Mon amie, mon emploi... Et moi
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon amie, mon emploi... Et moi
- Salut, tu sais passer au bureau ? J’ai peut-être du boulot pour toi !
Voilà, comment m’avait contacté une amie qui était au courant de ma recherche d’emplois, elle venait depuis quelques mois de créer sa boite, après une réponse assez brève « je démarre », je partis donc à son travail.
- Tu as fait vite ! Dit-elle semblant enchanter.
- Tu sais, j’étais en train d’envoyer des C.V, un entretien, une proposition d’emploi, je cours…
- Ça montre que tu es motivé !
- Oui, très !
- Avant ça, comment vas-tu ?
- Ça va, je désespère, un peu ces derniers temps je t’avoue !
- Je comprends, ce n’est pas facile, je vais te faire passer un petit test dactylographique, ça sera surtout de la rédaction que tu feras si tu conviens, maintenant, tu dois savoir que j’aime que les choses soient faites à temps, même en avance !
- D’accord, faisons ce test, ça devrait aller, j’ai une assez bonne cadence de frappe, tu en décideras par toi-même.
- Parfait !
Elle se levait et m’invitait à faire autant, elle m’installait au bureau sur le côté de la pièce, face à l’ordinateur déjà allumé, un texte sous les yeux, assise sur le bord du bureau, son téléphone en main en guise de chronomètre, elle me donna comme seul instruction de recopier le texte le plus vite possible. Et je m’y mis, 4 minutes 37, elle semblait ravie !
- Eh bien, j’en voulais maximum 6 minutes, je suis contente de voir que tu fais bien mieux !
- Simple question, sur quoi tu te basais pour 6 minutes ?
- Ma sœur, je lui avais demandé un peu son avis, voir une moyenne, ce qu’elle, elle ferait, elle a fait en un peu moins de 5 minutes 30, elle m’a proposée de fixer à 6 minutes, mais tu es bien plus rapide qu’elle on dirait. On retourne s’asseoir à mon bureau ?
- Oui.
Assis chacun d’un côté du bureau, je la regardais, je me souvenais d’elle lorsqu’on s’est connus, complice comme je l’étais avec personne, de tous nos coups ensembles, toutes nos rigolades et puis que quand on à penser à être en couple, j’ai merdé, complètement… Mais notre amitié bien qu’effleurée était restée intact, aujourd’hui, elle avait parcouru du chemin, j’étais très fier d’elle et nous étions sur le point de travailler ensemble.
- Voici donc le contrat, mais avant de lire cela, j’aimerais que tu lises ce document sur ton poste.
Je pris le document et le lisait attentivement, une fois fini, je dis :
- Savoir se plier aux règles de son supérieur ? C’est-à-dire ?
- Que ton supérieur, donc moi, te demande quelque chose, tu suis les consignes.
- Te connaissant, tu vas t’en donner à cœur joie !
- Bien sûr, qu’est-ce que tu crois ! Me dit-elle me taquinant.
- Je te reconnais bien là !
- Y a-t-il d’autres choses dont tu veux parler ?
- Non, pas qui me saute aux yeux ainsi…
- Voici ton contrat, je te laisse le soin de le lire.
Je lisais le contrat, il semblait que j’ai un temps plein, bien payé, déplacement payé aussi, je ne voyais rien à y ajouter ou enlever, je pris le stylo bille et signait.
- Tu es officiellement ma propriété ! Me dit-elle en rigolant.
- Hum, que c’est excitant tout ça ! Répliquais-je.
- Pour fêter ta venue dans l’entreprise, et fêter ton nouveau job, je t’invite ce soir à manger un bout, ça te va ?
- Tu me connais, j’adore manger un bout, mais je ne supporte pas qu’on m’offre !
- Il faudrait l’accepter pour aujourd’hui, je ne pense pas que tu sois déjà en mesure de m’offrir un restaurant ! Dit-elle me narguant.
- Touché ! Bon, ok, mais je vais avec ma chef ou mon amie ?
- Ton amie, ta chef, tu la verras bien assez souvent !
- Ouf, pas de chance pour moi ! Dis-je en rigolant.
- Tu passes me prendre à 19h30 chez moi alors ?
