Mieux vaut prévenir que d 'être cocu ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mieux vaut prévenir que d 'être cocu ...
Notre couple va bien malgré nos dix ans de mariage, enfin lorsque je dis ‘va bien’ j’ai quelques soucis en ce moment, cela provient du comportement de Camille notre voisine, un peu moins âgée que nous, elle s’arrange pour venir à la maison lorsque Julien est présent et elle me parle de tout et de rien en minaudant, faisant des effets de cheveux à droite puis à gauche, et roulant des fesses tout en rivant son regard sur mon mari qui fait la roue tel un paon devant une femelle en chaleur, si je ne fais rien je devine que je vais être bientôt cocue
Aussi je préfère prendre les devants quitte à les regarder ‘s’accoupler’, au moins je ne passerais pas pour une gourdasse mais pour une femme évoluée et libertine, ainsi je lui revois la balle, qu’elle se débrouille ensuite avec son mec !
- Tu la trouve comment Camille ?
- Bofff quelconque pourquoi ?
- Tu es bien le seul ! quelque chose me dis que ça ne va pas fort dans son couple et qu’elle cherche une aventure
- Et cette aventure elle la chercherait auprès de moi ?
- Je n’ai pas dit ça mais elle te dévore des yeux en tous cas
- Que veut-tu, j’attire la gente féminine
- Tu me dirais si par hasard tu couchais avec elle ?
- Soit rassurée chérie ça n’arrivera pas, je te resterais fidèle
- Si tu le dis …
Malgré son assurance apparente je suis certaine qu’il est ferré je n’ai plus qu’à manœuvrer ma voisine en l’attirant à la maison en mon absence
- Camille ? tu pourrais m’apporter le pain demain matin ? oui ? merci ma grande !
- Tu ne seras pas là demain matin chérie ?
- J’avais oublié mon rendez-vous chez le docteur pour mon renouvellement de pilules, tu lui offriras un café ?
- Je sais recevoir chère madame !
- Je sais chéri !
Il ne me reste plus qu’à faire un faux départ et me planquer dans le cellier, c’est quitte ou double, ça passe ou ça casse ! bizarrement je ne suis pas stressée, comme si de voir mon mari baiser une autre femme m’excitais au lieu de m’anéantir, j’étais quand même fébrile, au moment de partir J’avais laissé la porte de service entrouverte
Je me suis glissée dans le garage et de là dans le cellier, j’entends Julien siffloter alors qu’il ne le fait jamais, après vingt minutes qui m’ont parues une éternité le carillon a enfin retenti, julien, chemise ouverte va ouvrir, j’espère qu’ils vont venir dans la cuisine …
- Bonjour Julien
- Bonjour Camille ça va ?
- Laurence n’est pas là ?
- Non, je pensais que tu étais au courant ?
- Oh elle me l’a peut-être dis mais je n’ai pas fait attention
- Tu vas bien ? Laurence m’a dit que le moral n’allait pas fort
- Y’a des hauts et des bas dans mon couple…
- Je te sers un café tu vas me raconter ça ?
- Va pour le café mais pour les confidences je ne suis pas chaude
- Pas chaude … ça vient peut-être de tes ennuis ?
- Je ne comprends pas ?
- Oublie ! c’est une blague à deux balles !
- Aah ! j’ai saisi ! oh de ce côté-là ça va
- Tu es chaude ?
- Arrête avec tes insinuations désobligeantes Julien !
- En tout cas tu as de belles jambes
- Excuse-moi j’aurais dut tirer un peu sur ma robe
- N’en fais rien …
- Tous les mêmes ces mecs, tu ne veux pas voir ma culotte aussi ?
- Je ne dis pas non !
- Désolée mais je n’en porte pas aujourd’hui
- Vrai ?
- Je rigole !
- Pas moi, regarde dans quelle état tu m’as mis !
- T’es vachement ‘émotif’ dis donc !
- Tu ne peux rien faire ? c’est une urgence !
- Et si ta femme rapplique ?
