O belle demoiselle 7
Récit érotique écrit par Mysterious1991 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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O belle demoiselle 7
La respiration de Cécilia devenait de plus en plus rapide, de plus en plus saccadée et surtout de plus en plus audible... et bruyante. Elle était tout simplement à bout de souffle à ce stade de nos ébats dévergondés alors que le plaisir intense... la jouissance pointait lentement mais sûrement le bout de son nez.
Je lui avais glissé qu'elle était une "petite chose perdue" quand je lui avais donnée le cunnilingus et que j'avais introduit un puis deux doigts dans son sexe. Là, elle ne se retenait plus, elle ne s'empêchait pas le moins du monde s'exprimer le plaisir qu'elle avait.
- David... Aah... MON David... T'es rien qu'à moi, joli garçon.
- Alors toi aussi, t'es rien qu'à moi, princesse.
- Je veux ! Je veux !
- Je me doutais que tu dirais ça, Cécilia.
Là, c'était à moi de glousser et d'avoir, l'espace d'un instant, un petit rire coquin.
- Tu vois, David... Tu m'as dans la peau... Tu me connais petit à petit. Et ça... ça me touche... Ça me...
Je ne lui ai laissée le temps de finir sa phrase. J'allais et je venais en elle plus franchement, plus rapidement, plus frénétiquement, de nouveau.
Ça lui a coupé le souffle, à Cécilia.
Elle ne s'y attendait pas.
- David... Aaaaahhhhh... Comme ça aussi, j'aime...
- Je continue, alors...
- Oh oui, mon cœur ! Je veux ! Je... veux!
Elle n'arrêta pour rien au monde sa "petite" et douce masturbation. Elle remuait sans arrêt afin de soutenir mes coups de reins et de recevoir avec plaisir mon sexe en elle. Et là... je sentais de plus en plus que mon pénis était pris et qu'il était enserré dans quelque chose de liquide, de chaud, de doux. Cécilia le retenait prisonnier mais que c'était agréable. Rhoo...
- Ton sexe est si beau, Cécilia. Il est doux... et chaud. Je pensais pas qu'un sexe sans aucun poil m'émoustillerait...
- Karine... Elle en avait, sans indiscrétion ?
- Sa chatte était poilue. Elle disait qu'elle voulait la garder comme ça et que rien ni personne ne la ferait changer d'avis.
- Si mon copain aime les poils, moi je veux bien les laisser pousser par amour.
- Tu ferais ça ?
- Bien sûr, joli garçon.
- Décidément, j'en ai jamais connues, des comme toi...
- C'est comme ça que tu vas pas m'oublier...
- Il n'y a que toi...
- Il n'y a que toi, joli garçon...
- Et je dois avouer que... je ne vais pas pouvoir me retenir très lentement, bébé. Je sens que ça vient...
- Laisse-toi aller, mon cœur. Jouis! Je veux que tu me donnes ton sperme... Ton foutre... N'importe où sur moi... en moi... Je le veux.
Du fait que ses doigts s'agitaient sans vergogne sur sa porte du plaisir et que son vagin se refermait, tout du moins c'était l'impression que ça me faisait, sur ma queue, Cécilia était de plus en plus déchaînée.
- David... Ooooouuuuuhhhhh... Ça me picote de plus en plus... C'est... bon! Ton sexe qui est profond en moi... Mes doigts que je peux plus arrêter... J'ai la tête qui tourne... Je sais plus où je suis... Je sais juste que je suis avec toi et que tu me fais l'amour, joli garçon... Je suis plus qu'une boule de plaisir... Je suis ta petite chose perdue...
À partir de là, comment réagir physiquement parlant après avoir cette petite coquine de Cécilia me dire qu'elle était au comble du plaisir et que ce n'était plus qu'une question de temps avant qu'elle n'aie un orgasme ? Ne pas m'arrêter ? Ça allait de soi. Maintenir voire même accélérer le rythme de mes pénétrations ? J'étais tant au comble de l'excitation, moi aussi, que je ne contrôlais plus le rythme ni la puissance de mes coups de reins. Je n'arrivais plus à les maîtriser, c'était aussi simple que ça. Moi aussi, après tout, je n'étais plus qu'une boule de plaisir.
Était-ce dû au sexe chaud et humide de Cécilia ? Était-ce moi qui sentait que le mien s'acheminait lentement mais sûrement vers quelque chose de TRÈS intense, quelque chose que je n'avais jamais connu jusqu'à ce jour-là ? Quoi qu'il en fusse, c'était une sensation étrange. Une sensation étrange mais agréable. Le plaisir était en moi et je sentais descendre comme une boule le long de ma colonne vertébrale. Cette boule, elle descendait lentement mais sûrement. Agréablement. Intensément. Dangereusement.
Elle était délicieuse, cette boule.
Je la sentais très nettement circuler et aller plein sud.
Sa descente était inexorable.
Quant à Cécilia... les muscles de son vagin se contractaient, et ces contractions, elles étaient de plus en plus rapprochées. De plus en plus rapides.
Soudain... Le corps de Cécilia s'arqua brusquement.
- DA-VID! PU-TAIN! Aaaaahhhhh... Ça... y est! JE JOUIS !
Au moment où elle poussa ce cri libérateur de jouissance, son corps, tout entier, convulsa. Puis, elle retomba sur moi et je l'ai réceptionnée. Je l'ai prise dans mes bras, mon sexe encore enfoncé dans le sien.
Je l'ai entendue sangloter. Pleurer, même.
Cécilia venait d'avoir un orgasme et c'est moi qui l'avais faite jouir.
