MON PERE NOEL - histoire érotique

Mon père noël
Mon ordi sera obsolète dès janvier 2020, putain en effet mon Windows 7 ne sera plus mis à jour dans peu de temps, il faut avoir un Windows 10, maintenant ! j’ai acheté un truc pour le convertir en nouveau système d’exploitation, mais c’est un peu compliqué, c’est long, il faut rajouter plein de trucs et je ne suis pas sur que ça marche correctement, en gros ça me fait chier, ma pounette m’a dit, t’inquiètes Yanno je vais t’en payer un tout neuf comme cadeau de Noël, il est trop gentil mon mec, mais je lui ai dit que je pouvais me le payer, il m’a fait une moue en me disant :- Parce que je n’ai pas le droit de te faire un cadeau ?
- Ben oui mon loulou, mais…- Il n’y a pas de, mais c’est moi qui vais te le payer puis ces temps-ci tu es triste d’avoir perdu ta sœur, j’aimerais bien te voir reprendre un peu de joie de vivre, ces temps-ci tu es abattu mon loup. C’est vrai j’ai perdu une frangine elle est morte d’une crise cardiaque je l’adorai ma sœur Jo chez laquelle j’ai travaillé dans les années 80 puis quand j’étais gosse elle me prenait sur ses genoux le matin où vers 10 heures on cassait une croute (je n’allais à l’école que l’après-midi pour une histoire de maladie du cœur) une habitude à la maison, évidemment c’est moi le plus jeune d’une fratrie de 9 enfants donc elle me gâtait tout le temps, je ne saurais dire tout ce qu’elle a pu m’offrir ma frangine qui perdait un peu la boule vers sa fin de vie, c’est moche d’être le dernier au fil du temps on encaisse le départ des siens, mes parents, etc., etc.
heureusement que j’ai mon Stéph, lui je le bénis.

Bon oublions les choses tristes, je vais vous refaire bander un peu, Stéphane ne le sait pas, mais comme je l’adore, pour son Noël je lui ai acheté une voiture électrique, oui la sienne à fait son temps et je sais que quand il a une panne que son garagiste l’arnaque, quel pourri celui-là, mon Stéphan est représentant il a besoin d’un véhicule fiable, le loulou des îles, son véhicule doit être livré après-demain, il m’a bien payé un ordi lui pourquoi je ne lui ferais pas plaisir à ce cher amour ? Perso je n’ai jamais compté mes sous, si comme tout le monde, pour vivre sinon moi et le pognon… vaut mieux en profiter quand on est en vie, après c’est le néant et je m’en branle !

Le jour de la livraison est arrivé, mon loulou d’amour me dit en regardant par la fenêtre :- Yanno, viens voir, tu sais à qui elle est la belle bagnole rouge toute neuve garée sur le parking ? Je le regardai dans ses beaux yeux et tout naturellement je me mis à lui dire :- Oui mon chéri, c’est ton cadeau de Noël. Il ne le crut pas puis le prenant dans mes bras je lui fis un gros béco sur la joue en poursuivant :- Oui ma biche, c’est pour toi, ça te fait plaisir ?
- Si ça me fait plaisir, mais t’es fou !
- Ben oui, de toi, tu m’as bien acheté un ordi, toi.
- Oui, mais ce n’est pas pareil, tu ne vois pas le prix ?
- On s’en fout du prix, le principal c’est que tu sois content, tu sais que tu es mon doudou à moi. La pounette essuya une larme et m’embrassa très fort :- Merci mon Yanno, tu ne changeras donc jamais !
- Pour être pire, surement pas !

Mon Stéph heureux comme un roi appela David pour lui faire part de la nouvelle, David lui répondit :- Oh, ça s’arrose ça avec du sperme évidemment, j’arrive les mecs !! Mon David arriva quelques instants plus tard en charriant quelque peu ma poune :- Alors le Stéph, avec le cadeau qu’il vient de te faire tu vas pouvoir lui faire un gros pompier à ton Yanno si tu veux je vais t’aider, bon c’est fini tous ces cadeaux, vous avez gagné à la loterie ou quoi ? Je pris la parole :- Ben non mon grand, mais nous on est pas près de nos sous comme toi.
- C’est une pierre dans mon jardin ça, mais moi j’ai une famille à nourrir.
- Mais on le sait, ce n’était qu’une boutade, petit con, bon tu ne voulais pas me sucer, toi, bah vas-y, dis-je en baissant mon fut… David gentil et peu rancunier se jeta sur ma bite comme la misère sur le pauvre monde ce qui nous fit bander tous les trois comme des ânes et c’est dans chaque bouche tendue que je me mis à pilonner un peu, allant de l’une à l’autre tandis que les mecs se foutaient complètement à poils, David se mit à dire :- On va refaire nos dégueulasses, on va s’enculer, se foutre plein de foutre partout, j’ai chaud les gars, je veux une bonne bite dans le cul, Yanno, tu m’encules ? En effet quand David est comme ça, vaut mieux le baiser un bon coup, David c’est un mec, super, mignon, très sexuel jusqu’à être très très salope, je le connais bien, c’est pour ça que je l’apprécie, mais je dois reconnaitre pour l’avoir tellement eu sur le bout du nœud qu’il aime bien jouer à sa pute, je décidai donc de l’embrocher sérieux tandis qu’il s’était mis dans le trou de Stéphane qui bandait comme un cerf, on s’encula comme ça, debout tous les trois un bon bout de temps puis je décidai de m’assoir, mon Stéph s’enquilla sur moi et David vint sur la pounette, enculé et enculant le pote poilu du cul.

Les coups de piston étaient entrain de ravager les trous lorsque David me demanda de me retirer de Stéph pour lui enfoncer encore ma bite alors que la pounette lui perforait le trou et je vins le prendre par devant alors qu’il avait la queue complètement raide et toute décalottée je me mis à enfoncer mon gros chibre dans le cul éclaté du pote qui ne tarda pas à envoyer des giclées de purée blanches venant arroser son nombril :- Ah tu veux de la bite, et bien en voilà, petite salope ! je lui ai dit ça en le galochant, il apprécia puis après les 2 gars essayèrent de jouer avec leur queue, David vint enquiller le bout de sa bézette en tirant sur son prépuce pour recouvrir le gland de mon Stéph qui se laissait faire, gland contre gland ce qui les firent bien juter, moi je me suis contenté de bouffer toute la jute qui sortait des queues.

La femme de David appela en nous demandant si son mari était chez nous, David en absorbant une léchouille de foutre qui lui pendait au menton nous fit signe de lui dire non puis c’est les couilles vidées qu’il décida à rentrer chez lui dans un soupir qui voulait dire « j’y vais, le devoir m’appelle. » Mais quand même avant de s’en aller il nous demanda de lui juter dans la bouche, ce que l’on fit et le gars en profita pour nous rouler des pelles pleines de foutre, hé !
Yanno