Nouvelle entrevue chez le directeur
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvelle entrevue chez le directeur
/!\ Cette histoire fait suite à « Entrevue chez le directeur »
Charlotte fût convoquée à nouveau chez le directeur la semaine suivant son premier rendez-vous. Elle avait eu du mal à trouver la bonne tenue. Elle voulait être sexy, mais rester raisonnable car elle était tout de même sur son lieu de travail. Elle décida de miser sur de la lingerie très sexy et plutôt conventionnel par dessus, jupe noire mi-longue et chemisier blanc qu’elle pourrait déboutonner selon les envies.
Elle se présenta dans le bureau d’Emilie, la secrétaire de direction, qui la regarda, derrière ses grandes lunettes, avec un drôle d’air. Cette dernière savait pourquoi Charlotte venait. Lors de sa dernière visite, elle avait entendu des gémissements et autres bruits qui ne laissaient aucun doute sur ce qu’il se passait dans le bureau. Elle avait ressentit une grande excitation à écouter le plaisir distillé dans la pièce voisine aussi avait-elle glissé sa main dans sa culotte pour se masturber et atteindre un orgasme qui la soulagea un peu.
Charlotte suivit la secrétaire qui ouvrit la porte du bureau du directeur. La jeune comptable fit sauter deux boutons de son chemisier ce qui dévoila largement belle poitrine magnifiquement mise en valeur par son soutient-gorge corbeille.
- M. Georgelin, Mme Marty est arrivée annonça Emilie.
- Bonjour Mme Marty, c’est un plaisir de vous revoir, avoua-t-il avec un sourire charmeur. Merci Emilie.
« Tu m’étonnes ! » pensa cette dernière en se dirigeant vers la sortie.
- Emilie ! Attendez ! Vous pourriez peut-être vous joindre à nous, proposa le directeur qui avait remarqué le trouble qu’avait causé chez elle la dernière visite de Charlotte.
- Je ne sais pas Monsieur… mentit-elle.
- Ne vous faites pas prier, je suis sûr que vous en mourrez d’envie.
Elle ne répondit rien et vint se replacer à côté de Charlotte, sentant un souffle d’excitation parcourir tout son corps.
Le DRH, M. Loret, était également présent, affalé dans le canapé, dans le dos des deux jeunes femmes, et avait gardé le silence, comme à son habitude.
- Mesdames, veuillez vous accoudez sur mon bureau ordonna le directeur.
Les deux jeunes femmes obéirent sans rien dire, tandis que M. Georgelin allait rejoindre son DRH dans le canapé.
De là, ils avaient une vue magnifique. Ainsi penchée, la jupe assez courte d’Emilie était remontée jusqu’au milieu de ses fesses. Les deux hommes pouvaient ainsi admirer son string rose surgir de son joli postérieur pour envelopper une appétissante vulve bien charnue. Ses jambes étaient fines et semblaient interminables, rehaussées par des escarpins aux talons assez hauts.
La jupe de Charlotte n’était pas si courte et ne remontait donc pas assez haut pour dévoiler son sous-vêtement. Elle se retroussa cependant suffisamment pour laisser entrevoir la dentelle blanche de ses bas auto fixant, qui rendaient ses jambes légèrement brillantes. La température était clémente en ce milieu de printemps, mais Charlotte avait pensé que M Georgelin apprécierait cette attention.
Les deux homme sortirent leur chibre et commencèrent à se masturber, très excités par le spectacle offert. Lorsqu’elle les entendit se branler, Emilie sentit sa chatte s’humidifier très vite, émoustillée par l’effet qu’elle leur faisait. Elle se tourna vers la jeune comptable qui semblait apprécier la situation autant qu’elle.
Les deux dirigeants vinrent se placer derrière chacune des femmes et relevèrent complètement leur jupe. Charlotte portait un string vert, mêlé de dentelle et de satin et arborant de jolis motifs floraux, qui mettait en valeur un beau postérieur.
- Toutes les deux, vous n’avait pas été de bonnes employées cette semaine, cela mérite une correction, n’est-ce pas M. Loret ?
Le DRH acquiesça et tous les deux commencèrent à claquer les fesses des deux jeunes femmes qui rapidement devinrent rouge. Charlotte sentait son intimité devenir très humide sous les fessées qui se répétaient.
