Mon éducation débute ou comment je deviens anale
Récit érotique écrit par Cathy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Mon éducation débute ou comment je deviens anale
Le lendemain matin, je suis réveillée par le bruit provenant de la cuisine et une odeur de café chatouille mes narines. Je suis courbaturée par la séance de la veille. La douleur de mon anus me rappelle que je n'ai pas l'habitude d'être prise ainsi. Je me souviens de ses désirs exprimés la veille et me rend dans la salle de bain pour prendre ma douche et enfiler une nuisette noire transparente sur des dessous noir et rouge. Le porte-jarretelles de la même couleur retient des bas noirs. En le rejoignant, je suis loin de penser à ce qui allait suivre. Dès mon entrée dans la cuisine, il me complimente :
- Jolie tenue. La tenue idéale pour une pensionnaire de bordel. Qu'est-ce que tu attends ? Viens me sucer !
Je suis comme hypnotisée, abasourdie, et il faut qu'il me l'ordonne pour que je sorte son sexe. Oh, cette sensation inouïe quand je glisse ma main sous son slip et que je saisis ce gros bâton de chair chaude ! Je le dégage de son slip et je reste bouche bée à contempler cette bite formidable. Patrick m'impose un rythme très rapide en me tirant par les cheveux. J'essaie vainement de protester, mais très vite, je l'avoue, je savoure le morceau que j'ai en bouche. Quand il me lâche, je continue à sucer de mon mieux.
Sans rien dire, je m'exécute quand il me réclame une cravate de notaire. Il en profite pour me peloter les seins, me pincer les bouts, m'arrachant des gémissements. Ses mains, la présence de ce gros mandrin dur et chaud entre mes nichons si sensibles, me font un effet extraordinaire. Je sens mon sexe s'ouvrir et couler, des ondes de plaisirs partent de mes reins et de mon ventre à tel point que je ne peux résister et je me caresse. Ma main glisse sous mon slip et trouve ma fente trempée.
Il me voie, me prend par les cheveux, me tire la tête en arrière et me dit :
- Tu te branles, cochonne! Elle te fait de l'effet ma queue, hein ?
Je suis trop honteuse pour répondre, aussi je suis soulagée qu'il me dise de lui lécher les couilles car cela me permet d'échapper à son regard. A partir de ce moment, il parle de plus en plus, pour m'insulter ou me donner des ordres. Ses paroles sont très grossières, très obscènes, mais je suis dans un tel état que cela augmente mon excitation. Pourtant je ne suis pas habituée à être traitée ainsi mais à ce moment, chaque grossièreté, chaque ordre ponctué d'une insulte me fouette littéralement, je gémis, je pompe, ma main frotte plus fort mon bouton, c'est fou.
Je le regarde dans les yeux en aspirant son gland de toutes mes forces, son énorme prune déforme mes lèvres. Il jute.
- Je te jute dans la gueule, grosse salope.
Quand je reprends mes esprits, étendue à terre, une main crispée encore sur ma vulve, Patrick debout, me domine. Pendant qu'il me parle, sa pine dégonflée à moitié se redresse avec des saccades.
- T'as des pudeurs de petite bourge ? Envie de te faire mettre, mais tu n'oses pas le dire, hein ? Alors fous-toi en levrette, tu ne verras plus ma queue, mais tu vas la sentir.
Il a touché le point juste, je m'exécute, soulagée d'échapper à son regard. Je préfère la honte de m'exposer comme une chienne.
Sans plus aucune retenue, je m'appuie au sol des épaules et je fais glisser mon slip en lui offrant le spectacle de ma croupe haute, tendue, de mon intimité dévoilée comme elle ne l'a jamais été à personne.
Il m'enfile sans douceur un doigt dans le vagin très profond, le retire et, à ma grande honte, le met brutalement dans mon derrière.
- Aie! Qu'est-ce que tu fais? Je ne veux pas que tu me la mettes là! Dis je bêtement.
Il me tient d'une main sur mes reins et je me sens trop faible pour lui échapper. Je me tortille pourtant mais cela l'excite encore plus. Je devine qu'il veut me prendre par-derrière. J'appréhende, après la séance d'hier, j'ai le cul sensible. En essayant de me dégager, je le supplie.
- Non, Patrick, s'il te plaît, pas là, pas là!
En me disant de me tenir tranquille il me donne une, puis deux autres claques sur le cul, très fortes. J'obéis en continuant à supplier :
- Je ne veux pas! Ne me fais pas ça, s'il te plaît Patrick! Je ne veux pas être sodomisée, je t'en prie!
