Mes premiers vacances sans mes parents - histoire érotique

Je suis aux anges ! Pour la première fois je pars en vacance seule, j’ai dix neuf ans et mes parents m’autorisent à partir chez ma tante et mon oncle en Vendée
Ils habitent prés du littoral où se situe une immense plage naturiste, bien sûr cela a été la première mise en garde : interdiction d’y aller me balader… et lorsque c’est interdit la première chose à faire est d’aller voir ce qui s’y passe car je suis de nature intrépide, me baigner nue en toutes liberté ! mon rêve !
Après avoir étudié les différents sentiers qui y mènent, j’ai choisi celui le plus éloigné de leur maison, en voiture il ne faut que cinq minutes, chapeau, lunettes de soleil, serviette, bouquin et … mini robe de plage sauf qu’avant de descendre de voiture j’ai ôtés tous mes dessous
Après avoir traversé la forêt je longe les dunes, tien, plus loin il y a un couple qui se prélasse au soleil, si je me mets assez loin d’eux pour ne pas les déranger et pas trop loin pour y être en sécurité, très vite je suis allongée sur le ventre laissant les rayons caresser pour la première fois mes fesses blanches, cachée derrière mes Ray-ban et mon bouquin ouvert a n’importe quelle page j’observe le couple a la dérobée ils sont beaux, la fille bronzée ne doit pas être beaucoup plus âgée que moi et l’homme ? sans doute son père car il est grisonnant, sauf qu’un père couché sur le coté en appuis sur un coude n’est pas aussi assidu pour admirer les courbes de sa fille qui a les cuisses outrageusement ouvertes et expose sa toison brune et ses seins fièrement dressés vers le ciel
Lui ? buriné par le soleil sans doute des habitués, nuque longue et bouclée, a peine un peu enrobé, mais ce qui attire l’œil c’est le sexe imposant qui pend sur sa cuisse, le bout sous lequel est bien dessiné un gros gland ovale posé sur la serviette
Suis-je repérée ? il me sourie tout en caressant un sein de la fille en me scrutant de la tête aux pieds alors je plonge le nez dans mon livre gênée de jouer les curieuses, mais je n’accroche pas au récit, ce couple insolite et cette verge hors-normes m’obsède, je me tourne me retourne jusqu’au moment ou un petit cri m’a fait tourner la tête.. L’homme a genoux entre les cuisses de la fille vient visiblement de la pénétrer, les longs vas et viens qu’il entame ne laisse aucun doute sur l’action, la fille les reins creusés et décollés de sa serviette, sa tête secouée de gauche a droite, les seins tressautant en tous sens se donne totalement aux coups de queues virils, comme hypnotisée je reste telle une gourde à mater les amants, je dois faire un effort pour me lever sous le sourire provocant de l’homme et aller vers l’océan me rafraichir les idées et surtout me laver ma chatte qui suinte abondement entre mes cuisses, ce qui ne m’empêche pas de les observer attentivement !
Un hululement plus long que les autres ponctue la jouissance de la fille, je presse fortement mes seins entre mes doigts et serre les cuisses imaginant être à sa place, l’homme se relève et s’assied sur sa serviette pour s’essuyer la verge visiblement encore bandée tout en me la montrant ouvertement, comme une invitation a participer a mon tour, je me jette dans les vagues afin de calmer mon désir soudain pour cette bite impressionnante quant un plongeon a mes cotés me surprend vivement

- Salut, t’as vu ? je peux te dire que ça décoiffe !
- Hou ! tu m’as fais peur ! c’est ton mec ?
- Tu plaisante ? je ne le connaissais pas jusqu’à ce matin !
- Ha bon ?
- Tu veux que je te le présente ?
- Ho non …
- Pourquoi ne pas en profiter ? nous somment seules sur cette plage, je te jure c’est un fameux coup, j’en ai encore les petites lèvres qui tremblotent !
- Je n’oserais jamais ….
- Va t’allonger sur ta serviette je vais lui parler avant de rejoindre mon mari qui m’a matée dans les dunes

Je coure presque pour aller prendre une position neutre, allongée sur le ventre le nez sur mes mains, quand je perçois le sable crisser a mes pieds, il doit se repaitre de mon entrecuisses ouvert volontairement pour l’appâter, des bougonnements et le bruit se déplace a mon coté droit quelqu’un arrange une serviette à toucher la mienne

- Alors c’est cette petite pouliche fougueuse qui veut se faire monter par l’étalon de la plage de la pointe d’Arçay ?
- Mmmuuuuummm …
- Mademoiselle est timide ? reste ainsi Momo s’occupe de tout, je vais d’abords te détendre avant d’investir ta chattoune de mon pieux, je te préviens, je suis sain et ce sera sans capote a toi d’aller te laver aussitôt l’accouplement pour éviter un polichinelle dans le tiroir

Une main caresse délicatement mon dos du creux des reins à mes omoplates tandis que l’autre palpe mes fesses l’une après l’autre avant de se mettre a plat sur ma raie serrée malgré mes jambes séparées exprès avant qu’il n’arrive

- C’est ferme tout ça je vais te régaler et ME régaler ! respire lentement ….

