Olivier c'est fait toute la famille - histoire érotique

Olivier ? C’est mon beau frère, bel homme de trente huit ans, marié à sœur Sandrine trente cinq ans, ses copines l’avaient pourtant prévenue que c’était un chaud lapin…il a été l’amant de toute la famille ! Et c’est encore le mien, je m’explique :
Au début de leur mariage ils vivaient a la maison, j’étais encore trop jeune pour l’intéresser, je n’avais pas encore de formes, mais il guettait mes transformations, par contre maman lui plaisait bien et je pense que c’était réciproque, olivier touchait souvent les fesses de ma mère lorsqu’il passait derrière elle, papa ne voyait rien, ou, avec le recul, je crois qu’il faisait semblant

Un jour je suis rentrée du lycée plus tôt que prévus, j’ai entendu des soupirs et des gloussements venir du garage, maman était affalée a moitié nue, les seins écrasés sur l’aile de la voiture, la jupe retroussée sur le dos, sa culotte rose gisait sur le capot, olivier agrippé a ses hanches la besognait a grand coups de reins, surprise j’ai poussé un cri, découverte, il s’est retiré complètement du con, j’ai vue une grosse queue brillante de jus, maman, cramoisie, est partie en courant a la cuisine sans me jeter un regard , olivier, sans se démonter est passé prés de moi en s’essuyant la queue et m’a lancée une phrase qui résonne encore a mon oreille

- Un jour ce sera ton tour, petite fouineuse

Je ne sais pas s’ils ont continués à se voir…. cette vision m’a marquée, pas celle de maman qui se faisait troncher, non ça m’écœure, mais celle de cette grosse verge allant et venant dans le fourreau poilu, aussi le soir entre mes drap je me remémore la scène en passant mes doigts sur ma chatte, une queue pareille ça fait du bien ou du mal ? Quelque temps après papa et olivier, un peu ivres tous les deux, plaisantaient au sujet des homosexuels

- Vous n’avez jamais essayé beau père ?
- Non, mais un dicton dit : il ne faut pas mourir idiot ! si j’en avais l’occasion je crois que je n’hésiterais pas !
- Il faudra que l’ont se parle ….

La nuit suivante il y a eu un brouhaha dans la maison, maman venait de tomber sur les deux amants, dans le garage, exactement là ou elle se faisait baiser, cela a déclenché un séisme

- Tu te rends compte ? Il ne lui reste plus qu’a sauter notre fille qui a seulement treize ans ?

Ma sœur et son mari furent invités à quitter la maison séance tenante, au cas où mon beau frère m’aurais accaparée pour me mettre dans son lit, logés dans l’urgence au troisième étage d’un immeuble, je n’avais pas le droit de rendre visite a ma sœur qui s’est faite faire deux mômes coups sur coups, cela me peinais beaucoup de ne pas connaitre mes neveux, a mes dix sept ans, toujours vierge car beaucoup fliquée, a la limite séquestrée ! je peux enfin revoir ma sœur et ses petits a ma guise
J’y suis allée un weekend, le premier regard de mon beau frère m’a complément déshabillée, mes seins avaient bien changés et mon cul joliment courbé semblait lui plaire
Cela a commencé dés le premier repas, a table j’étais en face de lui, pour la petite histoire, tous le monde circulait dans la maison pied nu, pour ne pas déranger les voisins du dessous , tout a coup j’ai senti son pied sur le mien , croyant a un hasard , je me suis retirée, peine perdue il est revenu a la charge, avec ses grandes guibolles il venait aisément jusqu'à moi, ma sœur s’en ai aperçue

- Tu devrais garder ton quarante cinq fillette sous ta chaise chéri, tu gêne ma petite sœur !
- Ce n’est pas ma faute si j’ai de grandes jambes !
- Ça ne me gêne pas ! Je gare les miens de toute façon !

Peu après c’est mon genou qui subissait ses assauts, il le poussait pour m’obliger à l’écarter, le nez dans mon assiette, je l’ai fait …. Et, je me suis avancée sur ma chaise …le pied s’est infiltré loin, très loin entre mes cuisses, le gros orteil enfonçait le coton de ma culotte dans ma fente trempée, j’ai poussé un léger cri en sautant sur ma chaise lorsqu’il a décalotté mon clitoris…

- Que t’arrive-t-il ?
- Rien, c’est une mouche qui me suçait la jambe

En faisant la vaisselle à l’évier, Olivier profite du fait que sa femme ait le dos tourné et que j’ai les mains dans l’eau pour passer les siennes sous mes bras et pétrir énergiquement mes seins, son membre durci dans son pantalon appuyé fortement sur mes reins

