Miss camping, chapitre 15
Récit érotique écrit par Coloredbirdonaroof [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Miss camping, chapitre 15
(Coralie la miss camping vient de connaître la matinée la plus hot de son séjour, et ce n’est pas fini… Après avoir vu son mari se faire prendre par Nadine, qui ressemble à une vieille marchande de poisson, quelqu’un l’appelle…)
Je me retournais. Loïc était là, son sexe formidable formant une bosse dans son caleçon.
- Sylvie, Sarah, je vous présente mon scout Loïc. Nous avons un petit contrat tous les deux. Loïc, voici Sarah et Sylvie. Je suis sûre qu’elles te plairont beaucoup.
Loïc fit la bise à mes deux amies, impressionné par leur beauté. Il se pencha vers moi et je l’embrassais sur la bouche, en un baiser langoureux, glissant la main dans son maillot de bain et me saisissant de son engin délicieux.
- Tu as encore envie de moi ?
Je pressais sa bite entre mes doigts. Il se mordit les lèvres en fermant les yeux.
- Oui, je bande dès que je pense à tes seins. Je venais pour te voir. Te caresser. Pour bien m’exciter avant de masser Laëtitia cet après-midi.
Je souris, flattée, consciente de la présence de Jean, toujours prostré sur le matelas pneumatique. Je sortis sa queue de son caleçon.
- Tu veux me prendre ici, devant mon mari ?
Il fit un petit signe de tête que je pris pour un « oui ».
- Tu feras attention de ne pas venir, je veux que tu aies la pêche avec ma meilleure ennemie tout-à-l’heure…
Je m’agenouillais devant lui, et fus surprise de voir Sarah et Sylvie m’imiter.
La belle princesse me sourit en disant :
- Une queue comme ça, ça se partage…
Je léchai le gland, et le présentai devant la bouche de Sylvie qui le goûta avec beaucoup de soin. Le paréo de Sarah glissa de ses épaules, révélant ses deux superbes seins. La bite de Loïc enfla d’un coup, et se retrouva bien vite devant la bouche pulpeuse de la belle de cinquante ans, qui l’engloutit lentement. Ses mâchoires s’écartèrent, les lèvres pressèrent le sexe excité, et je fus estomaquée de voir que Sarah parvenait à gober la totalité du membre énorme, jusqu’à lécher les couilles du grand ado.
Voir cette bouche si charmante s’élargir pour avaler une queue si immense fut un choc, mais aussi un défi. Je glissai la main sur le membre avant que Sylvie, qui avait déjà tendu sa langue vers le gland luisant de la salive de Sarah – qui bavait abondamment – ne se le gobe à son tour. J’amenai le sexe chaud devant mes lèvres, écartai les mâchoires et me l’enfonçai en forçant au-delà de mon palais, de ma luette, de ma gorge. Je crus étouffer, mais je parvins à l’emboucher plus loin que les fois précédentes, pour son plus grand plaisir – et le mien. Je fis quelques allers et retours mêlés de salive bouillonnante, sans toutefois réussir à l’engloutir aussi nettement que la belle princesse. Je sentis Jean passer derrière moi et frotter sa bite molle sur mon cul. Je le laissai faire, libérant ma gorge, et tendant le beau sexe à Sylvie, qui l’avala avec grâce. Jean suivit le mouvement, et se plaça derrière Sylvie. Il dénoua son bikini et son string blanc, et lui empauma les seins en frottant sa pine fatiguée entre les lobes généreux du derrière de la petite brune. Elle suça Loïc ardemment, remuant les fesses en rythme, essayant clairement de réveiller la queue de mon mari, avec succès, semblait-il. Je repris le membre en bouche, tentant encore de l’engloutir complètement. La bite battait sur ma langue, Loïc gémît, il attrapa ma tête et m’encouragea à l’avaler plus loin. Ma gorge céda d’un coup, je sentis le membre gonflé dans ma trachée, déclenchant un haut-le-cœur incontrôlable. Je recrachai le sexe, l’inondant de bave transparente, visqueuse, et le menai vers la bouche experte de Sarah, qui le dégusta lentement.
Sylvie se retourna, à quatre pattes, présentant son gros cul à Loïc. Elle entreprit de sucer Jean, à genoux devant elle, qui ressemblait à un petit oiseau blessé, et caressait tour à tour les fesses de Sarah et les miennes. Loïc glissa ses doigts dans la chatte presque rasée de Sylvie, qui se cambra de plaisir en gobant totalement la bite de mon mari.
Je suçais le bel et grand ado avec enthousiasme, essayant à chaque coup de gorge de le prendre plus loin en moi, désirant plus que tout toucher son pubis de mes lèvres avec son énorme engin tout entier dans ma bouche. Cela venait doucement, l’excitation que je ressentais faisait mieux passer le côté désagréable de cet étouffement que je m’infligeais, et les spasmes de régurgitation limite nauséeux quand je libérais la belle bite, la mordillant tout du long avec gourmandise.
- Tu ne veux pas baiser un peu ? demanda Sylvie, qui astiquait toujours Jean.
Elle ne s’adressait pas à moi, mais à Loïc, lui tendant son beau derrière rondelet, une main sur sa minette.
L’ado ne se le fit pas dire deux fois. Il plaça ses genoux entre les jambes de la brunette, et plaça son gland taille XL à l’entrée de sa grotte inondée. Sylvie reprit Jean dans sa bouche, et ondula le cul de manière à engloutir peu à peu le sexe dressé, sa petite chatte s’étirant à rompre au passage du boa affamé. Elle avala Jean jusqu’à la garde, en haletant d’extase à mesure que Loïc accélérait le rythme, encouragé par les caresses de Sarah, qui collait ses gros seins contre son dos, et par mes baisers répétés, auxquels il répondait avec une ardeur touchante.
Il laboura la petite moule un long moment, répondant aux sollicitations pressantes de Sylvie, ses cuisses tapant contre le cul rebondi, battant régulièrement la mesure, à l’unisson avec les couinements aigus de mon amie, en pâmoison.
Sarah avait quitté le dos du bel ado pour s’occuper de Jean, qu’elle avait pris par la main et emmené sous la tente, où je les entendais baiser bruyamment.