Des doigts force ma raie afin d’atteindre mes trous, le premier à être sollicité est évidement mon anus qui d’instinct se rétracte au contact du doigt, il passe dessus sans y accorder d’intérêt, mes poils sont séparés par le milieu ainsi que mes lèvres gonflées de désir, mon cul se soulève malgré moi pour s’offrir a la caresse qui devient de plus en plus précise

- Huuuuummmm que c’est mouillé

Cela facilite la pénétration d’un doigt tournant qui ouvre mes chairs avant d’en introduire un second, comment faire pour lui faciliter la tâche…imperceptiblement je recule sur mes coudes ce qui a pour effet de faire remonter mon cul, le majeur et l’annulaire peuvent sonder jusqu’au fond de ma gaine vaginale , il tourne gratte ondule m’arrachant de gémissements de bienêtre

- Remonte encore un peu et tu seras a bonne hauteur pour que je t’embroche, ta chatte baille comme celle d’une truie… voilà ne bouge plus
- Mmmmuuuuuummmmm …

C’est d’abord son souffle que je sens sur mon sexe il retire ses doigts pour laisser place a sa langue pointue qui visite en premier mon anus totalement relâché, mes doigts s’enfoncent dans ma serviette, qu’il se dépêche à me baiser sinon je vais piquer une crise de nerf !

- Venez maintenant ….

Nouveau crissement du sable, il déplace sa derrière mes cuisses, une mai sur ma hanche il me positionne a son bon vouloir, une chose ronde et douce frotte sur mes lèvres qui se font un plaisir d’accueillir ce visiteur inattendu, elle se repousse au maximum sur les coté et cette fois je sens bien le gland mafflu forcer mes muqueuses , les hommes adorent ce passage étroit et celui-ci prend un malin plaisir a refaire le chemin plusieurs fois avant de m’investit dans un coup de rein puissant, j’ai faillis m’affaler en avant si ses poignes ne m’avaient pas saisie a temps

Pour la première fois de ma vie je sais ce que veut dire l’adjectif ‘comblée’, en grosseur longueur et douceur du manche qui me ramone là où il faut, je comprends l’enchantement de la fille qui vient d’y passer avant moi, pour en rajouter je propulse mes fesse a sa rencontre, du coup il me laisse baiser comme je le désire ne faisant que ponctuer mes coups de reins en y répondant sèchement, je pousse le vice jusqu'à tendre une main entre mes cuisses pour saisir et constater au toucher l’ampleur de cette bitte qui me perfore a merveille, elle est nappée de ma sève jusqu'à sa base, jamais je n’ai autant pleuré de la chatte

Une onde inconnue monte en moi pour exploser en un feu d’artifice inoubliable, je ne suis plus qu’un pantin désarticulé entre ses mains dont il se sert pour vider ses testicules en plusieurs jets puissants sur mon utérus ravivant mon orgasme, épuisée et ravie je glisse a terre, sa queue échappe de mon étuis a bite laissant s’échapper un flot de sperme épais qui s’étale sur ma serviette

- Tu reviens demain ?
- J’sais pas, j’sais plus ou j’en suis
- Sache que je suis là tous les matins au même endroit, tu pourrais jouer à la poupée avec mon zob et boire sa bouillie où bien je pourrais visiter ton anus qui, au vu de son relâchement a l’air d’en demander
- Vous êtes trop gros
- Entraine-toi ce soir chez toi avec un objet quelconque et reviens me voir pour le dépucelage
- Oui ….

C’est tout ce que j’ai pus répondre il était déjà parti, le soir nue sur mon lit je n’ai pus retenir l’envie de palper ma chatte et constater qu’elle avait repris son étroitesse habituelle ce qui ma’ rassurée et encouragée à me masturber... pourquoi ne pas faire subir le même sort a mon p’tit trou ? m’enfoncer quoi dans l’anus pour tester son élasticité ??? ce brumisateur d’eau qui est sensiblement de la même taille que son sexe ? avec cette crème solaire ça devrait faire l’affaire … étalée, les cuisses relevées je m’enduit l’entre-fesse et l’aérosol … je pousse... je pousse …petit a petit mes chairs se détendent, dopée par l’envie de réussir j’oublie la brulure atroce lorsque j’atteins le diamètre et que le flacon entre lentement dans mon rectum, je jubile !! avec sa queue ce sera moins rêche, je me concentre sur mon clitoris pour jouir avec ce gode improvisé dans le cul, les contractions qui en résultent finissent d’assouplir mon trou de balle, le flacon glisse maintenant tout seul, je le pose sur la table de nuit et m’endors bienheureuse …

Déjà huit heures du matin ? mon oncle et ma tante sont déjà partis au travail c’est bien, pas de questions auxquelles je ne saurais répondre sans bafouiller ! un p’tit dej vite fait, pourvus que j’arrive avant ma ‘rivale’ …essoufflée j’arrive sur la plage … où est-il ? personne a l’horizon… déçue je m’assied sur un tronc d’arbre...