Je serrais Cécilia fort dans mes bras. Elle sanglotait. Elle pleurait même. Son cœur battait la chamade.
- David... Mon trésor...
- Cécilia...
- C'était... bon. Foutrement... bon!
- Tu m'en vois ravi, ma belle. Moi aussi, j'ai aimé...
- Excuse-moi si j'ai encore fondu en larmes.
- Tu plaisantes ou quoi, j'espère? C'est touchant et ça montre que ça t'a fait quelque chose. Et ça me fait fondre, tu sais?
- J'aime être dans tes bras, joli garçon. Tu es si doux. J'envie la fille avec qui tu vas sortir.
- Chut chut chut... On parle pas de ça, princesse... Là, y'a que toi et moi.
- Joli garçon... J'essaie juste d'imaginer dans ma tête ce que ce serait si on sortait ensemble.
- Eh bien... je te dirais des mots doux et des mots osés... Je t'embrasserais et j'y mettrais la langue... Je te prendrais n'importe où, n'importe quand... Je prendrais soin de toi, je te protégerais, mon cœur... Je te dirais que tu es belle, tout pleins de "je t'aime"... Je te dirais que tu es bonne et que j'ai envie de toi...
- David... Et moi, je te serrerais fort pour te sentir contre moi... Je t'embrasserais et tu sentirais mon piercing... Je te dirais que tu es mon joli garçon à moi et que je t'aime... Je ne me lasserais jamais de toi, j'aurais envie de toi tout le temps... Je te serais fidèle, je ferais tout pour te rendre heureux, David...
- "Prolongeons la magie..." C'est ce que tu as dit tout à l'heure quand t'as commencé à flirter avec moi. Profitons-en, de ce moment.
- Hmm... Tu as raison, David. Toi... Moi... Nous deux... Tu m'enlaces... Et... moi... j'ai joui, et même plusieurs fois...
Elle s'est interrompue en plein milieu de sa phrase parce qu'elle a gloussé. Ah...! Quand Cécilia se mettait et se remettait à glousser... Ça me faisait craquer. J'en perdais la raison. Si si, je vous jure!
- Tu n'as pas encore joui, toi, joli garçon et je le sais. Toi, tu m'as faite jouir. J'aurais pas pu espérer mieux. T'es plus qu'un bon coup, en plus d'être canon! Mais là... à présent... c'est à mon tour de m'occuper de toi et de te faire jouir, bébé. Mets-toi... debout...
- Je peux savoir ce que t'as en tête, coquine?
- Hmm... Et si je te disais que je compte te pomper jusqu'à ce que tu éjacules dans ma bouche?
- Ça me paraît... intéressant et foutrement envisageable comme idée...
- Si je t'ai pas pris... dans ma bouche jusqu'à présent... c'est qu'il y a une raison, joli garçon... J'aime... faire une pipe... pour faire jouir le mec avec qui je baise... Je le fais pour avoir son foutre... avaler son foutre...
- Arrête... Tu m'excites trop rien que tu te dis ça. Je pourrais gicler rien qu'en t'entendant parler.
- Et c'était aussi une solution, David? Que je me mette à genoux et que tu te branles...? Que je te quitte pas de yeux et que je tire la langue...? Que je fasse des bruits cochons et que je me lèche les lèvres...? Ça te plairait, ça aussi?
- Désolé, miss mais... Je... préférerais la pipe. En plus... Mon petit doigt me dit que... avec ta bouche à pipe et ton piercing à la langue... tu dois faire des merveilles... Je me trompe?
- Ton petit doigt... Je l'aime bien... Il m'émoustille et il a raison... J'aime... faire une pipe au mec avec qui je couche... Rappelle-toi! Je suis une petite salope... David... Mon David... Mon joli garçon rien qu'à moi... Détends-toi... Laisse-moi faire maintenant... Je vais te faire jouir... Je te le promets...
Ni une, ni deux, Cécilia a empoigné mon sexe dans sa main et elle s'est mise à me branler tendrement. Elle me regardait et elle ne me quittait pas des yeux. Elle était trop belle... C'est tout simplement impossible de ne pas craquer pour elle. Tout simplement PAS... POSSIBLE.
Avec sa langue, Cécilia me lécha de haut en bas, de bas en haut, la tige de mon pénis.
Les lèvres entrouvertes, elle déposa un peu de sa salive sur mon gland.
Les lèvres entrouvertes, elle prit mon gland dans sa bouche.
La langue tirée, je sentais qu'elle me donnait des coups sur la gland et que son piercing contribuait à l'exacerbation de mon plaisir et de sa montée en intensité.
Je laissais Cécilia faire.
- Hmmm... Hmmm... Toi aussi, David... Tu vas jouir...
Cécilia faisait si jeune, et elle avait un côté ingénue alors qu'elle était à genoux et qu'elle mettait beaucoup d'entrain à me sucer. Et pourtant... Il faut se méfier de l'eau qui bout, n'est-ce pas? Cécilia était une petite salope.
- Hmmmm... Hmmmm...
- T'es bonne... Qu'est-ce que t'es bonne...
- Elle est belle, ta queue! J'aime l'avoir dans ma bouche...
- Et toi...! Toi aussi, tu es belle, Cécilia! Tu es jolie avec ma queue dans ta belle "petite" bouche"...
- Hmmmm... Hmmmm...
- Continue comme ça, bébé... Tu t'y prends vachement bien... C'est comme ça que j'aime être sucé...
- Prends-la moi... Baise-la moi, ma bouche... S'il te plaît... C'est ce que j'aime...
