Mon amie Inès et sa copine Brindille
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2018 dans la catégorie Plus on est
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Mon amie Inès et sa copine Brindille
Depuis quelques semaines, j’ai ramené chez moi, une beurette de mon âge rencontrée lors d’une chaude soirée privée chez des amis avec lesquels j’avais participé à une partie à échanges multiples au Cap d’Agde.
Ce soir là, je l’avais baisée en double avec un des participants et je pense qu’à 25 ans, Inès était déjà une bonne routière du sexe : Les pipes baveuses ou profondes, les sodomies, les pénétrations multiples dans sa chatte semblaient ne pas lui faire peur…
Elle disait aussi aimer la sodomie mais ce n’est pas trop mon truc…
Inès s’était donc installée mais l’un comme l’autre, nous savions que cela ne durerait pas…
Il n’y avait que le sexe qui comptait !
Il ne se passait pas une nuit sans que je la baise au moins deux fois… et chaque fois elle me disait qu’elle en voulait encore… mais moi… j’allais au boulot le lendemain…
Je ne vous dis pas quels weekends nous passions quand nous n’allions pas en boite échangiste.
Là, Inès pouvait se faire baiser autant de fois qu’elle le voulait pendant que je restais relativement sage…
Ce dernier vendredi en revenant du boulot, je l’ai trouvée en compagnie d’une gamine qu’elle m’a présentée sous le surnom de « Brindille ».
Inès m’a mis tout de suit au parfum :
• Ne te fie pas à son allure de gamine, mais « Brindille » va sur 21 ans et je peux te dire qu’elle est une sacrée coquine ! C’est d’ailleurs son aspect qui fait le bonheur de ceux qui veulent croire qu’ils ont une gamine à peine pubère entre leurs bras ou leurs cuisses !
C’est vrai qu’elle avait vraiment l’air d’une gamine à laquelle on aurait donné 14 ou 15 ans au plus… Elle n’était pas très grande… un mètre 50 au plus, une poitrine presque plate, des grands yeux rieurs au milieu d’un visage plein d’éphélides, de longs cheveux blonds torsadés semblables à des couettes défaites et lâches sur ses épaules. Elle en devait pas peser plus de 40 kg et encore !
Je ne comprenais pas bien ce qu’elle venait faire à l’appartement d’autant qu’avec Inès, nous devions sortir en fin de soirée pour aller dans un club échangiste du centre de la capitale.
Devant mon interrogation Inès me rassura :
• Elle vient avec nous… Nous lui faciliterons l’entrée même si elle a sa carte d’identité.
• Bon… si tu veux…
• On va diner légèrement ensuite on se préparera.
C’est ainsi que j’ai fait connaissance avec « Brindille » qui sans ambages a avoué qu’elle faisait l’amour avec des garçons ou des filles depuis qu’elle avait été pubère et que sa petite taille faisait depuis longtemps son succès auprès des hommes, plus ou moins jeunes, certains même la payaient pour la mettre dans leur lit.
• Oh… je ne fais pas la pute… C’est juste pour arrondir un peu mes fins de mois d’étudiante pauvre… En plus, s’ils veulent payer, je ne dis pas NON ! Généralement ce sont des mecs friqués autour de la quarantaine qui ont envie d’avoir une « gamine » à baiser ! Je suis certaine que cela te changerait d’Inès !
Cette dernière a répliqué un peu sèchement :
• Tu ne crois pas que tu exagères un peu ?
• NON, je sais comment vous vous êtes connus et là, j’ai envie de découvrir un club libertin… Je suis sure que cela va me plaire… et j’espère bien me dégotter une belle bite noire de préférence pour me défoncer la chatte. Toi mon coquin, je te réserve mon cul pour le jour où tu seras disposé !
La conversation s’est poursuivie pendant les préparatifs de la sortie, les deux filles ensemble sous la douche, séance d’épilation, de maquillage et de coiffure… et habillage.
Inès avait choisi une robe très fluide juste serrée à la taille et des escarpins à hauts talons. Ses seins libres étaient perceptibles au travers du tissu et je savais qu’elle ne portait pas de culotte, mais plutôt un string très minimaliste selon son habitude.
