Monica et co (1ère partie).
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2016 dans la catégorie Plus on est
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Monica et co (1ère partie).
Partie à trois.
Agés de 35 ans, Monica et moi, nous vivons maritalement depuis bientôt six ans. Divorcés tous les deux et sans enfants, nous nous sommes rencontrés lors de la Première d’un film américain au Gaumont des Champs Elysées.
Nous avions reçu chacun une invitation.
Monica travaille pour un hebdomadaire où elle participe à la rubrique spectacles.
Mon copain Hervé qui est responsable de la publicité des cinémas Gaumont de la région parisienne m’avait fait parvenir la mienne. Nous étions assis côte à côte et par politesse, nous avons échangé quelques mots avant le début de la projection.
Après le film, nous sommes restés quelques temps à la réception où les spectateurs triés sur le volet et dont nous faisions partie avaient été conviés. Monica se devait de rencontrer les acteurs principaux et le metteur en scène afin de pouvoir rédiger son billet. Je l’accompagnais mais pour ne pas la gêner, je restais un peu en retrait lorsqu’elle faisait son job.
Lorsque nous sommes sortis, je l’ai invitée à prendre un pot au drugstore Publicis pour terminer la soirée. Pour avoir d’avis d’un spectateur, elle m’a demandé ce que je pensais du film puis nous avons continué à bavarder jusque vers une heure du matin. Ma voiture était garée à proximité. Je l’ai raccompagnée jusqu’à chez elle en banlieue ouest. Ce soir là, nous nous sommes quittés après avoir échangé nos coordonnées.
Après plusieurs rencontres amicales et diverses sorties pour des spectacles ou en boite pour danser, est arrivé ce qui devait arriver. Alors que je raccompagnais Monica chez elle après avoir passé une partie de la nuit à danser au Disco 2000, elle m’a invité à prendre un dernier verre. Quel homme aurait refusé une telle invitation non dissimulée à finir la nuit ensemble ?
C’est ainsi que pour la première fois, je pénétrais dans son grand studio où tout de suite, je me suis senti bien. C’était un véritable cocon, meublé moderne avec goût, les teintes pastel des murs se mariant harmonieusement avec les tentures de couleur vive. Le lit immense nous tendait les bras mais nous sommes d’abord passés ensemble sous la douche. La danse nous avait fait transpirer et faire l’amour dans ces conditions ne semblait pas la meilleure des choses. Pour une première fois, nous voulions prendre notre temps et cette douche prise en commun a été l’opportunité de se découvrir intimement en échangeant diverses caresses qui nous ont conduits à une étreinte ardente sur le lit.
Nous nous sommes revus ainsi plusieurs fois, chez Monica ou chez moi jusqu’à ce que nous décidions de vivre ensemble dans mon appartement de Saint Quentin en Yvelines qui était beaucoup plus vaste. Après les aménagements de décoration nécessaires, Monica est venue s’installer chez moi.
Depuis bientôt six ans nous filons le parfait amour, non sans avoir de temps à autre des aventures passagères dont nous nous racontons les péripéties. Mais dans ces cas là, il n’est question que de sexe, et du sexe protégé !
Un samedi soir du printemps dernier, nous avions invité à diner mon copain Hervé avec sa copine du moment. Mais vers 19 heures il est arrivé seul en disant que Valérie avait un empêchement et qu’elle ne viendrait pas.
Après le repas, nous nous sommes installés au salon ou nous avons continué à bavarder puis à regarder sur la télévision nos photos des vacances d’hiver. Nous étions tous les trois sur le divan, Monica entre nous deux. Sans avoir trop bu, nous étions bien chauds. Je sentais la cuisse gauche de Monica qui se pressait contre la mienne. J’ai passé mon bras derrière son cou et je suis venu poser ma main sur un sein rebondi pour le caresser discrètement. Hervé a posé sa main gauche sur la cuisse de Monica à la limite de sa mini jupe. Cette coquine a ouvert ses cuisses comme pour nous inviter à pousser nos investigations.
L’ambiance était propice à satisfaire un de nos fantasmes communs : une partie à trois. J’ai arrêté la projection des photos pour lancer un film X pour achever de nous mettre le feu. Avec Monica, sans être des libertins, nous avions parlé à plusieurs reprises de ce fantasme et Hervé faisait partie de nos favoris pour y participer : C’était ce soir ou jamais et nous allions profiter de la défection de sa copine. Pendant qu’Hervé remontait sa main gauche entre les cuisses de Monica, j’ai ouvert son chemisier et sorti ses seins du soutien gorge demi balconnets.