Je m’approchai du cul de Sylvie, et entrepris de le mordiller, au plus près des abdos de mon scout, qui avait un pouce perdu dans la pastille étroite de mon amie. Elle semblait avoir complètement oublié le monde alentour, je craignais que ses gémissements très sonores n’attirent les curieux.
Loïc sortit brusquement sa pine de la petite chatte et me la fourra dans la bouche, m’aspergeant le nez d’un grand jet de sperme au passage. Je le suçai ardemment, consciente de son pouce toujours dans l’anus de Sylvie, qui continuait à gémir comme s’il la baisait encore. Je bus son sperme avec le même plaisir que la première fois qu’il m’avait gratifiée de sa semence, m’appliquant à lui faire ressentir un maximum de sensations durant son orgasme généreux. Un trop plein de jute crémeuse déborda bien vite de mes lèvres, je levai les yeux et vis qu’il ne perdait pas une miette du spectacle, yeux souriant allant et venant successivement de ma bouche au cul de Sylvie, qui jouissait toujours de la mini-sodomie qu’elle subissait.
Je branlai le reste de sperme sur mon visage, embrassai la belle pine encore une fois, et, menton dégoulinant, je les laissai s’amuser tous les deux. J’entrai dans la tente. Sarah était à quatre pattes, ses seins bondissant au fur et à mesure que Jean la gamahuchait, en levrette. Elle ouvrit les yeux en souriant.
- Je… aah… croyais que le petit… aah… ne devait pas venir… sur toi… aah.
Je me mis à genoux devant elle et l’embrassai sur la bouche. Elle lécha le sperme sur mon menton et sur mes joues en haletant, et le partagea avec moi, nos langues s’entremêlant dans le jus onctueux. C’est ce moment-là que choisit Jean pour venir enfin, projetant de petits jets sur les fesses de la belle princesse. Je m’approchais de sa pine et la gobait pour la nettoyer, puis échangeai un baiser avec lui, qu’il me rendit avidement. Peut-être restait-il un peu d’amour entre nous, finalement…
- Viens manger avec nous !
Sarah se faisait insistante. Nous étions allongées, nues, avec Sylvie, à côté de Jean. J'avais la tête lovée sur son pectoral gauche, je sentais sa poitrine se lever et s'abaisser au rythme de sa respiration. Mes doigts étaient croisés dans ceux de Sylvie, sur sa bite au repos. Loïc avait dû partir, me promettant de repasser dans la soirée pour me montrer ce qu'il aurait filmé de la séance de massage avec Laëtitia. Sarah voulait absolument m'inviter à déjeuner.
- Tu verras, mon mari est charmant. Viens avec ton Jean !
J'hésitais. Je me sentais vidée, mais un peu mieux qu'après mon viol matinal. Je savais que si j'acceptais, Sarah voudrait "m'offrir" à son mari, selon ses propres termes, et, si elle avait profité du mien par deux fois déjà, je n'étais pas sûre de vouloir ajouter une nouvelle pine à mon tableau de chasse - ou plutôt à mon tableau de chatte - de la journée.
En même temps, Sarah était si adorable... Je me retournais, la pris dans mes bras et l'embrassais sur les lèvres, un baiser sincère et tendre. Nos seins se touchaient délicatement, nos langues de trouvèrent, et je m'abandonnai aux caresses de ses doigts sur mes fesses.
Elle relâcha son étreinte et me dit:
- Dois-je prendre ça pour un oui ?
Je hochais la tête timidement, cherchant à nouveau ses lèvres. Elle me mordilla la langue. Ses doigts glissèrent vers mon entrejambe moite. Elle fourra son pouce dans mon vagin entrouvert, je fermai les yeux, profitant de la douce volupté qui m'envahissait.
- Tu vas te montrer gentille avec mon mari, n'est-ce pas ?
Je n'ouvris pas les yeux, je me concentrais sur les sensations que me procuraient son doigt en moi et ses gros seins contre les miens. Je la serrai plus fort et lui mordillai le nez, les joues, le menton, en ondulant mes hanches doucement pour mieux me planter sur son pouce dressé. Je sentis Jean se tourner vers moi, peut-être pour reluquer le divin échange, peut-être pour mieux entendre ma réponse. Sarah insista encore.
- Dois-je aussi prendre ça pour un oui ?
Je souris et hochais à nouveau la tête discrètement. Jean soupira. Sarah voulait m'entendre dire clairement que j'avais bien compris le sous-entendu.
- Tu seras gentille-gentille ?
La pensée que Jean pouvait encore éprouver de la jalousie me fit chaud au cœur. Je décidai de contenter la belle princesse.
- Si ton mari me trouve à son goût, il pourra m'avoir toute à lui, promis. Je le laisserais même me prendre devant toi, si tu veux. J'écarterais les jambes comme jamais je ne les ai écartées pour te faire plaisir.
- Tu sais que je t'adore, toi ?
Le pouce de Sarah accéléra sa course folle dans ma chatte, et c'est elle qui m'embrassa avec fougue, cette fois. Je sentis que Jean se détournait de moi et j'entendis bientôt les gémissements satisfaits de Sylvie tandis qu'il la suçait ardemment.
- Viens, ils vont nous attendre !
Jean traînait des pieds. Il était bientôt 12h00 et je ne voulais pas arriver tard - j'avais rendez-vous avec la petite Véro en début d'après-midi, et, si je devais manger et baiser avec le mari de Sarah, il ne fallait pas que j'arrive trop tard. Mais Jean ne semblait pas très chaud pour me donner à un inconnu.
- Pourquoi n'y vas-tu pas toute seule ? Tu n'as pas besoin de moi pour faire la gentille pupute avec ce connard.
Je ne relevais pas l'insulte.
- Tu as baisé sa femme, à ce Monsieur, ne l'oublie pas... si j'y vais seule, je risque de me faire sauter sur le chemin, tout le camping a l'air de vouloir me passer dessus, je te le rappelle. Et si tu as besoin qu'on te rafraîchisse la mémoire, c'est toi qui insistais pour que je fasse la pupute sur le podium, lors de ce concours imbécile. 'Vas-y à fond, Coralie, tu peux faire mieux, montre tes seins Coralie, allume-les tous, montre ton cul, Coralie, promets-leur de te balader nue, suce-les sur la scène s'il le faut, je n'ai pas d'argent pour payer le camping, ne fais pas ta timide, ouvre bien la chatte...' ça te rappelle quelque chose ? Oh, et l'animateur m'a sautée ce matin, au fait, il a dit qu'il rêve de moi depuis le concours. Il a une toute petite bite, tu ne le croirais pas.