« Brindille » avait sorti de sa besace un robe en tissus doré qui lui laissait le dos nu jusqu’à l’amorce de la fente de ses fesses. Le devant était beaucoup plus pudique car la robe couvrait entièrement le buste pour venir se nouer derrière la nuque.
Elle était canon mais j’ai toujours eu une nette préférence pour les femmes « femme » avec des formes juste un peu prononcée et une poitrine généreuse. « Brindille » n’avait rien de tout cela !
Je passe sur la description de la boite… Tout à fait classique sur plusieurs étages dans un immeuble bourgeois près du Centre Pompidou, très conviviale et bien fréquentée… D’ailleurs le portier écartait d’emblée tous les loulous de banlieue et les filles d’un mauvais genre.
Nous y avions nos habitudes ce qui facilitait les choses. Dès de « Brindille » a présenté sa carte d’identité, les portes se sont ouvertes…
Pendant que je bavardais avec une des hôtesses, les deux filles sont parties en exploration (dixit Inès…). Il ya avait pas mal de monde à l’approche de l’heure de minuit… J’étais certain qu’elles trouveraient ce qu’elles cherchaient, ce que m’a confirmé mon interlocutrice :
• Si tes copines cherchent des blacks bien membrés, il y a justement une jeune blackette qui est arrivée avec des malabars… S’ils sont aussi bien pourvus que leur stature peut le faire, elles vont les sentir passer !
• Moi, ce que je cherche, c’est une asiatique… Elles sont rares dans ce genre de boîte…
• Oui, je ne sais pas pourquoi, par contre j’ai une métisse asiatique qui bizarrement est arrivée seule… D’après les caméras, elle danse actuellement à la barre et elle semble douée ! Tente ta chance quand elle aura fini !
• OK… Merci du renseignement ! A plus… Bon courage !
Je suis passé dans la salle où il y avait les barres et la fameuse cage dorée qu’on trouve un peu partout…
C’est vrai que cette fille était canon… de longs cheveux descendant jusqu’au creux des reins, des yeux marron en amande, une bouche aux lèvres minces s’ouvrant sur des dents d’une blancheur attirante… Une bouche qui appelait le baiser !
Elle avait un tatouage qui partait assez bas sur la jambe droite et qui s’enroulait jusqu’à la taille qu’elle avait mince et souple…
Je suis arrivé au moment où elle faisait voler son soutif découvrant une poitrine relativement généreuse mais il me semblait, d’une fermeté incroyable !
Sa prestation à la barre attirait pas mal de monde, hommes et femmes (peut-être un peu jalouses de sa beauté et de sa souplesse…).
Elle dansait en rythme autour de la barre, multipliant les poses acrobatiques quand la musique se faisait plus douce…
Elle a terminé son show dans un tonnerre d’applaudissements bien mérités puis elle s’est éclipsée vers le bar où je l’ai suivie…
Il est évident que je l’ai félicitée en lui offrant une coupe de champagne puis nous avons bavardé quelques minutes avant qu’elle ne me dise :
• Je dois passer à la douche… Je transpire et ce n’est pas agréable pour ceux qui me côtoient…
Sur le ton de la plaisanterie, je lui dis :
• Je te suis si tu veux, je te frotterai le dos !
• Coquin… je veux bien… après on verra…
Nous sommes passés dans le coin balnéo où Inès se trouvait prosternée sur le bord du jacuzzi en plein ébats… un mec d’une bonne cinquantaine d’années la prenant par derrière. Je l’ai ignorée… et avec Akemi, nous sommes entrés dans une vaste cabine où nous avons commencé à nous doucher et bien évidemment à nous lutiner pour nous chauffer… avant de nous sécher mutuellement et de passer dans un coin câlin…
Quand nous en avons terminé, Akemi m’a dit :
• Merci… mon homme doit être arrivé… je vais le rejoindre !
J’avais eu ce que je voulais…
Nous nous sommes séparés et je suis parti faire le voyeur dans les différents espaces du club pour finir par tomber sur « Brindille » qui suçait la bite d’un des grands noirs signalés par la barmaid.