Les hommes se dévêtirent et se placèrent à genoux derrière les jeunes femmes et firent glisser doucement leur string pour dévoiler tout doucement un abricot très appétissante. Le DRH commença à lécher la chatte d’Emilie qui se mît à exprimer de petits gémissements sous les coups de langues adroits. Le directeur, quant à lui, inspirait fort, le nez très proche de la chatte de Charlotte pour en saisir toutes les délicieuses odeurs provoquées par son plaisir. Cette dernière savoura de percevoir le souffle de cet homme sur son sexe. Quand il décida de la frôler, la jeune femme laissa échapper un gémissement de soulagement. Elle s’impatientait de sentir des doigts, une bouche, une langue frôler sa vulve pour lui donner le plaisir qu’elle attendant. Les léchages, les caresses sur leurs lèvres, leur clitoris se prolongea un bon moment avant qu’ils ne décident d’introduire quelques doigts dans leurs vagin, pour le plus grand plaisirs des deux femmes.
A présent debout, les deux hommes introduire leur hampe de chair dans la chatte des deux jeunes femmes. S’agrippant aux hanches de leur partenaire, les coups de reins étaient tout de suite puissants. Emilie et Charlotte avançaient de plusieurs centimètres à chaque pénétration qu’elles recevaient de leur mâle respectif. Elle se regardaient mutuellement et trouvaient beau le visage satisfait de l’autre. Charlotte fixait les lèvres pulpeuses de sa collègue et avait envie de les embrasser. Leur respiration devenait saccadée, un plaisir grandissant ne cessant de les étreindre.
- Tu aimes te faire labourer la chatte ? demanda d’un air dominant M. Loret à Emilie.
- Oui, Monsieur, c’est bon.
- Tu aimes que ma grosse queue te défonce la chatte ? ajouta-t-il
- Oui, Monsieur, j’adore avoir votre grosse queue dans ma chatte.
- Et toi, ma petite comptable préférée, tu aimes aussi te faire pilonner la chatte ? demanda le directeur à Charlotte
- Oui, Monsieur, j’aime sentir votre queue au fond de ma chatte.
M. Loret cracha sur l’anus d’Emilie et lui caressa le petit trou avant d’y introduire son pouce. Jugeant l’idée bonne, M. Georgelin fit de même.
Les deux jeunes femmes gémissaient, ayant le souffle court, en savourant ce membre qui s’introduisait puissamment au fond d’elle avec ce pouce qui s’insérait en rythme dans leur cul.
- Caressez-vous le clitoris, ordonna le directeur.
Emilie et Charlotte firent glisser leur main entre les jambes et entreprirent de jouer avec leur petit bouton. Autant stimulée, l’orgasme ne fût pas long à venir pour Charlotte qui haletait sous l’explosion de plaisir qu’elle ressentait.
Les deux hommes se retirèrent et le directeur ordonna :
- Relevez-vous et déshabillez vous.
Les deux femmes obéirent et retirèrent lentement leurs vêtements, en se délectant de ces hommes nus qui masturbait leur membre tendu devant elles. Elles se retrouvèrent en lingerie et bien que M. Georgelin savourait de les voir avec une si belle tenue il leur demanda de tout enlever. Une fois nues, le directeur leur proposa :
- Embrassez-vous, caressez-vous.
Emilie et Charlotte se firent fasse et c’est cette dernière qui posa ses lèvres sur celles de sa partenaire avec une grande envie qu’elle pouvait enfin soulager. La secrétaire lui rendit son baiser avec beaucoup de désir. Leurs mains brûlantes se baladèrent sur tout leur corps, frôlant leur peau d’une douceur de satin. Leur doigts avides s’attardèrent sur leurs seins et leurs tétons qu’ils pétrirent avec passion. Alternativement, elles se penchaient pour les lécher, les mordiller, les aspirer. Les mains s’aventurèrent ensuite entre leurs jambes, chacune poussant un profond soupir quand elle sentit sa partenaire s’égarer sur son clitoris, frôler ses lèvres et s’introduire en elle avec beaucoup de douceur. Les caresses étaient délicates et opportunes, l’une sachant ce que l’autre aimait.
Charlotte ressortit ses doigts humides de la mouille de sa collègue pour les lécher puis regarda d’un coin de l’œil les deux hommes se branler et savoura grandement l’effet qu’elle produisait sur eux.