En me remettant brutalement son doigt dans le derrière, il me dit :
- Cathy! Tu es trop serrée je veux que tu assouplisses ce cul de salope. Mais si tu ne veux pas....
Il enlève son doigt. Soulagée, je m'offre encore plus, attendant sa bite dans mon vagin. Je le sens mettre sa bite sur mon petit trou. Je crie de peur et de douleur en me crispant pour lui faire barrage, mais je sais déjà que je ne peux éviter l'humiliation de me faire violenter le cul. Quand son gland force mon anneau, je crois être déchirée.
- Non! Non, arrête! Enlève-la, enlève ta queue de mon cul, je t'en prie! Je ferais tout ce que tu voudras, mais pas ça! Prends-moi devant, dans la chatte, j'ai envie. Pas dans le cul, tu me déchires!
Il se retire d'un coup. Je hurle, mais quand il m'ordonne de le sucer, je n'hésite pas, trop contente de ne plus être enculée ! Malgré la douleur encore présente, je m'applique à le satisfaire. Je me traite de traînée intérieurement, car non contente de pomper la matraque qui vient de m'ouvrir le cul, je la désire toujours en moi! Je veux qu'elle me prenne, me lime, me pilonne, m'ouvre en deux, me viole et enfin me fasse jouir. J'ose le lui demander, il comprend que j'ai abandonné toute fierté et il en profite.
- A quatre pattes! Tourne ton cul vers moi, ouvre que je vois tout!
Soumise, je fais tout selon son désir. Il se met derrière moi et frotte sa bite sur ma vulve, il pousse plusieurs fois faisant mine de me prendre enfin. Je supplie :
- Oui, oui, prends-moi! Mets-la moi, mets-la moi!
Ouverte à deux mains, dévoilant toute ma raie, mon sexe, j'espère sa grosse queue. D'une main il pèse sur mes reins pour me cambrer plus encore, de l'autre il guide son gros machin. Hélas, pas dans ma chatte. D'un coup il m'enfile au moins la moitié de sa bite dans le cul! J'essaie de le repousser mais d'une main il tient mes bras et me bourre de plus en plus profondément malgré mes cris, mes larmes, mes supplications. J'ai mal au cul, aux seins, qui frotte sur le carrelage, et pleurant à chaque coup de reins j'ai envie de sa queue dans ma chatte!
Enfin il jouit. Un peu en moi, le reste sur ma croupe et il part très vite. Restée seule, je me masturbe jusqu'à jouir, je recueillie même son sperme sur mes fesses pour le lécher.
La journée je déambule en nuisette, il ne me laisse aucun répit. Il me pelote partout, dans la cuisine, le salon, le couloir. A chaque occasion il prend ma main pour la poser sur sa braguette et je ne résiste pas. Il m'entraîne dans la salle à manger, je me retrouve cassée en deux sur la table, nuisette relevée, culotte arrachée, un doigt fouillant mon sexe instantanément trempé. Il me masturbe jusqu'à l'orgasme.
Au cours de cette folle journée, ma décision est prise. Je veux prendre le plaisir là où il se trouve et tant pis pour ce que l'on va dire. S'il faut pour cela être la dernière des salopes, je le serai. Patrick usera de moi selon son bon plaisir. Pour avoir sa queue je suis prête à lui sacrifier mon cul et tout ce qu'il voudra. Pourvu qu'il me ramone la chatte, qu'il me remplisse encore la bouche de foutre, qu'il me colle sa queue entre les nichons, j'accepterai les insultes, les ordres, je serai sa femelle soumise, heureuse de se faire claquer et défoncer le cul!
Après le dîner, sans se gêner, il me prend par la nuque pour guider ma bouche jusqu'à son sexe. Et comme il trouve que je ne suce pas assez profond, il appuie sur ma tête en m'insultant presque. Il en faut peu pour que je lui morde la queue et foutre le camp.
Je fais bien de m'abstenir. Car je découvre que je peux très bien sucer jusqu'au fond de la gorge. Il me suffit de surmonter l'envie de vomir que me provoque son gros gland quand il me défonce la glotte.
Cette pipe (menée à terme, je le précise) me chauffe la fente et je dégouline de mouille. Il m'envoie au septième en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, quand je viens sur lui et me lime sur son mandrin.