Waouh… Il ne faisait pas mentir le fantasme des noirs à la queue immense !
La pose était très acrobatique…
Le mec était debout et tenait « Brindille » en position inversée la tête en bas, à la bonne hauteur pour emboucher le sexe du mec pendant qu’il lui bouffait la chatte…
Vu le poids, il ne devait pas faire beaucoup d’efforts pour maintenir la fille dans cette posture… puis il l’a fait basculer en position normale et la fille a continuer à sucer la queue du mec… impressionnant…
J’avais déjà vu des mecs bien montés, mais là… c’était un record.
La bite devait bien mesurer près de 30 cm (elle lui montait presque jusqu’au nombril !!!) et le diamètre était tout aussi conséquent au point que « Brindille » avait du mal à la faire entrer dans sa bouche… Elle se contentait de sucer le gland et quelques centimètres laissant une main courir sur la hampe.
Lorsque le mec s’est couvert, j’ai immédiatement pensé que le moment de la baise était arrivé !
Il a saisi « Brindille » sous les aisselles et l’a soulevée pour l’embrasser et lorsqu’il l’a laissée couler le long de son torse, la bite s’est logée dans la fourche de la fille et est entrée progressivement sur la moitié de la longueur…
Elle semblait manquer d’air et les curieux étaient de plus en plus nombreux à regarder cette union hors norme…
« Brindille » aidée par le mec montait et descendait sur ce pieu qui la défonçait… puis le mec l’a allongée sur un des gros poufs et plaçant les jambes sur ses épaules, il a continué à baiser, faisant entrer et sortir son sexe de plus en plus vite jusqu’à la moitié de la longueur !
Je pense qu’il ma ménageait… Il devait savoir que peu de filles acceptent un tel engin en entier…
La tête de « Brindille » allait de gauche à droite et inversement, la bouche grande ouverte elle semblait apprécier même si parfois elle avait un mouvement de recul…
Lorsqu’il s’est retiré et a basculé sa partenaire en levrette, j’ai eu peur pour le cul de la demoiselle mais visiblement, il n’en voulait pas…
Il s’est introduit à nouveau dans la chatte pendant qu’il attrapait les longs cheveux, s’en servant pour maintenir les fesses de « Brindille » contre son pubis…
C’était dantesque… La bite allait de plus en plus vite et la fille jouissait, clamait à qui voulait l’entendre :
- qu’elle était bien baisée,
- qu’elle en voulait encore,
- qu’il lui ramonait la chatte comme jamais,
- qu’elle voulait lui faire cracher son jus…
Les couples qui jouaient les voyeurs n’étaient pas en reste… Plusieurs femmes disaient ouvertement à leur partenaire du moment qu’elles aimeraient bien :
- se faire ramoner par une bite pareille…
- qu’elles sauraient bien l’avaler en entier…
Finalement, après que « Brindille » ait joui deux fois, le mec s’est retiré, a ôté la capote et s’est branlé pour gicler sur les reins de sa partenaire… et quelles giclées… Il semblait inépuisable !
Deux des filles qui avaient joué les voyeuses se sont approchées pour faire la toilette de cette bite qui pendait, encore à moitié bandée entre les jambes du noir. L’un d’elle a même tenté une gorge profonde… mais elle a du renoncer après avoir gobé cette bite aux deux tiers…
J’en avais vu assez…
« Brindille » avait eu ce qu’elle était venue chercher… Moi aussi d’ailleurs…
Je suis parti à la recherche d’Inès que j’ai trouvée en compagnie d’un couple… Elle suçait le mec pendant que la fille lui bouffait la chatte… C’était chaud… et lorsqu’elle m’a dit :
- Viens… rejoins nous on a besoin d’une deuxième bite… Tu vas baiser la fille pendant que son mec va me défoncer ! Je sais que cette blonde à grosse poitrine va te plaire !
C’est ainsi que nous avons terminé la soirée par une partie à quatre…Quant à la blonde, il ne fallait pas lui en promettre, je l’ai baisée comme une reine et j’ai fini entre ses seins !
