Oh temps, susprends ton vol...

- Par l'auteur HDS Chriscoquin35 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Oh temps, susprends ton vol... Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Oh temps, susprends ton vol...
Les jambes largement écartées et les pieds bien en appui sur le tableau arrière du hors-bord, je savourais la divine fellation que me prodiguait cette sublime créature, regardant sa crinière brune monter et descendre au fur et à mesure que sa bouche engloutissait mon membre tendu.
Nous étions partis le matin même du petit port d’Aix les Bains en Savoie où un ami de sa mère nous avait prêté en cette belle journée d’été un magnifique canot tout en bois muni d’un puissant moteur hors-bord. Après nous être promenés longtemps le long des berges du vaste et somptueux lac du Bourget qui a tant inspiré Lamartine, nous décidâmes de stopper en plein milieu. Josiane enleva le short et le débardeur à fines bretelles qu’elle portait et je pus admirer ses dessous en dentelle noire qui mettaient en valeur ses très jolies formes. Mesurant environ 1m60, une taille fine et des hanches galbées, de très beaux seins bonnet C, une chevelure brune et ondulée jusqu’aux épaules et de magnifiques yeux verts, Josiane était une très belle femme qui attirait le regard. Elle venait juste d’avoir quarante ans et ce fameux regard m’avait attiré lors de la cérémonie de mariage d’un de mes collègue de travail. J’étais arrivé la veille en voiture dans la région de St Etienne et je logeais dans un petit hôtel familial comme on en rencontre dans les petits villages de notre douce France. En congé pour tout le mois je n’avais pas établi de programme bien précis et je profitais du calme de la terrasse inondée de soleil.
Le lendemain, je rejoignis la mairie où allait se dérouler la cérémonie. Je m’installai au fond de la pièce, laissant les places de devant à la famille. C’est alors qu’elle entra et mon cœur chavira instantanément, happé par son regard si vert au milieu de cette crinière brune. Elle me sourit et vînt s’asseoir à côté de moi, ne semblant pas accompagnée. En attendant le début de la cérémonie, nous échangeâmes quelques mots et j’appris qu’elle était une amie de la mère de la mariée et qu’elle résidait en Savoie. Avec ses hauts talons elle était presque aussi grande que moi et je sentais les effluves de son parfum si connu par le numéro qu’il porte. Lors du vin d’honneur qui suivit la cérémonie, je ne la vis que sporadiquement, très occupée qu’elle était à apporter son soutien à son amie pour le service des boissons et autres petits-fours. A chaque fois qu’elle passait près de moi elle ne manquait pas de m’adresser un joli sourire. Le dîner nous maintint à distance l’un de l’autre par les caprices du plan de tables. Après le repas et alors que la fête battait son plein nous pûmes discuter ensemble et mieux faire connaissance. J’appris qu’elle était divorcée depuis peu et qu’elle avait la garde de ses deux garçons de 18 et 16 ans, ce qui me fit drôle en pensant que je n’avais que dix ans de plus que son aîné. Elle m’apprit qu’elle restait dormir sur place, afin de pouvoir aider la famille de la mariée à tout remettre dans cette salle louée pour l’occasion. Je pris congé en lui disant que j’avais été ravi de la rencontrer et en lui souhaitant bonne chance.
De retour à mon hôtel non loin de là, je n’arrivais pas à dormir, ce regard envoûteur m’accompagnant encore. Mû par une poussée subite, je retournai sur les lieux de la fête et trouvai sa voiture garée là. Toutes les lumières de la bâtisse étaient éteintes et je décidai de lui laisser un mot sur son pare-brise lui disant que nous nous étions quittés trop vite et j’aimerais bien la revoir. J’indiquai le nom de mon hôtel et rentrai me coucher. Le lendemain matin, vers les dix heures et alors que j’étais encore au lit, j’entendis frapper à la porte. Je me levai et entrouvris la porte. C’était elle. Me rendant compte que j’étais nu, je courus me réfugier sous les draps. Ma belle entra et s’assit sagement sur une chaise à côté du lit. Elle me dit que mon petit mot découvert sur son pare-brise l’avait agréablement surprise et qu’elle s’était fait violence pour venir toquer ainsi à ma porte. Nous bavardâmes longtemps sans jamais oser aller plus loin. Elle me quitta en me souhaitant de bonnes vacances et je restai le reste de la journée à la terrasse de l’hôtel, ne sachant pas vraiment quoi faire.