Emilie alla s’asseoir sur le bord du bureau et y posa un pied en écartant les jambes pour exposer son intimité. Elle dévoila une chatte toute gonflée de plaisir, gorgée de jus. Charlotte vint se mettre à genoux devant elle et commença à s’en délecter avec avidité, se régalant du goût délicieux de son antre. Emilie se délecta de chaque délicieuse caresse que lui prodiguait le cunnilingus de sa collègue, la trouvant très adroite pour lui donner du plaisir. Charlotte rentrait et sortait la langue de sa bouche pour insérer la pointe de celle-ci dans sa chatte. Elle remontât le long de sa fente et joua avec son clitoris tout en frôlant le doux duvet noir de son pubis.
- Bouffe-moi le clito, ordonna la secrétaire entre deux respiration saccadée.
La comptable se mit à aspirer le clitoris tandis qu’Emilie vint plaquer sa main sur la tête de sa partenaire pour l’’encourager à continuer. Rapidement, l’orgasme jaillit, Charlotte sentant le corps de la secrétaire trembler, qui entre deux gémissements répétait « Hoooo, ouuiii, putain c’est bon ». Jamais elle n’aurait crut qu’une femme puisse lui donner autant de plaisir, et se promit de recommencer.
Les deux hommes qui se masturbaient toujours en se délectant du spectacle firent signe aux deux femmes d’approcher pour leur faire une fellation.
Charlotte et Emilie prirent en bouche avec plaisir le membre qui se présentait à elle. Elles léchèrent le gland et avec leur pouce et leur index formaient un anneau qu’elles montaient et descendaient sur la verge. Elles embrassèrent la hampe de chair sur toute sa longueur, leur langue s’enroulant autour du membre, et enfoncèrent la queue au plus profond de leur gorge. Elles s’appliquèrent aussi à caresser les couilles en remontant jusqu’aux fesses de ces mâles qui se délectaient de ces attentions.
Charlotte sentit le DRH se tendre aussi remit-elle tout de suite la queue dans sa bouche pour recevoir tout le sperme sur la langue savourer le plaisir qu’elle venait de provoquer.
Le directeur ne fût pas long à suivre. Emilie préférait le voir jouir, aussi se recula-t-elle un peu et branla le membre pour le faire éjaculer sur ses beaux seins, ce qui se produisit assez vite. La jeune femme admira le sperme être expulsé de cette queue grâce à ses caresses et s’écouler sur ses seins. Avec gourmandise, Charlotte vint lécher les gouttes de foutre qui se trouvaient près des tétons et en profita pour les mordiller. Emilie fermait les yeux d’extase.
Alors que les lèvres des deux jeunes femmes se trouvèrent pour se dévorer goulûment, le directeur et le DRH se masturbaient pour retrouver un peu de vigueur.
Emilie alla s’allonger sur le bord du canapé tandis que Charlotte vint se mettre à quatre pattes au dessus d’elle. Elles offraient ainsi leur chatte l’une au dessus de l’autre. Le directeur fut le premier à se présenter. Il s’introduisit dans Emilie et commença des aller-retour. Le DRH vint placer sa queue devant le visage de Charlotte. Ayant les mains posées sur le dossier canapé pour se tenir, elle ne pouvait user que de sa bouche pour satisfaire son partenaire, ce qu’elle fît avec beaucoup d’application. M. Georgelin passa à la chatte de Charlotte. Les gémissements de plaisir qu’elle poussait alors étaient étouffés par le chibre qu’elle avait en bouche. Le directeur redescendit vers Emilie pour la baiser. Il changea assez souvent de position pour satisfaire alternativement sa secrétaire et sa comptable.
M. Georgelin et M. Loret échangèrent de place. Comme son directeur, il échangeait régulièrement de partenaire, en s’attardant un peu plus dans la comptable, pour le plus grand bonheur de cette dernière.
- As-tu déjà été prises par deux queues ? demanda Charlotte à Emilie.
- Non ! rétorqua la jeune secrétaire visiblement curieuse.
- Tu devrais essayer, c’est divin.
Charlotte se releva et dit :
- Messieurs, Emilie est tout à vous, baisez-là comme elle le mérite.