Nous avons retrouvé « Brindille » qui nous a dit avoir rencart chez les deux mecs… qu’ils lui avaient proposé une double pénétration mais qu’elle ne savait pas si son cul laisserait entrer de tels sexes !
Et nous sommes rentrés chez moi…
Quelle soirée !
« Brindille » qui avait passé le reste de la nuit sur le divan, est venue dans notre chambre où ma copine et moi nous dormions encore à moitié, nus comme d’habitude.
Je l’ai sentie se glisser contre moi et me dire tout bas à l’oreille :
- Regarde et sens… J’ai préparé mon cul pour toi ! J’ai mis un Rosebub quand nous sommes rentrés et maintenant, je suis prête.
Je sentais ses fesses de gamine contre mon bas ventre et quand j’ai tendu la main, j’ai eu la confirmation de ce qu’elle venait de dire.
Je fais quelques mouvements avec le Rosebud dans son sphincter puis je m’y suis enfoncé lentement… Wow… Qu’elle était étroite… ma queue était comprimée si bien que je pouvais à peine bouger dans son boyau étroit…
J’étais quand même un peu inquiet de baiser sa copine alors qu’Inès dormait dans le même lit.
- Sois tranquille… avec ce que je lui ai mis dans son verre, elle ne va pas se réveiller de sitôt ! De toute façon, elle m’a dit que si j’avais envie de baiser avec toi, j’étais libre !
- Alors profitons-en !
Je maintenais « Brindille » contre moi et je caressais ses seins minuscules entre mes doigts… J’avais vraiment l’impression de baiser une gamine à peine pubère et cela m’excitait tant que je n’ai pas tardé à gicler au fond du boyau de ma partenaire qui se caressait la chatte depuis quelques temps pour jouir à son tour…
Alors que « Brindille » et moi nous récupérions, Inès s’est réveillée et se tournant vers nous elle dit :
- Alors… c’était bon ?
- Oh oui… C’est la première fois que j’étais sodomisée… Ton copain sait y faire !
- Alors comme çà, tu sais ce qu’il te reste à faire pour baiser en double avec les deux noirs !
- Oh oui… je vais devoir assouplir mon cul ! Je n’ai même pas pu absorber la bite de celui qui m’a baisée…
Ce soir là, je l’avais baisée en double avec un des participants et je pense qu’à 25 ans, Inès était déjà une bonne routière du sexe : Les pipes baveuses ou profondes, les sodomies, les pénétrations multiples dans sa chatte semblaient ne pas lui faire peur…
Elle disait aussi aimer la sodomie mais ce n’est pas trop mon truc…
Inès s’était donc installée mais l’un comme l’autre, nous savions que cela ne durerait pas…
Il n’y avait que le sexe qui comptait !
Il ne se passait pas une nuit sans que je la baise au moins deux fois… et chaque fois elle me disait qu’elle en voulait encore… mais moi… j’allais au boulot le lendemain…
Je ne vous dis pas quels weekends nous passions quand nous n’allions pas en boite échangiste.
Là, Inès pouvait se faire baiser autant de fois qu’elle le voulait pendant que je restais relativement sage…
Ce dernier vendredi en revenant du boulot, je l’ai trouvée en compagnie d’une gamine qu’elle m’a présentée sous le surnom de « Brindille ».
Inès m’a mis tout de suit au parfum :
• Ne te fie pas à son allure de gamine, mais « Brindille » va sur 21 ans et je peux te dire qu’elle est une sacrée coquine ! C’est d’ailleurs son aspect qui fait le bonheur de ceux qui veulent croire qu’ils ont une gamine à peine pubère entre leurs bras ou leurs cuisses !
C’est vrai qu’elle avait vraiment l’air d’une gamine à laquelle on aurait donné 14 ou 15 ans au plus… Elle n’était pas très grande… un mètre 50 au plus, une poitrine presque plate, des grands yeux rieurs au milieu d’un visage plein d’éphélides, de longs cheveux blonds torsadés semblables à des couettes défaites et lâches sur ses épaules. Elle en devait pas peser plus de 40 kg et encore !
