Noémie 1
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Noémie 1
Après ma seconde aventure avec Katherine, nous nous étions retrouvés de nombreuses fois afin de nous envoyer en l'air. Cependant, à mon plus grand regret, pendant les vacances de Pâques, elle partit en voyage, tandis que moi je restai chez moi. La perspective de passer deux semaines sans Katherine, et donc sans sexe me déprimait. Et effectivement, le début de ces vacances de Pâques fut très déprimant.
Ce fut à la fin de la première semaine, alors que j'étais terriblement en manque, que je reçus un appel d'une amie de ma classe, Noemie.
"Salut ! J'imagine que tu révises pour le Bac ?"
"Euuuh oui... dis je ne montant honteusement, car en vérité le bac était le dernier de mes soucis"
"J'ai un peu de mal à réviser la SVT, est ce que je peux venir chez toi ? On pourrait travailler ensemble..."
"Oui si tu veux, répondis je"
"Ca ne va pas gêner tes parents ?"
"Pas de problèmes, ils ne sont pas là !"
1h plus tard, la sonnerie de la porte d'entrée retentit, je descendis ouvrir, et c'était Noémie. Cela peut paraître étrange, car je le connaissais depuis le début de l'année, et la voyais tous les jours depuis, pourtant, lorsque je la vis sur le pas de ma porte, je me rendis compte qu'elle était très jolie, voire très sexy. Elle était, de taille moyenne, fine, brune, la peau métisse, des yeux marrons, et une poitrine généreuse, bref, une vraie beauté, étrange que je ne l'ai pas vu avant. De plus, lorsqu'elle monta les escaliers pour aller vers ma chambre, je m'apperçus qu'elle avait également un cul magnifique.
Pourtant, je fis abstraction de tout cela, elle était venue pour travailler, pas pour s'envoyer en l'air ! Au cours donc de l'heure qui suivit, je m'attachais à l'aider à comprendre nos leçons de SVT. Cependant, je ne pouvais m'empêcher de l'admirer discètement. Au bout d'une heure, je proposai à Noémie de souffler un peu, et lui dis :
"Si tu veux, il y a du gâteau en bas, on peut aller en manger".
Au cours de cette pause-goûter je me surpris moi même : d'ordinaire, j'étais très mal à l'aise en présence d'une jolie fille, surtout si j'étais seul avec elle. Mais depuis ma rencontre avec Katherine, il faut croire que j'avais progressé avec les filles. Je remarquai aussi, qu'en revanche, Noémie elle, semblait assez gênée. Au début, je pensais qu'elle était timide, après tout, on ne se connaissait pas si bien que ça, mais rapidement, je me rendis compte que ce n'était pas ça : je compris que je l'attirai, mais qu'elle n'osait pas faire le premier pas. C'était donc à moi de prendre les initiatives.
Une fois qu'elle eut fini sa part de gâteau, je lui proposai de remonter dans ma chambre, mais cette fois ci, j'avais des idées derrière la tête... Une fois dans ma chambre, je prétextai que nous n'étions pas assez à l'aise sur mon bureau, et proposai à Noémie que nous installions sur le lit, pour "travailler" plus à notre aise. Elle accepta. Nous nous assîmes donc sur mon lit, l'un près de l'autre, et reprîmes notre travail. Au bout d'un moment, avec l'excuse de lui montrer comment faire un exercice, je lui pris la main. Elle tressaillit légèrement. Une fois que j'eus terminé de lui montrer comment faire l'exercice, je ne la lâchai pas pour autant, sentant une ouverture. J'entrepris alors de lui caresser le bras, et comme elle ne protestait pas, je l'embrassais. Après une ou deux secondes de baiser, elle se dégagea.
"Non, je ne veux pas."
Elle disait ça, mais je sentais bien qu'elle crevait d'envie que j'insiste, alors je dis :
"Noémie, je vois bien que t'en as envie, alors laisse toi aller !"