Ni une ni deux, je ne lui ai pas laissée une seconde de répit et j'ai glissé une main dans ses cheveux et je les ai agrippés gentiment mais fermement. De cette manière, ça me permettait de contrôler les mouvements de va-et-vient de sa bouche sur mon pénis. Nous y étions: je baisais sa bouche.
- Hmmmm... Hmmmm...
- Elle est bonne, ta bouche... Qu'est-ce qu'elle est bonne...
- Une vraie bouche à pipe... Ça te plaît, joli garçon?
- Si on était ensemble, je te baiserais la bouche à bon vouloir et ce, dès que j'en aurais envie...
- Je voudrais la même chose, moi aussi...
Même si j'allais et venais entre ses lèvres, je veillais à ce que Cécilia se sente bien et qu'elle n'ait aucune difficulté à respirer. J'y tenais, plus que tout.
- Tu fais si jeune, Cécilia... Mais tu caches bien ton jeu... J'aime ton côté "petite salope"...
- J'aime... que tu aimes ça, David...
- Continue, ma puce... Continue de me prendre comme tu le fais...
- Hmmm... Hmmm...
- Elle est bonne, ta bouche... Elle est à moi à présent car je te la baise...
- Hmmmm... Hmmm...
- Si tu continues à me pomper comme tu le fais... je répondrai de rien quand je jouirai dans ta bouche...
- Je continue, alors...
- Ça te plairait, ça? Que je jouisse dans ta bouche? Tu le veux, mon sperme? Tu voudrais l'avaler?
La jeune femme s'est contentée de pousser un long gémissement mais à mes yeux, c'était éloquent. Ça lui avait fait un... je-ne-sais-quoi. Ça l'avait émoustillée.
- Je veux! Je veux! Avec toi, je veux tout, joli garçon.
- Bien...
Je me suis remis à pénétrer ses lèvres de plus belle. Mes mouvements étaient plus lents mais plus fermes. Je donnais des coups de reins pour baiser sa bouche à pipe.
C'est alors que Cécilia, malicieuse comme ce n'était pas permis et surtout... surtout... petite salope qu'elle était, a donné quelques petits coups de langue sur mon gland et j'ai particulièrement senti son piercing à cette occasion.
J'ai poussé un long gémissement à mon tour. J'ai senti comme des spasmes s'emparer de son corps et en prendre possesion. J'en avais la chair de poule. Je reconnaissais cette sensation parce que je l'avais ressenti dans le passé, avec d'autres filles. J'allais jouir, et je le savais.
- Hmmm... Hmmm...
Cécila ne pouvait évidemment pas parler vu qu'elle était en train de me sucer goulûment. Néanmoins, le désir et l'excitation qu'elle ressentait... le plaisir qu'elle prenait à me faire aller et venir entre ses lèvres... elle parvenait, tant bien que mal à l'exprimer à travers des sons, des bruits.
Elle se tenait sur ses genoux et moi, j'avais toujours ma main droite plongée, enfoncée dans ses longs cheveux bruns. Je la guidais, oui. Je lui montrais ainsi comment j'avais envie qu'elle me prenne dans sa belle "petite" bouche. Mais... d'un autre côté... je la lui baisais, sa bouche.
- Hmmmm... Hmmm... Hmmm...
- Haaan...
Ma tête était abaissée et comme ça, je ne quittais pas la "petite salope" des yeux. Elle... Ses lèvres coulissaient sur ma verge. Elles étaient douces, ses lèvres. Et pourtant... elle avait ses mains posées sur mes aines et c'est comme ça qu'elle se cramponnait à moi et que ses mouvements de va-et-vient parvenaient à rester fluides. Ça se voyait qu'elle avait de l'expérience et qu'elle aimait ça, sucer un mec. Ses yeux à elle, ils étaient braqués sur mon membre. Ils ne le lâchaient pas d'une semelle. Cécilia prenait du plaisir à me faire cette pipe des plus divines.
Nous étions tout nus et nous étions dans un lieu public! Si nous étions pris en flagrant délit, nous prendrions cher. C'était à craindre. Et pourtant... l'adrénaline rendait les choses plus... piquantes, plus excitantes. L'adrénaline faisait qu'on se laissait aller et qu'on ne pensait à rien d'autre. On était bien, elle et moi... et le sexe était... bon.
J'avais beau faire des va-et-vient dans sa bouche... j'étais corps et âme et sexe avec elle. Et dès lors, je ne lui ai plus empoignée les cheveux. Je les ai davantage caressés. Ils étaient doux, ils étaient soyeux. J'aimais beaucoup les sentir sous mes doigts. Cécilia a alors soudainement relâché l'étreinte de sa bouche.
- Joli garçon... Plus tendre... plus romantique que toi, j'avais pas connu jusque-là... Comme ça... C'est... bien... Caresse-moi les cheveux... C'est ça... Et moi, je vais... te reprendre... dans ma bouche... Parce que j'aime ça... Je vais... te sucer... tendrement... maintenant...
Ni une ni deux, ses lèvres se sont rapprochées de mon pénis et Cécilia s'est mise à coulisser sur toute sa longueur.
Le plaisir était si fort.
Pris par le plaisir qu'elle me donnait, j'ai basculé la tête en arrière et j'ai geint. J'ai gémi. Je me suis juste contenté de jouer de mon bassin mais très légèrement, très lentement. Je la laissais faire. Je la laissais me prendre. Cécilia a levé les yeux vers moi et son regard est resté statique, braqué dans le mien. Moi non plus, je ne la quittais pas des yeux. Mon regard était brûlant. Je la désirais si fort. Elle et sa bouche... Nous ne nous disions rien. Nos yeux parlaient pour nous. Les miens devaient exprimer le désir, la tendresse que je lui portais. Les siens, eux, semblaient me supplier. Je savais ce qu'elle voulait, Cécilia. Oui... Elle avait envie, plus que tout, que je perde les pédales. Elle avait envie, plus que tout, que je jouisse d'elle, que je jouisse tout court. Que je libère la semence sexuelle que je sécrète, que je la lui donne. Dans sa bouche... Sur ses seins... Sur son visage... Oui... C'était ça, ce que les yeux de la jeune femme voulaient dire.