Je ne comprenais pas bien ce qu’elle venait faire à l’appartement d’autant qu’avec Inès, nous devions sortir en fin de soirée pour aller dans un club échangiste du centre de la capitale.
Devant mon interrogation Inès me rassura :
• Elle vient avec nous… Nous lui faciliterons l’entrée même si elle a sa carte d’identité.
• Bon… si tu veux…
• On va diner légèrement ensuite on se préparera.
C’est ainsi que j’ai fait connaissance avec « Brindille » qui sans ambages a avoué qu’elle faisait l’amour avec des garçons ou des filles depuis qu’elle avait été pubère et que sa petite taille faisait depuis longtemps son succès auprès des hommes, plus ou moins jeunes, certains même la payaient pour la mettre dans leur lit.
• Oh… je ne fais pas la pute… C’est juste pour arrondir un peu mes fins de mois d’étudiante pauvre… En plus, s’ils veulent payer, je ne dis pas NON ! Généralement ce sont des mecs friqués autour de la quarantaine qui ont envie d’avoir une « gamine » à baiser ! Je suis certaine que cela te changerait d’Inès !
Cette dernière a répliqué un peu sèchement :
• Tu ne crois pas que tu exagères un peu ?
• NON, je sais comment vous vous êtes connus et là, j’ai envie de découvrir un club libertin… Je suis sure que cela va me plaire… et j’espère bien me dégotter une belle bite noire de préférence pour me défoncer la chatte. Toi mon coquin, je te réserve mon cul pour le jour où tu seras disposé !
La conversation s’est poursuivie pendant les préparatifs de la sortie, les deux filles ensemble sous la douche, séance d’épilation, de maquillage et de coiffure… et habillage.
Inès avait choisi une robe très fluide juste serrée à la taille et des escarpins à hauts talons. Ses seins libres étaient perceptibles au travers du tissu et je savais qu’elle ne portait pas de culotte, mais plutôt un string très minimaliste selon son habitude.
« Brindille » avait sorti de sa besace un robe en tissus doré qui lui laissait le dos nu jusqu’à l’amorce de la fente de ses fesses. Le devant était beaucoup plus pudique car la robe couvrait entièrement le buste pour venir se nouer derrière la nuque.
Elle était canon mais j’ai toujours eu une nette préférence pour les femmes « femme » avec des formes juste un peu prononcée et une poitrine généreuse. « Brindille » n’avait rien de tout cela !
Je passe sur la description de la boite… Tout à fait classique sur plusieurs étages dans un immeuble bourgeois près du Centre Pompidou, très conviviale et bien fréquentée… D’ailleurs le portier écartait d’emblée tous les loulous de banlieue et les filles d’un mauvais genre.
Nous y avions nos habitudes ce qui facilitait les choses. Dès de « Brindille » a présenté sa carte d’identité, les portes se sont ouvertes…
Pendant que je bavardais avec une des hôtesses, les deux filles sont parties en exploration (dixit Inès…). Il ya avait pas mal de monde à l’approche de l’heure de minuit… J’étais certain qu’elles trouveraient ce qu’elles cherchaient, ce que m’a confirmé mon interlocutrice :
• Si tes copines cherchent des blacks bien membrés, il y a justement une jeune blackette qui est arrivée avec des malabars… S’ils sont aussi bien pourvus que leur stature peut le faire, elles vont les sentir passer !
• Moi, ce que je cherche, c’est une asiatique… Elles sont rares dans ce genre de boîte…
• Oui, je ne sais pas pourquoi, par contre j’ai une métisse asiatique qui bizarrement est arrivée seule… D’après les caméras, elle danse actuellement à la barre et elle semble douée ! Tente ta chance quand elle aura fini !
• OK… Merci du renseignement ! A plus… Bon courage !
Je suis passé dans la salle où il y avait les barres et la fameuse cage dorée qu’on trouve un peu partout…
C’est vrai que cette fille était canon… de longs cheveux descendant jusqu’au creux des reins, des yeux marron en amande, une bouche aux lèvres minces s’ouvrant sur des dents d’une blancheur attirante… Une bouche qui appelait le baiser !