Cette coquine avait les tétons déjà bien dardés au dessus de ses seins ronds. Je les ai pincés alternativement puis j’ai retiré tous les vêtements du haut alors qu’Hervé, à genoux sur la moquette avait la tête plongée entre les cuisses de ma belle, qui, la jupe troussée haut, lui pressait la tête dans l’entrejambes. Je me suis mis nu rapidement et j’ai présenté ma bite à sucer à Monica. Hervé s’est déshabillé à son tour et nous nous sommes dirigés tous les trois vers la chambre où le lit immense nous attendait.
Nous avons repris nos caresses. Entre nous deux, Monica était désormais entièrement nue, sa belle poitrine fièrement offerte à nos bouches et sa chatte lisse et rose attendant la bite qui allait la posséder. Elle nous caressait les couilles et suçait alternativement notre bite. Je ne lui savais pas ce talent de suceuse : une double pipe, elle savait y faire, n’en laissant aucune de côté. Quand l’une était dans sa bouche, elle caressait l’autre de ses mains fines aux ongles longs, griffant doucement les couilles qui passaient à sa portée.
J’ai dit à Hervé de la baiser pendant qu’elle me suçait. Le sexe couvert, il s’est placé entre ses cuisses et il éperonna d’un violent coup de reins Monica qui était en levrette.
Elle aimait çà, un peu de rudesse ! Au bout de quelques temps, elle repoussa mon copain pour le faire coucher sur le dos et venir l’enfourcher en amazone. Elle m’offrait sa croupe aux hanches pleines et sa taille étroite. Quelle belle occasion de la sodomiser, elle qui adore se faire prendre le cul. Un peu de gel dans son anneau plissé, une capote sur ma queue et c’était parti.
Nous lui avons offert une double pénétration d’enfer, la secouant avec rudesse jusqu’à ce que nous déversions dans ses orifices notre jouissance pendant qu’elle bramait la sienne en inondant la bite d’Hervé d’un flot de mouille abondante qui s’écoula à l’extérieur, mouillant le lit.
Cette nuit là, nous l’avons baisée chacun à deux reprises.
Hervé nous a quittés en milieu de matinée en disant qu’il renouvellerait bien cette séance en invitant sa copine à y participer.
Elle ne serait certainement pas contre une partie à quatre.
Agés de 35 ans, Monica et moi, nous vivons maritalement depuis bientôt six ans. Divorcés tous les deux et sans enfants, nous nous sommes rencontrés lors de la Première d’un film américain au Gaumont des Champs Elysées.
Nous avions reçu chacun une invitation.
Monica travaille pour un hebdomadaire où elle participe à la rubrique spectacles.
Mon copain Hervé qui est responsable de la publicité des cinémas Gaumont de la région parisienne m’avait fait parvenir la mienne. Nous étions assis côte à côte et par politesse, nous avons échangé quelques mots avant le début de la projection.
Après le film, nous sommes restés quelques temps à la réception où les spectateurs triés sur le volet et dont nous faisions partie avaient été conviés. Monica se devait de rencontrer les acteurs principaux et le metteur en scène afin de pouvoir rédiger son billet. Je l’accompagnais mais pour ne pas la gêner, je restais un peu en retrait lorsqu’elle faisait son job.
Lorsque nous sommes sortis, je l’ai invitée à prendre un pot au drugstore Publicis pour terminer la soirée. Pour avoir d’avis d’un spectateur, elle m’a demandé ce que je pensais du film puis nous avons continué à bavarder jusque vers une heure du matin. Ma voiture était garée à proximité. Je l’ai raccompagnée jusqu’à chez elle en banlieue ouest. Ce soir là, nous nous sommes quittés après avoir échangé nos coordonnées.
Après plusieurs rencontres amicales et diverses sorties pour des spectacles ou en boite pour danser, est arrivé ce qui devait arriver. Alors que je raccompagnais Monica chez elle après avoir passé une partie de la nuit à danser au Disco 2000, elle m’a invité à prendre un dernier verre. Quel homme aurait refusé une telle invitation non dissimulée à finir la nuit ensemble ?
C’est ainsi que pour la première fois, je pénétrais dans son grand studio où tout de suite, je me suis senti bien. C’était un véritable cocon, meublé moderne avec goût, les teintes pastel des murs se mariant harmonieusement avec les tentures de couleur vive. Le lit immense nous tendait les bras mais nous sommes d’abord passés ensemble sous la douche. La danse nous avait fait transpirer et faire l’amour dans ces conditions ne semblait pas la meilleure des choses. Pour une première fois, nous voulions prendre notre temps et cette douche prise en commun a été l’opportunité de se découvrir intimement en échangeant diverses caresses qui nous ont conduits à une étreinte ardente sur le lit.