- D’accord, et encore merci, je ferais en sorte de ne pas te décevoir !
- J’y compte bien ! Me dit-elle me faisant un clin d’œil.
Sortis de la boite, je passais un coup de fil à mon meilleur ami, lui annonçait la nouvelle et lui demandais si il était libre pour aller boire un verre avec pour fêter ça, il terminait le travail trois heures plus tard et on se retrouvait à notre bar habituel.
- Et quoi ? Amandine t’as donc engagé ?
- J’en ai bien l’impression !
- Ne déconne pas hein, c’est une place en or et une chance pour toi !
- Je sais, elle a assurée en tout cas !
- Oui ! Et quoi, tu ne comptes pas réessayer avec ?
- Je pense qu’elle sera réticente, la dernière fois, je me suis défilé, puis maintenant que c’est ma chef…
- Ca ne te coute rien d’essayer ! Profite de ce soir !
- On verra !
Mon meilleur ami, c’était le genre de gars qui s’inquiétait pour moi, comme moi je m’inquiéterais pour lui, le jour où j’ai perdu mon job, il a appris que sa femme le trompait et s’était barré avec un autre, je me rappelle que ce jour-là, il m’avait interdit d’aborder ce sujet, que la priorité était de me changer les idées ! De son bureau, à chaque occasion il m’envoyait des endroits où postuler, des endroits que moi-même je ne connaissais pas, en bref, c’était un ami en or ! Le plus gros reproche qu’il me faisait était de trop réfléchir quand il s’agissait de femme, et quelques parts, il n’avait peut-être pas tort, mais c’était plus fort que moi.
Et donc nous voilà arrivé au soir, après ma douche, j’enfile mon boxer, mon jeans, un tee-shirt col en V et par-dessus une veste de costard, je voulais être bien habillé, mais aussi ne pas trop en faire, arrivé devant chez elle, j’appuyais sur la sonnette et elle vint m’ouvrir, elle portait une petite robe à fleurs vraiment jolies, pas du tout provocante, elle mit ses chaussures et on partit au restaurant.
La soirée se passait bien, on parlait de tout, de rien, très peu du travail et il semblait qu’elle tentait de m’en mettre plein la vue ! Je finis par la ramener.
- Tu viens boire un dernier verre à la maison ?
- Je ne sais pas si c’est raisonnable, tu dois te lever demain !
- Mon nouvel employé aura plus de travail la semaine prochaine ! Me dit-elle d’un clin d’œil.
On rentrait, elle m’invitait à m’asseoir sur le divan, elle revint avec deux coupoles et une bouteille de vin, elle nous servit un verre à chacun et s’assit sur le divan, les jambes retrousser dessus.
- Dis-moi, avec tout ce vin, ça va aller pour rentrer ? Tu veux dormir à la maison ? Dit-elle buvant une gorgée.
Je la regardais quelques instants, était-ce un signe qu’elle attendait plus ou simplement de la politesse vis-à-vis d’un ami ?
- On verra au moment de démarrer, pour l’instant ça va !
- Comme tu le sens, il y de la place sinon ?
- Il est confortable le divan ? Demandais-je.
- Qui ta parlé de divan ?
Elle avait assez de pièces pour avoir une seconde chambre, mais je n’avais pas souvenir qu’elle avait une autre chambre avec matelas installé, je pense bien que là, elle m’invitait dans son lit !
- Le fantasme de coucher avec son employé ?
- Non.
- Tu ne m’invitais pas dans ton lit là ?
- Si, si, mais là, face à moi, j’ai mon ami, non ?
- Vu ainsi !
- Alors, tu restes ?
- Tu me sers un autre verre pour que je te confirme ça ?
Elle me servit le verre, alors que je le buvais, elle mit sa main entre mes jambes, frottant ce dernier…
- Dis-moi, pourquoi as-tu fait marche arrière ?
- Je ne sais pas …
- Pourtant, les photos que j’ai faites pour toi, les câlins que l’on s’était fait à l’arrière de ta voiture…
- Je sais, mais je t’avoue que je ne sais pas pourquoi je n’ai pas voulu aller plus loin…
- Je ne te plaisais pas ?