- Elle est chez le toubib pour deux heures au minimum… embrasse-moi Camille … tu sens bon
- Non Julien...
- Arrête ton cinéma, tu es venue pour ‘ça’ n’est-pas ?
- Tu es fou ?
- Branle-moi …
- Non …
- Regarde cette trique …
- Eh bé, Laurence est gâtée ! quel morceau
- Si tu es privée de bon morceau c’est une très bonne occasion de profiter de la situation ma belle
- Juste masturber alors …
- Ouvre ton décolleté …
- Julien ….
- Encore un bouton …
- Un, pas plus …
- Quelles mamelles ! elles sont bien dures … suce moi …
- Non !
- Suce salope ! à genoux !
- Mmmmuuuuuummmmmmm
Ma voisine dépoitraillée à genoux devant mon mari lui embouche le nœud avec gourmandise, j’ai gagné ! je baisse ma culotte a mis cuisses pour toucher ma chatte trempée, mon clitoris est à vif, ne surtout pas crier …
En bon macho il lui impose un rythme soutenu en lui pressant la nuque, aucuns symptômes de jalousie ne survient, même lorsque j’ai vu mon mari se tendre et la semence de Julien perler aux coins des lèvres de ma salope de voisine, elle s’est relevée triomphante en s’essuyant la bouche luisante de foutre
- Tu es un faible comme tous tes congénères, je me suis fait le pari de t’avoir et j’y suis arrivée
- Tu es une manipulatrice ?
- Je sais que mon mec me trompe et j’ai jeté mon dévolu sur toi, ça me faisais marrer lorsque tu roulais des épaules pour moi, alors ? tu débande ? et si je te montre ça ? …
- C’est vrai ? tu n’as pas de culotte ! je vais te fourrer comme une jeune pouliche espèce de chaudasse
- Prend moi là, appuyée sur l’évier, relève ma robe sur mes reins et enfile-moi dès que tu es assez raide
- C’est bon, je bande comme un cerf, écarte davantage les pieds …quelle chatte ! je vais te la touiller de tous mes doigts avant de te la mettre au cul
Là, j’apprécie moins ce préliminaire …j’entends le clapotis d’où je suis, il est aussi audible que le mien …mais c’est cette pouffiasse qui va se faire baiser, Julien s’essuie a la robe de Camille et se met en position pour l’estocade finale, la femelle en chaleur s’arqueboutte au meuble pour résister à la poussée provoquée par la trique de mon mâle, surprise par l’impact viril elle lève les yeux au plafond , ils couinent dans un ensemble parfait, puis c’est la chevauchée infernale ponctuée de ‘han’ et des bruits sourds de pénétration, ses coups de queue se répercutent dans mon ventre , c’est mon poignet qui est pratiquement entré dans ma chatte , une mare s’est formée à mes pieds, je tombe à genoux sinon je vais m’affaler lorsque l’orgasme que je sens monter va me terrasser
De l’autre côté de la porte Camille commence à geindre de plus en plus fréquemment, je me calque sur elle pour unir notre plaisir et mêler nos cris, Julien manifeste lui aussi des signes que je connais bien, ce salaud va faire jouir deux femmes en même temps
- Ça vient … accélère Julien !
- Je vais vider mes couilles dans ta craquette de salope ensuite garde la pose, je vais te sodomiser
- Tout ce que tu veux mais arrose moi l’utérus… MAINTENANT !!!
- WOOOOOAAAAAAAHHHHOOOOUUUUUIIIIIIIII !!!!
- Continuuuuuuuuuuue !!!!!!! ne t’arrête pas ! je JOOOOOOOUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIS !!!
J’ai poussé la porte lorsque mes hurlements se sont mêlés aux leurs, trop pris par leur bonheur ils n’ont pas entendus la porte claquer et mes lamentations étouffées, mon souffle à peine redevenu régulier j’entends de nouveau Camille pousser des protestations qui se transforment vite en consentements, j’entrouvre à nouveau la porte pour suivre leur ébats
- Vas-y mon Juju encule-moi !
