Ô belle demoiselle 3

- Par l'auteur HDS Mysterious1991 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ô belle demoiselle 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ô belle demoiselle 3
Je me suis allongé alors sur elle de nouveau, mais cette fois, je me suis remis voyager et à explorer son corps, dans les moindres détails. A chaque escale de mon périple sensuel et charnel, tantôt je donnais un petit baiser, tantôt je donnais un coup de langue. Ça, ça faisait Cécilia se tortiller parce qu'elle sentait le plaisir pointer le bout de son nez et prendre possession d'elle. Ça lui faisait donner de la voix.

– David ! Da… vid ! Je n'en peux plus de tes tortures. Lèche-moi ! Doigte-moi !

Je l'ai regardée bien droit dans les yeux, et je l'ai confrontée aux paroles qu'elle venait de prononcer. Elle se contenta de hocher la tête. C'était suffisant pour moi.

J'ai placé ma tête entre ses jambes… et c'est en lui retirant complètement sa robe légère que je me suis rendu compte qu'elle ne portait pas de culotte.

– Mmmh… Pas de culotte ? Intéressant… Tu es une petite vicieuse, tu le sais ?

Elle gloussa et rit de manière coquine/

– Ca te plaît que je sois ta petite salope à toi, aujourd'hui, beau gosse ?

– Mmmh… Oui...

– Je suis à toi, tout entière, alors...

Je lui ai écartée les jambes d'un mouvement sec de mes mains et je les ai maintenues ainsi. Son sexe était intégralement épilé et je n'y distinguais pas le moindre poil pubien. Son intimité était douce au toucher, et c'était agréable. Sur ce, je cédais aux sirènes du plaisir et je décidais d'y succomber aux côtés de Cécilia.

Mon visage enfoui dans son sexe, j’entrouvrais la bouche et je donnais un petit baiser sur son intimité. A l’œil nu, déjà, elle était humide. Mais… en bouche… c'était bien plus jouissif : les premiers coups de langue étaient juste… pfiou… Sa chatte avait un bon goût de chatte. Avec le plat de la langue, je donnais des coups lents mais sensuels. Avec mes doigts, j'écartais ses grandes lèvres afin d'avoir accès au cœur de son fruit mûr et gorgé de nectar féminin. Et en maintenant ses lèvres écartées, je laissais ma langue virevolter, butiner, papillonner sur son abricot.

Plus je la léchais, plus elle mouillait.

Plus je la léchais, plus elle soupirait et elle gémissait.

Plus je la léchais, plus elle se tortillait et elle refermait puis elle rouvrait ses cuisses.

De ces coups de langue lents mais sensuels, je suis passé à des coups plus rapides et plus vifs. Eux, ils étaient destinés à son petit clitoris qui osait à présent se montrer au grand jour. Son jus féminin était chaud. Doux. Capiteux. Il m'avait éveillé les papilles. Mon esprit était en ébullition. En perdition. Soudain, j'étais comme en pilotage automatique et il n'y avait plus que son clitoris et sa vulve qui comptaient pour moi. Il n'y avait plus que son plaisir qui avait de l'importance à mes yeux.

Ma langue s'agitait et se démenait pour lutiner sa porte du plaisir afin que ce cunni soit et reste agréable… et qu'elle en jouisse. De temps à autre, je relevais la tête et je levais les yeux vers elle.

– Tu es si belle, Cécilia… et si délicieuse...

– Et toi, David… C'est trop… bon...

Elle tendit une main vers ma tête et elle se mit à me caresser les cheveux.

– «Tu me fais tourner… la tête… Mon manège à moi… c'est toi.»

J'ai gloussé, à mon tour, parce que ce classique de Édith Piaf et joliment remis au goût du jour par Étienne Daho était l'une de mes chansons préférées. Non… Ce n'était pas possible… Ça ne pouvait être qu'une coïncidence… Il ne pouvait pas en être autrement.

– Mets-moi un doigt, David ! Non ! Deux ! S'il te plaît...

Sur ces mots, cette brunette, gourmande, s'est emparée de mon bras gauche, et, un peu comme une marionnettiste, elle le dirigea d'une main de maître, avec empressement, vers sa vulve. Une fois parvenus aux rivages de sa féminité, à l'estuaire de son plaisir, à l'embouchure de sa jouissance, nous nous sommes regardés. Je l'ai vue hocher la tête. Je me suis noyé dans ses yeux suppliants.

– David…

– Je sais ce que tu veux, Cécilia…

– Fais de moi ta petite salope… S'il te plaît…

– Puissent tes désirs être exaucés, alors…

Un doigt dans sa chatte. Un pouce qui dessinait des petits cercles sur son clito. Elle ruisselait. Sa mouille lui coulait entre les cuisses. Ma langue butinait. Mes lèvres l'honoraient…

– «Faudrait prendre une chambre avec vue… sur l'Amour...»

