Mon mec et ses amis.
Récit érotique écrit par Cathy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon mec et ses amis.
Patrick doit se rendre au travail. Quelques secondes avant son départ, il me fourre sa main entre les cuisses et en bonne salope disponible, je les écarte en grand pour qu’il arrive à ma chatte. Deux minutes plus tard, tombant à mes pieds, ma petite culotte ne tient plus qu’à une cheville et n’entrave plus le passage de ses doigts sur ma vulve chaude et humide. Je m’accroche à son cou comme une adolescente amoureuse, et je laisse le plaisir m’envahir. Ses mains souples naviguent entre les plis et les replis de mes grosses lèvres vaginales, drainées de mouille.
Ses doigts sondent les profondeurs de mon con béant. Je réagis, on ne peut mieux en vraie salope en chaleur, docile pour son mec. Je n’ai pas le temps de toucher à sa queue que déjà il me culbute sur le fauteuil de l'entrée. La queue à peine sortie de la braguette, mais déjà fourrée au chaud dans mon vagin, il me laboure le bas-ventre de coups de boutoirs avec ardeur. J’en ai le sang tout retourné et le sexe à feu et à mouille. Je secoue frénétiquement la tête de gauche à droite. Son sexe qui me laboure sauvagement fait des bruits de clapotis. Nous sommes en sueur. De vraies bêtes en rut. Je passe une main entre mes cuisses pour toucher ses boules ; elles gigotent et tapent sans arrêter ainsi que sa bite bandée au maximum qui me cloue au fauteuil et me secoue comme un prunier. Je subis ses assauts, épuisée, comme une poupée de chiffon. Avec brutalité, il ramène mes chevilles derrière ses épaules afin de dégager mon fessier, et continue son pilonnage rapide. Les coups portent plus en profondeur et n’en sont que meilleurs, si bien que je jouis en l’entraînant dans mes spasmes. Nous sommes ivres de jouissance. Le vertige passé, je me lave la chatte. Mon con est boursouflé et encore tout palpitant et chatouilleux. Le fait de sentir mes propres doigts courir sur mes chairs gorgées de sang réveille mon excitation. Je rejoins Patrick, mais il est déjà habillé, prêt à partir.
- Toi tu aimes ça, me dit-il d’un air moqueur, en tirant sur le bout de mes seins. Je t’abandonne à regret, mais ce soir, tu vas en avoir plein les fesses, fais moi confiance, tu ne seras pas déçue.
J’ai tout le loisir de me masturber en l’attendant, mais aucune branlette ne remplace la bite vigoureuse d’un homme qui sait y faire. Quand il sonne vers dix-neuf heures, je suis excitée à point pour le recevoir. A ma grande surprise, ils sont trois à attendre à ma porte, lui et deux hommes.
Rapidement j'ai trois queues tendues dans ma direction, dont l’idée fixe est de se faufiler dans n’importe lequel de mes orifices libres. Étant seule pour les trois, je ne chôme pas. Je me jette goulûment sur leur membre en érection comme une gourmandise dont j’aurais été trop longtemps privée. A force de succions et de pompages, j’ai le gosier arrosé copieusement et j’avale quelques gorgées de foutre frais. J'ai une bite plantée dans ma bouche en train de me baiser jusqu'à la luette, et une autre qui me remplit la chatte, quand les mains de Patrick soulèvent mes fesses par derrière. Et, comble du plaisir, Patrick m'écarte de sa bite plantée dans mon cul jusqu’aux testicules, profond dans mon boyau. Il me déchire les fesses en deux. Mes cris s’étranglent dans ma gorge obstruée par la bite en mouvement. Pour exprimer mon mécontentement et ma jouissance anales, je pompe ce jonc avec vigueur, tant et si bien qu’il mousse dans ma bouche en deux trois coups de langue bien placés. La queue qui me ravage le cul éjacule en m’inondant la raie. Assommée de plaisir je suis fière de moi, fière que mon mec me donne à d'autres hommes. Je ne suis plus qu'une poupée gonflable entre les mains de ces trois vauriens. Ça les excite de me voir passer d’une bite à l’autre à moitié assommée de plaisir, la chatte toujours humide et les tétons dressés, la bouche entrouverte laissant échapper des soupirs de satisfaction, d’étonnement ou de douleur quand ils touchent l'anus. Quand mon cul et mon vagin sont remplis à ras bord de leur sperme, ils se défoulent entre mes seins et encore dans ma bouche. Et quand ils n’ont plus rien à décharger, ils me font lécher et enfiler des objets dans le sexe. Après le départ de ses deux amis, Patrick me câline longuement comme pour se faire pardonner ce défoulement. Avant de m'endormir je lui murmure que je suis fière d'être sa salope.
