Mon stage 2

- Par l'auteur HDS Totos -
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mon stage 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Mon stage 2
Et le lendemain je partis donc à l’école dans ma robe à fleurs, toujours sans dessous, heureusement, j’avais quelques robes qui n’étaient ni choquantes, ni provocantes !

Je dus le retrouver au même endroit que la veille, il m’attendait, fumant sa cigarette…
- Tu es toute jolie ! Me dit-il.

- Merci…
- Tu me montres ?

- Mais, il faut que je soulève !

- Ah oui, ou que tu retires ta robe…
Je pense que j'ai dû passer par toutes les couleurs possibles et toutes les sensations qui allait avec !

- Je rigole… Relève juste sur le côté, que je vois…
Je relevais ma robe sur le côté, assez haut pour qu’il voie que je ne portais pas de culotte et il me dit :
- Je n’ai pas vu grand-chose, mais ta jambe, le bout de ta fesse que j’ai vu, j’ai envie de te prendre, là maintenant, ici !

- Non, stp !

- Ne t’inquiète pas hein… En tout cas, tu es très belle !

Dit-il en jetant sa cigarette et partant vers le grand bâtiment, ne vérifiant même pas si j’avais un soutien-gorge !

La journée se poursuivit comme la précédente, ce même malaise en moi, son regard insistant, j’étais certaine qu’il s’imaginait ce qu’il me ferait, et moi, je finissais aussi par imaginer… C’était abominable, j’en étais excitée, honteuse ! Le soir fut pareil que la veille, il me demandait pour se voir, on se vit, je ne sentais pas avoir trop le choix, mais j’avais envie de le voir et on se vit, une fois dans la voiture, il m’avouait avoir eu des envies toute la journée !

- J’ai une question. Me dit-il sérieusement.

- Dis-moi…
- Tu le sais, j’ai eu envie de toi toute la journée, accepterais-tu qu’après toi hier qui m’a masturbé, aujourd’hui, ça soit moi qui joue à cet endroit-là ?

- Tu me demandes ça alors que tu ne vas pas te gêner…
- Non, je n’irais pas jusqu’à là, je joue avec toi, mais pas là-dessus !

- Tu joues avec moi ?

- Oui, tu me repousses, je t’embête comme je peux !

- Salop, tu y prends du plaisir je parie ! Dis-je en rigolant d’un coup.

- Oh oui, beaucoup ! Alors, je peux !

- Embrasse-moi avant alors, je ne saurais pas écarter mes jambes ainsi…
- Le meilleur moment arrive, je vais enfin t’embrasser !

- Ça ne veut pas dire qu’on est ensemble…
- Non, mais tu veux bien que je te touche l’entrejambe ! Tu es d’une logique…
- …
Je n’allais pas lui dire que j’étais excitée ?!

Et il se mit à m’embrasser, je sentis sa main passer le long de ma jambe, frôler mon sexe, le caresser, le frotter, après un moment l’un de ses doigts s’insérait dedans, faisait des va et viens, suivit d’un autre, je finis par grimper sur lui et l’embrasser des plus belles !

Je sentais ses mains caresser mes fesses et puis il me repoussait.

- Mais ?

- Tu ne veux pas sortir avec moi ! On ne va pas aller plus loin !

- …
Je me sentis bête, et frustrée, mais il avait raison, j’étais contradictoire ! Il me ramenait et me fit un bisou sur le front en ajoutant « demain, pareil, pas de sous-vêtements ! ».

Et le lendemain se ressemblait comme les précédentes journées, j’y prenais un peu de plaisir en sachant que je l’excitais, alors que j’avais mes heures d’études et me dirigeais vers la salle des professeurs, je croisais cet éducateur stagiaire qui m’abordait.

- Mademoiselle x (je ne vais pas mettre mon nom).

- Oui ?

- J’aurais aimé vous demander quelque chose !?

- Dites-moi ?

- Accepteriez-vous que je vous invite ce soir ?

- Mais, euh… Pourquoi ?

- Pour que l’on fasse plus connaissance…
- C’est que…
- Ah, vous avez peut-être quelqu’un ?

- Non, c’est que…
- Vous acceptez ?

- D’accord, une petite sortie ne me fera pas de mal, je pense !

Il prit mon numéro et me dit qu’il me sonnerait lorsqu’il serait rentré chez lui. La journée, cette fois, fila à toute allure, je rentrais chez moi, mon « copain » ou plutôt mon élève vint me parler, je lui dis qu’on ne savait pas se voir, que j’avais un souper en famille… Je du mentir, n’osant pas imaginer ce qu’il me dirait s’il savait que j’allais manger avec un autre garçon !