Et elle citait aussi bien Piaf et Daho que Zazie ! Mais ! Une musicienne érotomane, cette Cécilia, moi je vous le dis !

– «Belle demoiselle...»

Christophe Maé ! Sortez de mon corps !

– «Ta belle demoiselle...»

On se répondait du tac au tac. On s'échangeait désir pour désir, plaisir pour plaisir. C'était donnant-donnant entre nous. Et c'était chaud, très chaud. C'était palpable. C'était électrique.

Je m'appliquais à lui donner ce cunni. Petits coups de langue… Coups plus rapides… Je prenais sa peau entre mes lèvres et je la suçais. Et voilà que j'introduisais et que j'enfonçais doucement un deuxième doigt dans son antre vaginale. Je la doigtais, et je la léchais, simultanément. C'était le cocktail que j'aimais donner à mes partenaires. Et là… Cécilia ne faisait pas figure d'exception.

– David… David… C'est trop bon… O… mon… dieu ! Pu… tain ! N'arrêtes surtout pas ! Je t'en supplie !

– Les petites salopes comme toi méritent de jouir…

Elle gloussa, puis elle gémit.

– Oh oui ! S'il te plaît ! Fais-moi jouir !

Elle n'avait pas besoin de me le dire une deuxième fois.

– Tu es perdue, bébé. Abandonne-toi… Jouis pour moi...

– Da… vid ! Pu… TAIN !

Ses chairs se sont resserrées sur mes doigts. Cécilia n'était plus que plaisir et jouissance. Orgasme. Une forme d'électricité s'est emparée d'elle. Elle venaut de jouir, et pourtant, son orgasme semblait se prolonger. De brèves mais intenses décharges électriques faisaient convulser son corps. Mais, ce qui me surprit au plus haut point, c'était le fait qu'elle sanglotait et qu'elle pleurait. Là encore, Cécilia était la première fille avec qui je baisais… et qui pleurait juste après avoir eu un orgasme.

– T'inquiètes pas, David… Je pleure mais je suis heureuse. Je me sens si bien avec toi. Et quand c'est intense et que je jouis comme ça, ça me fait pleurer.

Ce qu'elle disait, c'était comme si elle confessait ses péchés.

– Chut… chut… Tu as joui, et tu es belle quand tu jouis. Et… tu es belle même quand tu pleures, Cécilia.

– David… Toi ? Non… Tu penses sincèrement ce que tu me dis là ?

– Hmm… Hmm...

– Où étais-tu pendant toutes ces années, loin de moi ? Dis-moi...

– Je me pose la même question, ma belle… Toi, où étais-tu ?

– David… ?

– Hmm… Oui, Cécilia ?

– Embrasse-moi. S'il te plaît. Je veux te sentir tout contre moi…

– Tout ce que tu veux… Je veux te donner tout ce dont tu as envie, cet après-midi...

Mes doigts sur son menton, je lui ai fait relever la tête et je l'obligeais à me regarder. Puis ce fut à mon tour d'abaisser la tête et de rapprocher ma bouche de la sienne. Lentement. Au ralenti. Comme pour apprécier au maximum ce baiser à venir.

Nos lèvres se sont enfin touchées. Ça y était : nous nous embrassions. C'était tellement… bon. Ses lèvres au doux goût de vanille étaient décidément un plaisir à embrasser. Et j'aimais beaucoup embrasser cette petite coquine de Cécilia.

Allongé sur elle, je la dominais, façon de parler. Ma main sur sa joue, et mes lèvres sur les siennes… je lui offrais en cadeau tout le désir que j'avais en moi. C'était tout pour elle, aujourd'hui. Et ça, je faisais en sorte de le lui montrer pour qu'elle puisse le voir de ses propres yeux. C'étaient des petits baisers, du bout des lèvres, doux comme des plumes. Je m'appliquais à les lui donner, ces baisers. Il le fallait. Je voulais lui laisser un souvenir mémorable de moi, à jamais. Et pour cela, ça passait par de la douceur, par de la tendresse, de la délicatesse. Par des baisers et des caresses.

En parlant de baisers et de caresses… J'embrassais Cécilia autant que je le pouvais. Elle, elle avait passé son bras autour de mon cou. Elle s'accrochait à moi comme si elle ne voulait pas que je suspende mes baisers et que je ne m'en aille.

– David…

Soupir.

– Oui, Cécilia ?

– Pénètre-moi.

– Attends, miss. Je veux que tu sois prête à m'accueillir.

– Tu ne vois pas ? Tu ne sens pas ?