Elle ne répondit rien, visiblement incapable de décider. Je l'embrassai de nouveau, et cette fois ci, elle me rendit mon baiser, d'abord timidement, puis avec fougue. Je compris alors qu'elle voulait plus qu'un baiser. Je poussai par terre nos cahiers et stylos, et la plaquai contre le matelas. J'entrepris alors d'embrasser son décoletté, puis je lui embrassai et léchai le cou, avant de lui masser les seins. Elle se laissait faire, visiblement ravie par le tournant que prenait la situation. J'éprouvai alors une curieuse sensation : je comprenais que cette fois ce serait moi le dominant, et c'était une grande première : avec Katherine, c'était toujours elle qui menait la danse, mais là, avec Noémie ce serait différent. Sur de moi, j'enlevai mon t-shirt, avant d'enlever le débardeur de Noémie et de lui embrasser son ventre plat, puis je lui enlevai son pantalon, embraissai ses jambes, avant de lui enlever ses sous vêtements. Elle était nue devant moi, j'entrepris de lui faire un cuni, ce qui déclencha chez elle des frissons de plaisir, bientôt suivis par des gémissements. C'était la première fois que je faisais un cuni à une fille (Katherine n'aimait pas ça), et je dois dire que j'adorais ça : elle était à ma merci, vibrait sous mes coups de langue, j'étais maître de son plaisir. S'ajoutait à cela ma fierté de la voir se tordre de plaisir sour mes coups de langue. Après lui avoir fait du bien ainsi, je quittai mon pantalon et mon caleçon, et pénétrai Noémie d'un coup sec, m'enfonçant en elle sans aucune difficuté tant elle était humide. J'entrepris alors des vas et viens en missionaire, d'abord lentement puis de plus en plus vite, en m'enfonçant de plus en plus profondément en elle. Des frissons de plaisir me parcouraient le corps, tandis qu'elle gémissait de plus en plus fort, ses ongles me griffant le dos tant son plaisir était immense. Au bout d'un moment, lassé qu'elle me lacère le dos ainsi (même si c'était assez flatteur, ça faisait mal), je lui attrapai les mains et l'imobilisai afin qu'elle se tienne tranquille pendant que la baisai, ce qui augmenta encore mon sentiment de domination. Après l'avoir bien baisée sur le lit, je décidai soudain de changer, et la soulevai et l'emportai sur le bureau de ma chambre pour y continuer de la baiser. C'était très plaisant : moi debout, la labourant littéralement, tandis qu'elle était alongée, offerte à moi sur le bureau, totalement soumise. Après le bureau, c'est contre le placard que la plaquai pour continuer à la baiser tout en la portant. Je la baisai si fort, que le placard en tremblait, j'eus même peur de le faire tomber. Noémie pendant ce temps s'accrochait à moi, subissait mes coups de rein dévastateurs, hurlait de plaisir à s'en casser la voix. Quant à moi, je prenais un sacré pied : j'étais entrain de baiser une magnifique jeune fille, coincée entre moi et le placard, je dominais et c'était nouveau pour moi. Au bout de quelques minutes elle eut un orgamse. Je la lachai alors, et elle me dit
"T'arrête pas s'il te plaît ! Baise moi encore !"
"T'inquiète j'en ai pas fini avec toi, mais suce moi d'abord."