- Hmmm... Hmmm... Hmmm...
- Haan... Haan... Pu... tain... C'est trop... bon... Continue, ma petite salope...
Les lèvres de ma partenaire formaient une véritable bouche à pipe. Je m'y sentais bien enserré. C'était trop... bon. C'était même carrément agréable. Et si elle continuait comme ça, je le savais: c'était sûr! Je ne répondrais de rien au moment où mon sperme giclerait. Je jouirais comme jamais.
Ce plaisir... il était exacerbé, décuplé par les coups de langue qu'elle me donnait, la petite salope au piercing lingual. Je sentais la pointe de sa langue, je sentais son piercing. Mon gland... Mon frein... Ma couronne... Cécilia ne négligeait aucun millimètre carré de ma baguette magique sexuelle... et elle paraissait y prendre... beaucoup de plaisir.
- Ouvre la bouche, princesse...
Cécilia, une fois de plus, m'a regardé dans les yeux. Juste le mouvement de haut en bas de sa tête m'a confirmé qu'elle savait déjà ce que j'allais lui dire.
- Tu le veux, mon sperme? Tu voudras bien l'avaler?
Elle a gémi pour toute réponse.
- Tire la langue, ma petite salope...
C'est ce qu'elle fit aussitôt.
J'ai aussitôt tapoté mon gland contre sa langue chaude et humide.
C'était si... bon.
C'était trop... bon.
- Tu es si douce, princesse... Et tu me suces si bien... J'aime... J'aime tout ce que tu me fais... Continue comme ça...
Pour toute réponse, les allées et venues de Cécilia... et de sa bouche... sur mon sexe se faisaient désormais lentes mais langoureuses. Sa bouche était une vraie bouche à pipe et ses lèvres étaient très belles. Elles avaient beau être rose pâle vu qu'elles étaient vanille... Elles étaient émoustillantes. Et dieu sait que Cécilia savait y faire pour sucer un mec... et l'amener à jouir.
Ma main dans ses cheveux... je les lui caressais. Je la guidais.
Sa bouche... sa bouche à pipe était redoutable. Elle était d'une efficacité... jouissive, dévastatrice. Je savais que Cécilia allait me faire gicler. Il ne pouvait pas en être autrement. Je savais que ce n'était plus qu'une question de temps.
- Tu es décidément très belle, bébé...
- Hmmm... Hmmm... Hmmm... AH!
Cécilia a relâché l'étreinte, la pression, l'emprise de ses caresses buccales quand elle avait mon pénis dans la bouche et qu'elle me faisait coulisser à l'intérieur et qu'elle poursuivait cette fellation des plus divines.
- Joli garçon... Ah...
Cette petite coquine n'en finissait donc jamais de pousser des soupirs! À croire que c'était quelque chose qui était inné chez elle... Quoiqu'il en fusse... C'était quelque chose qui me plaisait beaucoup et ça me montrait, si tant est que j'eusse encore besoin d'en avoir confirmation, que Cécilia était réellement impliquée dans nos ébats interdits en plein-air, vraiment corps et âme... et bouche, le cas échéant, avec moi.
- Joli garçon... Ça me touche... Ça me fait toujours ce... je-ne-sais-quoi... Ça me remue... Nous, les filles, quand on nous dit qu'on est belle ET quand on nous le montre, ça fait toujours quelque chose... Je vois tes yeux, David... Eux aussi, ils me disent que je suis belle. Et je me sens comme ça. BELLE! Bébé... tu me fais me sentir carrément sexy! J'ai pas peur de le dire. Et je veux... je veux te donner du plaisir comme tu m'en as donnée jusqu'à présent... Je veux! Je veux!
Sans perdre de temps, sa bouche a retrouvé, sans aucune difficulté, mon sexe. Ses lèvres se sont ouvertes et ont reformé ce "O" qui transformait sa calanque rose en une bouche à pipe redoutable pour un homme amateur voire carrément amoureux de plaisirs sexuels. Un peu comme moi, par exemple.
Ses lèvres me pompaient lentement mais subtilement. Mais c'était ce que Cécilia voulait, à présent. Et moi... je voulais ce dont elle avait envie. J'y tenais plus que tout.
Qu'elle était jolie... Rhoo... Je me souviendrais longtemps d'elle. Je ne voyais pas comment il aurait pu en être autrement.
J'étais debout.
Elle était sur ses genoux.
Je me laissais volontiers prendre. C'était même avec grand plaisir. Ce n'était pas tous les jours qu'on rencontrait une inconnue et qu'on faisait l'amour... qu'on baisait, qui plus est, en plein air.
J'en profitais pour la reluquer sans me cacher le moins du monde.
Ses tout petits seins étaient dans ma ligne de mire. Cécilia l'a vu. Il faut dire que je n'étais pas du tout discret. Elle m'a souri et elle s'est saisie de mon pénis. Elle l'a amené délicatement à son sein gauche et elle s'en est caressée le téton. Elle a gloussé et elle a eu son petit rire coquin caractéristique. C'était éloquent.
Nous étions sur la même longueur d'onde.
Mon sexe toujours dans l'arrondi de son poing, elle l'a glissé jusqu'à sa bouche.