Pendant que je ramone, ses mains me palpent les seins et les fesses. Finalement, il introduit un doigt entre mes fesses mouvantes et me l'enfonce dans l'anus. Décidément il a de la suite dans les idées, ou alors c'est mon cul qui l'inspire. Je me dis que c'est à moi de me montrer à la hauteur et de tenir la promesse que je me suis faite, à savoir être sa femelle soumise, heureuse de se faire claquer et défoncer le cul. Pas question de faire ma bégueule comme ce matin.
Voyant que je réagis favorablement à cette intrusion (en fait je me moule carrément dessus en poussant de longs soupirs amoureux), il m'installe en levrette. Ce salaud ne me demande même pas l'autorisation. Il met d'autorité son gros gland sur ma rosette, et il pousse. C'est là que j'ai ma révélation.
Dans la douleur rectale qui me coupe le souffle et me coupe en deux, je perçois immédiatement à quel point, je suis faite pour ce plaisir. Je sais, cela peut paraître contradictoire, mais c'est l'exacte vérité ; c'est en me faisant éclater le cul par mon mec que je devine à quel point cela peut être porteur de plaisir.
Patrick lui, ne se pose pas de question. Il a trouvé un trou bien serré pour sa queue, il s'y trouve bien, et il le bourre en brute. Aussi simple que ça. Son seul problème est de ne pas partir trop tôt, de résister aux contractions dingues de cet anneau qui, il l'a vite remarqué, est particulièrement adapté pour la baise anale.
Moi je pète les plombs. La bave aux lèvres, je me tords en tous sens, tapant des poings sur le sol, mordant le tapis pour étouffer mes hurlements. Des mots de putain me montent à la gorge et m'échappent en gémissements.
- Casse-moi le cul salaud! J’ose dire, avant d'ajouter; Vas-y merde, mets la moi encore. Baise-moi bien, baise moi par derrière. Oh putain que c'est bon. Tu sais que peu de personne me baise par là. Vas-y crache maintenant, crache-moi ton foutre dans le cul, lâche ta purée...
Inutile de vous dire que je n'ai jamais parlé ainsi. Patrick gagné par ma folie, complètement collé à ma croupe, les mains arrimées à mes seins, se déchaîne littéralement, me démontant la croupe à grands coups de reins. Il me dira plus tard qu'il n'a jamais connu de fille aussi chaude du cul que moi. J'ai pris ça pour le plus beau des compliments. Je ne pouvais pas serrer les cuisses l'une contre l'autre et j'avais la démarche typique de la fille qui s'est faite enculer à l'excès. N'empêche, malgré la brûlure intense qui me travaillait les fesses, je ne pensais qu'à ma prochaine fois où il allait m'enculer. J'étais devenue une obsédée de la sodomie.
- Jolie tenue. La tenue idéale pour une pensionnaire de bordel. Qu'est-ce que tu attends ? Viens me sucer !
Je suis comme hypnotisée, abasourdie, et il faut qu'il me l'ordonne pour que je sorte son sexe. Oh, cette sensation inouïe quand je glisse ma main sous son slip et que je saisis ce gros bâton de chair chaude ! Je le dégage de son slip et je reste bouche bée à contempler cette bite formidable. Patrick m'impose un rythme très rapide en me tirant par les cheveux. J'essaie vainement de protester, mais très vite, je l'avoue, je savoure le morceau que j'ai en bouche. Quand il me lâche, je continue à sucer de mon mieux.
Sans rien dire, je m'exécute quand il me réclame une cravate de notaire. Il en profite pour me peloter les seins, me pincer les bouts, m'arrachant des gémissements. Ses mains, la présence de ce gros mandrin dur et chaud entre mes nichons si sensibles, me font un effet extraordinaire. Je sens mon sexe s'ouvrir et couler, des ondes de plaisirs partent de mes reins et de mon ventre à tel point que je ne peux résister et je me caresse. Ma main glisse sous mon slip et trouve ma fente trempée.
Il me voie, me prend par les cheveux, me tire la tête en arrière et me dit :
- Tu te branles, cochonne! Elle te fait de l'effet ma queue, hein ?
Je suis trop honteuse pour répondre, aussi je suis soulagée qu'il me dise de lui lécher les couilles car cela me permet d'échapper à son regard. A partir de ce moment, il parle de plus en plus, pour m'insulter ou me donner des ordres. Ses paroles sont très grossières, très obscènes, mais je suis dans un tel état que cela augmente mon excitation. Pourtant je ne suis pas habituée à être traitée ainsi mais à ce moment, chaque grossièreté, chaque ordre ponctué d'une insulte me fouette littéralement, je gémis, je pompe, ma main frotte plus fort mon bouton, c'est fou.