Elle s'éxécuta docile, se mit à genoux, prit mon sexe entre ses mains et le lécha avant de l'enfourner et d'entreprendre des vas et viens. Elle était vraiment experte en felleation, chacun de ses coups de langue, ou de ses vas et vients provoquaient chez moi des décharges de plaisir. Pendant qu'elle me pompait, j'étais très vulnérable, et elle en profita pour retourner la situation à son avantage : elle se releva, me jeta sur le lit, et me chevaucha en position d'andromaque. Je me laissai faire, content de la voir prendre un peu d'assurance, mais néanmoins bien décidé à ne pas lui laisser le contrôle très longtemps et à reprendre le dessus tôt ou tard. De plus, je devais bien reconnaître que la situation était agréable : les sensations qu'elle me procuraient étaient très bonnes, et j'avais une belle vue sur le corps parfait de Noémie, tandis qu'elle se déanchait sur moi. Néanmoins, j'étais un peu lassé de cette position : je la pratiquais toujours avec Katherine, et il fallait bien reconnaître que Noémie n'était pas aussi experte que Katherine qui me menait toujours au bord l'inconscience quand elle me chevauchait ainsi. Bref, malgré le plaisir que me procurait Noémie en position d'Andromaque, je ne tardai pas à la renverser : je me redressai, lui embraissai les seins, et avant qu'elle n'ait eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait, je repris le dessus et la plaquai sur le matelas. Puis, je la retournai, et entrepris de la prendre en levrette, prenant ainsi ma revanche. Je la tenais par les hanches, et donnais des coups de reins de plus en plus rapides, la pénétrant de plus en plus loin, tandis qu'elle gémissait en subissant mes coups de reins. C'était la première fois que je pratiquais cette position, et je l'adorais : le plaisir était immense, tant la pénétration était profonde, de plus j'étais plus que jamais maître de la situation. Un quart d'heure passa ainsi, et je continuais de la limer, faisaint de gros efforts pour ne pas pas jouir, tandis que Noémie, elle eut deux orgasmes au cour de ce seul quart d'heure. Elle ne fit rien pour reprendre le dessus, semblant accepter les rôles : elle soumise et moi dominant. Au bout d'un moment, je la retournai, et décidai de la finir en position d'enclume : je la pénétrai en missionaire, mais lui mis les jambes sur mes épaules, ce qui me permettait une pénétration plus profonde. Dans cette position je ne tins pas très longtemps et finis par exploser en elle.
Une demi heure plus tard, Noémie rentra chez elle, heureuse. Elle n'avait peut être pas beaucoup révisé, mais elle n'en n'était pas moins comblée. Quant à moi, j'étais ravi de cette expérience, et atrtendais avec impatience ma prochaine aventure, car j'étais bien décidé à ne pas attendre le retour de Katherine pour baiser...
Ce fut à la fin de la première semaine, alors que j'étais terriblement en manque, que je reçus un appel d'une amie de ma classe, Noemie.
"Salut ! J'imagine que tu révises pour le Bac ?"
"Euuuh oui... dis je ne montant honteusement, car en vérité le bac était le dernier de mes soucis"
"J'ai un peu de mal à réviser la SVT, est ce que je peux venir chez toi ? On pourrait travailler ensemble..."
"Oui si tu veux, répondis je"
"Ca ne va pas gêner tes parents ?"
"Pas de problèmes, ils ne sont pas là !"
1h plus tard, la sonnerie de la porte d'entrée retentit, je descendis ouvrir, et c'était Noémie. Cela peut paraître étrange, car je le connaissais depuis le début de l'année, et la voyais tous les jours depuis, pourtant, lorsque je la vis sur le pas de ma porte, je me rendis compte qu'elle était très jolie, voire très sexy. Elle était, de taille moyenne, fine, brune, la peau métisse, des yeux marrons, et une poitrine généreuse, bref, une vraie beauté, étrange que je ne l'ai pas vu avant. De plus, lorsqu'elle monta les escaliers pour aller vers ma chambre, je m'apperçus qu'elle avait également un cul magnifique.
Pourtant, je fis abstraction de tout cela, elle était venue pour travailler, pas pour s'envoyer en l'air ! Au cours donc de l'heure qui suivit, je m'attachais à l'aider à comprendre nos leçons de SVT. Cependant, je ne pouvais m'empêcher de l'admirer discètement. Au bout d'une heure, je proposai à Noémie de souffler un peu, et lui dis :
"Si tu veux, il y a du gâteau en bas, on peut aller en manger".