Mon téléphone retentit, c’était mon « collègue ».

- Je viens te chercher à 19h30, ça va pour toi ?

- Oui, mais on va où ?

- Je t’emmène dans un petit restaurant vraiment pas mal !

- Oui, mais je dois m’habillée comment ?

- Habille-toi comme tu le sens, ça n’a pas d’importance pour moi !

- D’accord, à tout à l’heure alors. Dis-je.

Et on raccrochait, je partis prendre ma douche, y restant longtemps, ne pensant à rien, je sentais la fatigue pourtant bien là, je partis dans ma chambre drap de bain autour de moi, et retournais toute ma garde-robe, j’optais pour une jupe noire et un dessous rouge assez foncé, des petits talons noirs et des sous-vêtements noirs.

On arrivait très vite à l’heure dite, il vint sonner à ma porte et il avait un veston de costard, et un jeans, à la fois classe et simple, on arrivait à sa voiture, il avait une BMW qui semblait être un modèle très récent, je ne dis rien, j’étais étonnée qu’un stagiaire aie ce genre de voiture.

On arrivait au restaurant, c’était un restaurant chic, les prix je les trouvais moins chic sur le coup ! Il commandait une bouteille de vin rouge, et on se mit à discuter.

J’appris qu’il était issu d’une riche famille, que son père était avocat et qu’il aurait souhaité que son fils le sois aussi, mais que lui, il avait toujours voulu être éducateur, il fallut des années pour que son père finisse par « accepter », la BMW, l’argent qu’il avait, il le devait à la somme qui lui fut débloquée à ses 18 ans, mais qu’il n’usait que très peu, juste la BMW qui était son seul « luxe » qu’il voulait réellement… On continuait à parler de tout et de rien pendant la soirée, boire notre vin, manger… 22h15, on sortait du restaurant.

- Eh bien, j’ai passé une bonne soirée ! Me dit-il m’ouvrant la porte de sa voiture.

- Moi aussi je dois dire ! Dis-je en rentrant dans celle-ci.

Une fois rentré dans la voiture, il me dit :
- Tu viendrais boire un dernier verre chez moi ?

- A cette heure-ci, avec tes parents ?

- Je ne vis plus avec eux.

- Tu cherches à me mettre dans ton lit ?

- Non, mais ça ne serait pas déplaisant…
- Coquin ! Dis-je lui mettant une petite tape sur l’épaule.

- Alors, oui ?

- D’accord.

Et on partit vers chez lui, sur le chemin, on continuait de parler de tout et de rien, je le découvrais, il m’expliquait sa dernière relation, il en gardait de bons souvenirs, mais je ressentis qu’il pensait qu’il aurait pu faire plus, même si pour lui au final, ça ne pouvait plus marcher.

On arrivait devant chez lui, un quartier tranquille, non loin de chez moi, on montait dans son appartement, et effectivement, il ne cherchait pas à taper à l’œil avec du luxe, c’était assez sobre, assez discret et en-tout-cas, pour un homme très propre et ranger parfaitement !

Il ouvrit son frigo et me demandais ce que je voulais, ajoutant qu’il pensait que je ne voudrais pas d’alcool, je pris une limonade et puis on s’assit sur le divan, il s’approchait de moi et m’embrassais, était-ce l’envie où l’alcool qui fit que je me laissais faire ?

Mais lorsque je sentis sa main monter le long de ma jambe, je le stoppais.

- Non, stp…
- Pourquoi ?

- Je ne l’ai fait qu’une fois…
- Ne t’inquiète pas, je ferais attention…
- Je n’ai pas d’expérience, tu ne vas pas aimer…
- Chut, laisse-toi faire !

Sa main continuer de monter, passer sous ma jupe, caresser ma fesse droite, venir à l’intérieur de ma jambe, frôler l’entre jambes… Il retirait mon tee-shirt, me retrouvant en soutien-gorge face à mon collègue, mais pas très longtemps, celui-ci fut très vite enlevé, lui laissant apparaitre ma petite poitrine que ses mains vinrent caresser délicatement, qu’il embrassait tout doucement, ma jupe suivit, ainsi que mon shorty… Il ne me restait que mes talons, qu’il ne semblait pas vouloir m’enlever, alors qu’il m’avait fait venir sur lui, qu’il m’embrassait dans le cou, mes bras autour de lui, je me laissais aller sentant ses mains caressant le creux de mon dos, descendant sur mes fesses… Puis se remettant sur mon entre jambe, le caressant, le doigtant, me penchant un peu en arrière il dépose des baisers sur mes seins, sa langue passe sur eux, autour de mes tétons, il les mordille…
Il me couche délicatement sur le divan, m’embrasse, va dans mon cou, descend sur ma poitrine, mon ventre… Passe le long de mes jambes, il dépose même des baisers sur mes pieds.