- Si, au contraire, tu es très bien…
Elle s’avançait un peu plus près de moi, une bosse s’était formée dans mon pantalon… Elle le sentit et l’ouvrit, passant sa main sous mon boxer.
- Et maintenant, si je te reparle de se remettre ensemble ?
- Tu, tu es ma chef !
- Ton amie avant tout !
- Tu m’as engagé pour ça ?
- Non, mais c’est un bon jour pour toi, ça ne te dirait rien d’en plus d’avoir trouvé du travail, avoir une copine ?
- …
Elle faisait à présent des va et viens avec mon sexe, j’avais envie de jeter mon verre et de la prendre, mais je ne savais pas si je voulais me mettre en couple avec, je ne fis rien…
- Tu n’as pas l’air de te décider ! Me dit-elle m’enjambant à présent…
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Je prends les devants !
Elle passait sa main sous sa robe, décalant un peu son string et je put sentir la chaleur de son sexe, elle me mit son verre dans ma main de libre et dirigeait mon sexe à travers le sien.
- Comme tu ne sembles pas avoir envie, je profite de ton jouet pour me faire plaisir !
- Aman…
- Non, trop tard, tu es en moi ! Je la sens toute chaude et gonflée ! Je ne te demande rien en contrepartie, c’est déjà assez triste d’être une femme et de ne pas sentir l’envie de la part d’un homme ! Dit-elle faisant les va et viens sur mon sexe.
- Mais ce n’est pas ça ! C’est que, je ne veux pas te faire du mal, de plus tu es ma chef !
- On s’en fou de ça ! Tu le sais que j’ai toujours eu des sentiments pour moi et je sais que tu en as aussi…
- …
Elle accélérait les va et viens, je ne sais pourquoi je me mis à l’imaginée nue sous sa robe et je finis par très vite venir en elle… Elle restait quelque temps, le temps que mon sexe débande… Et puis se retirait, elle se levait, repris son verre, le bu et en partant vers la salle de bain me dit :
- Je vais prendre une douche et puis je vais me coucher, si tu veux tu peux faire de même, il y a de la place dans le lit, sinon, tu peux rester sur le divan.
Et elle partit prendre sa douche, moi dans le divan, un peu perplexe, je m’allumais une cigarette, les pieds sur la table basse du salon, je réfléchissais, je l’entendis sortir de la douche, me souhaiter bonne nuit, lui souhaiter à mon tour, réfléchir quelques minutes, aller me laver aussi et partir vers sa chambre…
- Je ne tiens pas à te faire du mal, je ne suis pas sûr de vouloir une relation durable, toi, c’est ce que tu veux, ce que tu as toujours voulu, je ne jouerais pas avec ton cœur !
- Et donc, tu es venu, nu, dans mon lit, pour me dire ça ?
- Oui, dans un premier temps et non, demande moi ce que tu veux, je te le ferais, mais tu dois être consciente que là, dans l’immédiat, nous ne pourrons pas avoir de relation !
- J’en suis consciente, merci, tu es assez clair.
- Tu ne veux rien ?
- Des bisous sur mes pieds, ça te va ?
- Si y a que ça pour te faire plaisir…
Et elle sortit ses pieds de la couverture, on était dans le noir, mais je pouvais apercevoir son corps à travers la faible lumière de dehors, passant d’abord mes mains dessus, les caressant, j’y déposais des baisers, plein de douceur… Après un moment elle me dit :
- Tu ne remonterais pas plus haut ? Genre, entre mes jambes ?
Tout en déposant des baisers le long de ses jambes, je me mis à lui caresser son entre jambes avec ma langue, j’y allais me faisant aider de mes doigts, je la sentais réceptive, tellement réceptive qu’elle ne me demandait pas de bouger de là, eu plusieurs orgasmes…
- Tu peux arrêter… Merci… Prends-moi dans tes bras, embrasse-moi dans le cou que je puisse m’endormir avec la sensation d’être aimée. Me dit-elle
Je la pris dans mes bras, nos corps nus étaient bouillants, je déposais mes lèvres dans son cou et l’embrassait, elle sentit que je me mettais à bander et me dit :
- Un peu trop tard pour avoir envie !