- Je vais t’éclater la rondelle pouffiasse
A présent je sais où j’en suis avec mon mari … c’est un chaud lapin il suffit de le provoquer …
Aussi je préfère prendre les devants quitte à les regarder ‘s’accoupler’, au moins je ne passerais pas pour une gourdasse mais pour une femme évoluée et libertine, ainsi je lui revois la balle, qu’elle se débrouille ensuite avec son mec !
- Tu la trouve comment Camille ?
- Bofff quelconque pourquoi ?
- Tu es bien le seul ! quelque chose me dis que ça ne va pas fort dans son couple et qu’elle cherche une aventure
- Et cette aventure elle la chercherait auprès de moi ?
- Je n’ai pas dit ça mais elle te dévore des yeux en tous cas
- Que veut-tu, j’attire la gente féminine
- Tu me dirais si par hasard tu couchais avec elle ?
- Soit rassurée chérie ça n’arrivera pas, je te resterais fidèle
- Si tu le dis …
Malgré son assurance apparente je suis certaine qu’il est ferré je n’ai plus qu’à manœuvrer ma voisine en l’attirant à la maison en mon absence
- Camille ? tu pourrais m’apporter le pain demain matin ? oui ? merci ma grande !
- Tu ne seras pas là demain matin chérie ?
- J’avais oublié mon rendez-vous chez le docteur pour mon renouvellement de pilules, tu lui offriras un café ?
- Je sais recevoir chère madame !
- Je sais chéri !
Il ne me reste plus qu’à faire un faux départ et me planquer dans le cellier, c’est quitte ou double, ça passe ou ça casse ! bizarrement je ne suis pas stressée, comme si de voir mon mari baiser une autre femme m’excitais au lieu de m’anéantir, j’étais quand même fébrile, au moment de partir J’avais laissé la porte de service entrouverte
Je me suis glissée dans le garage et de là dans le cellier, j’entends Julien siffloter alors qu’il ne le fait jamais, après vingt minutes qui m’ont parues une éternité le carillon a enfin retenti, julien, chemise ouverte va ouvrir, j’espère qu’ils vont venir dans la cuisine …
- Bonjour Julien
- Bonjour Camille ça va ?
- Laurence n’est pas là ?
- Non, je pensais que tu étais au courant ?
- Oh elle me l’a peut-être dis mais je n’ai pas fait attention
- Tu vas bien ? Laurence m’a dit que le moral n’allait pas fort
- Y’a des hauts et des bas dans mon couple…
- Je te sers un café tu vas me raconter ça ?
- Va pour le café mais pour les confidences je ne suis pas chaude
- Pas chaude … ça vient peut-être de tes ennuis ?
- Je ne comprends pas ?
- Oublie ! c’est une blague à deux balles !
- Aah ! j’ai saisi ! oh de ce côté-là ça va
- Tu es chaude ?
- Arrête avec tes insinuations désobligeantes Julien !
- En tout cas tu as de belles jambes
- Excuse-moi j’aurais dut tirer un peu sur ma robe
- N’en fais rien …
- Tous les mêmes ces mecs, tu ne veux pas voir ma culotte aussi ?
- Je ne dis pas non !
- Désolée mais je n’en porte pas aujourd’hui
- Vrai ?
- Je rigole !
- Pas moi, regarde dans quelle état tu m’as mis !
- T’es vachement ‘émotif’ dis donc !
- Tu ne peux rien faire ? c’est une urgence !
- Et si ta femme rapplique ?
- Elle est chez le toubib pour deux heures au minimum… embrasse-moi Camille … tu sens bon
- Non Julien...
- Arrête ton cinéma, tu es venue pour ‘ça’ n’est-pas ?
- Tu es fou ?
- Branle-moi …
- Non …
- Regarde cette trique …
- Eh bé, Laurence est gâtée ! quel morceau
- Si tu es privée de bon morceau c’est une très bonne occasion de profiter de la situation ma belle
- Juste masturber alors …
- Ouvre ton décolleté …
- Julien ….