Pour satisfaire cette offre, la secrétaire se releva pour se mettre à califourchon sur le directeur. M. Loret, adepte de la sodomie, vint se placer au dessus de la jeune femme. Il appuya son gland doucement sur la rondelle un peu lubrifiée de la jeune femme et s’introduisit tout doucement en elle. Elle fit quelques grimaces de gêne mais ne se plaignit pas. Le DRH s’enfonçait de plus en plus profond en faisant de courts va-et-vient. Quand il fût entièrement dans son cul, il entama de plus amples mouvements de reins, imité par le directeur. De belles sensations s’emparèrent du ventre d’Emilie qui se délectait de ces deux queues qui la besognait en rythme.
Charlotte vint s’asseoir sur le dossier du canapé, face au visage de la secrétaire et écarta les jambes pour l’inviter à la lécher, ce qu’elle essaya de faire tant bien que mal, un peu déstabilisée par le ramonage qu’elle subissait dans ses deux orifices.
Cinq minutes de ce traitement suffirent pour la faire jouir. Elle poussa des gémissements, haletait, suffoquait. Emilie avait le sentiment de perdre le contrôle de son corps, que ce dernier flottait, emporté par les puissantes vagues de plaisir.
Le DRH sortit du cul de la jeune femme et fît signe à Charlotte d’approcher, sachant ce qu’elle aimait. La comptable approcha, fît se relever Emilie sur ses jambes flageolantes. Charlotte plaça sa tête entre les jambes de la jeune femme, et positionna sa bouche devant sa vulve, langue tendue.
M. Loret se masturba un peu plus fort et laissa échapper plusieurs jets de sperme qui tombèrent sur l’anus d’Emilie et coula le long de sa raie. Le liquide continua son chemin, coulant sur le clitoris puis les lèvres et perla sur la langue de Charlotte. Quand sa langue fût presque toute recouverte de sperme elle l’avala.
- Tu es vraiment une sacrée gourmande ! S’étonna M. Loret avec satisfaction.
Charlotte se dit qu’il avait raison. La Charlotte d’y il y a 2 semaines n’aurait jamais fait ça. Elle avait fortement repoussé ses limites en matière de sexe et aimait ça.
- Je vais te faire découvrir un autre plaisir, dit la comptable à l’attention d’Emilie.
Elle alla ramasser les deux strings qui traînaient au sol et les plaça dans sa main droite en mettant bien à plat le fond intérieur du sous-vêtement dans sa paume.
Elle s’approcha du directeur qui s’était aussi relevé et commença à le branler de sa main gauche en dirigeant son membre vers les strings.
- Je vais jouir ! avertit le directeur dans un râle de plaisir.
Charlotte rapprocha la queue des strings qu’elle positionna bien face au gland. Plusieurs jets de sperme s’en échappèrent, capturés par les bouts de tissus leur faisant face. Elle récolta une belle quantité de liquide sur les sous-vêtements. Elle mit enfin la queue dans sa bouche pour avaler les dernières gouttes de foutre qui s’en échappait.
Elle tendit son string à Emilie et enfila le sien savourant le contact du liquide encore chaud sur sa vulve. La jeune secrétaire fît de même, curieuse. Elle trouva plutôt agréable en effet de sentir sur son sexe le contact du sperme qu’elles avaient pu extraire de ces hommes.
Charlotte s’approcha d’elle et glissa sa main entre ses jambes pour caresser son sexe au travers du tissus. Emilie l’imita. Sous la pression des doigts, les strings devinrent trempés. Elles continuèrent un peu leur caresses, tandis que les hommes se rhabillaient. Les deux femmes observaient du coin de l’œil qu’ils avaient des difficultés et remettre leur membre revigoré par le spectacle dans leur pantalon.
- Mesdames, il faut cessait à présent, nous avons une réunion à 14h que nous ne pouvons reporter.
Emilie et Charlotte s’embrassèrent de plus belle, leur langue s’enroulant entre elles. Le temps semblait suspendu, l’une comme l’autre ne pouvant se soustraire aux caresses.
- Allons ! Mesdames ! Soyez raisonnables, s’impatienta le directeur.
Elles cessèrent enfin leur voluptueux effleurements et après avoir regardé les deux hommes contrits, se mirent à rire.
Rhabillée à leur tour, elles sortirent du bureau et se fixèrent avec un regard qui voulait dire « j’ai encore envie de toi ».