Le tout, en rigolant, et elle s’endormit, blottie contre moi… Qu’allions-nous faire par la suite ?
Voilà, comment m’avait contacté une amie qui était au courant de ma recherche d’emplois, elle venait depuis quelques mois de créer sa boite, après une réponse assez brève « je démarre », je partis donc à son travail.
- Tu as fait vite ! Dit-elle semblant enchanter.
- Tu sais, j’étais en train d’envoyer des C.V, un entretien, une proposition d’emploi, je cours…
- Ça montre que tu es motivé !
- Oui, très !
- Avant ça, comment vas-tu ?
- Ça va, je désespère, un peu ces derniers temps je t’avoue !
- Je comprends, ce n’est pas facile, je vais te faire passer un petit test dactylographique, ça sera surtout de la rédaction que tu feras si tu conviens, maintenant, tu dois savoir que j’aime que les choses soient faites à temps, même en avance !
- D’accord, faisons ce test, ça devrait aller, j’ai une assez bonne cadence de frappe, tu en décideras par toi-même.
- Parfait !
Elle se levait et m’invitait à faire autant, elle m’installait au bureau sur le côté de la pièce, face à l’ordinateur déjà allumé, un texte sous les yeux, assise sur le bord du bureau, son téléphone en main en guise de chronomètre, elle me donna comme seul instruction de recopier le texte le plus vite possible. Et je m’y mis, 4 minutes 37, elle semblait ravie !
- Eh bien, j’en voulais maximum 6 minutes, je suis contente de voir que tu fais bien mieux !
- Simple question, sur quoi tu te basais pour 6 minutes ?
- Ma sœur, je lui avais demandé un peu son avis, voir une moyenne, ce qu’elle, elle ferait, elle a fait en un peu moins de 5 minutes 30, elle m’a proposée de fixer à 6 minutes, mais tu es bien plus rapide qu’elle on dirait. On retourne s’asseoir à mon bureau ?
- Oui.
Assis chacun d’un côté du bureau, je la regardais, je me souvenais d’elle lorsqu’on s’est connus, complice comme je l’étais avec personne, de tous nos coups ensembles, toutes nos rigolades et puis que quand on à penser à être en couple, j’ai merdé, complètement… Mais notre amitié bien qu’effleurée était restée intact, aujourd’hui, elle avait parcouru du chemin, j’étais très fier d’elle et nous étions sur le point de travailler ensemble.
- Voici donc le contrat, mais avant de lire cela, j’aimerais que tu lises ce document sur ton poste.
Je pris le document et le lisait attentivement, une fois fini, je dis :
- Savoir se plier aux règles de son supérieur ? C’est-à-dire ?
- Que ton supérieur, donc moi, te demande quelque chose, tu suis les consignes.
- Te connaissant, tu vas t’en donner à cœur joie !
- Bien sûr, qu’est-ce que tu crois ! Me dit-elle me taquinant.
- Je te reconnais bien là !
- Y a-t-il d’autres choses dont tu veux parler ?
- Non, pas qui me saute aux yeux ainsi…
- Voici ton contrat, je te laisse le soin de le lire.
Je lisais le contrat, il semblait que j’ai un temps plein, bien payé, déplacement payé aussi, je ne voyais rien à y ajouter ou enlever, je pris le stylo bille et signait.
- Tu es officiellement ma propriété ! Me dit-elle en rigolant.
- Hum, que c’est excitant tout ça ! Répliquais-je.
- Pour fêter ta venue dans l’entreprise, et fêter ton nouveau job, je t’invite ce soir à manger un bout, ça te va ?
- Tu me connais, j’adore manger un bout, mais je ne supporte pas qu’on m’offre !
- Il faudrait l’accepter pour aujourd’hui, je ne pense pas que tu sois déjà en mesure de m’offrir un restaurant ! Dit-elle me narguant.
- Touché ! Bon, ok, mais je vais avec ma chef ou mon amie ?
- Ton amie, ta chef, tu la verras bien assez souvent !
- Ouf, pas de chance pour moi ! Dis-je en rigolant.
- Tu passes me prendre à 19h30 chez moi alors ?
- D’accord, et encore merci, je ferais en sorte de ne pas te décevoir !