Ses lèvres se sont entrouvertes et elle a déposé un peu de salive sur mon membre tout dur. Elle m'a branlé tendrement. Elle a été jusqu'à pousser un sanglot. Me donner du plaisir la rendait émue!
Qu'elle était belle!
Je lui avais glissé qu'elle était une "petite chose perdue" quand je lui avais donnée le cunnilingus et que j'avais introduit un puis deux doigts dans son sexe. Là, elle ne se retenait plus, elle ne s'empêchait pas le moins du monde s'exprimer le plaisir qu'elle avait.
- David... Aah... MON David... T'es rien qu'à moi, joli garçon.
- Alors toi aussi, t'es rien qu'à moi, princesse.
- Je veux ! Je veux !
- Je me doutais que tu dirais ça, Cécilia.
Là, c'était à moi de glousser et d'avoir, l'espace d'un instant, un petit rire coquin.
- Tu vois, David... Tu m'as dans la peau... Tu me connais petit à petit. Et ça... ça me touche... Ça me...
Je ne lui ai laissée le temps de finir sa phrase. J'allais et je venais en elle plus franchement, plus rapidement, plus frénétiquement, de nouveau.
Ça lui a coupé le souffle, à Cécilia.
Elle ne s'y attendait pas.
- David... Aaaaahhhhh... Comme ça aussi, j'aime...
- Je continue, alors...
- Oh oui, mon cœur ! Je veux ! Je... veux!
Elle n'arrêta pour rien au monde sa "petite" et douce masturbation. Elle remuait sans arrêt afin de soutenir mes coups de reins et de recevoir avec plaisir mon sexe en elle. Et là... je sentais de plus en plus que mon pénis était pris et qu'il était enserré dans quelque chose de liquide, de chaud, de doux. Cécilia le retenait prisonnier mais que c'était agréable. Rhoo...
- Ton sexe est si beau, Cécilia. Il est doux... et chaud. Je pensais pas qu'un sexe sans aucun poil m'émoustillerait...
- Karine... Elle en avait, sans indiscrétion ?
- Sa chatte était poilue. Elle disait qu'elle voulait la garder comme ça et que rien ni personne ne la ferait changer d'avis.
- Si mon copain aime les poils, moi je veux bien les laisser pousser par amour.
- Tu ferais ça ?
- Bien sûr, joli garçon.
- Décidément, j'en ai jamais connues, des comme toi...
- C'est comme ça que tu vas pas m'oublier...
- Il n'y a que toi...
- Il n'y a que toi, joli garçon...
- Et je dois avouer que... je ne vais pas pouvoir me retenir très lentement, bébé. Je sens que ça vient...
- Laisse-toi aller, mon cœur. Jouis! Je veux que tu me donnes ton sperme... Ton foutre... N'importe où sur moi... en moi... Je le veux.
Du fait que ses doigts s'agitaient sans vergogne sur sa porte du plaisir et que son vagin se refermait, tout du moins c'était l'impression que ça me faisait, sur ma queue, Cécilia était de plus en plus déchaînée.
- David... Ooooouuuuuhhhhh... Ça me picote de plus en plus... C'est... bon! Ton sexe qui est profond en moi... Mes doigts que je peux plus arrêter... J'ai la tête qui tourne... Je sais plus où je suis... Je sais juste que je suis avec toi et que tu me fais l'amour, joli garçon... Je suis plus qu'une boule de plaisir... Je suis ta petite chose perdue...
À partir de là, comment réagir physiquement parlant après avoir cette petite coquine de Cécilia me dire qu'elle était au comble du plaisir et que ce n'était plus qu'une question de temps avant qu'elle n'aie un orgasme ? Ne pas m'arrêter ? Ça allait de soi. Maintenir voire même accélérer le rythme de mes pénétrations ? J'étais tant au comble de l'excitation, moi aussi, que je ne contrôlais plus le rythme ni la puissance de mes coups de reins. Je n'arrivais plus à les maîtriser, c'était aussi simple que ça. Moi aussi, après tout, je n'étais plus qu'une boule de plaisir.
Était-ce dû au sexe chaud et humide de Cécilia ? Était-ce moi qui sentait que le mien s'acheminait lentement mais sûrement vers quelque chose de TRÈS intense, quelque chose que je n'avais jamais connu jusqu'à ce jour-là ? Quoi qu'il en fusse, c'était une sensation étrange. Une sensation étrange mais agréable. Le plaisir était en moi et je sentais descendre comme une boule le long de ma colonne vertébrale. Cette boule, elle descendait lentement mais sûrement. Agréablement. Intensément. Dangereusement.
Elle était délicieuse, cette boule.
Je la sentais très nettement circuler et aller plein sud.
Sa descente était inexorable.
Quant à Cécilia... les muscles de son vagin se contractaient, et ces contractions, elles étaient de plus en plus rapprochées. De plus en plus rapides.
Soudain... Le corps de Cécilia s'arqua brusquement.
- DA-VID! PU-TAIN! Aaaaahhhhh... Ça... y est! JE JOUIS !
Au moment où elle poussa ce cri libérateur de jouissance, son corps, tout entier, convulsa. Puis, elle retomba sur moi et je l'ai réceptionnée. Je l'ai prise dans mes bras, mon sexe encore enfoncé dans le sien.
Je l'ai entendue sangloter. Pleurer, même.
Cécilia venait d'avoir un orgasme et c'est moi qui l'avais faite jouir.
Je serrais Cécilia fort dans mes bras. Elle sanglotait. Elle pleurait même. Son cœur battait la chamade.
- David... Mon trésor...
- Cécilia...
- C'était... bon. Foutrement... bon!
- Tu m'en vois ravi, ma belle. Moi aussi, j'ai aimé...