Cette jolie femme mûre me semblait tellement inaccessible et j’espérais qu’elle fît le premier pas. Sirotant ma boisson, l’après-midi s’étirant, la patronne de l’hôtel vint me chercher en disant qu’il y avait un appel pour moi. C’était Josiane qui m’expliqua qu’elle rentrait le lendemain chez elle et qu'elle proposait de me faire visiter sa jolie région si je le souhaitais. J’acceptai et c’est le cœur sur un petit nuage mais avec une boule au ventre que je passai la nuit suivante. Arrivé au rendez-vous fixé, je fis la bise à cette beauté et elle me proposa de la suivre avec mon véhicule. Je traversai de sublimes paysages, suivant la voiture de cette inconnue vers un avenir encore plus inconnu. Arrivé sur les bords du lac du Bourget, je pris une chambre dans un très bel hôtel que Josiane m’avait conseillé et nous décidâmes de nous retrouver le soir même sur le port d’Aix les Bains pour dîner ensemble.
La nuit était tombée lorsque ma belle arriva, moulée dans une très jolie jupe noire courte et de belles sandales assorties mettant en valeur ses jambes et le galbe de ses hanches. Les boutons de son chemisier blanc avaient du mal à retenir sa poitrine orgueilleuse et les trois premiers détachés offraient une vue magnifique sur un très joli décolleté. Nous marchâmes côte à côte le long du lac, la soirée était très douce et soudain sa main vînt se blottir dans la mienne. Je tournai la tête et elle m’offrit un très joli sourire rassurant. Au bout de quelques minutes nous nous assîmes sur un banc et Josiane s’allongea, sa tête reposant sur mes cuisses. Nous discutions et elle me demanda soudain quel était mon âge. Je le lui donnai et dans un soupir elle me dit qu’après tout ça n’avait que peu d’importance. Je sentais bien qu’il fallait que je passe à l’action malgré la timidité que j’éprouvais sous peine de passer pour un benêt. Je lui caressais les cheveux et elle me regardait fixement, son regard agissant comme un aimant. Je baissai la tête pendant que la sienne vînt à ma rencontre et nous échangeâmes notre premier baiser. J’avais déjà connu quelques femmes, principalement de mon âge, mais je sentais qu’avec celle-ci les choses allaient être différentes. Une demi-heure plus tard nous étions dans ma chambre d’hôtel et la belle me suçait furieusement… Ce fût la première nuit torride ensemble et il y en eût encore de très nombreuses où nous reculâmes les frontières de nos désirs, ne nous lassant d’explorer de nouvelles voies et sensations.
Le soleil était très haut et notre vedette bougeait tout doucement sous l’effet du faible clapotis. Les jolis doigts aux ongles longs vernis de rouge brillant accompagnaient la bouche de Josiane qui m’aspirait. Agenouillée entre mes cuisses, je pouvais admirer ses magnifiques seins se balançant au rythme de sa fellation. Sa peau était maintenant cuivrée suite aux nombreuses journées passées à nous prélasser nus au soleil depuis le début de ce deuxième été après notre rencontre l’année précédente. A sa taille et à sa cheville, je pouvais admirer les très jolies chaînes en argent ramenées de Taxco lors de mon dernier voyage au Mexique. Très attiré par ce type de bijoux, j’avais exprimé mon désir de lui en offrir et elle m’avait répondu qu’elle les porterait avec plaisir car elle aussi trouvait ça très esthétique et sensuel. Josiane se redressa et vînt se mettre à quatre pattes sur l’autre banc à l’arrière de l’embarcation et de ses deux mains écarta ses fesses telle une offrande. Je me positionnai derrière elle et, saisissant ses hanches, je l’empalai d’un seul mouvement, sa chatte brûlante et trempée de désir avalant ma queue tendue. Quel délice de limer ainsi cette très belle femme dans un décor aussi majestueux. Je continuais à pilonner ce fourreau si chaud lorsqu’un avion de patrouille maritime italien passa juste au dessus de nous à basse altitude et je me dis que son équipage avait dû avoir un très joli et fugitif spectacle. Oh temps, suspends ton vol…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Chose promise, chose dûe...C'est avec plaisir que nous avons parcouru ce charmant récit
aussi charmant que sensuel.
L'histoire est belle et magnifiquement décrite, comme l'ensemble de tes textes; nous
t'en félicitons sincèrement.
Bises complices.
Kitty et Alex

Histoire Erotique
Hum j ai une bosse dans mon pantalon est ce normale?



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