein avec le vibro. Très vite, je la vois s’agiter et fermer les yeux pour mieux apprécier ce massage.
Peu à peu, son désir montant crescendo, elle me supplie de conclure.
- Fais moi jouir ma chérie, je n’en peux plus d’attendre. J’ai la queue tellement tendue qu’elle me fait mal.
Malgré son souffle court et son agitation, je retarde encore un moment sa délivrance avant de l’achever.
Puis, j’amplifie les vibrations sur son gland en massant son périnée. En même temps, je m’enfonce aussi loin que possible dans ses fesses.
Son plaisir monte d’une manière irréversible, elle se tétanise avant d’exploser en libérant de longs et puissants jets de sperme qui éclaboussent sa guêpière.
Epuisées, nous décidons de passer la nuit ensemble.
Avant de m’endormir, je me couche sur le côté en me collant contre elle.
Dans la nuit, me croyant endormie, elle me viole à plusieurs reprises.
Je la laisse faire car j’aime être bercée par son sexe qui s’active en moi avant de perdre sa semence.
Au petit matin, Natacha, les mamelons dressés s’étire en cambrant sa magnifique poitrine.
Elle m’embrasse avec fougue et me dit :
Cette nuit, j’ai réalisé mon fantasme. Je t’ai prise plusieurs fois quand tu dormais en déchargeant toute ma sève dans tes reins. A un point tel, que j’ai du t’enfoncer un plug pour retenir le sperme qui coulait de tes fesses et se répandait sur les draps.
Heureuses de notre rencontre, nous prenons date pour nous revoir prochainement.
Sandra
</p>
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sandratvtg
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...