- Excuse-moi si j'ai encore fondu en larmes.
- Tu plaisantes ou quoi, j'espère? C'est touchant et ça montre que ça t'a fait quelque chose. Et ça me fait fondre, tu sais?
- J'aime être dans tes bras, joli garçon. Tu es si doux. J'envie la fille avec qui tu vas sortir.
- Chut chut chut... On parle pas de ça, princesse... Là, y'a que toi et moi.
- Joli garçon... J'essaie juste d'imaginer dans ma tête ce que ce serait si on sortait ensemble.
- Eh bien... je te dirais des mots doux et des mots osés... Je t'embrasserais et j'y mettrais la langue... Je te prendrais n'importe où, n'importe quand... Je prendrais soin de toi, je te protégerais, mon cœur... Je te dirais que tu es belle, tout pleins de "je t'aime"... Je te dirais que tu es bonne et que j'ai envie de toi...
- David... Et moi, je te serrerais fort pour te sentir contre moi... Je t'embrasserais et tu sentirais mon piercing... Je te dirais que tu es mon joli garçon à moi et que je t'aime... Je ne me lasserais jamais de toi, j'aurais envie de toi tout le temps... Je te serais fidèle, je ferais tout pour te rendre heureux, David...
- "Prolongeons la magie..." C'est ce que tu as dit tout à l'heure quand t'as commencé à flirter avec moi. Profitons-en, de ce moment.
- Hmm... Tu as raison, David. Toi... Moi... Nous deux... Tu m'enlaces... Et... moi... j'ai joui, et même plusieurs fois...
Elle s'est interrompue en plein milieu de sa phrase parce qu'elle a gloussé. Ah...! Quand Cécilia se mettait et se remettait à glousser... Ça me faisait craquer. J'en perdais la raison. Si si, je vous jure!
- Tu n'as pas encore joui, toi, joli garçon et je le sais. Toi, tu m'as faite jouir. J'aurais pas pu espérer mieux. T'es plus qu'un bon coup, en plus d'être canon! Mais là... à présent... c'est à mon tour de m'occuper de toi et de te faire jouir, bébé. Mets-toi... debout...
- Je peux savoir ce que t'as en tête, coquine?
- Hmm... Et si je te disais que je compte te pomper jusqu'à ce que tu éjacules dans ma bouche?
- Ça me paraît... intéressant et foutrement envisageable comme idée...
- Si je t'ai pas pris... dans ma bouche jusqu'à présent... c'est qu'il y a une raison, joli garçon... J'aime... faire une pipe... pour faire jouir le mec avec qui je baise... Je le fais pour avoir son foutre... avaler son foutre...
- Arrête... Tu m'excites trop rien que tu te dis ça. Je pourrais gicler rien qu'en t'entendant parler.
- Et c'était aussi une solution, David? Que je me mette à genoux et que tu te branles...? Que je te quitte pas de yeux et que je tire la langue...? Que je fasse des bruits cochons et que je me lèche les lèvres...? Ça te plairait, ça aussi?
- Désolé, miss mais... Je... préférerais la pipe. En plus... Mon petit doigt me dit que... avec ta bouche à pipe et ton piercing à la langue... tu dois faire des merveilles... Je me trompe?
- Ton petit doigt... Je l'aime bien... Il m'émoustille et il a raison... J'aime... faire une pipe au mec avec qui je couche... Rappelle-toi! Je suis une petite salope... David... Mon David... Mon joli garçon rien qu'à moi... Détends-toi... Laisse-moi faire maintenant... Je vais te faire jouir... Je te le promets...
Ni une, ni deux, Cécilia a empoigné mon sexe dans sa main et elle s'est mise à me branler tendrement. Elle me regardait et elle ne me quittait pas des yeux. Elle était trop belle... C'est tout simplement impossible de ne pas craquer pour elle. Tout simplement PAS... POSSIBLE.
Avec sa langue, Cécilia me lécha de haut en bas, de bas en haut, la tige de mon pénis.
Les lèvres entrouvertes, elle déposa un peu de sa salive sur mon gland.
Les lèvres entrouvertes, elle prit mon gland dans sa bouche.
La langue tirée, je sentais qu'elle me donnait des coups sur la gland et que son piercing contribuait à l'exacerbation de mon plaisir et de sa montée en intensité.
Je laissais Cécilia faire.
- Hmmm... Hmmm... Toi aussi, David... Tu vas jouir...
Cécilia faisait si jeune, et elle avait un côté ingénue alors qu'elle était à genoux et qu'elle mettait beaucoup d'entrain à me sucer. Et pourtant... Il faut se méfier de l'eau qui bout, n'est-ce pas? Cécilia était une petite salope.
- Hmmmm... Hmmmm...
- T'es bonne... Qu'est-ce que t'es bonne...
- Elle est belle, ta queue! J'aime l'avoir dans ma bouche...
- Et toi...! Toi aussi, tu es belle, Cécilia! Tu es jolie avec ma queue dans ta belle "petite" bouche"...
- Hmmmm... Hmmmm...
- Continue comme ça, bébé... Tu t'y prends vachement bien... C'est comme ça que j'aime être sucé...
- Prends-la moi... Baise-la moi, ma bouche... S'il te plaît... C'est ce que j'aime...
Ni une ni deux, je ne lui ai pas laissée une seconde de répit et j'ai glissé une main dans ses cheveux et je les ai agrippés gentiment mais fermement. De cette manière, ça me permettait de contrôler les mouvements de va-et-vient de sa bouche sur mon pénis. Nous y étions: je baisais sa bouche.
- Hmmmm... Hmmmm...