– Cécilia… Tu es chaude, et je le sais. Mais. Je veux le meilleur pour toi, tu comprends ça ?

– Tes mots me feraient jouir à eux seuls, David...

– Je te ferai jouir encore… Je te le promets.

– Donne-moi l'une de tes mains...

– Tiens… Elle est à toi.

Il s'agissait de ma main droite. La jolie brunette s'en empara et déposa ses lèvres sur le dos de la main. Ses lèvres sur ma peau...

– Tu es à moi, maintenant, joli garçon.

– A toi, bébé.

Elle me tenait toujours la main et la manipulait avec délicatesse. Avec le plat de la main, Cécilia me faisait caresser son corps et elle ne laissait AU-CUN endroit hors de mon contact: sa gorge… ses épaules… ses aisselles… ses tout petits seins… son nombril… ses côtes… son bas-ventre… jusqu'à son pubis où elle me fit lui donner quelques petites tapes délicates. On se regardait dans les yeux, et on se fixait. Les lèvres de Cécilia étaient entrouvertes. Tout en lui tapotant le pubis, je remarquais qu'elle haletait. Ses yeux, eux, ne me lâchaient pas. Ils me suppliaient… Ils me suppliaient de m'allonger de nouveau sur elle et de lui faire l'amour.

– Tu aimes ça, petite diablesse ?

Elle grimaça de plaisir, puis elle me répondit :

– Oui… Encore… Fais-le moi… encore...

– Tu aimes ça, hein ?

– Oui… Oui… J'aime ça !

– Hmmm...

Elle le fit bouger ma main sur les lèvres de son sexe éclos et la manipula comme si elle jouait d'un instrument à cordes avec ses doigts. Là, les cordes, c'étaient ses nymphes, et le musicien, c'était nous. Mes doigts étaient délicatement manipulés pour que les caresses restent agréables.

– David… Tu vois ? Tu sens maintenant ? Je suis prête à t'accueillir...

– Bien.

Elle relâcha son étreinte, et elle me laissait de nouveau les mains libres. J'avais mon érection bien en main. Elle était proéminente. Dure. Grosse. Je la fis frotter contre le sexe humide de Cécilia. Elle était chaude. Elle était mouillée.

Et je suis entré en elle. Mon sexe coulissait mais le sien l'absorbait et le faisait pénétrer avec plaisir. J'étais bien en elle. D'entrée, elle a porté sa main à son sexe et elle se caressait pendant que j'allais et que je venais en elle. C'était curieux mais c'était comme je l'avais imaginé au moment où je l'avais léchée et doigtée. J'allais et je venais en elle, je menais déjà un rythme de croisière régulier.

– David… David… David… C'est… bon… J'en étais sûre…

– Abandonne-toi, ma belle… Donne-toi entièrement à moi…

– Oh oui ! Je veux… Je veux !

– Ce n'est que pur délice d'être en toi…

– Da… vid ! Pu… tain ! Qu'elle est grosse… et bien… bonne, ta queue en moi !

– T'es bonne… Qu'est-ce que tu es bonne !

– La meilleure des petites salopes… Rien qu'à toi…

– Pu… tain !

C'est alors que je me suis enfoncé un peu plus profondément en Cécilia. Son vagin était tellement agréable. C'était très humide… et chaud à l'intérieur. Il enserrait à merveille mon pénis.

J'étais complètement allongé sur elle, en missionnaire, et pendant que mon sexe allait et venait en elle avec ardeur et que nous en gémissions tous les deux, mon visage était enfoui dans son cou. Je lui donnais des petits baisers et je lui léchais le cou en alternance. Je l'entendais haleter, soupirer, gémir sans arrêt mais je me délectais de ses bruits pendant l'amour.

Ma tête était plongée dans son cou et j'allais et venais entre ses reins avec ce rythme soutenu et régulier auquel nous nous habituions à ce moment-là et qui semblait lui convenir. Elle avait posé ses mains sur mes fesses ainsi, elle était ma complice car elle me faisait faire ces allers-retours à l'intérieur de son corps. Mon impression était que son vagin était idéal pour accueillir mon sexe. Je m'y sentais très bien à l'intérieur. Et elle était beaucoup mouillée. C'était parfait. J'adorais lui faire l'amour.

Mes lèvres se sont approchées de son oreille et je me suis mis à lui chuchoter. C'était intime. Je me mettais encore plus à nu. Je me donnais à elle corps et âme.

– Donne-toi à moi, Cécilia… Donne-moi tout…

– Oui… Da… vid ! Je… veux !

– Pu… tain… Ca… resse- toi !

– Tu… aimes… quand je me… caresse ?

– C'est… trop… sexy… quand tu… fais ça…

– Et… toi ! C'est trop… bon ! C'est trop bon quand tu vas et viens en moi et quand tu as ta tête dans mon cou ? C'est trop sexy ! J'aime !