Charlotte fût convoquée à nouveau chez le directeur la semaine suivant son premier rendez-vous. Elle avait eu du mal à trouver la bonne tenue. Elle voulait être sexy, mais rester raisonnable car elle était tout de même sur son lieu de travail. Elle décida de miser sur de la lingerie très sexy et plutôt conventionnel par dessus, jupe noire mi-longue et chemisier blanc qu’elle pourrait déboutonner selon les envies.
Elle se présenta dans le bureau d’Emilie, la secrétaire de direction, qui la regarda, derrière ses grandes lunettes, avec un drôle d’air. Cette dernière savait pourquoi Charlotte venait. Lors de sa dernière visite, elle avait entendu des gémissements et autres bruits qui ne laissaient aucun doute sur ce qu’il se passait dans le bureau. Elle avait ressentit une grande excitation à écouter le plaisir distillé dans la pièce voisine aussi avait-elle glissé sa main dans sa culotte pour se masturber et atteindre un orgasme qui la soulagea un peu.
Charlotte suivit la secrétaire qui ouvrit la porte du bureau du directeur. La jeune comptable fit sauter deux boutons de son chemisier ce qui dévoila largement belle poitrine magnifiquement mise en valeur par son soutient-gorge corbeille.
- M. Georgelin, Mme Marty est arrivée annonça Emilie.
- Bonjour Mme Marty, c’est un plaisir de vous revoir, avoua-t-il avec un sourire charmeur. Merci Emilie.
« Tu m’étonnes ! » pensa cette dernière en se dirigeant vers la sortie.
- Emilie ! Attendez ! Vous pourriez peut-être vous joindre à nous, proposa le directeur qui avait remarqué le trouble qu’avait causé chez elle la dernière visite de Charlotte.
- Je ne sais pas Monsieur… mentit-elle.
- Ne vous faites pas prier, je suis sûr que vous en mourrez d’envie.
Elle ne répondit rien et vint se replacer à côté de Charlotte, sentant un souffle d’excitation parcourir tout son corps.
Le DRH, M. Loret, était également présent, affalé dans le canapé, dans le dos des deux jeunes femmes, et avait gardé le silence, comme à son habitude.
- Mesdames, veuillez vous accoudez sur mon bureau ordonna le directeur.
Les deux jeunes femmes obéirent sans rien dire, tandis que M. Georgelin allait rejoindre son DRH dans le canapé.
De là, ils avaient une vue magnifique. Ainsi penchée, la jupe assez courte d’Emilie était remontée jusqu’au milieu de ses fesses. Les deux hommes pouvaient ainsi admirer son string rose surgir de son joli postérieur pour envelopper une appétissante vulve bien charnue. Ses jambes étaient fines et semblaient interminables, rehaussées par des escarpins aux talons assez hauts.
La jupe de Charlotte n’était pas si courte et ne remontait donc pas assez haut pour dévoiler son sous-vêtement. Elle se retroussa cependant suffisamment pour laisser entrevoir la dentelle blanche de ses bas auto fixant, qui rendaient ses jambes légèrement brillantes. La température était clémente en ce milieu de printemps, mais Charlotte avait pensé que M Georgelin apprécierait cette attention.
Les deux homme sortirent leur chibre et commencèrent à se masturber, très excités par le spectacle offert. Lorsqu’elle les entendit se branler, Emilie sentit sa chatte s’humidifier très vite, émoustillée par l’effet qu’elle leur faisait. Elle se tourna vers la jeune comptable qui semblait apprécier la situation autant qu’elle.
Les deux dirigeants vinrent se placer derrière chacune des femmes et relevèrent complètement leur jupe. Charlotte portait un string vert, mêlé de dentelle et de satin et arborant de jolis motifs floraux, qui mettait en valeur un beau postérieur.
- Toutes les deux, vous n’avait pas été de bonnes employées cette semaine, cela mérite une correction, n’est-ce pas M. Loret ?
Le DRH acquiesça et tous les deux commencèrent à claquer les fesses des deux jeunes femmes qui rapidement devinrent rouge. Charlotte sentait son intimité devenir très humide sous les fessées qui se répétaient.