Je souris. Jean parut choqué, mais il me suivit. Je pris sa main dans la mienne, et nous nous dirigeâmes vers le mobil-home de Sarah, nus sous le soleil. Plusieurs ados me reluquèrent sur le chemin, deux voitures nous klaxonnèrent, mais personne ne nous aborda.
Sarah était en maillot devant un barbecue qui sentait bon la viande grillée. Elle eut un sourire radieux en nous voyant, et appela son mari dans le mobil-home.
- Vincent ! Coralie est là !
Le mari de Sarah sortit et mon cœur manqua un battement. C'était mon violeur scatologique. Je me mis à trembler involontairement. La tête me tournait. Je voulais m'enfuir. Ce n'était pas possible !
Il serra la main de Jean.
- Vincent, enchanté.
Il se tourna vers moi avec un sourire neutre.
- Vous savez, Coralie, j'avais hâte de vous rencontrer enfin, Sarah me dit beaucoup de bien de vous !
J'avais envie de hurler. Il faisait comme s'il ne me connaissait pas, comme s'il ne m'avait pas forcée à le sucer sous la menace pendant que je déféquais, comme s'il ne m'avait pas sodomisée en groupe, comme s'il ne m'avait pas imposé une double-pénétration, le salaud ! J'étais paralysée, je ne pouvais tout de même pas dire à mon amie que son mari était un salopard, mais en même temps, je ne pouvais pas faire comme si de rien n'était !
- Coralie ? ajouta Vincent. Tout va bien ?
Sarah me regarda d'un air curieux. Jean fronça les sourcils.
- Non... Je... veux dire... oui, j'ai... juste... un peu chaud, c'est ça, il fait une de ces chaleurs...
Les yeux de Vincent brillèrent de plaisir.
- J'ai un excellent remède pour les jeunes femmes qui se sentent chaudes !
- Ah ? Dis-je d'une voix faible, tremblant devant le sous-entendu grossier.
Il me fourra un verre empli de glaçon dans les mains.
- Un petit apéritif de ma composition, délicieux, vous verrez...
Je bus à petites gorgées. J'étais désespérée. J'avais promis à Sarah de me montrer gentille avec lui, je ne pouvais plus reculer. Je me sentais prise au piège.
- Coralie, tu veux bien aider Vincent à mettre la table pendant que je te prends ton Jean qui va couper la viande pour moi ?
Je tressaillis. Je ne voulais surtout pas me retrouver seule dans le mobil-home avec ce violeur ! Il me prit par la main et m'attira à lui, passant négligemment un bras autour de mes épaules, laissant sa main retomber sur la naissance de mes seins.
- Venez, c'est par là !
Sarah me fit un clin d'œil. Je ne pouvais pas me défiler.
A peine entré dans le mobil-home, il me prit par les fesses et me força à l'embrasser, en frottant son caleçon sur ma chatte rasée. Je le repoussai de toutes mes forces et dis entre mes dents:
- Ne me touchez pas !
Il prit une grande cuillère en bois sur la table et m'en donna un coup sur le haut des fesses. Je sursautais de douleur, mais ne criai pas.
- Arrête de faire ta vierge effarouchée. Monte sur la table à quatre pattes, on va faire un petit jeu. Vite !
- Il n'en est pas question ! sifflais-je rageusement. Vous m'avez assez maltraitée ce matin ! Je n'ai encore rien dit à votre femme, mais...
Il rit.
- Qui te dit qu'elle ne le sait pas déjà ? Allez, monte, et tends-moi ton petit trou.
Je reculais d'un pas, respirant difficilement. Sarah ne pouvait pas savoir, elle pensait que je ne connaissais pas son mari !
- Non !
Il avança sa main et saisit un de mes seins par le téton.
- Très bien, disons donc à Jean que je t'ai vu chier par terre et baisée dans ta merde ! (il se pencha à la fenêtre) Sarah, Jean, venez voir !
Je ne pouvais pas le laisser tout raconter à Jean ! L'humiliation serait trop grande !
- Non, s'il vous plaît, ne dites rien !
Au dehors Sarah répondit :
- Une minute, j'arrive !
Il me regarda d'un air narquois.
- À quatre pattes sur la table.
J'obéis. La table n'était pas très grande, je dû me cambrer pour y tenir sans me casser la figure. Ma croupe se trouva face à lui, j'étais à sa merci.
Il se pencha à nouveau à la fenêtre :
- Je n'ai plus besoin de vous, j'ai ce que je cherchais. On vient dresser la table dans une minute.
Il humecta ses doigts dans ma chatte ouverte et fourra sa langue dans mon anus.
Sarah répondit de loin:
- Ok, ne traîne pas trop, c'est presque cuit.
Il me caressa le bas du dos, la croupe, le haut des cuisses. Puis il fit couler un filet d'huile le long de ma raie et y fit courir un doigt en tournant délicatement sur ma pastille tendre. Le doigt trouva son chemin sans difficulté, pénétrant le trou douillet sans souci, et, couplé avec le pouce tendu entre mes petites lèvres qui malaxait mon clitoris, il provoqua une sensation que j'eus honte de trouver plus qu'agréable.
- Je t'explique les règles du jeu.
- Mmm, oui... s'il-vous-plaît, non, arrêtez...
Ses doigts se firent plus brutaux, son pouce pénétra mon vagin, le plaisir s'intensifia.
- Mmm... Non... s'il-vous-plaît...
- Tu vas rester sagement sur cette table pendant tout notre repas. Je viendrai te voir régulièrement, et, si tu es bien sage, je te donnerai du plaisir. Sinon...
Il se pencha sur ma croupe et me mordit la fesse jusqu'au sang, en me pressant un sein avec sa seconde main. J'eus envie de hurler, mais seul un gémissement plaintif sortit de ma gorge, je ne pouvais pas risquer que Jean apprenne ce que j'avais accepté de subir le matin - accepté jusqu'à un certain point... mais accepté tout de même.