- J’y compte bien ! Me dit-elle me faisant un clin d’œil.
Sortis de la boite, je passais un coup de fil à mon meilleur ami, lui annonçait la nouvelle et lui demandais si il était libre pour aller boire un verre avec pour fêter ça, il terminait le travail trois heures plus tard et on se retrouvait à notre bar habituel.
- Et quoi ? Amandine t’as donc engagé ?
- J’en ai bien l’impression !
- Ne déconne pas hein, c’est une place en or et une chance pour toi !
- Je sais, elle a assurée en tout cas !
- Oui ! Et quoi, tu ne comptes pas réessayer avec ?
- Je pense qu’elle sera réticente, la dernière fois, je me suis défilé, puis maintenant que c’est ma chef…
- Ca ne te coute rien d’essayer ! Profite de ce soir !
- On verra !
Mon meilleur ami, c’était le genre de gars qui s’inquiétait pour moi, comme moi je m’inquiéterais pour lui, le jour où j’ai perdu mon job, il a appris que sa femme le trompait et s’était barré avec un autre, je me rappelle que ce jour-là, il m’avait interdit d’aborder ce sujet, que la priorité était de me changer les idées ! De son bureau, à chaque occasion il m’envoyait des endroits où postuler, des endroits que moi-même je ne connaissais pas, en bref, c’était un ami en or ! Le plus gros reproche qu’il me faisait était de trop réfléchir quand il s’agissait de femme, et quelques parts, il n’avait peut-être pas tort, mais c’était plus fort que moi.
Et donc nous voilà arrivé au soir, après ma douche, j’enfile mon boxer, mon jeans, un tee-shirt col en V et par-dessus une veste de costard, je voulais être bien habillé, mais aussi ne pas trop en faire, arrivé devant chez elle, j’appuyais sur la sonnette et elle vint m’ouvrir, elle portait une petite robe à fleurs vraiment jolies, pas du tout provocante, elle mit ses chaussures et on partit au restaurant.
La soirée se passait bien, on parlait de tout, de rien, très peu du travail et il semblait qu’elle tentait de m’en mettre plein la vue ! Je finis par la ramener.
- Tu viens boire un dernier verre à la maison ?
- Je ne sais pas si c’est raisonnable, tu dois te lever demain !
- Mon nouvel employé aura plus de travail la semaine prochaine ! Me dit-elle d’un clin d’œil.
On rentrait, elle m’invitait à m’asseoir sur le divan, elle revint avec deux coupoles et une bouteille de vin, elle nous servit un verre à chacun et s’assit sur le divan, les jambes retrousser dessus.
- Dis-moi, avec tout ce vin, ça va aller pour rentrer ? Tu veux dormir à la maison ? Dit-elle buvant une gorgée.
Je la regardais quelques instants, était-ce un signe qu’elle attendait plus ou simplement de la politesse vis-à-vis d’un ami ?
- On verra au moment de démarrer, pour l’instant ça va !
- Comme tu le sens, il y de la place sinon ?
- Il est confortable le divan ? Demandais-je.
- Qui ta parlé de divan ?
Elle avait assez de pièces pour avoir une seconde chambre, mais je n’avais pas souvenir qu’elle avait une autre chambre avec matelas installé, je pense bien que là, elle m’invitait dans son lit !
- Le fantasme de coucher avec son employé ?
- Non.
- Tu ne m’invitais pas dans ton lit là ?
- Si, si, mais là, face à moi, j’ai mon ami, non ?
- Vu ainsi !
- Alors, tu restes ?
- Tu me sers un autre verre pour que je te confirme ça ?
Elle me servit le verre, alors que je le buvais, elle mit sa main entre mes jambes, frottant ce dernier…
- Dis-moi, pourquoi as-tu fait marche arrière ?
- Je ne sais pas …
- Pourtant, les photos que j’ai faites pour toi, les câlins que l’on s’était fait à l’arrière de ta voiture…
- Je sais, mais je t’avoue que je ne sais pas pourquoi je n’ai pas voulu aller plus loin…
- Je ne te plaisais pas ?
- Si, au contraire, tu es très bien…
Elle s’avançait un peu plus près de moi, une bosse s’était formée dans mon pantalon… Elle le sentit et l’ouvrit, passant sa main sous mon boxer.