Les hommes se dévêtirent et se placèrent à genoux derrière les jeunes femmes et firent glisser doucement leur string pour dévoiler tout doucement un abricot très appétissante. Le DRH commença à lécher la chatte d’Emilie qui se mît à exprimer de petits gémissements sous les coups de langues adroits. Le directeur, quant à lui, inspirait fort, le nez très proche de la chatte de Charlotte pour en saisir toutes les délicieuses odeurs provoquées par son plaisir. Cette dernière savoura de percevoir le souffle de cet homme sur son sexe. Quand il décida de la frôler, la jeune femme laissa échapper un gémissement de soulagement. Elle s’impatientait de sentir des doigts, une bouche, une langue frôler sa vulve pour lui donner le plaisir qu’elle attendant. Les léchages, les caresses sur leurs lèvres, leur clitoris se prolongea un bon moment avant qu’ils ne décident d’introduire quelques doigts dans leurs vagin, pour le plus grand plaisirs des deux femmes.
A présent debout, les deux hommes introduire leur hampe de chair dans la chatte des deux jeunes femmes. S’agrippant aux hanches de leur partenaire, les coups de reins étaient tout de suite puissants. Emilie et Charlotte avançaient de plusieurs centimètres à chaque pénétration qu’elles recevaient de leur mâle respectif. Elle se regardaient mutuellement et trouvaient beau le visage satisfait de l’autre. Charlotte fixait les lèvres pulpeuses de sa collègue et avait envie de les embrasser. Leur respiration devenait saccadée, un plaisir grandissant ne cessant de les étreindre.
- Tu aimes te faire labourer la chatte ? demanda d’un air dominant M. Loret à Emilie.
- Oui, Monsieur, c’est bon.
- Tu aimes que ma grosse queue te défonce la chatte ? ajouta-t-il
- Oui, Monsieur, j’adore avoir votre grosse queue dans ma chatte.
- Et toi, ma petite comptable préférée, tu aimes aussi te faire pilonner la chatte ? demanda le directeur à Charlotte
- Oui, Monsieur, j’aime sentir votre queue au fond de ma chatte.
M. Loret cracha sur l’anus d’Emilie et lui caressa le petit trou avant d’y introduire son pouce. Jugeant l’idée bonne, M. Georgelin fit de même.
Les deux jeunes femmes gémissaient, ayant le souffle court, en savourant ce membre qui s’introduisait puissamment au fond d’elle avec ce pouce qui s’insérait en rythme dans leur cul.
- Caressez-vous le clitoris, ordonna le directeur.
Emilie et Charlotte firent glisser leur main entre les jambes et entreprirent de jouer avec leur petit bouton. Autant stimulée, l’orgasme ne fût pas long à venir pour Charlotte qui haletait sous l’explosion de plaisir qu’elle ressentait.
Les deux hommes se retirèrent et le directeur ordonna :
- Relevez-vous et déshabillez vous.
Les deux femmes obéirent et retirèrent lentement leurs vêtements, en se délectant de ces hommes nus qui masturbait leur membre tendu devant elles. Elles se retrouvèrent en lingerie et bien que M. Georgelin savourait de les voir avec une si belle tenue il leur demanda de tout enlever. Une fois nues, le directeur leur proposa :
- Embrassez-vous, caressez-vous.
Emilie et Charlotte se firent fasse et c’est cette dernière qui posa ses lèvres sur celles de sa partenaire avec une grande envie qu’elle pouvait enfin soulager. La secrétaire lui rendit son baiser avec beaucoup de désir. Leurs mains brûlantes se baladèrent sur tout leur corps, frôlant leur peau d’une douceur de satin. Leur doigts avides s’attardèrent sur leurs seins et leurs tétons qu’ils pétrirent avec passion. Alternativement, elles se penchaient pour les lécher, les mordiller, les aspirer. Les mains s’aventurèrent ensuite entre leurs jambes, chacune poussant un profond soupir quand elle sentit sa partenaire s’égarer sur son clitoris, frôler ses lèvres et s’introduire en elle avec beaucoup de douceur. Les caresses étaient délicates et opportunes, l’une sachant ce que l’autre aimait.
Charlotte ressortit ses doigts humides de la mouille de sa collègue pour les lécher puis regarda d’un coin de l’œil les deux hommes se branler et savoura grandement l’effet qu’elle produisait sur eux.