- C'est bien. Je ne sais pas si j'ai eu l'occasion de te dire que j'adore tes gros nichons... J'ai un traitement spécial pour eux. Reste comme ça, je reviens.
Je tremblais, à quatre pattes sur la table, cul relevé en arrière, seins pendouillant, jambes légèrement écartées. Vincent pris des assiettes et des couverts et descendit mettre la table. Je pensais qu'il n'allait rien dire à Jean et Sarah. Je me trompais.
- Coralie n'a pas voulu attendre la fin du repas pour se montrer gentille avec moi, je m'amuse un peu avec elle, ça ne vous embête pas trop, Jean ?
J'entendis mon mari émettre un grognement incertain. Vincent parut ravi.
- Je vois que vous profitez des charmes de mon épouse, c'est donc parfait ! Sarah, puisque tu es déjà à moitié nue sur lui, autant enlever ton string aussi... Tu sais combien le voisin aime te mater !
Sarah gloussa. Je fermai les yeux, mes genoux commençaient à me faire mal. Vincent remonta, passa devant moi sans me toucher, alla dans la petite chambre et revint une minute plus tard. Il posa une boîte au pied de la table et en tira une étoffe soyeuse.
- Enfile ça.
Il me passa un petit haut en soie blanche, qui me parut très petit.
- Je... Je n'ai pas le droit de porter de vêtements. C'est le règlement de miss camping...
- Allons, ne sois pas ridicule, tu dois te balader cul nul dans le camping, mais à l'intérieur, tu fais ce que tu veux. Enfile ce haut, grouille !
Je m'exécutai. Le haut était bien trop petit, ma poitrine étirait le tissu d'une façon telle que j'avais du mal à respirer. Le frottement de la soie sur mes seins était terriblement sensuel, érotique, mes tétons durcirent au contact frais, et je me surpris à attendre la suite avec, sinon délice, du moins curiosité. Vincent sembla lire dans mes pensées, il abaissa son caleçon, plaça sa bite sous ma main, sur la table, et caressa mes nichons enveloppés de soie tout en m'embrassant avec une certaine tendresse. L'étreinte fit grimper le plaisir d'un degré. Je branlai le sexe en le malaxant sur la table, encouragée par les coups de langue plus prononcés de mon violeur délicat. Je ne voulais plus que ce baiser cesse. J'entendais Sarah gémir à l'extérieur, j'essayai d'accrocher mes sensations à l'unisson des siennes.
Nos lèvres se séparèrent.
- De beaux gros seins, ouais.
Je souris en gonflant ma poitrine, clairement provocante, cherchant à nouveau sa bouche, trouvant ses joues rasées de frais.
- Tu vois que tu es une gourmande... Vite effarouchée, vite chaude ! J'ai quelque chose pour toi, ma belle, tu veux voir ?
Je tortillais le cul et projetait mes nichons en avant, et hochais la tête d'un air faussement timide.
Il fouilla une seconde dans la boîte, en tira un objet long couleur chair. Un godemiché. Énorme. Long. Large. Veiné. Avec une paire de couilles moulées tout au bout. La bite de Loïc en latex.
- Ecarte les jambes.
Je ne protestai pas. Le haut soyeux m'avait comblée, le baiser aussi, je décidai de lui faire confiance. Gardant mes genoux pliés, je posai ma tête et mes seins sur la table, et cambrai mes hanches au maximum pour accueillir le gode géant. Il sembla apprécier la soumission.
- Je vois que tu commences à comprendre, Coralie.
Je remuais le cul, anticipant la pénétration. Il sourit, vint derrière moi, et me suça complètement, du clito à l'anus, introduisant longuement sa langue épaisse et humide dans mes deux orifices. Quand il me suçait l'intérieur de la chatte, le bout de son nez titillait mon petit trou d'une manière divine. Je me donnai un peu plus, desserrant les fesses autant que je le pouvais en m'aidant de mes mains. Je haletais des encouragements sincères.
- Oui... oui, comme ça, encore, mmmm, oui... encore...
Il me dégusta comme une grosse glace, j'étais parcourue de frissons incontrôlables, cul en l'air, genoux en feu, tête et seins écrasés inconfortablement contre la table.
Il s'affaira plus précisément sur mon anus offert, et pressa le godemichet taille XL dans ma chatte, sans prévenir. L'engin me déchira les lèvres, déclenchant des éclairs dans mon clitoris tendu.
- Aïe ! Aah ! Oui ! Aah !
Plaisir et douleur s'entremêlèrent. Il se releva, et remua le gros gode dans ma chatte, tirant un nouvel objet de la boîte.
- Mets les mains dans le dos.
- Aah oui tout ce que vous voulez !
Il me passa un bracelet autour d'un poignet, puis un autre autour du deuxième. Des menottes ! La position était terriblement inconfortable, je tentai de me relever mais il m'appuya sur les épaules pour m'en empêcher.
- Ne bouge pas.
Il actionna quelque chose sur le godemichet, qui se mit à vibrer dans mon vagin. Je serrais les jambes incapable de me contrôler.
-Aaah oui ! Aaah !
Il vint placer sa bite à hauteur de ma bouche, je la happais sans me poser de question, toute au mélange de sensations qui s'entrechoquaient dans mon corps, douleur dans mes genoux, sur mes épaules tirées par mes bras prisonniers des menottes, dans mon cou, sensualité de la soie sur mes tétons dressés et dans mon dos, et plaisir intense dans le ventre, dans la chatte, dans la bouche. Je soufflai par le nez en couinant, je sentis la cyprine couler le long du gode endiablé.
- Oh, belle Coralie, suce-la bien, c'est ça...
Je redoublai les coups de menton, désireuse de l'avaler tout entier, pleinement consentante, cette fois. Sa bite était dure et gonflée sur ma langue, une sensation que je commençais à connaître mieux, et à apprécier énormément. Il se pencha vers mon cul, toucha le gode une seconde et le rythme s'accéléra encore dans mon vagin. Je crachais la pine écarlate en criant:
- Aah oui !!!