Au cours de cette pause-goûter je me surpris moi même : d'ordinaire, j'étais très mal à l'aise en présence d'une jolie fille, surtout si j'étais seul avec elle. Mais depuis ma rencontre avec Katherine, il faut croire que j'avais progressé avec les filles. Je remarquai aussi, qu'en revanche, Noémie elle, semblait assez gênée. Au début, je pensais qu'elle était timide, après tout, on ne se connaissait pas si bien que ça, mais rapidement, je me rendis compte que ce n'était pas ça : je compris que je l'attirai, mais qu'elle n'osait pas faire le premier pas. C'était donc à moi de prendre les initiatives.
Une fois qu'elle eut fini sa part de gâteau, je lui proposai de remonter dans ma chambre, mais cette fois ci, j'avais des idées derrière la tête... Une fois dans ma chambre, je prétextai que nous n'étions pas assez à l'aise sur mon bureau, et proposai à Noémie que nous installions sur le lit, pour "travailler" plus à notre aise. Elle accepta. Nous nous assîmes donc sur mon lit, l'un près de l'autre, et reprîmes notre travail. Au bout d'un moment, avec l'excuse de lui montrer comment faire un exercice, je lui pris la main. Elle tressaillit légèrement. Une fois que j'eus terminé de lui montrer comment faire l'exercice, je ne la lâchai pas pour autant, sentant une ouverture. J'entrepris alors de lui caresser le bras, et comme elle ne protestait pas, je l'embrassais. Après une ou deux secondes de baiser, elle se dégagea.
"Non, je ne veux pas."
Elle disait ça, mais je sentais bien qu'elle crevait d'envie que j'insiste, alors je dis :
"Noémie, je vois bien que t'en as envie, alors laisse toi aller !"
Elle ne répondit rien, visiblement incapable de décider. Je l'embrassai de nouveau, et cette fois ci, elle me rendit mon baiser, d'abord timidement, puis avec fougue. Je compris alors qu'elle voulait plus qu'un baiser. Je poussai par terre nos cahiers et stylos, et la plaquai contre le matelas. J'entrepris alors d'embrasser son décoletté, puis je lui embrassai et léchai le cou, avant de lui masser les seins. Elle se laissait faire, visiblement ravie par le tournant que prenait la situation. J'éprouvai alors une curieuse sensation : je comprenais que cette fois ce serait moi le dominant, et c'était une grande première : avec Katherine, c'était toujours elle qui menait la danse, mais là, avec Noémie ce serait différent. Sur de moi, j'enlevai mon t-shirt, avant d'enlever le débardeur de Noémie et de lui embrasser son ventre plat, puis je lui enlevai son pantalon, embraissai ses jambes, avant de lui enlever ses sous vêtements. Elle était nue devant moi, j'entrepris de lui faire un cuni, ce qui déclencha chez elle des frissons de plaisir, bientôt suivis par des gémissements. C'était la première fois que je faisais un cuni à une fille (Katherine n'aimait pas ça), et je dois dire que j'adorais ça : elle était à ma merci, vibrait sous mes coups de langue, j'étais maître de son plaisir. S'ajoutait à cela ma fierté de la voir se tordre de plaisir sour mes coups de langue. Après lui avoir fait du bien ainsi, je quittai mon pantalon et mon caleçon, et pénétrai Noémie d'un coup sec, m'enfonçant en elle sans aucune difficuté tant elle était humide. J'entrepris alors des vas et viens en missionaire, d'abord lentement puis de plus en plus vite, en m'enfonçant de plus en plus profondément en elle. Des frissons de plaisir me parcouraient le corps, tandis qu'elle gémissait de plus en plus fort, ses ongles me griffant le dos tant son plaisir était immense. Au bout d'un moment, lassé qu'elle me lacère le dos ainsi (même si c'était assez flatteur, ça faisait mal), je lui attrapai les mains et l'imobilisai afin qu'elle se tienne tranquille pendant que la baisai, ce qui augmenta encore mon sentiment de domination. Après l'avoir bien baisée sur le lit, je décidai soudain de changer, et la soulevai et l'emportai sur le bureau de ma chambre pour y continuer de la baiser. C'était très plaisant : moi debout, la labourant littéralement, tandis qu'elle était alongée, offerte à moi sur le bureau, totalement soumise. Après le bureau, c'est contre le placard que la plaquai pour continuer à la baiser tout en la portant. Je la baisai si fort, que le placard en tremblait, j'eus même peur de le faire tomber. Noémie pendant ce temps s'accrochait à moi, subissait mes coups de rein dévastateurs, hurlait de plaisir à s'en casser la voix. Quant à moi, je prenais un sacré pied : j'étais entrain de baiser une magnifique jeune fille, coincée entre moi et le placard, je dominais et c'était nouveau pour moi. Au bout de quelques minutes elle eut un orgamse. Je la lachai alors, et elle me dit
"T'arrête pas s'il te plaît ! Baise moi encore !"