- Ehooo ! petite !! je suis là en haut de la dune ! tu me cherche ?
- HAAAAAA !! vous m’avez fais peur ! non je ne vous cherche pas, je me balade
- Monte par ici
- Pour quoi faire ?
- Tu attends que ta copine d’hier te choure la place ? elle va bientôt arriver !
- Je monte !
- Ça va depuis hier ? pas trop mal entre les cuisses ?
- J’en ai vues d’autres...
- Bien sûr ! allons par là... tu es nue sous ta robe ?
- Oui
- Enlève-la, commence à m’exciter, tu es là pour la même chose ou bien pour une spéciale sodomie ?
- Les deux …
- Gourmande ! mais c’est faisable, ouvre ma braguette et sort popaul

A genoux, les mains tremblantes je tire sur le zip et le bouton de la ceinture, le short tombe a ses chevilles, je vois enfin de très prés ce gourdin qui m’a fait tant de bien, de si prés que je peux même sentir les effluves subtiles d’une sueur naissante, l’œil du bout de gland va laisser échapper une grosse perle translucide que je dépêche de happer, un coup de rein de sa part et j’engouffre malgré moi cinq centimètres de verge raide

- Va-y pompe ma belle et pelote mes couilles pleines

Je ne peux prendre qu’un testicule à la fois au creux de ma paume, je le fait rouler dans sa poche dépourvue de poils, tellement impatiente de manger sa sauce je suce comme si ma vie en dépendait, a ses onomatopées osées je sais que je fais ce qu’il faut, soudain il pose une main derrière ma nuque au cas où je me déroberais, le canal qui se gonfle sous la verge me prévient de l’imminence de l’éruption, si je ne veux pas étouffer je suis obligée de recracher la semence divine

- C’est bien petite, passe ta langue sur tes lèvres ça coule encore, bien je te baise comment ?
- Je vais vous chevaucher ?
- Impec, étendons nos serviettes ici

Voir ce pic tendu vers le ciel tel un tronc d’arbre fait frémir mes petites lèvres heureusement trempée par l’excitation de la pipe magistrale, j’enjambe sans tarder le buste de mon amant et fléchis lentement les genoux, c’est la partie la plus fatigante de l’accouplement, une fois assise sur son mat, mes deux doigts maintiennent ma fente ouverte, le doux contact du gland et de mon col qui s’élargit au fur et a mesure de la pénétration inexorable, je me relève de quelques centimètres afin de savourer cet instant sublime puis je me laisse tomber de mon poids sous le cri de surprise de l’homme qui me maudis disant que je vais lui ‘casser’ la queue , mais elle est bien au chaud dans mon ventre, je contracte mes muscle pour donner de l’élasticité a mon vagin, et c’est partis pour les montagnes russes ! il m’aide de temps a autre en me propulsant en l’air pour retomber lourdement sur ses couilles étirant au maximum ma gaine vaginale
Bien décidée à jouir encore plus fort qu’hier je me démène sur sa bite comme une hystérique, l’orgasme violent me surprend en plein vol, il me maintient bloquée sur lui tant que mes spasmes sont désordonnés et que sa queue déferle en moi un torrent de lave accentuant mon délire, ma vue se brouille …je chavire …

C’est une brulure qui m’a ramenée à la réalité, la même que j’ai ressentie hier soir dans mon lit, je suis a plat ventre, ou presque, car sous le ventre j’ai un sac a dos afin que mon cul soit surélevé …ce salaud est tout simplement en train de m’enculer

- Que faites-vous ?
- Hé ben je te sodomise ! c’est bien ce que tu m’as demandé non ?
- Ça fait mal !
- Le plus gros est passé, laisse toi aller je vais m’enfoncer
- NOOOOOONNNNNNN ……. OOOOOOUUUUUIIIIIII !!!!!c’est booooooooonnnnnnnnnn
- Pour moi aussi, j’adore ton p’tit cul serré, ça coulisse de mieux en mieux
- Je vais jouir …ça monte ! défoncez-moi, venez vous aussi donnez moi tout !
- Encore trente secondes et nous jouissons ensemble ….

Mon amant me soulève littéralement pour me coller à lui, ses jets brulants arrosent mon intestin, Mon cerveau explose, a nouveau ma vue se brouille, c’est le noir total …je suis biiiiiiiiieeeeeeeennnnnnnnnn !!! Au loin je perçois une voix féminine, j’ouvre les yeux, elle est là penchée sur moi

- Ohé ! tu m’entends ?
- Qui-est-ce ?
- La femme d’hier, tu es revenue te faire baiser aujourd’hui par ce mec ?
- …oui ….
- Il ne t’a pas ratée dis donc, par devant et par derrière, tu étais consentante ?
- Oui …
- Viens je vais t’aider à te laver a l’océan
- Merci … tu es gentille, et toi ? tu venais te faire prendre aussi ?
- J’aurais bien voulu mais mon mari est jaloux, il n’a pas aimé la quantité de foutre que j’avais dans la chatte
- Ha ???
- Et si tu venais faire la connaissance de mon mec ?
- Il est là ?
- Oui, il aimerait te baiser ….

Je ne vous dis pas les vacances que j’ai passées …….