Oups ... Martine a fait une bettise ....
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Oups ... Martine a fait une bettise ....
Cet après midi de juillet il fait beau et chaud, Martine se fait bronzer sur sa terrasse, la tête a l’ombre sous le parasol tout le reste de son corps gracile est offert aux rayons du soleil, a part son sexe fraichement rasé est protégé par un mini slip en tulle rouge, il est d’ailleurs taché d’une auréole sombre, surement due au roman qu’elle lit
L’histoire raconte la vie d’une femme, qui pourrait ressembler a celle de n’importe quelle femme, Martine y compris, celle-ci va se donner au meilleur ami de son mari, elle est a fond dans cet instant ou elle va succomber aux charmes de ce beau parleur …et soudain le carillon de la porte d’entrée rompt l’ensorcellement du récit, elle n’a pas envie de se lever mais l’intrus ou l’intruse insiste lourdement, elle décide d’aller envoyer paitre cet importun, mais pour cela elle doit enfiler la blouse boutonnée devant pour cacher ses seins et ses cuisses rougies qui témoigne de son exposition au soleil
En marchant sa chatte fait une bulle, preuve de son excitation, Martine ouvre légèrement la porte évitant de se dévoiler entièrement car sa poitrine nue est quand même bien visible…
- Ah, c’est toi Fredo ?
- Bonjour Martine, j’espère ne pas te déranger ?
- C’est fait, que veux-tu ? Kevin n’est pas là
- Je le sais, je passais dans le coin et je suis venu voir si tu voulais bien m’offrir une bière
- Bon entre, tout compte fait je vais en boire une aussi
- A en juger par ta couleur te prenais le soleil ?
- Oui, excuse ma tenue
- Au contraire je n’en vois pas assez !
Ce Fredo est un ami proche de son mari, elle sait qu’à la moindre occasion il s’évertue à détailler ses formes, que son mari soit là ou non, aussi elle ne s’offusque pas lorsque son regard s’appesantit sur la naissance de ses seins, il faut dire aussi qu’il ne lui est pas indifférent, si elle prenait un amant il lui ressemblerait certainement, assise face a lui ils sirotent la bière fraiche, elle prend soin de serrer les genoux car les yeux de l’homme s’égarent souvent a cet endroit, elle est gênée et aussi flattée par cette envie de l’homme a son encontre, mais Martine est une femme fidèle, elle a toujours résisté aux charmeurs de son genre …
- Que fait tu par ici ?
- Je te l’ai dit je passais par hasard et j’avais soif, je suis navré d’avoir interrompu ta séance de bronzage, qu’entre parenthèses j’aimerais bien voir !
- Compte là dessus !
- Tu es belle Martine, je donnerais n’importe quoi pour admirer te seins
- Houuuu ? n’importe quoi ? c’est-à-dire ?
- Je pose cent euros sur cette table et tu dégrafe le haut !
- Cent euros pour simplement voir mes nichons ?
- Tien, regarde ….
L’homme sort une liasse de sa poche et balance négligemment deux billets de cinquante sur la table, Martine est médusée, elle réfléchie car c’est juste le prix de cette paire de chaussure qu’elle a vu en vitrine … mais tout de même, d’où sort-il ce fric il n’en a jamais, aurait-il gagné au loto ? ! C’est comique car s’il lui demandait sans rien donner elle le ferait sans doute !
- Tu es fou ? cent euros ???
- Prend les ils sont a toi ….
- Juste pour voir, c’est tout hein ?
- C’est tout, promis, je ne bouge pas de mon siège
- Ça reste entre nous OK ?