Elle avait un tatouage qui partait assez bas sur la jambe droite et qui s’enroulait jusqu’à la taille qu’elle avait mince et souple…
Je suis arrivé au moment où elle faisait voler son soutif découvrant une poitrine relativement généreuse mais il me semblait, d’une fermeté incroyable !
Sa prestation à la barre attirait pas mal de monde, hommes et femmes (peut-être un peu jalouses de sa beauté et de sa souplesse…).
Elle dansait en rythme autour de la barre, multipliant les poses acrobatiques quand la musique se faisait plus douce…
Elle a terminé son show dans un tonnerre d’applaudissements bien mérités puis elle s’est éclipsée vers le bar où je l’ai suivie…
Il est évident que je l’ai félicitée en lui offrant une coupe de champagne puis nous avons bavardé quelques minutes avant qu’elle ne me dise :
• Je dois passer à la douche… Je transpire et ce n’est pas agréable pour ceux qui me côtoient…
Sur le ton de la plaisanterie, je lui dis :
• Je te suis si tu veux, je te frotterai le dos !
• Coquin… je veux bien… après on verra…
Nous sommes passés dans le coin balnéo où Inès se trouvait prosternée sur le bord du jacuzzi en plein ébats… un mec d’une bonne cinquantaine d’années la prenant par derrière. Je l’ai ignorée… et avec Akemi, nous sommes entrés dans une vaste cabine où nous avons commencé à nous doucher et bien évidemment à nous lutiner pour nous chauffer… avant de nous sécher mutuellement et de passer dans un coin câlin…
Quand nous en avons terminé, Akemi m’a dit :
• Merci… mon homme doit être arrivé… je vais le rejoindre !
J’avais eu ce que je voulais…
Nous nous sommes séparés et je suis parti faire le voyeur dans les différents espaces du club pour finir par tomber sur « Brindille » qui suçait la bite d’un des grands noirs signalés par la barmaid.
Waouh… Il ne faisait pas mentir le fantasme des noirs à la queue immense !
La pose était très acrobatique…
Le mec était debout et tenait « Brindille » en position inversée la tête en bas, à la bonne hauteur pour emboucher le sexe du mec pendant qu’il lui bouffait la chatte…
Vu le poids, il ne devait pas faire beaucoup d’efforts pour maintenir la fille dans cette posture… puis il l’a fait basculer en position normale et la fille a continuer à sucer la queue du mec… impressionnant…
J’avais déjà vu des mecs bien montés, mais là… c’était un record.
La bite devait bien mesurer près de 30 cm (elle lui montait presque jusqu’au nombril !!!) et le diamètre était tout aussi conséquent au point que « Brindille » avait du mal à la faire entrer dans sa bouche… Elle se contentait de sucer le gland et quelques centimètres laissant une main courir sur la hampe.
Lorsque le mec s’est couvert, j’ai immédiatement pensé que le moment de la baise était arrivé !
Il a saisi « Brindille » sous les aisselles et l’a soulevée pour l’embrasser et lorsqu’il l’a laissée couler le long de son torse, la bite s’est logée dans la fourche de la fille et est entrée progressivement sur la moitié de la longueur…
Elle semblait manquer d’air et les curieux étaient de plus en plus nombreux à regarder cette union hors norme…
« Brindille » aidée par le mec montait et descendait sur ce pieu qui la défonçait… puis le mec l’a allongée sur un des gros poufs et plaçant les jambes sur ses épaules, il a continué à baiser, faisant entrer et sortir son sexe de plus en plus vite jusqu’à la moitié de la longueur !