Il remonta son caleçon et sortit du mobil-home en disant:
- Chauffe-toi bien, je reviens bientôt.
(à suivre...)
Un commentaire, une suggestion, une appréciation: coloredbirdonaroof@gmail.com
Je me retournais. Loïc était là, son sexe formidable formant une bosse dans son caleçon.
- Sylvie, Sarah, je vous présente mon scout Loïc. Nous avons un petit contrat tous les deux. Loïc, voici Sarah et Sylvie. Je suis sûre qu’elles te plairont beaucoup.
Loïc fit la bise à mes deux amies, impressionné par leur beauté. Il se pencha vers moi et je l’embrassais sur la bouche, en un baiser langoureux, glissant la main dans son maillot de bain et me saisissant de son engin délicieux.
- Tu as encore envie de moi ?
Je pressais sa bite entre mes doigts. Il se mordit les lèvres en fermant les yeux.
- Oui, je bande dès que je pense à tes seins. Je venais pour te voir. Te caresser. Pour bien m’exciter avant de masser Laëtitia cet après-midi.
Je souris, flattée, consciente de la présence de Jean, toujours prostré sur le matelas pneumatique. Je sortis sa queue de son caleçon.
- Tu veux me prendre ici, devant mon mari ?
Il fit un petit signe de tête que je pris pour un « oui ».
- Tu feras attention de ne pas venir, je veux que tu aies la pêche avec ma meilleure ennemie tout-à-l’heure…
Je m’agenouillais devant lui, et fus surprise de voir Sarah et Sylvie m’imiter.
La belle princesse me sourit en disant :
- Une queue comme ça, ça se partage…
Je léchai le gland, et le présentai devant la bouche de Sylvie qui le goûta avec beaucoup de soin. Le paréo de Sarah glissa de ses épaules, révélant ses deux superbes seins. La bite de Loïc enfla d’un coup, et se retrouva bien vite devant la bouche pulpeuse de la belle de cinquante ans, qui l’engloutit lentement. Ses mâchoires s’écartèrent, les lèvres pressèrent le sexe excité, et je fus estomaquée de voir que Sarah parvenait à gober la totalité du membre énorme, jusqu’à lécher les couilles du grand ado.
Voir cette bouche si charmante s’élargir pour avaler une queue si immense fut un choc, mais aussi un défi. Je glissai la main sur le membre avant que Sylvie, qui avait déjà tendu sa langue vers le gland luisant de la salive de Sarah – qui bavait abondamment – ne se le gobe à son tour. J’amenai le sexe chaud devant mes lèvres, écartai les mâchoires et me l’enfonçai en forçant au-delà de mon palais, de ma luette, de ma gorge. Je crus étouffer, mais je parvins à l’emboucher plus loin que les fois précédentes, pour son plus grand plaisir – et le mien. Je fis quelques allers et retours mêlés de salive bouillonnante, sans toutefois réussir à l’engloutir aussi nettement que la belle princesse. Je sentis Jean passer derrière moi et frotter sa bite molle sur mon cul. Je le laissai faire, libérant ma gorge, et tendant le beau sexe à Sylvie, qui l’avala avec grâce. Jean suivit le mouvement, et se plaça derrière Sylvie. Il dénoua son bikini et son string blanc, et lui empauma les seins en frottant sa pine fatiguée entre les lobes généreux du derrière de la petite brune. Elle suça Loïc ardemment, remuant les fesses en rythme, essayant clairement de réveiller la queue de mon mari, avec succès, semblait-il. Je repris le membre en bouche, tentant encore de l’engloutir complètement. La bite battait sur ma langue, Loïc gémît, il attrapa ma tête et m’encouragea à l’avaler plus loin. Ma gorge céda d’un coup, je sentis le membre gonflé dans ma trachée, déclenchant un haut-le-cœur incontrôlable. Je recrachai le sexe, l’inondant de bave transparente, visqueuse, et le menai vers la bouche experte de Sarah, qui le dégusta lentement.
Sylvie se retourna, à quatre pattes, présentant son gros cul à Loïc. Elle entreprit de sucer Jean, à genoux devant elle, qui ressemblait à un petit oiseau blessé, et caressait tour à tour les fesses de Sarah et les miennes. Loïc glissa ses doigts dans la chatte presque rasée de Sylvie, qui se cambra de plaisir en gobant totalement la bite de mon mari.
Je suçais le bel et grand ado avec enthousiasme, essayant à chaque coup de gorge de le prendre plus loin en moi, désirant plus que tout toucher son pubis de mes lèvres avec son énorme engin tout entier dans ma bouche. Cela venait doucement, l’excitation que je ressentais faisait mieux passer le côté désagréable de cet étouffement que je m’infligeais, et les spasmes de régurgitation limite nauséeux quand je libérais la belle bite, la mordillant tout du long avec gourmandise.
- Tu ne veux pas baiser un peu ? demanda Sylvie, qui astiquait toujours Jean.
Elle ne s’adressait pas à moi, mais à Loïc, lui tendant son beau derrière rondelet, une main sur sa minette.
L’ado ne se le fit pas dire deux fois. Il plaça ses genoux entre les jambes de la brunette, et plaça son gland taille XL à l’entrée de sa grotte inondée. Sylvie reprit Jean dans sa bouche, et ondula le cul de manière à engloutir peu à peu le sexe dressé, sa petite chatte s’étirant à rompre au passage du boa affamé. Elle avala Jean jusqu’à la garde, en haletant d’extase à mesure que Loïc accélérait le rythme, encouragé par les caresses de Sarah, qui collait ses gros seins contre son dos, et par mes baisers répétés, auxquels il répondait avec une ardeur touchante.
Il laboura la petite moule un long moment, répondant aux sollicitations pressantes de Sylvie, ses cuisses tapant contre le cul rebondi, battant régulièrement la mesure, à l’unisson avec les couinements aigus de mon amie, en pâmoison.
Sarah avait quitté le dos du bel ado pour s’occuper de Jean, qu’elle avait pris par la main et emmené sous la tente, où je les entendais baiser bruyamment.