- Elle est bonne, ta bouche... Qu'est-ce qu'elle est bonne...
- Une vraie bouche à pipe... Ça te plaît, joli garçon?
- Si on était ensemble, je te baiserais la bouche à bon vouloir et ce, dès que j'en aurais envie...
- Je voudrais la même chose, moi aussi...
Même si j'allais et venais entre ses lèvres, je veillais à ce que Cécilia se sente bien et qu'elle n'ait aucune difficulté à respirer. J'y tenais, plus que tout.
- Tu fais si jeune, Cécilia... Mais tu caches bien ton jeu... J'aime ton côté "petite salope"...
- J'aime... que tu aimes ça, David...
- Continue, ma puce... Continue de me prendre comme tu le fais...
- Hmmm... Hmmm...
- Elle est bonne, ta bouche... Elle est à moi à présent car je te la baise...
- Hmmmm... Hmmm...
- Si tu continues à me pomper comme tu le fais... je répondrai de rien quand je jouirai dans ta bouche...
- Je continue, alors...
- Ça te plairait, ça? Que je jouisse dans ta bouche? Tu le veux, mon sperme? Tu voudrais l'avaler?
La jeune femme s'est contentée de pousser un long gémissement mais à mes yeux, c'était éloquent. Ça lui avait fait un... je-ne-sais-quoi. Ça l'avait émoustillée.
- Je veux! Je veux! Avec toi, je veux tout, joli garçon.
- Bien...
Je me suis remis à pénétrer ses lèvres de plus belle. Mes mouvements étaient plus lents mais plus fermes. Je donnais des coups de reins pour baiser sa bouche à pipe.
C'est alors que Cécilia, malicieuse comme ce n'était pas permis et surtout... surtout... petite salope qu'elle était, a donné quelques petits coups de langue sur mon gland et j'ai particulièrement senti son piercing à cette occasion.
J'ai poussé un long gémissement à mon tour. J'ai senti comme des spasmes s'emparer de son corps et en prendre possesion. J'en avais la chair de poule. Je reconnaissais cette sensation parce que je l'avais ressenti dans le passé, avec d'autres filles. J'allais jouir, et je le savais.
- Hmmm... Hmmm...
Cécila ne pouvait évidemment pas parler vu qu'elle était en train de me sucer goulûment. Néanmoins, le désir et l'excitation qu'elle ressentait... le plaisir qu'elle prenait à me faire aller et venir entre ses lèvres... elle parvenait, tant bien que mal à l'exprimer à travers des sons, des bruits.
Elle se tenait sur ses genoux et moi, j'avais toujours ma main droite plongée, enfoncée dans ses longs cheveux bruns. Je la guidais, oui. Je lui montrais ainsi comment j'avais envie qu'elle me prenne dans sa belle "petite" bouche. Mais... d'un autre côté... je la lui baisais, sa bouche.
- Hmmmm... Hmmm... Hmmm...
- Haaan...
Ma tête était abaissée et comme ça, je ne quittais pas la "petite salope" des yeux. Elle... Ses lèvres coulissaient sur ma verge. Elles étaient douces, ses lèvres. Et pourtant... elle avait ses mains posées sur mes aines et c'est comme ça qu'elle se cramponnait à moi et que ses mouvements de va-et-vient parvenaient à rester fluides. Ça se voyait qu'elle avait de l'expérience et qu'elle aimait ça, sucer un mec. Ses yeux à elle, ils étaient braqués sur mon membre. Ils ne le lâchaient pas d'une semelle. Cécilia prenait du plaisir à me faire cette pipe des plus divines.
Nous étions tout nus et nous étions dans un lieu public! Si nous étions pris en flagrant délit, nous prendrions cher. C'était à craindre. Et pourtant... l'adrénaline rendait les choses plus... piquantes, plus excitantes. L'adrénaline faisait qu'on se laissait aller et qu'on ne pensait à rien d'autre. On était bien, elle et moi... et le sexe était... bon.
J'avais beau faire des va-et-vient dans sa bouche... j'étais corps et âme et sexe avec elle. Et dès lors, je ne lui ai plus empoignée les cheveux. Je les ai davantage caressés. Ils étaient doux, ils étaient soyeux. J'aimais beaucoup les sentir sous mes doigts. Cécilia a alors soudainement relâché l'étreinte de sa bouche.
- Joli garçon... Plus tendre... plus romantique que toi, j'avais pas connu jusque-là... Comme ça... C'est... bien... Caresse-moi les cheveux... C'est ça... Et moi, je vais... te reprendre... dans ma bouche... Parce que j'aime ça... Je vais... te sucer... tendrement... maintenant...
Ni une ni deux, ses lèvres se sont rapprochées de mon pénis et Cécilia s'est mise à coulisser sur toute sa longueur.
Le plaisir était si fort.
Pris par le plaisir qu'elle me donnait, j'ai basculé la tête en arrière et j'ai geint. J'ai gémi. Je me suis juste contenté de jouer de mon bassin mais très légèrement, très lentement. Je la laissais faire. Je la laissais me prendre. Cécilia a levé les yeux vers moi et son regard est resté statique, braqué dans le mien. Moi non plus, je ne la quittais pas des yeux. Mon regard était brûlant. Je la désirais si fort. Elle et sa bouche... Nous ne nous disions rien. Nos yeux parlaient pour nous. Les miens devaient exprimer le désir, la tendresse que je lui portais. Les siens, eux, semblaient me supplier. Je savais ce qu'elle voulait, Cécilia. Oui... Elle avait envie, plus que tout, que je perde les pédales. Elle avait envie, plus que tout, que je jouisse d'elle, que je jouisse tout court. Que je libère la semence sexuelle que je sécrète, que je la lui donne. Dans sa bouche... Sur ses seins... Sur son visage... Oui... C'était ça, ce que les yeux de la jeune femme voulaient dire.
