mon dépucelage anal
Récit érotique écrit par Azerty [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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mon dépucelage anal
je faisais du stop en Angleterre, j'avais 25ans, j'ai été pris tôt le matin par un gars dans une bonne caisse et lui sapé façon cadre, la quarantaine. Au bout d'une heure de route, il proposa de s'arrêter pour pisser et fumer une clope.il s'engagea dans un chemin et s'arrêta en lisière d'un petit bois. La, surpris, je le vis se rouler un joint, qu'il alluma et me proposa. Après quelques taffes, il sortit pour uriner contre un arbre mais resta face à la voiture. Je voyais le jet puissant sortir de son sexe et il me fit signe de venir le rejoindre. Comme j'avais aussi un besoin pressant, je le rejoignais et sortis ma bite. J'avais à peine commencé à me soulager, qu'il me l'attrapa en me proposant de me la tenir. Je ne refusais pas, surtout que le pétard faisait son effet.
Je commençais à pisser et il se mit à me branler doucement. Je vis que de son autre main, il astiquait sa verge qui prenait du volume, elle était assez longue et son diamètre devait être d'au moins 5 à 6 cm. Je commençais à bander et il vint s'accroupir pour me la lécher, il tétât même le dernier jet en me caressant les fesses. J'avais maintenant la gaule, il baissa mon pantalon et mon slip aux chevilles
Et emboucha mon gland puis toute ma tige tout en me glissant sa main dans la raie.
Je n'osais plus refuser de peur de l'énerver et c'était quand même très agréable de se faire pomper par un inconnu au petit matin dans la nature. Mais il en voulait plus
Car à présent ses doigts s'occupaient de mon anus et je compris que tout n'avais été
Que préliminaires et qu'il voulait me sodomiser sans savoir que j'étais encore vierge de ce coté la. A un moment, j’essayais de me dégager de sa bouche en disant, no, no
Mais il me tenait fermement par les fesses ou il avait déjà introduit un doigt qui coulissait agréablement dans ma rondelle de puceau. Je décidais de me laisser faire,
C’était les vacances, pourquoi ne pas tenter une nouvelle expérience. Il se releva, son sexe était raide, courbé vers le haut, turgéssant au gland violacé, il me fit m'appuyer en avant contre un tronc d'arbre et se remis accroupis pour me lécher la rosette en la lubrifiant avec de la salive. La sensation était délicieuse, je sentais mon sphincter palpiter sous les caresses, je ne le contrôlais plus, il s'ouvrais à sa langue et à ses doigts qui me pénétraient de plus en plus Loing, je me cambrais, lui offrant ma croupe, je sentis qu'il enfonçait plusieurs doigts qu'il tournait à l'intérieur pour m'élargir encore plus, j'étais prêt à me faire enculer. Il se releva, me dit à l'oreille qu'il
Irait doucement et, m'écartant les fesses d'une main, saisit son dard de l'autre, le positionna contre mon anus et appuya en me disant, push, push. Je poussai comme aux toilettes et le phallus entra en moi d'un coup comme un forcené, provoquant une douleur d'écartèlement et il arrêta d'avancer. Cool, relax disait il pendant que j'essayais de reprendre mon souffle et de m'habituer à la présence d'un Corp. étranger
Dans mon cul meurtris. Il se remit en mouvements par petits vas et viens, je poussais toujours pour décontracter l’orifice et la douleur s’atténua progressivement. Le pieu de chair me limais le fondement, je trouvais cela agréablement bon, j’en avais honte de plaisir et lui accéléra la cadence, me tenant par les hanches fermement, je l’entendais ahaner dans mon dos et dire en anglais, c’est très bon, ton cul est bon, prend ça dans ton trou, je me branlais d’une main et sentais le plaisir monter par mon boyau culier, sensation unique que l’on ne peux ressentir qu’avec la sodomie, plaisir dont on peut avec les femmes qui le pratique. Je sentis l’éjac arriver, venant de mon ventre et de mon anus et les jets furent fournis et nombreux. Presqu’au même moment, l’homme se retira de mes fesses, me présentant sa queue souillée à sucer et je compris qu’il voulait se finir dans ma bouche. J’eus un hoquet de dégout car la tige était maculée de taches brunes et la base du gland, cerclée d’un anneau de matières fécales, je lui avais bagué le cigare comme on dit. Mais il m’attrapa par les cheveux, força mes lèvres et s’enfonça en gueulant, suck, suck me (suce moi), je n’eu pas d’autre choix que de lécher sa bite immonde et heureusement, il lâcha sa purée aussitôt sur ma langue ce qui eu pour effet de masquer le gout de crotte. Plusieurs giclées m’arrosèrent le palais, ma 1ère dégustation de sperme et de mes excréments, et lui, secoué de spasme se lavant dans ma bouche. Après le passage à vide qui succède au coït, il m’essuya l’anus avec son mouchoir qu’il jeta et me remercia en me tendant une cigarette que je fumais avec plaisir, détente après ce grand moment que fut ma défloraison anale. Il m’invitât à finir mes vacances chez lui, il était marié et sa femme était très accueillante, mais c’est une autre histoire
Je commençais à pisser et il se mit à me branler doucement. Je vis que de son autre main, il astiquait sa verge qui prenait du volume, elle était assez longue et son diamètre devait être d'au moins 5 à 6 cm. Je commençais à bander et il vint s'accroupir pour me la lécher, il tétât même le dernier jet en me caressant les fesses. J'avais maintenant la gaule, il baissa mon pantalon et mon slip aux chevilles
Et emboucha mon gland puis toute ma tige tout en me glissant sa main dans la raie.