Nous nous sommes revus ainsi plusieurs fois, chez Monica ou chez moi jusqu’à ce que nous décidions de vivre ensemble dans mon appartement de Saint Quentin en Yvelines qui était beaucoup plus vaste. Après les aménagements de décoration nécessaires, Monica est venue s’installer chez moi.
Depuis bientôt six ans nous filons le parfait amour, non sans avoir de temps à autre des aventures passagères dont nous nous racontons les péripéties. Mais dans ces cas là, il n’est question que de sexe, et du sexe protégé !
Un samedi soir du printemps dernier, nous avions invité à diner mon copain Hervé avec sa copine du moment. Mais vers 19 heures il est arrivé seul en disant que Valérie avait un empêchement et qu’elle ne viendrait pas.
Après le repas, nous nous sommes installés au salon ou nous avons continué à bavarder puis à regarder sur la télévision nos photos des vacances d’hiver. Nous étions tous les trois sur le divan, Monica entre nous deux. Sans avoir trop bu, nous étions bien chauds. Je sentais la cuisse gauche de Monica qui se pressait contre la mienne. J’ai passé mon bras derrière son cou et je suis venu poser ma main sur un sein rebondi pour le caresser discrètement. Hervé a posé sa main gauche sur la cuisse de Monica à la limite de sa mini jupe. Cette coquine a ouvert ses cuisses comme pour nous inviter à pousser nos investigations.
L’ambiance était propice à satisfaire un de nos fantasmes communs : une partie à trois. J’ai arrêté la projection des photos pour lancer un film X pour achever de nous mettre le feu. Avec Monica, sans être des libertins, nous avions parlé à plusieurs reprises de ce fantasme et Hervé faisait partie de nos favoris pour y participer : C’était ce soir ou jamais et nous allions profiter de la défection de sa copine. Pendant qu’Hervé remontait sa main gauche entre les cuisses de Monica, j’ai ouvert son chemisier et sorti ses seins du soutien gorge demi balconnets.
Cette coquine avait les tétons déjà bien dardés au dessus de ses seins ronds. Je les ai pincés alternativement puis j’ai retiré tous les vêtements du haut alors qu’Hervé, à genoux sur la moquette avait la tête plongée entre les cuisses de ma belle, qui, la jupe troussée haut, lui pressait la tête dans l’entrejambes. Je me suis mis nu rapidement et j’ai présenté ma bite à sucer à Monica. Hervé s’est déshabillé à son tour et nous nous sommes dirigés tous les trois vers la chambre où le lit immense nous attendait.
Nous avons repris nos caresses. Entre nous deux, Monica était désormais entièrement nue, sa belle poitrine fièrement offerte à nos bouches et sa chatte lisse et rose attendant la bite qui allait la posséder. Elle nous caressait les couilles et suçait alternativement notre bite. Je ne lui savais pas ce talent de suceuse : une double pipe, elle savait y faire, n’en laissant aucune de côté. Quand l’une était dans sa bouche, elle caressait l’autre de ses mains fines aux ongles longs, griffant doucement les couilles qui passaient à sa portée.
J’ai dit à Hervé de la baiser pendant qu’elle me suçait. Le sexe couvert, il s’est placé entre ses cuisses et il éperonna d’un violent coup de reins Monica qui était en levrette.
Elle aimait çà, un peu de rudesse ! Au bout de quelques temps, elle repoussa mon copain pour le faire coucher sur le dos et venir l’enfourcher en amazone. Elle m’offrait sa croupe aux hanches pleines et sa taille étroite. Quelle belle occasion de la sodomiser, elle qui adore se faire prendre le cul. Un peu de gel dans son anneau plissé, une capote sur ma queue et c’était parti.
Nous lui avons offert une double pénétration d’enfer, la secouant avec rudesse jusqu’à ce que nous déversions dans ses orifices notre jouissance pendant qu’elle bramait la sienne en inondant la bite d’Hervé d’un flot de mouille abondante qui s’écoula à l’extérieur, mouillant le lit.
Cette nuit là, nous l’avons baisée chacun à deux reprises.
Hervé nous a quittés en milieu de matinée en disant qu’il renouvellerait bien cette séance en invitant sa copine à y participer.
Elle ne serait certainement pas contre une partie à quatre.
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