"T'inquiète j'en ai pas fini avec toi, mais suce moi d'abord."
Elle s'éxécuta docile, se mit à genoux, prit mon sexe entre ses mains et le lécha avant de l'enfourner et d'entreprendre des vas et viens. Elle était vraiment experte en felleation, chacun de ses coups de langue, ou de ses vas et vients provoquaient chez moi des décharges de plaisir. Pendant qu'elle me pompait, j'étais très vulnérable, et elle en profita pour retourner la situation à son avantage : elle se releva, me jeta sur le lit, et me chevaucha en position d'andromaque. Je me laissai faire, content de la voir prendre un peu d'assurance, mais néanmoins bien décidé à ne pas lui laisser le contrôle très longtemps et à reprendre le dessus tôt ou tard. De plus, je devais bien reconnaître que la situation était agréable : les sensations qu'elle me procuraient étaient très bonnes, et j'avais une belle vue sur le corps parfait de Noémie, tandis qu'elle se déanchait sur moi. Néanmoins, j'étais un peu lassé de cette position : je la pratiquais toujours avec Katherine, et il fallait bien reconnaître que Noémie n'était pas aussi experte que Katherine qui me menait toujours au bord l'inconscience quand elle me chevauchait ainsi. Bref, malgré le plaisir que me procurait Noémie en position d'Andromaque, je ne tardai pas à la renverser : je me redressai, lui embraissai les seins, et avant qu'elle n'ait eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait, je repris le dessus et la plaquai sur le matelas. Puis, je la retournai, et entrepris de la prendre en levrette, prenant ainsi ma revanche. Je la tenais par les hanches, et donnais des coups de reins de plus en plus rapides, la pénétrant de plus en plus loin, tandis qu'elle gémissait en subissant mes coups de reins. C'était la première fois que je pratiquais cette position, et je l'adorais : le plaisir était immense, tant la pénétration était profonde, de plus j'étais plus que jamais maître de la situation. Un quart d'heure passa ainsi, et je continuais de la limer, faisaint de gros efforts pour ne pas pas jouir, tandis que Noémie, elle eut deux orgasmes au cour de ce seul quart d'heure. Elle ne fit rien pour reprendre le dessus, semblant accepter les rôles : elle soumise et moi dominant. Au bout d'un moment, je la retournai, et décidai de la finir en position d'enclume : je la pénétrai en missionaire, mais lui mis les jambes sur mes épaules, ce qui me permettait une pénétration plus profonde. Dans cette position je ne tins pas très longtemps et finis par exploser en elle.
Une demi heure plus tard, Noémie rentra chez elle, heureuse. Elle n'avait peut être pas beaucoup révisé, mais elle n'en n'était pas moins comblée. Quant à moi, j'étais ravi de cette expérience, et atrtendais avec impatience ma prochaine aventure, car j'étais bien décidé à ne pas attendre le retour de Katherine pour baiser...
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