Ses doigts sondent les profondeurs de mon con béant. Je réagis, on ne peut mieux en vraie salope en chaleur, docile pour son mec. Je n’ai pas le temps de toucher à sa queue que déjà il me culbute sur le fauteuil de l'entrée. La queue à peine sortie de la braguette, mais déjà fourrée au chaud dans mon vagin, il me laboure le bas-ventre de coups de boutoirs avec ardeur. J’en ai le sang tout retourné et le sexe à feu et à mouille. Je secoue frénétiquement la tête de gauche à droite. Son sexe qui me laboure sauvagement fait des bruits de clapotis. Nous sommes en sueur. De vraies bêtes en rut. Je passe une main entre mes cuisses pour toucher ses boules ; elles gigotent et tapent sans arrêter ainsi que sa bite bandée au maximum qui me cloue au fauteuil et me secoue comme un prunier. Je subis ses assauts, épuisée, comme une poupée de chiffon. Avec brutalité, il ramène mes chevilles derrière ses épaules afin de dégager mon fessier, et continue son pilonnage rapide. Les coups portent plus en profondeur et n’en sont que meilleurs, si bien que je jouis en l’entraînant dans mes spasmes. Nous sommes ivres de jouissance. Le vertige passé, je me lave la chatte. Mon con est boursouflé et encore tout palpitant et chatouilleux. Le fait de sentir mes propres doigts courir sur mes chairs gorgées de sang réveille mon excitation. Je rejoins Patrick, mais il est déjà habillé, prêt à partir.
- Toi tu aimes ça, me dit-il d’un air moqueur, en tirant sur le bout de mes seins. Je t’abandonne à regret, mais ce soir, tu vas en avoir plein les fesses, fais moi confiance, tu ne seras pas déçue.
J’ai tout le loisir de me masturber en l’attendant, mais aucune branlette ne remplace la bite vigoureuse d’un homme qui sait y faire. Quand il sonne vers dix-neuf heures, je suis excitée à point pour le recevoir. A ma grande surprise, ils sont trois à attendre à ma porte, lui et deux hommes.
Rapidement j'ai trois queues tendues dans ma direction, dont l’idée fixe est de se faufiler dans n’importe lequel de mes orifices libres. Étant seule pour les trois, je ne chôme pas. Je me jette goulûment sur leur membre en érection comme une gourmandise dont j’aurais été trop longtemps privée. A force de succions et de pompages, j’ai le gosier arrosé copieusement et j’avale quelques gorgées de foutre frais. J'ai une bite plantée dans ma bouche en train de me baiser jusqu'à la luette, et une autre qui me remplit la chatte, quand les mains de Patrick soulèvent mes fesses par derrière. Et, comble du plaisir, Patrick m'écarte de sa bite plantée dans mon cul jusqu’aux testicules, profond dans mon boyau. Il me déchire les fesses en deux. Mes cris s’étranglent dans ma gorge obstruée par la bite en mouvement. Pour exprimer mon mécontentement et ma jouissance anales, je pompe ce jonc avec vigueur, tant et si bien qu’il mousse dans ma bouche en deux trois coups de langue bien placés. La queue qui me ravage le cul éjacule en m’inondant la raie. Assommée de plaisir je suis fière de moi, fière que mon mec me donne à d'autres hommes. Je ne suis plus qu'une poupée gonflable entre les mains de ces trois vauriens. Ça les excite de me voir passer d’une bite à l’autre à moitié assommée de plaisir, la chatte toujours humide et les tétons dressés, la bouche entrouverte laissant échapper des soupirs de satisfaction, d’étonnement ou de douleur quand ils touchent l'anus. Quand mon cul et mon vagin sont remplis à ras bord de leur sperme, ils se défoulent entre mes seins et encore dans ma bouche. Et quand ils n’ont plus rien à décharger, ils me font lécher et enfiler des objets dans le sexe. Après le départ de ses deux amis, Patrick me câline longuement comme pour se faire pardonner ce défoulement. Avant de m'endormir je lui murmure que je suis fière d'être sa salope.
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