Emilie alla s’asseoir sur le bord du bureau et y posa un pied en écartant les jambes pour exposer son intimité. Elle dévoila une chatte toute gonflée de plaisir, gorgée de jus. Charlotte vint se mettre à genoux devant elle et commença à s’en délecter avec avidité, se régalant du goût délicieux de son antre. Emilie se délecta de chaque délicieuse caresse que lui prodiguait le cunnilingus de sa collègue, la trouvant très adroite pour lui donner du plaisir. Charlotte rentrait et sortait la langue de sa bouche pour insérer la pointe de celle-ci dans sa chatte. Elle remontât le long de sa fente et joua avec son clitoris tout en frôlant le doux duvet noir de son pubis.
- Bouffe-moi le clito, ordonna la secrétaire entre deux respiration saccadée.
La comptable se mit à aspirer le clitoris tandis qu’Emilie vint plaquer sa main sur la tête de sa partenaire pour l’’encourager à continuer. Rapidement, l’orgasme jaillit, Charlotte sentant le corps de la secrétaire trembler, qui entre deux gémissements répétait « Hoooo, ouuiii, putain c’est bon ». Jamais elle n’aurait crut qu’une femme puisse lui donner autant de plaisir, et se promit de recommencer.
Les deux hommes qui se masturbaient toujours en se délectant du spectacle firent signe aux deux femmes d’approcher pour leur faire une fellation.
Charlotte et Emilie prirent en bouche avec plaisir le membre qui se présentait à elle. Elles léchèrent le gland et avec leur pouce et leur index formaient un anneau qu’elles montaient et descendaient sur la verge. Elles embrassèrent la hampe de chair sur toute sa longueur, leur langue s’enroulant autour du membre, et enfoncèrent la queue au plus profond de leur gorge. Elles s’appliquèrent aussi à caresser les couilles en remontant jusqu’aux fesses de ces mâles qui se délectaient de ces attentions.
Charlotte sentit le DRH se tendre aussi remit-elle tout de suite la queue dans sa bouche pour recevoir tout le sperme sur la langue savourer le plaisir qu’elle venait de provoquer.
Le directeur ne fût pas long à suivre. Emilie préférait le voir jouir, aussi se recula-t-elle un peu et branla le membre pour le faire éjaculer sur ses beaux seins, ce qui se produisit assez vite. La jeune femme admira le sperme être expulsé de cette queue grâce à ses caresses et s’écouler sur ses seins. Avec gourmandise, Charlotte vint lécher les gouttes de foutre qui se trouvaient près des tétons et en profita pour les mordiller. Emilie fermait les yeux d’extase.
Alors que les lèvres des deux jeunes femmes se trouvèrent pour se dévorer goulûment, le directeur et le DRH se masturbaient pour retrouver un peu de vigueur.
Emilie alla s’allonger sur le bord du canapé tandis que Charlotte vint se mettre à quatre pattes au dessus d’elle. Elles offraient ainsi leur chatte l’une au dessus de l’autre. Le directeur fut le premier à se présenter. Il s’introduisit dans Emilie et commença des aller-retour. Le DRH vint placer sa queue devant le visage de Charlotte. Ayant les mains posées sur le dossier canapé pour se tenir, elle ne pouvait user que de sa bouche pour satisfaire son partenaire, ce qu’elle fît avec beaucoup d’application. M. Georgelin passa à la chatte de Charlotte. Les gémissements de plaisir qu’elle poussait alors étaient étouffés par le chibre qu’elle avait en bouche. Le directeur redescendit vers Emilie pour la baiser. Il changea assez souvent de position pour satisfaire alternativement sa secrétaire et sa comptable.
M. Georgelin et M. Loret échangèrent de place. Comme son directeur, il échangeait régulièrement de partenaire, en s’attardant un peu plus dans la comptable, pour le plus grand bonheur de cette dernière.
- As-tu déjà été prises par deux queues ? demanda Charlotte à Emilie.
- Non ! rétorqua la jeune secrétaire visiblement curieuse.
- Tu devrais essayer, c’est divin.
Charlotte se releva et dit :
- Messieurs, Emilie est tout à vous, baisez-là comme elle le mérite.
Pour satisfaire cette offre, la secrétaire se releva pour se mettre à califourchon sur le directeur. M. Loret, adepte de la sodomie, vint se placer au dessus de la jeune femme. Il appuya son gland doucement sur la rondelle un peu lubrifiée de la jeune femme et s’introduisit tout doucement en elle. Elle fit quelques grimaces de gêne mais ne se plaignit pas. Le DRH s’enfonçait de plus en plus profond en faisant de courts va-et-vient. Quand il fût entièrement dans son cul, il entama de plus amples mouvements de reins, imité par le directeur. De belles sensations s’emparèrent du ventre d’Emilie qui se délectait de ces deux queues qui la besognait en rythme.