- Encore un bouton …
- Un, pas plus …
- Quelles mamelles ! elles sont bien dures … suce moi …
- Non !
- Suce salope ! à genoux !
- Mmmmuuuuuummmmmmm
Ma voisine dépoitraillée à genoux devant mon mari lui embouche le nœud avec gourmandise, j’ai gagné ! je baisse ma culotte a mis cuisses pour toucher ma chatte trempée, mon clitoris est à vif, ne surtout pas crier …
En bon macho il lui impose un rythme soutenu en lui pressant la nuque, aucuns symptômes de jalousie ne survient, même lorsque j’ai vu mon mari se tendre et la semence de Julien perler aux coins des lèvres de ma salope de voisine, elle s’est relevée triomphante en s’essuyant la bouche luisante de foutre
- Tu es un faible comme tous tes congénères, je me suis fait le pari de t’avoir et j’y suis arrivée
- Tu es une manipulatrice ?
- Je sais que mon mec me trompe et j’ai jeté mon dévolu sur toi, ça me faisais marrer lorsque tu roulais des épaules pour moi, alors ? tu débande ? et si je te montre ça ? …
- C’est vrai ? tu n’as pas de culotte ! je vais te fourrer comme une jeune pouliche espèce de chaudasse
- Prend moi là, appuyée sur l’évier, relève ma robe sur mes reins et enfile-moi dès que tu es assez raide
- C’est bon, je bande comme un cerf, écarte davantage les pieds …quelle chatte ! je vais te la touiller de tous mes doigts avant de te la mettre au cul
Là, j’apprécie moins ce préliminaire …j’entends le clapotis d’où je suis, il est aussi audible que le mien …mais c’est cette pouffiasse qui va se faire baiser, Julien s’essuie a la robe de Camille et se met en position pour l’estocade finale, la femelle en chaleur s’arqueboutte au meuble pour résister à la poussée provoquée par la trique de mon mâle, surprise par l’impact viril elle lève les yeux au plafond , ils couinent dans un ensemble parfait, puis c’est la chevauchée infernale ponctuée de ‘han’ et des bruits sourds de pénétration, ses coups de queue se répercutent dans mon ventre , c’est mon poignet qui est pratiquement entré dans ma chatte , une mare s’est formée à mes pieds, je tombe à genoux sinon je vais m’affaler lorsque l’orgasme que je sens monter va me terrasser
De l’autre côté de la porte Camille commence à geindre de plus en plus fréquemment, je me calque sur elle pour unir notre plaisir et mêler nos cris, Julien manifeste lui aussi des signes que je connais bien, ce salaud va faire jouir deux femmes en même temps
- Ça vient … accélère Julien !
- Je vais vider mes couilles dans ta craquette de salope ensuite garde la pose, je vais te sodomiser
- Tout ce que tu veux mais arrose moi l’utérus… MAINTENANT !!!
- WOOOOOAAAAAAAHHHHOOOOUUUUUIIIIIIIII !!!!
- Continuuuuuuuuuuue !!!!!!! ne t’arrête pas ! je JOOOOOOOUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIS !!!
J’ai poussé la porte lorsque mes hurlements se sont mêlés aux leurs, trop pris par leur bonheur ils n’ont pas entendus la porte claquer et mes lamentations étouffées, mon souffle à peine redevenu régulier j’entends de nouveau Camille pousser des protestations qui se transforment vite en consentements, j’entrouvre à nouveau la porte pour suivre leur ébats
- Vas-y mon Juju encule-moi !
- Je vais t’éclater la rondelle pouffiasse
A présent je sais où j’en suis avec mon mari … c’est un chaud lapin il suffit de le provoquer …
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon, il ne vous reste plus qu'à continuer mais à trois !!!
Et oui, il n'y a pas que les hommes à être amateur de Candaule !
Comment résister à une provocatrice ......
C'eut été dommage .....
C'eut été dommage .....
Une histoire qui laisse à penser que le candaulisme peut aussi être féminin!