Je n'osais plus refuser de peur de l'énerver et c'était quand même très agréable de se faire pomper par un inconnu au petit matin dans la nature. Mais il en voulait plus
Car à présent ses doigts s'occupaient de mon anus et je compris que tout n'avais été
Que préliminaires et qu'il voulait me sodomiser sans savoir que j'étais encore vierge de ce coté la. A un moment, j’essayais de me dégager de sa bouche en disant, no, no
Mais il me tenait fermement par les fesses ou il avait déjà introduit un doigt qui coulissait agréablement dans ma rondelle de puceau. Je décidais de me laisser faire,
C’était les vacances, pourquoi ne pas tenter une nouvelle expérience. Il se releva, son sexe était raide, courbé vers le haut, turgéssant au gland violacé, il me fit m'appuyer en avant contre un tronc d'arbre et se remis accroupis pour me lécher la rosette en la lubrifiant avec de la salive. La sensation était délicieuse, je sentais mon sphincter palpiter sous les caresses, je ne le contrôlais plus, il s'ouvrais à sa langue et à ses doigts qui me pénétraient de plus en plus Loing, je me cambrais, lui offrant ma croupe, je sentis qu'il enfonçait plusieurs doigts qu'il tournait à l'intérieur pour m'élargir encore plus, j'étais prêt à me faire enculer. Il se releva, me dit à l'oreille qu'il
Irait doucement et, m'écartant les fesses d'une main, saisit son dard de l'autre, le positionna contre mon anus et appuya en me disant, push, push. Je poussai comme aux toilettes et le phallus entra en moi d'un coup comme un forcené, provoquant une douleur d'écartèlement et il arrêta d'avancer. Cool, relax disait il pendant que j'essayais de reprendre mon souffle et de m'habituer à la présence d'un Corp. étranger
Dans mon cul meurtris. Il se remit en mouvements par petits vas et viens, je poussais toujours pour décontracter l’orifice et la douleur s’atténua progressivement. Le pieu de chair me limais le fondement, je trouvais cela agréablement bon, j’en avais honte de plaisir et lui accéléra la cadence, me tenant par les hanches fermement, je l’entendais ahaner dans mon dos et dire en anglais, c’est très bon, ton cul est bon, prend ça dans ton trou, je me branlais d’une main et sentais le plaisir monter par mon boyau culier, sensation unique que l’on ne peux ressentir qu’avec la sodomie, plaisir dont on peut avec les femmes qui le pratique. Je sentis l’éjac arriver, venant de mon ventre et de mon anus et les jets furent fournis et nombreux. Presqu’au même moment, l’homme se retira de mes fesses, me présentant sa queue souillée à sucer et je compris qu’il voulait se finir dans ma bouche. J’eus un hoquet de dégout car la tige était maculée de taches brunes et la base du gland, cerclée d’un anneau de matières fécales, je lui avais bagué le cigare comme on dit. Mais il m’attrapa par les cheveux, força mes lèvres et s’enfonça en gueulant, suck, suck me (suce moi), je n’eu pas d’autre choix que de lécher sa bite immonde et heureusement, il lâcha sa purée aussitôt sur ma langue ce qui eu pour effet de masquer le gout de crotte. Plusieurs giclées m’arrosèrent le palais, ma 1ère dégustation de sperme et de mes excréments, et lui, secoué de spasme se lavant dans ma bouche. Après le passage à vide qui succède au coït, il m’essuya l’anus avec son mouchoir qu’il jeta et me remercia en me tendant une cigarette que je fumais avec plaisir, détente après ce grand moment que fut ma défloraison anale. Il m’invitât à finir mes vacances chez lui, il était marié et sa femme était très accueillante, mais c’est une autre histoire
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