Je le regarde dans les yeux en aspirant son gland de toutes mes forces, son énorme prune déforme mes lèvres. Il jute.
- Je te jute dans la gueule, grosse salope.
Quand je reprends mes esprits, étendue à terre, une main crispée encore sur ma vulve, Patrick debout, me domine. Pendant qu'il me parle, sa pine dégonflée à moitié se redresse avec des saccades.
- T'as des pudeurs de petite bourge ? Envie de te faire mettre, mais tu n'oses pas le dire, hein ? Alors fous-toi en levrette, tu ne verras plus ma queue, mais tu vas la sentir.
Il a touché le point juste, je m'exécute, soulagée d'échapper à son regard. Je préfère la honte de m'exposer comme une chienne.
Sans plus aucune retenue, je m'appuie au sol des épaules et je fais glisser mon slip en lui offrant le spectacle de ma croupe haute, tendue, de mon intimité dévoilée comme elle ne l'a jamais été à personne.
Il m'enfile sans douceur un doigt dans le vagin très profond, le retire et, à ma grande honte, le met brutalement dans mon derrière.
- Aie! Qu'est-ce que tu fais? Je ne veux pas que tu me la mettes là! Dis je bêtement.
Il me tient d'une main sur mes reins et je me sens trop faible pour lui échapper. Je me tortille pourtant mais cela l'excite encore plus. Je devine qu'il veut me prendre par-derrière. J'appréhende, après la séance d'hier, j'ai le cul sensible. En essayant de me dégager, je le supplie.
- Non, Patrick, s'il te plaît, pas là, pas là!
En me disant de me tenir tranquille il me donne une, puis deux autres claques sur le cul, très fortes. J'obéis en continuant à supplier :
- Je ne veux pas! Ne me fais pas ça, s'il te plaît Patrick! Je ne veux pas être sodomisée, je t'en prie!
En me remettant brutalement son doigt dans le derrière, il me dit :
- Cathy! Tu es trop serrée je veux que tu assouplisses ce cul de salope. Mais si tu ne veux pas....
Il enlève son doigt. Soulagée, je m'offre encore plus, attendant sa bite dans mon vagin. Je le sens mettre sa bite sur mon petit trou. Je crie de peur et de douleur en me crispant pour lui faire barrage, mais je sais déjà que je ne peux éviter l'humiliation de me faire violenter le cul. Quand son gland force mon anneau, je crois être déchirée.
- Non! Non, arrête! Enlève-la, enlève ta queue de mon cul, je t'en prie! Je ferais tout ce que tu voudras, mais pas ça! Prends-moi devant, dans la chatte, j'ai envie. Pas dans le cul, tu me déchires!
Il se retire d'un coup. Je hurle, mais quand il m'ordonne de le sucer, je n'hésite pas, trop contente de ne plus être enculée ! Malgré la douleur encore présente, je m'applique à le satisfaire. Je me traite de traînée intérieurement, car non contente de pomper la matraque qui vient de m'ouvrir le cul, je la désire toujours en moi! Je veux qu'elle me prenne, me lime, me pilonne, m'ouvre en deux, me viole et enfin me fasse jouir. J'ose le lui demander, il comprend que j'ai abandonné toute fierté et il en profite.
- A quatre pattes! Tourne ton cul vers moi, ouvre que je vois tout!
Soumise, je fais tout selon son désir. Il se met derrière moi et frotte sa bite sur ma vulve, il pousse plusieurs fois faisant mine de me prendre enfin. Je supplie :
- Oui, oui, prends-moi! Mets-la moi, mets-la moi!
Ouverte à deux mains, dévoilant toute ma raie, mon sexe, j'espère sa grosse queue. D'une main il pèse sur mes reins pour me cambrer plus encore, de l'autre il guide son gros machin. Hélas, pas dans ma chatte. D'un coup il m'enfile au moins la moitié de sa bite dans le cul! J'essaie de le repousser mais d'une main il tient mes bras et me bourre de plus en plus profondément malgré mes cris, mes larmes, mes supplications. J'ai mal au cul, aux seins, qui frotte sur le carrelage, et pleurant à chaque coup de reins j'ai envie de sa queue dans ma chatte!
Enfin il jouit. Un peu en moi, le reste sur ma croupe et il part très vite. Restée seule, je me masturbe jusqu'à jouir, je recueillie même son sperme sur mes fesses pour le lécher.