- Hmmm... Hmmm... Hmmm...
- Haan... Haan... Pu... tain... C'est trop... bon... Continue, ma petite salope...
Les lèvres de ma partenaire formaient une véritable bouche à pipe. Je m'y sentais bien enserré. C'était trop... bon. C'était même carrément agréable. Et si elle continuait comme ça, je le savais: c'était sûr! Je ne répondrais de rien au moment où mon sperme giclerait. Je jouirais comme jamais.
Ce plaisir... il était exacerbé, décuplé par les coups de langue qu'elle me donnait, la petite salope au piercing lingual. Je sentais la pointe de sa langue, je sentais son piercing. Mon gland... Mon frein... Ma couronne... Cécilia ne négligeait aucun millimètre carré de ma baguette magique sexuelle... et elle paraissait y prendre... beaucoup de plaisir.
- Ouvre la bouche, princesse...
Cécilia, une fois de plus, m'a regardé dans les yeux. Juste le mouvement de haut en bas de sa tête m'a confirmé qu'elle savait déjà ce que j'allais lui dire.
- Tu le veux, mon sperme? Tu voudras bien l'avaler?
Elle a gémi pour toute réponse.
- Tire la langue, ma petite salope...
C'est ce qu'elle fit aussitôt.
J'ai aussitôt tapoté mon gland contre sa langue chaude et humide.
C'était si... bon.
C'était trop... bon.
- Tu es si douce, princesse... Et tu me suces si bien... J'aime... J'aime tout ce que tu me fais... Continue comme ça...
Pour toute réponse, les allées et venues de Cécilia... et de sa bouche... sur mon sexe se faisaient désormais lentes mais langoureuses. Sa bouche était une vraie bouche à pipe et ses lèvres étaient très belles. Elles avaient beau être rose pâle vu qu'elles étaient vanille... Elles étaient émoustillantes. Et dieu sait que Cécilia savait y faire pour sucer un mec... et l'amener à jouir.
Ma main dans ses cheveux... je les lui caressais. Je la guidais.
Sa bouche... sa bouche à pipe était redoutable. Elle était d'une efficacité... jouissive, dévastatrice. Je savais que Cécilia allait me faire gicler. Il ne pouvait pas en être autrement. Je savais que ce n'était plus qu'une question de temps.
- Tu es décidément très belle, bébé...
- Hmmm... Hmmm... Hmmm... AH!
Cécilia a relâché l'étreinte, la pression, l'emprise de ses caresses buccales quand elle avait mon pénis dans la bouche et qu'elle me faisait coulisser à l'intérieur et qu'elle poursuivait cette fellation des plus divines.
- Joli garçon... Ah...
Cette petite coquine n'en finissait donc jamais de pousser des soupirs! À croire que c'était quelque chose qui était inné chez elle... Quoiqu'il en fusse... C'était quelque chose qui me plaisait beaucoup et ça me montrait, si tant est que j'eusse encore besoin d'en avoir confirmation, que Cécilia était réellement impliquée dans nos ébats interdits en plein-air, vraiment corps et âme... et bouche, le cas échéant, avec moi.
- Joli garçon... Ça me touche... Ça me fait toujours ce... je-ne-sais-quoi... Ça me remue... Nous, les filles, quand on nous dit qu'on est belle ET quand on nous le montre, ça fait toujours quelque chose... Je vois tes yeux, David... Eux aussi, ils me disent que je suis belle. Et je me sens comme ça. BELLE! Bébé... tu me fais me sentir carrément sexy! J'ai pas peur de le dire. Et je veux... je veux te donner du plaisir comme tu m'en as donnée jusqu'à présent... Je veux! Je veux!
Sans perdre de temps, sa bouche a retrouvé, sans aucune difficulté, mon sexe. Ses lèvres se sont ouvertes et ont reformé ce "O" qui transformait sa calanque rose en une bouche à pipe redoutable pour un homme amateur voire carrément amoureux de plaisirs sexuels. Un peu comme moi, par exemple.
Ses lèvres me pompaient lentement mais subtilement. Mais c'était ce que Cécilia voulait, à présent. Et moi... je voulais ce dont elle avait envie. J'y tenais plus que tout.
Qu'elle était jolie... Rhoo... Je me souviendrais longtemps d'elle. Je ne voyais pas comment il aurait pu en être autrement.
J'étais debout.
Elle était sur ses genoux.
Je me laissais volontiers prendre. C'était même avec grand plaisir. Ce n'était pas tous les jours qu'on rencontrait une inconnue et qu'on faisait l'amour... qu'on baisait, qui plus est, en plein air.
J'en profitais pour la reluquer sans me cacher le moins du monde.
Ses tout petits seins étaient dans ma ligne de mire. Cécilia l'a vu. Il faut dire que je n'étais pas du tout discret. Elle m'a souri et elle s'est saisie de mon pénis. Elle l'a amené délicatement à son sein gauche et elle s'en est caressée le téton. Elle a gloussé et elle a eu son petit rire coquin caractéristique. C'était éloquent.
Nous étions sur la même longueur d'onde.
Mon sexe toujours dans l'arrondi de son poing, elle l'a glissé jusqu'à sa bouche.
Ses lèvres se sont entrouvertes et elle a déposé un peu de salive sur mon membre tout dur. Elle m'a branlé tendrement. Elle a été jusqu'à pousser un sanglot. Me donner du plaisir la rendait émue!
Qu'elle était belle!
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