Je pense qu’il ma ménageait… Il devait savoir que peu de filles acceptent un tel engin en entier…
La tête de « Brindille » allait de gauche à droite et inversement, la bouche grande ouverte elle semblait apprécier même si parfois elle avait un mouvement de recul…
Lorsqu’il s’est retiré et a basculé sa partenaire en levrette, j’ai eu peur pour le cul de la demoiselle mais visiblement, il n’en voulait pas…
Il s’est introduit à nouveau dans la chatte pendant qu’il attrapait les longs cheveux, s’en servant pour maintenir les fesses de « Brindille » contre son pubis…
C’était dantesque… La bite allait de plus en plus vite et la fille jouissait, clamait à qui voulait l’entendre :
- qu’elle était bien baisée,
- qu’elle en voulait encore,
- qu’il lui ramonait la chatte comme jamais,
- qu’elle voulait lui faire cracher son jus…
Les couples qui jouaient les voyeurs n’étaient pas en reste… Plusieurs femmes disaient ouvertement à leur partenaire du moment qu’elles aimeraient bien :
- se faire ramoner par une bite pareille…
- qu’elles sauraient bien l’avaler en entier…
Finalement, après que « Brindille » ait joui deux fois, le mec s’est retiré, a ôté la capote et s’est branlé pour gicler sur les reins de sa partenaire… et quelles giclées… Il semblait inépuisable !
Deux des filles qui avaient joué les voyeuses se sont approchées pour faire la toilette de cette bite qui pendait, encore à moitié bandée entre les jambes du noir. L’un d’elle a même tenté une gorge profonde… mais elle a du renoncer après avoir gobé cette bite aux deux tiers…
J’en avais vu assez…
« Brindille » avait eu ce qu’elle était venue chercher… Moi aussi d’ailleurs…
Je suis parti à la recherche d’Inès que j’ai trouvée en compagnie d’un couple… Elle suçait le mec pendant que la fille lui bouffait la chatte… C’était chaud… et lorsqu’elle m’a dit :
- Viens… rejoins nous on a besoin d’une deuxième bite… Tu vas baiser la fille pendant que son mec va me défoncer ! Je sais que cette blonde à grosse poitrine va te plaire !
C’est ainsi que nous avons terminé la soirée par une partie à quatre…Quant à la blonde, il ne fallait pas lui en promettre, je l’ai baisée comme une reine et j’ai fini entre ses seins !
Nous avons retrouvé « Brindille » qui nous a dit avoir rencart chez les deux mecs… qu’ils lui avaient proposé une double pénétration mais qu’elle ne savait pas si son cul laisserait entrer de tels sexes !
Et nous sommes rentrés chez moi…
Quelle soirée !
« Brindille » qui avait passé le reste de la nuit sur le divan, est venue dans notre chambre où ma copine et moi nous dormions encore à moitié, nus comme d’habitude.
Je l’ai sentie se glisser contre moi et me dire tout bas à l’oreille :
- Regarde et sens… J’ai préparé mon cul pour toi ! J’ai mis un Rosebub quand nous sommes rentrés et maintenant, je suis prête.
Je sentais ses fesses de gamine contre mon bas ventre et quand j’ai tendu la main, j’ai eu la confirmation de ce qu’elle venait de dire.
Je fais quelques mouvements avec le Rosebud dans son sphincter puis je m’y suis enfoncé lentement… Wow… Qu’elle était étroite… ma queue était comprimée si bien que je pouvais à peine bouger dans son boyau étroit…
J’étais quand même un peu inquiet de baiser sa copine alors qu’Inès dormait dans le même lit.
- Sois tranquille… avec ce que je lui ai mis dans son verre, elle ne va pas se réveiller de sitôt ! De toute façon, elle m’a dit que si j’avais envie de baiser avec toi, j’étais libre !
- Alors profitons-en !
Je maintenais « Brindille » contre moi et je caressais ses seins minuscules entre mes doigts… J’avais vraiment l’impression de baiser une gamine à peine pubère et cela m’excitait tant que je n’ai pas tardé à gicler au fond du boyau de ma partenaire qui se caressait la chatte depuis quelques temps pour jouir à son tour…
Alors que « Brindille » et moi nous récupérions, Inès s’est réveillée et se tournant vers nous elle dit :
- Alors… c’était bon ?
- Oh oui… C’est la première fois que j’étais sodomisée… Ton copain sait y faire !
- Alors comme çà, tu sais ce qu’il te reste à faire pour baiser en double avec les deux noirs !
- Oh oui… je vais devoir assouplir mon cul ! Je n’ai même pas pu absorber la bite de celui qui m’a baisée…
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