- Je n’aime pas les pieds, mais les tiens sont mignons !

Il se remet à m’embrasser dans le sens inverse, revenant sur mes lèvres, ses mains passant le long de mon corps, délicatement… Il redescend, va entres mes jambes, je sens sa langue caresser mon entre-jambes, je me redresse d’un coup et dit :
- Je ne pense pas que ça soit une bonne idée !

- On ne t’a jamais fait ça ?

- Non…
Sa main me repousse et me fait me recoucher, il se remet, après quelques minutes, je me laisse aller, je sens sa langue me caresser, ses doigts me pénétrer… Je ne veux plus qu’il s’arrête, je m’agite, mes jambes se mettent autour de sa tête, j’ai bon ! Mais il s’arrête… Il relève la tête, me regarde :
- Pourquoi t’arrêtes-tu ? Dis-je alors.

- Tu veux que je continue ?

- Ben oui…
- D’accord… J’aurais plus de langue après ! Dit-il en se replongeant entre mes jambes.

Alors que je me laisse une nouvelle fois aller, je me sens venir, et je viens, j’ai le premier orgasme de ma vie, mes jambes serrant super fort sa tête, ma main s’accrochant au divan, je suis ailleurs, j’explose, c’est bon !

Il se retire, me laisse me reprendre en caressant mes cheveux, il se lève, revient avec deux verres d’eau, il a une boite de cigare, m’en propose un que je refuse. Alors que j’ai repris mes esprits, je réalise qu’il est toujours habillé et le lui fait remarquer !

- Retire-moi mes vêtements si ça te dérange.

Il avait déjà enlevé sa veste, je lui retire son tee-shirt et m’aperçoit que sans être basé, il est bien tracé, je suis un peu gênée, même s’il vient de me lécher pendant je ne sais pas combien de temps… Je détache sa ceinture, déboutonne son pantalon et le lui retire, je fais de même avec ses chaussettes et son boxer… Je vois son sexe, face à mes yeux, lui me regarde, il voit que je suis un peu mal à l’aise, il me tend sa main et me fait m’asseoir à côté de lui.

- Il ne faut pas être mal à l’aise ! Me dit-il mettant ma main sur son sexe.

Je commence doucement les va et viens, je le sens durcir…
- Dis-moi, avec ton ex, vous avez fait quoi ?

- Comment ça ?

- Sexuellement…
- Pas grand-chose…
- J’aimerais que tu m’expliques, tu as l’air si mal à l’aise, et timide, mais ta timidité je trouve ça mignon !

- C’est gênant !

- Pas de ça avec moi ! Me dit-il passant la main sur mon visage.

- On s’embrassait simplement en fait, il savait que je ne me sentais pas prête, il a vite mis sa main dans mon pantalon… J’ai eu un peu de mal ensuite à me contrôler et je me suis retrouvée couchée sous lui, son sexe en moi…
- Tu as eu bon au moins ? Rassure-moi… Dit-il me regardant d’un air qu’il espérait que j’avais eu au moins ça.

- Non… Il m’a fait mal au début et puis je n’ai pas senti grand-chose, et ça n’a pas duré deux minutes…
- Mon dieu, tu me mets la pression pour rattraper ta première fois !

- Ah ah ah que tu es bête !

- Allais, on va t’apprendre d’accord ?

- Ne te moque pas de moi !

- Je ne me moque pas de toi, c’est pour toi ! Dit-il avec un sourire.

Alors que son sexe était devenu bien dur et bien épais, il me fit descendre du divan, à genou entre ses jambes, il me dit de d’abord passer lentement avec ma langue le long de sa queue, ce que je fis, j’en fis ensuite le tour de son gland, puis il la dirigea dans ma bouche, alors que je ne le faisais pas, il me fit le masturber en même temps, j’éprouvais du plaisir à le sucer alors que c’était une chose que je n’étais pas forcément fort motivée à faire !