Charlotte vint s’asseoir sur le dossier du canapé, face au visage de la secrétaire et écarta les jambes pour l’inviter à la lécher, ce qu’elle essaya de faire tant bien que mal, un peu déstabilisée par le ramonage qu’elle subissait dans ses deux orifices.
Cinq minutes de ce traitement suffirent pour la faire jouir. Elle poussa des gémissements, haletait, suffoquait. Emilie avait le sentiment de perdre le contrôle de son corps, que ce dernier flottait, emporté par les puissantes vagues de plaisir.
Le DRH sortit du cul de la jeune femme et fît signe à Charlotte d’approcher, sachant ce qu’elle aimait. La comptable approcha, fît se relever Emilie sur ses jambes flageolantes. Charlotte plaça sa tête entre les jambes de la jeune femme, et positionna sa bouche devant sa vulve, langue tendue.
M. Loret se masturba un peu plus fort et laissa échapper plusieurs jets de sperme qui tombèrent sur l’anus d’Emilie et coula le long de sa raie. Le liquide continua son chemin, coulant sur le clitoris puis les lèvres et perla sur la langue de Charlotte. Quand sa langue fût presque toute recouverte de sperme elle l’avala.
- Tu es vraiment une sacrée gourmande ! S’étonna M. Loret avec satisfaction.
Charlotte se dit qu’il avait raison. La Charlotte d’y il y a 2 semaines n’aurait jamais fait ça. Elle avait fortement repoussé ses limites en matière de sexe et aimait ça.
- Je vais te faire découvrir un autre plaisir, dit la comptable à l’attention d’Emilie.
Elle alla ramasser les deux strings qui traînaient au sol et les plaça dans sa main droite en mettant bien à plat le fond intérieur du sous-vêtement dans sa paume.
Elle s’approcha du directeur qui s’était aussi relevé et commença à le branler de sa main gauche en dirigeant son membre vers les strings.
- Je vais jouir ! avertit le directeur dans un râle de plaisir.
Charlotte rapprocha la queue des strings qu’elle positionna bien face au gland. Plusieurs jets de sperme s’en échappèrent, capturés par les bouts de tissus leur faisant face. Elle récolta une belle quantité de liquide sur les sous-vêtements. Elle mit enfin la queue dans sa bouche pour avaler les dernières gouttes de foutre qui s’en échappait.
Elle tendit son string à Emilie et enfila le sien savourant le contact du liquide encore chaud sur sa vulve. La jeune secrétaire fît de même, curieuse. Elle trouva plutôt agréable en effet de sentir sur son sexe le contact du sperme qu’elles avaient pu extraire de ces hommes.
Charlotte s’approcha d’elle et glissa sa main entre ses jambes pour caresser son sexe au travers du tissus. Emilie l’imita. Sous la pression des doigts, les strings devinrent trempés. Elles continuèrent un peu leur caresses, tandis que les hommes se rhabillaient. Les deux femmes observaient du coin de l’œil qu’ils avaient des difficultés et remettre leur membre revigoré par le spectacle dans leur pantalon.
- Mesdames, il faut cessait à présent, nous avons une réunion à 14h que nous ne pouvons reporter.
Emilie et Charlotte s’embrassèrent de plus belle, leur langue s’enroulant entre elles. Le temps semblait suspendu, l’une comme l’autre ne pouvant se soustraire aux caresses.
- Allons ! Mesdames ! Soyez raisonnables, s’impatienta le directeur.
Elles cessèrent enfin leur voluptueux effleurements et après avoir regardé les deux hommes contrits, se mirent à rire.
Rhabillée à leur tour, elles sortirent du bureau et se fixèrent avec un regard qui voulait dire « j’ai encore envie de toi ».
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hummmm j'aurais bien envie de me faire convoquer chez le directeur....
tres bonne histoire
Superbe et excitante histoire !!!
Le sexe au boulot...
Lolo
Le sexe au boulot...
Lolo
J'aurais bien aimé être Charlotte ou Emilie surtout au moment où le directeur leur ordonne de s'embrasser et se caresser, c'est tellement bon les câlins et bisous entre filles
Bonjour, superbe histoire et vivement la suite.merci
superbe