- OK
Les doigts tremblant elle défait les quatre boutons qui vont dévoiler sa poitrine dont les tétons viennent de se dresser subitement, il y a aussi sa chatte qui vient de faire une deuxième bulle inondant les lèvres fines de mouille, en même temps elle voit la bosse qui s’est formée entre les jambes du copain de son mari, c’est sûr, il la désire…
Rouge comme une pivoine, mais cette fois le soleil n’est pas en cause, elle fait glisser la blouse sur ses épaules, sa poitrine arrogante gonflée de désir nargue l’homme qui reste un moment sans voix, il déglutit difficilement
- Que c’est beau …. Ils se tiennent très bien…tes aréoles sont très brunes, il parait que c’est signe que la femme est chaude
- Ça y est ? tu as finis tes âneries ? je peux me rhabiller ?
- ATTEND !!!... cent de plus et je les touches ….
Deux cents …. Deux cents euros pour se faire caresser les seins…ce n’est pas tromper ?
- Approche Fredo…
Fredo se précipite et se penche sur la poitrine offerte, il tente de faire un soutient gorge de ses larges mains avant d’aspirer tète un téton et de malaxer délicatement l’autre, Martine ne peux refouler un gémissement encourageant l’homme qui redouble d’ardeur, elle appui même sur la tête afin qu’il continue, ses cuisses sont serrées pour empêcher sa chatte de dégouliner…elle revient enfin à la réalité et repousse mollement l’homme pour ne pas succomber a la tentation de se donner totalement
- Retourne t’assoir Fredo je t’en supplie
- Excuse-moi mais c’était super pour moi, et pour toi ?
- Je ne répondrais pas à cette question …
- Martine, je suis raide dingue de toi … trois cents de plus et tu ôte ta blouse …
- Bah ! tu plaisante ? tu ne les as pas !
- Et ça ??
- Des billets de cent ? j’n’en ai jamais vus …
- Touche les, ce n’est pas des faux …
- Et pour ça tu regarde seulement ?
- Tu te lève, tu enlève ta culotte et tu écarte ta chatte afin que je voie l’intérieur de ton bijou c’est tout
L’argent tourne la tête de Martine qui obéit comme un automate, elle agrippe sa culotte empéguée de cyprine lui colle a la moule, Fredo a les yeux rivés sur la vulve dépourvue de toison, il n’en a jamais vu de lèvres lisses et luisantes séparées par une ligne fine ou émerge tout là-haut un capuchon bien renflé qui a de la peine a contenir le clitoris, il tient la bosse de sa braguette a pleine main
- Non de dieu que tu es belle …regarde comme je bande
- Je vois, mais je ne tromperais pas mon mari
- Montre toi a moi … prend des positions sensuelles
- Ça, je peux le faire …
Martine s’assied au bord de la table, ouvre les cuisses et tire sur ses lèvres, une nouvelle bulle éclate dans un petit bruit sec
- Tu mouille hein ? je suis sûr que tu as envie de baiser !
- Désolée, c’est Kevin qui en profitera ce soir …
- Le veinard …montre toi encore …
- Je te fais confiance, tu reste où tu es
Elle veut en finir, tout de même il lui a donné cinq cent euros, alors en espérant le combler une fois pour toutes elle se lève, lui tourne le dos et penche son buste vers le sol autant qu’elle le peu, elle sait que son mari raffole de cette vue, elle en remet une couche en faisant bouger ses fesses alternativement
- Merde alors ! On dirait le cul d’une biche en chaleur, quelle chatte ! Et ce petit trou boursouflé, il a déjà servi ?
- Ça ne te regarde pas !
- Je vais décharger dans mon pantalon si ça continue
- Tu veux que j’arrête ?
- Surtout pas ! si tu le permets je vais me finir a la main, a moins que ….
- A moins que ???
- Que je te baise ?
- Jamais de vie, met un doigt si tu veux et c’est tout, après je me rhabille
- Merci Martine !
Fredo s’approche des fesses rondes qui encadrent la vulve suintante de jus, le majeur en avant s’enfonce sans rencontrer de résistance, il en joint un deuxième et commence un va-et-vient bruyant et infernal qui fait gémir la femme, si ça continue elle va perdre pied et se laisser pénétrer par la queue qu’elle a entrevue et qu’elle devine a quelques centimètres de sa chatte, dans un effort surhumain elle s’arrache au plaisir qui montait, l’homme perd l’équilibre et se retrouve assis sur une chaise
- Ça suffit Fredo !