- Tu la sens ? elle te fait envie hein ? C’est pour très bientôt …
- Laisse-moi ….
- Ta sœur va te demander de garder les gosses demain après midi, tu vas accepter sinon ….
- SINON QUOI … ?
- Vous vous chamaillez encore vous deux ?
- Non sœurette tout va bien
- Je descends apprendre Corentin à faire du vélo, vous me rejoignez ?
- Je passe le balai et je te rejoins
- Tu viens Olivier ?
- Je te suis

Ouff ! J’avais peur qui ne trouve un prétexte pour rester, une fois mon travail accomplis je vais a la fenêtre de la salle a manger pour voir les progrès de Corentin, je passe derrière le rideau épais qui protège du bruit et du soleil , le radiateur collé a la fenêtre m’oblige a me courber , accoudée a l’embrasure je regarde le gamin qui a du mal a tenir l’équilibre , sa mère est trop occupée pour me voir ,mais Olivier m’a vue … qu’est-ce qui m’a prise de le narguer ? Je défais un bouton, puis deux a mon corsage, je passe une main dans mon décolleté pour me pincer un téton déjà dur, il passe une main sur sa braguette avant de parler a sa femme, puis il se dirige a grandes enjambées vers l’entrée, je ne bouge pas …
J’entends la porte d’entrée se refermer, cachée derrière mon rideau je pense être à l’ abri …en fait je suis a l’abri des regards d’en bas mais pas de l’intérieur, soudain le rideau se soulève entrainant en même temps ma jupe, je sens l’air frais sur mes fesses, une main agrippe rudement ma culotte, elle glisse jusqu’au sol

- Soulève un pied … écarte les jambes ….

Je fais semblant de résister mais je n’attends que ça, an bruit je devine qu’il se débraguette, va-t-il me baiser ici ? Un doigt vient en éclaireur vérifier si je mouille

- Ne l’enfonce pas, je suis vierge …
- VIERGE ? merde ! je ne vais pas gâcher ce moment de plaisir… j’ai une idée, cambre toi bien …
- Que va-tu faire ?
- T’inquiète …

Un manche rond et doux passe et repasse dans mon sillon, au passage frotte mon clitoris et se graisse de mon jus, puis … non ! …….

- Détend toi …ça va rentrer tout seul tu es bien excitée

Son manche pèse sur mon anus, par petites touches de plus en plus précises, mes muscles anaux se relâchent, ça me brule mais je ne peux pas crier sans alerter ma sœur, et il est trop tard pour me dégager de là, la queue vient de faire son passage, quelques secondes d’arrêt et il passe en force, je serre les dents, mes ongles griffent la peinture, je suis enculée ….

- Tu vois ? Ce n’est pas terrible et maintenant je vais te faire du bien, essaie de ne pas bouger ton torse sinon ta sœur va rappliquer !
- Tu ne me baise pas ?
- Chaque choses en son temps… putain t’es serrée, je vais décharge vite fait, de toute façon on ne peut pas s’éterniser ! que ressens-tu ?
- Ça fait drôle, c’est gros, mais j’aime ça …
- Tu verras dans la moule c’est cent fois mieux !
- Tu me lécheras ?
- Si tu me suce avant oui
- Hoooooo tu me fais du biiieeeennnnnnnn……..
- Moi aussi ça me déglingue ! je décharge bordel ! haaaaaaaaaaaaaaaaoooooooooo !
- Je jooooouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiis
- Ta gueule ! aller, barre toi à la salle de bain et descend vite, avant fait coucou à ta sœur !
- Coucou ! j’arrive !...
- Aaah quand même ! ou est Olivier ?
- J’sais pas …..

Après une toilette rapide et du papier pour empêcher le sperme de redescendre dans mon slip je rejoins le groupe

- Tu es rouge !
- C’est la chaleur et puis j’ai couru …
- Corentin y arrive presque, regarde
- En effet, bon, je vais bientôt rentrer à la maison
- Ha ??? tu ne peu pas rester jusqu'à demain soir ? j’ai deux entretiens d’embauche et Olivier vient de se désister pour garder les gosses
- Alors dans ce cas … c’est oui bien sûr !
- Merci sœurette !