- Et maintenant, si je te reparle de se remettre ensemble ?
- Tu, tu es ma chef !
- Ton amie avant tout !
- Tu m’as engagé pour ça ?
- Non, mais c’est un bon jour pour toi, ça ne te dirait rien d’en plus d’avoir trouvé du travail, avoir une copine ?
- …
Elle faisait à présent des va et viens avec mon sexe, j’avais envie de jeter mon verre et de la prendre, mais je ne savais pas si je voulais me mettre en couple avec, je ne fis rien…
- Tu n’as pas l’air de te décider ! Me dit-elle m’enjambant à présent…
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Je prends les devants !
Elle passait sa main sous sa robe, décalant un peu son string et je put sentir la chaleur de son sexe, elle me mit son verre dans ma main de libre et dirigeait mon sexe à travers le sien.
- Comme tu ne sembles pas avoir envie, je profite de ton jouet pour me faire plaisir !
- Aman…
- Non, trop tard, tu es en moi ! Je la sens toute chaude et gonflée ! Je ne te demande rien en contrepartie, c’est déjà assez triste d’être une femme et de ne pas sentir l’envie de la part d’un homme ! Dit-elle faisant les va et viens sur mon sexe.
- Mais ce n’est pas ça ! C’est que, je ne veux pas te faire du mal, de plus tu es ma chef !
- On s’en fou de ça ! Tu le sais que j’ai toujours eu des sentiments pour moi et je sais que tu en as aussi…
- …
Elle accélérait les va et viens, je ne sais pourquoi je me mis à l’imaginée nue sous sa robe et je finis par très vite venir en elle… Elle restait quelque temps, le temps que mon sexe débande… Et puis se retirait, elle se levait, repris son verre, le bu et en partant vers la salle de bain me dit :
- Je vais prendre une douche et puis je vais me coucher, si tu veux tu peux faire de même, il y a de la place dans le lit, sinon, tu peux rester sur le divan.
Et elle partit prendre sa douche, moi dans le divan, un peu perplexe, je m’allumais une cigarette, les pieds sur la table basse du salon, je réfléchissais, je l’entendis sortir de la douche, me souhaiter bonne nuit, lui souhaiter à mon tour, réfléchir quelques minutes, aller me laver aussi et partir vers sa chambre…
- Je ne tiens pas à te faire du mal, je ne suis pas sûr de vouloir une relation durable, toi, c’est ce que tu veux, ce que tu as toujours voulu, je ne jouerais pas avec ton cœur !
- Et donc, tu es venu, nu, dans mon lit, pour me dire ça ?
- Oui, dans un premier temps et non, demande moi ce que tu veux, je te le ferais, mais tu dois être consciente que là, dans l’immédiat, nous ne pourrons pas avoir de relation !
- J’en suis consciente, merci, tu es assez clair.
- Tu ne veux rien ?
- Des bisous sur mes pieds, ça te va ?
- Si y a que ça pour te faire plaisir…
Et elle sortit ses pieds de la couverture, on était dans le noir, mais je pouvais apercevoir son corps à travers la faible lumière de dehors, passant d’abord mes mains dessus, les caressant, j’y déposais des baisers, plein de douceur… Après un moment elle me dit :
- Tu ne remonterais pas plus haut ? Genre, entre mes jambes ?
Tout en déposant des baisers le long de ses jambes, je me mis à lui caresser son entre jambes avec ma langue, j’y allais me faisant aider de mes doigts, je la sentais réceptive, tellement réceptive qu’elle ne me demandait pas de bouger de là, eu plusieurs orgasmes…
- Tu peux arrêter… Merci… Prends-moi dans tes bras, embrasse-moi dans le cou que je puisse m’endormir avec la sensation d’être aimée. Me dit-elle
Je la pris dans mes bras, nos corps nus étaient bouillants, je déposais mes lèvres dans son cou et l’embrassait, elle sentit que je me mettais à bander et me dit :
- Un peu trop tard pour avoir envie !
Le tout, en rigolant, et elle s’endormit, blottie contre moi… Qu’allions-nous faire par la suite ?
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