- Oohhh non ! aie pitié de moi, regarde la trique que j’ai !
- Peut être mais je t’ai dit que je ne tromperais pas Kevin
- Même pour ça ?
- Encore de l’argent ???
- Y’a cinq cent dans cette liasse, tu viens t’assoir sur ma bite et ils sont a toi
Les chiffres et la sagesse se bousculent dans sa tête, mille euros ! Elle pourrait en faire des choses avec ça …elle se voit déjà gérer de petites dépenses afin de ne pas éveiller les soupçons de son mari qui ne saura jamais rien de cette incartade…
- Jette-les sur la table …
- C’est fait, vient t’enfiler sur ma queue
Malgré une dernière hésitation elle ouvre les jambes et avance pas à pas sur les genoux de l’homme qui tient sa verge congestionnée pointée vers le plafond, arrivée juste sur le gland mafflu elle ouvre sa moule déjà bien entrebâillée et se laisse descendre de quelques centimètres, le nœud est comme aspiré par le vagin
- Va-y laisse toi tomber sur mon pic et accroche toi à mon cou, ensuite fait du rodéo sur ma queue
- Je suis folle ! mais qu’est-ce c’est bon
- Baise ma poule ! laisse ton jus couler sur mes burnes, je vais te remplir le ventre de foutre chaud
- Je n’ai jamais trompé Kevin
- Il n’en saura jamais rien si tu ne parles pas
- Cogne fort dans ma moule, laisse moi un souvenir impérissable, finit moi je vais jouir …. Ooooooooooohhhhhhhhhhhhhhooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii !!!!!!!
- Aaaaaaaaaahhhhhhhhh moi aussi je vais t’arroser l’utérus…. Wooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaaah
Terrassés par les orgasmes les deux amants reprennent difficilement leur souffle, dés qu’elle a retrouvés ses esprits martine s’arrache à l’accouplement
- Mon dieu ! Qu’est-ce que j’ai fais ? Fout le camp d’ici vite fait !
Sans perdre le nord elle attrape les billets et les serrent contre sa poitrine comme un trésor de guerre, honteuse elle court a la salle de bain laissant tomber des gouttes suspecte derrière elle ? Après une douche bien méritée Martine a essayé de cacher les cernes qui marquent ses yeux
Partagée entre euphorie et remords, elle attend fébrilement son mari qui, dés son arrivée lui pose une question qui la déstabilise …
- Fredo est passé cet après midi ?
- Euuuuh … oui …comment sait tu ça ????
- Pourquoi cette question ? il m’a téléphoné pour me dire qu’il venait t’apporter les mille euros qu’il me devait !
- QUOOOOI ???????????????
……..OUPS … C'est la bourde !!!!!
L’histoire raconte la vie d’une femme, qui pourrait ressembler a celle de n’importe quelle femme, Martine y compris, celle-ci va se donner au meilleur ami de son mari, elle est a fond dans cet instant ou elle va succomber aux charmes de ce beau parleur …et soudain le carillon de la porte d’entrée rompt l’ensorcellement du récit, elle n’a pas envie de se lever mais l’intrus ou l’intruse insiste lourdement, elle décide d’aller envoyer paitre cet importun, mais pour cela elle doit enfiler la blouse boutonnée devant pour cacher ses seins et ses cuisses rougies qui témoigne de son exposition au soleil
En marchant sa chatte fait une bulle, preuve de son excitation, Martine ouvre légèrement la porte évitant de se dévoiler entièrement car sa poitrine nue est quand même bien visible…
- Ah, c’est toi Fredo ?
- Bonjour Martine, j’espère ne pas te déranger ?
- C’est fait, que veux-tu ? Kevin n’est pas là
- Je le sais, je passais dans le coin et je suis venu voir si tu voulais bien m’offrir une bière
- Bon entre, tout compte fait je vais en boire une aussi
- A en juger par ta couleur te prenais le soleil ?