Il sentait que ça allait venir, il me proposait d’arrêter, mais m’avouais que lui préférait d’aller jusqu’au bout et qu’en général, beaucoup de mecs préféraient aussi, mais que c’était mon choix et qu’il le respecterait, j’acceptais d’aller jusqu’au bout…
Alors qu’il s’allumait son cigare, petit, à la vanille, je me donnais à fond dans ma tâche, tentant de lui apporter du plaisir bien que j’avais conscience que j’étais maladroite et il finit par venir, ne gérant pas tout à fait l’affaire, je me retirais et en reçu sur mon visage, il me regardait étonné, et il se mit à rire me faisant rire aussi par la même occasion, il se levait et prit des mouchoirs m’essuyant le visage et s’essuyant le sexe.

- En général, on aime bien que la fille nous nettoie, mais je trouve que pour une première fois, c’est déjà pas mal ce que tu as fait !

Je lui souris, ne disant rien de plus… Il m’aidait à me relever, écrasait son cigare et me portait jusqu’à la chambre, un peu comme lorsque le marier ramène la marier, il me déposait sur le lit et il vint sur moi, m’embrassait, ses mains passaient sur tout mon corps, se remirent entre mes jambes me relançant une fois de plus, puis je sentis que ses doigts passaient sur mes fesses, mon anus, il me dit tout bas à l’oreille : « ne t’inquiète pas, je vais faire doucement ».

Après un long moment, il se remit à bander, entre temps, non sans mal il s’était mis à me doigter le cul, il se mit sur moi, mit mes jambes sur ses épaules et dirigeait son sexe vers le mien, l’inséra me faisant frémir, en me tenant par les fesses, il se mit à me mettre des coups de reins, rapide et puissant, cela ne durait pas deux minutes cette fois, je me laissais aller, je profitais… La voilà ma réelle premières fois ! Après un long moment à me faire prendre, il finit par venir, essoufflé, il restait quelques instants couché sur moi, je passais ma main sur ses cheveux… Il repartit dans le salon et m’invitait à prendre ma douche.

Dans la douche, je n’avais pas honte, j’étais contente qu’il ait rattrapé ce que le premier avait raté ! Je sortis de la douche, drap autour de moi, il me regardait, me fit un sourire.

- Ça va ?

- Oui, oui…
Je vis à ce moment-là qu’il se remettait à bander, il se levait et vint près de moi, sa main sur mon visage, il profita de l’autre pour me faire tomber le drap, il m’embrassait, m’amenant vers la table de la cuisine il me fit me coucher dessus, les fesses vers lui, il m’écartait les jambes et je sentis son sexe contre mon anus.

- Fait doucement stp…
- Là, tu vas le sentir, mais tu finiras par t’habituer…
- Tu ne me rassures pas !

- Tu risques même d’avoir les larmes aux yeux et de crier ! Dit-il en rigolant.

- Arrête ! Finis-en ! Dis-je en rigolant aussi.

Je rigolais jusqu’au moment où je sentis son sexe s’insérer peu à peu dans mon cul, non sans difficultés ! Je m’accrochais à la table, effectivement j’en avais les larmes aux yeux et je la sentais passer, sans mauvais jeu de mots !

Alors qu’il s’était enfoncé le plus possible dedans, il commençait à faire les va et viens, m’arrachant très vite des cris, et plus je criais, plus je le sentais bander en moi, je ne réfléchissais plus beaucoup, mais je réalisais qu’il durait longtemps après que je l’aie sucé jusqu’au bout, qu’il durait surement encore plus longtemps alors qu’on avait couchés ensemble avant !

Et ce fut le cas…
Après de nombreux cris et le cul en feu, il finit par venir dedans, il restait ainsi quelques instants et se retira, je me laissais tomber à genou par terre bien qu’il me rattrapait et me déposait…
- Ça va ? Me demanda-t-il
- J’ai le cul en feu… Dis-je sans plus aucune énergie.

- J’ai été à sec… C’est normal…
Je tournais la tête vers lui, plus la force de parler, il mit sa main derrière ma tête et la rapprochait de son sexe qui venait de fourrer mon cul, j’aurais bien protestée, mais je supposais que d’autre le faisait et je me mis à le lui nettoyer… Lorsqu’il considéra que c’était assez, il m’aidait à me relever…
On remarquait tous deux que du sperme avait coulé de mon cul, il me passait un essuie-tout que je mis contre mon anus en partant vers la salle de bain et lui essuyait ce qu’il y avait au sol.

Il vint me rejoindre sous la douche et on partit ensuite dormir… Le lendemain matin, j’eus droit à quelques caresses et à me faire prendre une seconde fois, mais pas par-derrière, il me ramenait vite chez moi où je pus me changer et on partit à l’école…
Mon élève me tirait la tête…

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