Je m’approchai du cul de Sylvie, et entrepris de le mordiller, au plus près des abdos de mon scout, qui avait un pouce perdu dans la pastille étroite de mon amie. Elle semblait avoir complètement oublié le monde alentour, je craignais que ses gémissements très sonores n’attirent les curieux.
Loïc sortit brusquement sa pine de la petite chatte et me la fourra dans la bouche, m’aspergeant le nez d’un grand jet de sperme au passage. Je le suçai ardemment, consciente de son pouce toujours dans l’anus de Sylvie, qui continuait à gémir comme s’il la baisait encore. Je bus son sperme avec le même plaisir que la première fois qu’il m’avait gratifiée de sa semence, m’appliquant à lui faire ressentir un maximum de sensations durant son orgasme généreux. Un trop plein de jute crémeuse déborda bien vite de mes lèvres, je levai les yeux et vis qu’il ne perdait pas une miette du spectacle, yeux souriant allant et venant successivement de ma bouche au cul de Sylvie, qui jouissait toujours de la mini-sodomie qu’elle subissait.
Je branlai le reste de sperme sur mon visage, embrassai la belle pine encore une fois, et, menton dégoulinant, je les laissai s’amuser tous les deux. J’entrai dans la tente. Sarah était à quatre pattes, ses seins bondissant au fur et à mesure que Jean la gamahuchait, en levrette. Elle ouvrit les yeux en souriant.
- Je… aah… croyais que le petit… aah… ne devait pas venir… sur toi… aah.
Je me mis à genoux devant elle et l’embrassai sur la bouche. Elle lécha le sperme sur mon menton et sur mes joues en haletant, et le partagea avec moi, nos langues s’entremêlant dans le jus onctueux. C’est ce moment-là que choisit Jean pour venir enfin, projetant de petits jets sur les fesses de la belle princesse. Je m’approchais de sa pine et la gobait pour la nettoyer, puis échangeai un baiser avec lui, qu’il me rendit avidement. Peut-être restait-il un peu d’amour entre nous, finalement…
- Viens manger avec nous !
Sarah se faisait insistante. Nous étions allongées, nues, avec Sylvie, à côté de Jean. J'avais la tête lovée sur son pectoral gauche, je sentais sa poitrine se lever et s'abaisser au rythme de sa respiration. Mes doigts étaient croisés dans ceux de Sylvie, sur sa bite au repos. Loïc avait dû partir, me promettant de repasser dans la soirée pour me montrer ce qu'il aurait filmé de la séance de massage avec Laëtitia. Sarah voulait absolument m'inviter à déjeuner.
- Tu verras, mon mari est charmant. Viens avec ton Jean !
J'hésitais. Je me sentais vidée, mais un peu mieux qu'après mon viol matinal. Je savais que si j'acceptais, Sarah voudrait "m'offrir" à son mari, selon ses propres termes, et, si elle avait profité du mien par deux fois déjà, je n'étais pas sûre de vouloir ajouter une nouvelle pine à mon tableau de chasse - ou plutôt à mon tableau de chatte - de la journée.
En même temps, Sarah était si adorable... Je me retournais, la pris dans mes bras et l'embrassais sur les lèvres, un baiser sincère et tendre. Nos seins se touchaient délicatement, nos langues de trouvèrent, et je m'abandonnai aux caresses de ses doigts sur mes fesses.
Elle relâcha son étreinte et me dit:
- Dois-je prendre ça pour un oui ?
Je hochais la tête timidement, cherchant à nouveau ses lèvres. Elle me mordilla la langue. Ses doigts glissèrent vers mon entrejambe moite. Elle fourra son pouce dans mon vagin entrouvert, je fermai les yeux, profitant de la douce volupté qui m'envahissait.
- Tu vas te montrer gentille avec mon mari, n'est-ce pas ?
Je n'ouvris pas les yeux, je me concentrais sur les sensations que me procuraient son doigt en moi et ses gros seins contre les miens. Je la serrai plus fort et lui mordillai le nez, les joues, le menton, en ondulant mes hanches doucement pour mieux me planter sur son pouce dressé. Je sentis Jean se tourner vers moi, peut-être pour reluquer le divin échange, peut-être pour mieux entendre ma réponse. Sarah insista encore.
- Dois-je aussi prendre ça pour un oui ?
Je souris et hochais à nouveau la tête discrètement. Jean soupira. Sarah voulait m'entendre dire clairement que j'avais bien compris le sous-entendu.
- Tu seras gentille-gentille ?
La pensée que Jean pouvait encore éprouver de la jalousie me fit chaud au cœur. Je décidai de contenter la belle princesse.
- Si ton mari me trouve à son goût, il pourra m'avoir toute à lui, promis. Je le laisserais même me prendre devant toi, si tu veux. J'écarterais les jambes comme jamais je ne les ai écartées pour te faire plaisir.
- Tu sais que je t'adore, toi ?
Le pouce de Sarah accéléra sa course folle dans ma chatte, et c'est elle qui m'embrassa avec fougue, cette fois. Je sentis que Jean se détournait de moi et j'entendis bientôt les gémissements satisfaits de Sylvie tandis qu'il la suçait ardemment.
- Viens, ils vont nous attendre !
Jean traînait des pieds. Il était bientôt 12h00 et je ne voulais pas arriver tard - j'avais rendez-vous avec la petite Véro en début d'après-midi, et, si je devais manger et baiser avec le mari de Sarah, il ne fallait pas que j'arrive trop tard. Mais Jean ne semblait pas très chaud pour me donner à un inconnu.
- Pourquoi n'y vas-tu pas toute seule ? Tu n'as pas besoin de moi pour faire la gentille pupute avec ce connard.
Je ne relevais pas l'insulte.
- Tu as baisé sa femme, à ce Monsieur, ne l'oublie pas... si j'y vais seule, je risque de me faire sauter sur le chemin, tout le camping a l'air de vouloir me passer dessus, je te le rappelle. Et si tu as besoin qu'on te rafraîchisse la mémoire, c'est toi qui insistais pour que je fasse la pupute sur le podium, lors de ce concours imbécile. 'Vas-y à fond, Coralie, tu peux faire mieux, montre tes seins Coralie, allume-les tous, montre ton cul, Coralie, promets-leur de te balader nue, suce-les sur la scène s'il le faut, je n'ai pas d'argent pour payer le camping, ne fais pas ta timide, ouvre bien la chatte...' ça te rappelle quelque chose ? Oh, et l'animateur m'a sautée ce matin, au fait, il a dit qu'il rêve de moi depuis le concours. Il a une toute petite bite, tu ne le croirais pas.