La journée je déambule en nuisette, il ne me laisse aucun répit. Il me pelote partout, dans la cuisine, le salon, le couloir. A chaque occasion il prend ma main pour la poser sur sa braguette et je ne résiste pas. Il m'entraîne dans la salle à manger, je me retrouve cassée en deux sur la table, nuisette relevée, culotte arrachée, un doigt fouillant mon sexe instantanément trempé. Il me masturbe jusqu'à l'orgasme.
Au cours de cette folle journée, ma décision est prise. Je veux prendre le plaisir là où il se trouve et tant pis pour ce que l'on va dire. S'il faut pour cela être la dernière des salopes, je le serai. Patrick usera de moi selon son bon plaisir. Pour avoir sa queue je suis prête à lui sacrifier mon cul et tout ce qu'il voudra. Pourvu qu'il me ramone la chatte, qu'il me remplisse encore la bouche de foutre, qu'il me colle sa queue entre les nichons, j'accepterai les insultes, les ordres, je serai sa femelle soumise, heureuse de se faire claquer et défoncer le cul!
Après le dîner, sans se gêner, il me prend par la nuque pour guider ma bouche jusqu'à son sexe. Et comme il trouve que je ne suce pas assez profond, il appuie sur ma tête en m'insultant presque. Il en faut peu pour que je lui morde la queue et foutre le camp.
Je fais bien de m'abstenir. Car je découvre que je peux très bien sucer jusqu'au fond de la gorge. Il me suffit de surmonter l'envie de vomir que me provoque son gros gland quand il me défonce la glotte.
Cette pipe (menée à terme, je le précise) me chauffe la fente et je dégouline de mouille. Il m'envoie au septième en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, quand je viens sur lui et me lime sur son mandrin.
Pendant que je ramone, ses mains me palpent les seins et les fesses. Finalement, il introduit un doigt entre mes fesses mouvantes et me l'enfonce dans l'anus. Décidément il a de la suite dans les idées, ou alors c'est mon cul qui l'inspire. Je me dis que c'est à moi de me montrer à la hauteur et de tenir la promesse que je me suis faite, à savoir être sa femelle soumise, heureuse de se faire claquer et défoncer le cul. Pas question de faire ma bégueule comme ce matin.
Voyant que je réagis favorablement à cette intrusion (en fait je me moule carrément dessus en poussant de longs soupirs amoureux), il m'installe en levrette. Ce salaud ne me demande même pas l'autorisation. Il met d'autorité son gros gland sur ma rosette, et il pousse. C'est là que j'ai ma révélation.
Dans la douleur rectale qui me coupe le souffle et me coupe en deux, je perçois immédiatement à quel point, je suis faite pour ce plaisir. Je sais, cela peut paraître contradictoire, mais c'est l'exacte vérité ; c'est en me faisant éclater le cul par mon mec que je devine à quel point cela peut être porteur de plaisir.
Patrick lui, ne se pose pas de question. Il a trouvé un trou bien serré pour sa queue, il s'y trouve bien, et il le bourre en brute. Aussi simple que ça. Son seul problème est de ne pas partir trop tôt, de résister aux contractions dingues de cet anneau qui, il l'a vite remarqué, est particulièrement adapté pour la baise anale.
Moi je pète les plombs. La bave aux lèvres, je me tords en tous sens, tapant des poings sur le sol, mordant le tapis pour étouffer mes hurlements. Des mots de putain me montent à la gorge et m'échappent en gémissements.
- Casse-moi le cul salaud! J’ose dire, avant d'ajouter; Vas-y merde, mets la moi encore. Baise-moi bien, baise moi par derrière. Oh putain que c'est bon. Tu sais que peu de personne me baise par là. Vas-y crache maintenant, crache-moi ton foutre dans le cul, lâche ta purée...
Inutile de vous dire que je n'ai jamais parlé ainsi. Patrick gagné par ma folie, complètement collé à ma croupe, les mains arrimées à mes seins, se déchaîne littéralement, me démontant la croupe à grands coups de reins. Il me dira plus tard qu'il n'a jamais connu de fille aussi chaude du cul que moi. J'ai pris ça pour le plus beau des compliments. Je ne pouvais pas serrer les cuisses l'une contre l'autre et j'avais la démarche typique de la fille qui s'est faite enculer à l'excès. N'empêche, malgré la brûlure intense qui me travaillait les fesses, je ne pensais qu'à ma prochaine fois où il allait m'enculer. J'étais devenue une obsédée de la sodomie.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il n'y a rien de mieux qu'un anus bien serré à élargir et remplir de semence.
Et c'est encore meilleur quand la dame adore ça!
Et c'est encore meilleur quand la dame adore ça!