– Je te ferai tout ce que tu aimes, bébé…

– Oh oui ! Oui ! Oui ! Oui ! Oui !

– Tout ce que tu veux…

– Ce que j'aime, là, c'est comment tu me fais l'amour. Il n'y a que moi.

– Toi… Rien que toi… Cé… ci… lia….

– Bébé…

– Oui, Cécilia ?

– J'aime que tu me fasses l'amour…

– Ce n'est que pur délice d'être en toi…

– Peux-tu… me baiser à présent ? Je suis une petite salope gourmande… Et… j'aime… tu vois ?

– Dis-moi, Cécilia…

– J'aime… les sensations… fortes… Tu vois ? J'aime quand on me baise… Je… raffole des belles grosses queues… Comme la tienne…

– Tout ce que tu veux, princesse…

– Une princesse peut-elle être une salope ?

– Je me rends compte que j'aime les petites salopes comme toi… Tu es si bonne… Bonne à marier… et à baiser…

– Tu pouvais pas me faire de meilleur compliment, beau gosse…

– Cécilia… Cécilia…

– David… Tu es bien en moi… Je le sais. Baise-moi ! Je veux ! Plus fort ! Plus vite ! Je veux te rendre… tout chose…

– Guide-moi, Cécilia…

– Je veux, bébé… Je veux… Rien que toi…

– Je suis à toi…

– Et moi… à toi…

– Je suis si bien en toi, miss…

– Je sais que tu es bien en moi, trésor… Continue… T'arrêtes pas…

– Oh oui… !

– Oublie tout, David… Mais ne m'oublie pas… S'il te plaît…

– Ça, il en est même pas question, ma belle…

– Tu me fais bien l'amour… J'aime… beaucoup… ça…

– Jolie Cécilia…

C'était plus que faire l'amour. C'était baiser, ce qui se passait entre nous deux. Mon manteau léger en guise de couverture, contre son dos, Cécilia était allongée et elle était détendue. Nous étions collés l'un à l'autre. Elle avait décidé, entre temps, d'écarter les jambes davantage pour que j'aie encore un meilleur accès à son vagin et à ses profondeurs. Ses jolies gambettes, Cécilia les avaient posées et croisées autour de moi. Ainsi, j'étais sous son emprise et c'était elle donc qui me guidait. Ô belle demoiselle...

Je donnais des coups de rein plus vigoureux. De l'amant délicat que j'avais pu être, j’étais devenu plus hardi. Plus audacieux. J'aimais varier mes pénétrations et les plaisirs que je daignais procurer à ma partenaire du jour.

– C'est ça, David… C'est ça ! Continue… Continue de me baiser comme ça… Pu… tain ! C'est bon…

--Trop… bon…

– Baise-moi comme la petite salope que je suis…

– Mmmh…

J'allais et je venais en Cécilia, en missionnaire. C'étaient des minutes parfaites. Un moment agréable. Et nous y étions impliqués d'égal à égale, elle et moi. Nous commencions à être couverts de sueur, elle comme moi, mais nous étions bien, allongés à même sur l'herbe, sur mon manteau et mon pull, et ça ne nous dérangeait pas.

– David…

Et elle a soupiré tout de suite après.

– D'ordinaire, je me sens bien quand je fais l'amour. Mais là… avec toi… C'est tout autre chose… Je vibre comme je n'ai jamais vibré… Et tu le sens, pas vrai, que je vibre… ?

– Cécilia… Ce que je sens… C'est que je suis si bien en toi…

Soupir de Cécilia.

– Et… tu me sens pas vibrer ? Tu sens pas que je mouille sans arrêt ? Tu sens pas que je m'abandonne ?

Je gémis pour toute réponse.

– David… Ne mens pas… Tu es bien en moi, et je vais… jouir… Je… le… sens…

Elle s'est mise à crier de plaisir.

– Cécilia… Tu es bandante… Comment ne pas avoir envie de toi…

– Tu ne pouvais pas mieux m'exciter, David… Je suis… Je suis… sur le point… de jouir…

Je gardais la même cadence quand je la pénétrais. La même ardeur. Et je gardais toujours les yeux sur Cécilia. Je ne pouvais juste pas en faire autrement. Je n'en avais pas le droit. Et quand elle m'a dit qu'elle allait jouir… Ça m'avait fait quelque chose. Je savais qu'elle était bien avec moi, toute contre moi. Je savais effectivement que son corps vibrait au contact du mien.

À cette allure-là, Cécilia ne pouvait… que jouir. Il ne pouvait pas en être autrement...

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Histoire Libertine
C’est d’une longueur et d’un blabla interminable



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