Je souris. Jean parut choqué, mais il me suivit. Je pris sa main dans la mienne, et nous nous dirigeâmes vers le mobil-home de Sarah, nus sous le soleil. Plusieurs ados me reluquèrent sur le chemin, deux voitures nous klaxonnèrent, mais personne ne nous aborda.
Sarah était en maillot devant un barbecue qui sentait bon la viande grillée. Elle eut un sourire radieux en nous voyant, et appela son mari dans le mobil-home.
- Vincent ! Coralie est là !
Le mari de Sarah sortit et mon cœur manqua un battement. C'était mon violeur scatologique. Je me mis à trembler involontairement. La tête me tournait. Je voulais m'enfuir. Ce n'était pas possible !
Il serra la main de Jean.
- Vincent, enchanté.
Il se tourna vers moi avec un sourire neutre.
- Vous savez, Coralie, j'avais hâte de vous rencontrer enfin, Sarah me dit beaucoup de bien de vous !
J'avais envie de hurler. Il faisait comme s'il ne me connaissait pas, comme s'il ne m'avait pas forcée à le sucer sous la menace pendant que je déféquais, comme s'il ne m'avait pas sodomisée en groupe, comme s'il ne m'avait pas imposé une double-pénétration, le salaud ! J'étais paralysée, je ne pouvais tout de même pas dire à mon amie que son mari était un salopard, mais en même temps, je ne pouvais pas faire comme si de rien n'était !
- Coralie ? ajouta Vincent. Tout va bien ?
Sarah me regarda d'un air curieux. Jean fronça les sourcils.
- Non... Je... veux dire... oui, j'ai... juste... un peu chaud, c'est ça, il fait une de ces chaleurs...
Les yeux de Vincent brillèrent de plaisir.
- J'ai un excellent remède pour les jeunes femmes qui se sentent chaudes !
- Ah ? Dis-je d'une voix faible, tremblant devant le sous-entendu grossier.
Il me fourra un verre empli de glaçon dans les mains.
- Un petit apéritif de ma composition, délicieux, vous verrez...
Je bus à petites gorgées. J'étais désespérée. J'avais promis à Sarah de me montrer gentille avec lui, je ne pouvais plus reculer. Je me sentais prise au piège.
- Coralie, tu veux bien aider Vincent à mettre la table pendant que je te prends ton Jean qui va couper la viande pour moi ?
Je tressaillis. Je ne voulais surtout pas me retrouver seule dans le mobil-home avec ce violeur ! Il me prit par la main et m'attira à lui, passant négligemment un bras autour de mes épaules, laissant sa main retomber sur la naissance de mes seins.
- Venez, c'est par là !
Sarah me fit un clin d'œil. Je ne pouvais pas me défiler.
A peine entré dans le mobil-home, il me prit par les fesses et me força à l'embrasser, en frottant son caleçon sur ma chatte rasée. Je le repoussai de toutes mes forces et dis entre mes dents:
- Ne me touchez pas !
Il prit une grande cuillère en bois sur la table et m'en donna un coup sur le haut des fesses. Je sursautais de douleur, mais ne criai pas.
- Arrête de faire ta vierge effarouchée. Monte sur la table à quatre pattes, on va faire un petit jeu. Vite !
- Il n'en est pas question ! sifflais-je rageusement. Vous m'avez assez maltraitée ce matin ! Je n'ai encore rien dit à votre femme, mais...
Il rit.
- Qui te dit qu'elle ne le sait pas déjà ? Allez, monte, et tends-moi ton petit trou.
Je reculais d'un pas, respirant difficilement. Sarah ne pouvait pas savoir, elle pensait que je ne connaissais pas son mari !
- Non !
Il avança sa main et saisit un de mes seins par le téton.
- Très bien, disons donc à Jean que je t'ai vu chier par terre et baisée dans ta merde ! (il se pencha à la fenêtre) Sarah, Jean, venez voir !
Je ne pouvais pas le laisser tout raconter à Jean ! L'humiliation serait trop grande !
- Non, s'il vous plaît, ne dites rien !
Au dehors Sarah répondit :
- Une minute, j'arrive !
Il me regarda d'un air narquois.
- À quatre pattes sur la table.
J'obéis. La table n'était pas très grande, je dû me cambrer pour y tenir sans me casser la figure. Ma croupe se trouva face à lui, j'étais à sa merci.
Il se pencha à nouveau à la fenêtre :
- Je n'ai plus besoin de vous, j'ai ce que je cherchais. On vient dresser la table dans une minute.
Il humecta ses doigts dans ma chatte ouverte et fourra sa langue dans mon anus.
Sarah répondit de loin:
- Ok, ne traîne pas trop, c'est presque cuit.
Il me caressa le bas du dos, la croupe, le haut des cuisses. Puis il fit couler un filet d'huile le long de ma raie et y fit courir un doigt en tournant délicatement sur ma pastille tendre. Le doigt trouva son chemin sans difficulté, pénétrant le trou douillet sans souci, et, couplé avec le pouce tendu entre mes petites lèvres qui malaxait mon clitoris, il provoqua une sensation que j'eus honte de trouver plus qu'agréable.
- Je t'explique les règles du jeu.
- Mmm, oui... s'il-vous-plaît, non, arrêtez...
Ses doigts se firent plus brutaux, son pouce pénétra mon vagin, le plaisir s'intensifia.
- Mmm... Non... s'il-vous-plaît...
- Tu vas rester sagement sur cette table pendant tout notre repas. Je viendrai te voir régulièrement, et, si tu es bien sage, je te donnerai du plaisir. Sinon...
Il se pencha sur ma croupe et me mordit la fesse jusqu'au sang, en me pressant un sein avec sa seconde main. J'eus envie de hurler, mais seul un gémissement plaintif sortit de ma gorge, je ne pouvais pas risquer que Jean apprenne ce que j'avais accepté de subir le matin - accepté jusqu'à un certain point... mais accepté tout de même.