Le reste de la soirée c’est déroulée normalement, Olivier me jette de coups d’œil significatifs… en clair demain j’y passe …. Pourtant au matin il part au travail comme d’habitude, a midi je fais manger mes neveux et les couchent pour la sieste, un peu déçue de ne pas me faire sauter j’allume la télé en sourdine quand la porte d’entrée s’ouvre

- Tu ne comptais plus sur moi ?
- Non
- Aller a poil ne perdons pas de temps, montre moi tes nichons et ta chatte avant que je ne la broute
- On va sur mon lit ?
- Si tu veux, regarde ma trique … pas mal hein ?
- Elle est grosse …j’en ai jamais sucée …
- Je vais te montrer comment masturber et sucer en même temps, tu avale mon foutre
- C’est obligatoire ?
- Bien sûr, une bonne salope ne refuse jamais ça !
- Je ne suis pas une salope !
- T’es une salope et une chaudasse ! approche de ma queue … avale la goutte qui perle, c’est le meilleur !
- Mmuuuuuummmmmm c’est boooooonnnnnn
- Ouvre la bouche …. Retrousse ma queue, avale … encore ….
- Huuuummmm
- Ne rechigne pas ! lààààà, c’est mieux, aspire, fait coulisser ma peau en même temps…plus vite … haaaaaaaaooooooouuuuuuuiiiiiiiiiii !

Il m’enfonce sa queue de plus en plus loin, a la limite de ma luette, à la limite du vomissement, pendant ce temps il frictionne ma vulve, graissant mes lèvres avec mes sécrétions intimes, mon clito est décalotté, bousculé, j’ai envie de baiser !


Son membre manifeste de tressautements, il se raidit, dessous je sens quelque chose qui se gonfle par à-coups, il va jouir ? J’en ai la confirmation lorsque j’en prends plein la gorge, j’hoquette, je recrache, je tousse, des larmes coulent sur mes joues, il se marre ce con !

- Tu as réussi ton baptême de la pipe ! Ta moule est adorablement petite …tire sur tes lèvres, montre moi l’intérieur….. muuuuuummmmmm, j’adore ce rose bonbon

Dans une position que je n’avais jamais osé prendre, les jambes relevées, les deux mains sous mes fesses, je tire sur ma peau, en se décollant mes lèvres font un bruit mouillé, comme si ma chatte envoyait un petit bécot a olivier, il ne résiste pas et colle violemment sa bouche a mon entre jambes, surprise je resserre mes cuisses, sa langue entre en action, s’enfonçant très loin dans ma vulve en feu, du coup j’écarte les jambes a l’équerre, mon amant grogne de satisfaction, ses doigts visitent mon anus encore sensible de la veille
Mes mains appuient sur sa tête de peur qu’il ne se retire avant que je ne jouisse dans sa bouche, j’ai bien ri lorsqu’il s’est étouffé avec mon jus !

- Petite peste, écarte les cuisses je vais te faire ton affaire, je te préviens, je décharge dans ton con
- Je me rincerai la chatte sous la douche, baise moi …

A genoux au plus prés de mon cul, il guide son manche cramoisi sur ma fente baveuse, un aller retour de haut en bas pour mettre mon trou a jour et son gland pointe son museau a l’entrée de ma cavité

- Respire fort, j’y vais d’un coup ? Ou je prends mon temps afin que tu voies ta moule absorber ma bite
- Par petits coups …
- Ça risque de te bruler
- Tans pis, ça ne me le feras pas deux fois
- Ok, je vais peser sur ta membrane…
- là tu y es… avance encore ? je ne vois plus ton bout …AIE …. AIIIIIEEEEEE !!!!
- Et voilà le travail, il en reste pas mal à te mettre, tu saigne un peu
- Pas grave, y’a une serviette sous mon cul, ça fait drôle, jamais rien n’a été si loin dans ma vulve, touille un peu avec ta queue
- Comme ça ?
- Ouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii ! encore ! encore ! encore !!!
- Je suis a fond, a présent je vais te ramoner le conduit, noues tes pieds autour de mes reins, accroche toi à mon cou

En bon amant, il varie la rapidité et les angles de pénétration, j’ai l’impression de devenir incontinente, du liquide chaud coule dans mon sillon, et soudain une onde grandissante monte du creux de mes reins, mon clitoris va exploser, mes cuisses tremblent, ma vessie se vide, je ne peux réprimer les cris de joie lorsque l’orgasme explose dans ma tête

- Putain tu me lave les couilles, ta chatte serre ma queue, je vais tout te mettre …
- OOUUUUUUUIIIIIIIII !!!!!! c’est booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn, c’est trop boooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !
- Prend ça salope ! woooooouuuuuuuuuuaaaaaaaaaaaahhhoooooooooooooooo !

Essoufflée et en nage je vais me lever pour aller me nettoyer le vagin qui n’arrête pas de couler

- Ne bouge pas je remets le couvert !
- Tu me baise encore ?
- Pour qui me prends-tu ? je tire trois coups sans débander !
- Alors prend moi à quatre pattes
- Ensuite tu viendras sur moi, je ne vais faire tout le boulot !