- C'est bien. Je ne sais pas si j'ai eu l'occasion de te dire que j'adore tes gros nichons... J'ai un traitement spécial pour eux. Reste comme ça, je reviens.
Je tremblais, à quatre pattes sur la table, cul relevé en arrière, seins pendouillant, jambes légèrement écartées. Vincent pris des assiettes et des couverts et descendit mettre la table. Je pensais qu'il n'allait rien dire à Jean et Sarah. Je me trompais.
- Coralie n'a pas voulu attendre la fin du repas pour se montrer gentille avec moi, je m'amuse un peu avec elle, ça ne vous embête pas trop, Jean ?
J'entendis mon mari émettre un grognement incertain. Vincent parut ravi.
- Je vois que vous profitez des charmes de mon épouse, c'est donc parfait ! Sarah, puisque tu es déjà à moitié nue sur lui, autant enlever ton string aussi... Tu sais combien le voisin aime te mater !
Sarah gloussa. Je fermai les yeux, mes genoux commençaient à me faire mal. Vincent remonta, passa devant moi sans me toucher, alla dans la petite chambre et revint une minute plus tard. Il posa une boîte au pied de la table et en tira une étoffe soyeuse.
- Enfile ça.
Il me passa un petit haut en soie blanche, qui me parut très petit.
- Je... Je n'ai pas le droit de porter de vêtements. C'est le règlement de miss camping...
- Allons, ne sois pas ridicule, tu dois te balader cul nul dans le camping, mais à l'intérieur, tu fais ce que tu veux. Enfile ce haut, grouille !
Je m'exécutai. Le haut était bien trop petit, ma poitrine étirait le tissu d'une façon telle que j'avais du mal à respirer. Le frottement de la soie sur mes seins était terriblement sensuel, érotique, mes tétons durcirent au contact frais, et je me surpris à attendre la suite avec, sinon délice, du moins curiosité. Vincent sembla lire dans mes pensées, il abaissa son caleçon, plaça sa bite sous ma main, sur la table, et caressa mes nichons enveloppés de soie tout en m'embrassant avec une certaine tendresse. L'étreinte fit grimper le plaisir d'un degré. Je branlai le sexe en le malaxant sur la table, encouragée par les coups de langue plus prononcés de mon violeur délicat. Je ne voulais plus que ce baiser cesse. J'entendais Sarah gémir à l'extérieur, j'essayai d'accrocher mes sensations à l'unisson des siennes.
Nos lèvres se séparèrent.
- De beaux gros seins, ouais.
Je souris en gonflant ma poitrine, clairement provocante, cherchant à nouveau sa bouche, trouvant ses joues rasées de frais.
- Tu vois que tu es une gourmande... Vite effarouchée, vite chaude ! J'ai quelque chose pour toi, ma belle, tu veux voir ?
Je tortillais le cul et projetait mes nichons en avant, et hochais la tête d'un air faussement timide.
Il fouilla une seconde dans la boîte, en tira un objet long couleur chair. Un godemiché. Énorme. Long. Large. Veiné. Avec une paire de couilles moulées tout au bout. La bite de Loïc en latex.
- Ecarte les jambes.
Je ne protestai pas. Le haut soyeux m'avait comblée, le baiser aussi, je décidai de lui faire confiance. Gardant mes genoux pliés, je posai ma tête et mes seins sur la table, et cambrai mes hanches au maximum pour accueillir le gode géant. Il sembla apprécier la soumission.
- Je vois que tu commences à comprendre, Coralie.
Je remuais le cul, anticipant la pénétration. Il sourit, vint derrière moi, et me suça complètement, du clito à l'anus, introduisant longuement sa langue épaisse et humide dans mes deux orifices. Quand il me suçait l'intérieur de la chatte, le bout de son nez titillait mon petit trou d'une manière divine. Je me donnai un peu plus, desserrant les fesses autant que je le pouvais en m'aidant de mes mains. Je haletais des encouragements sincères.
- Oui... oui, comme ça, encore, mmmm, oui... encore...
Il me dégusta comme une grosse glace, j'étais parcourue de frissons incontrôlables, cul en l'air, genoux en feu, tête et seins écrasés inconfortablement contre la table.
Il s'affaira plus précisément sur mon anus offert, et pressa le godemichet taille XL dans ma chatte, sans prévenir. L'engin me déchira les lèvres, déclenchant des éclairs dans mon clitoris tendu.
- Aïe ! Aah ! Oui ! Aah !
Plaisir et douleur s'entremêlèrent. Il se releva, et remua le gros gode dans ma chatte, tirant un nouvel objet de la boîte.
- Mets les mains dans le dos.
- Aah oui tout ce que vous voulez !
Il me passa un bracelet autour d'un poignet, puis un autre autour du deuxième. Des menottes ! La position était terriblement inconfortable, je tentai de me relever mais il m'appuya sur les épaules pour m'en empêcher.
- Ne bouge pas.
Il actionna quelque chose sur le godemichet, qui se mit à vibrer dans mon vagin. Je serrais les jambes incapable de me contrôler.
-Aaah oui ! Aaah !
Il vint placer sa bite à hauteur de ma bouche, je la happais sans me poser de question, toute au mélange de sensations qui s'entrechoquaient dans mon corps, douleur dans mes genoux, sur mes épaules tirées par mes bras prisonniers des menottes, dans mon cou, sensualité de la soie sur mes tétons dressés et dans mon dos, et plaisir intense dans le ventre, dans la chatte, dans la bouche. Je soufflai par le nez en couinant, je sentis la cyprine couler le long du gode endiablé.
- Oh, belle Coralie, suce-la bien, c'est ça...
Je redoublai les coups de menton, désireuse de l'avaler tout entier, pleinement consentante, cette fois. Sa bite était dure et gonflée sur ma langue, une sensation que je commençais à connaître mieux, et à apprécier énormément. Il se pencha vers mon cul, toucha le gode une seconde et le rythme s'accéléra encore dans mon vagin. Je crachais la pine écarlate en criant:
- Aah oui !!!
Il remonta son caleçon et sortit du mobil-home en disant:
- Chauffe-toi bien, je reviens bientôt.
(à suivre...)
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