- Oui, excuse ma tenue
- Au contraire je n’en vois pas assez !
Ce Fredo est un ami proche de son mari, elle sait qu’à la moindre occasion il s’évertue à détailler ses formes, que son mari soit là ou non, aussi elle ne s’offusque pas lorsque son regard s’appesantit sur la naissance de ses seins, il faut dire aussi qu’il ne lui est pas indifférent, si elle prenait un amant il lui ressemblerait certainement, assise face a lui ils sirotent la bière fraiche, elle prend soin de serrer les genoux car les yeux de l’homme s’égarent souvent a cet endroit, elle est gênée et aussi flattée par cette envie de l’homme a son encontre, mais Martine est une femme fidèle, elle a toujours résisté aux charmeurs de son genre …
- Que fait tu par ici ?
- Je te l’ai dit je passais par hasard et j’avais soif, je suis navré d’avoir interrompu ta séance de bronzage, qu’entre parenthèses j’aimerais bien voir !
- Compte là dessus !
- Tu es belle Martine, je donnerais n’importe quoi pour admirer te seins
- Houuuu ? n’importe quoi ? c’est-à-dire ?
- Je pose cent euros sur cette table et tu dégrafe le haut !
- Cent euros pour simplement voir mes nichons ?
- Tien, regarde ….
L’homme sort une liasse de sa poche et balance négligemment deux billets de cinquante sur la table, Martine est médusée, elle réfléchie car c’est juste le prix de cette paire de chaussure qu’elle a vu en vitrine … mais tout de même, d’où sort-il ce fric il n’en a jamais, aurait-il gagné au loto ? ! C’est comique car s’il lui demandait sans rien donner elle le ferait sans doute !
- Tu es fou ? cent euros ???
- Prend les ils sont a toi ….
- Juste pour voir, c’est tout hein ?
- C’est tout, promis, je ne bouge pas de mon siège
- Ça reste entre nous OK ?
- OK
Les doigts tremblant elle défait les quatre boutons qui vont dévoiler sa poitrine dont les tétons viennent de se dresser subitement, il y a aussi sa chatte qui vient de faire une deuxième bulle inondant les lèvres fines de mouille, en même temps elle voit la bosse qui s’est formée entre les jambes du copain de son mari, c’est sûr, il la désire…
Rouge comme une pivoine, mais cette fois le soleil n’est pas en cause, elle fait glisser la blouse sur ses épaules, sa poitrine arrogante gonflée de désir nargue l’homme qui reste un moment sans voix, il déglutit difficilement
- Que c’est beau …. Ils se tiennent très bien…tes aréoles sont très brunes, il parait que c’est signe que la femme est chaude
- Ça y est ? tu as finis tes âneries ? je peux me rhabiller ?
- ATTEND !!!... cent de plus et je les touches ….
Deux cents …. Deux cents euros pour se faire caresser les seins…ce n’est pas tromper ?
- Approche Fredo…
Fredo se précipite et se penche sur la poitrine offerte, il tente de faire un soutient gorge de ses larges mains avant d’aspirer tète un téton et de malaxer délicatement l’autre, Martine ne peux refouler un gémissement encourageant l’homme qui redouble d’ardeur, elle appui même sur la tête afin qu’il continue, ses cuisses sont serrées pour empêcher sa chatte de dégouliner…elle revient enfin à la réalité et repousse mollement l’homme pour ne pas succomber a la tentation de se donner totalement
- Retourne t’assoir Fredo je t’en supplie
- Excuse-moi mais c’était super pour moi, et pour toi ?
- Je ne répondrais pas à cette question …
- Martine, je suis raide dingue de toi … trois cents de plus et tu ôte ta blouse …
- Bah ! tu plaisante ? tu ne les as pas !
- Et ça ??
- Des billets de cent ? j’n’en ai jamais vus …
- Touche les, ce n’est pas des faux …
- Et pour ça tu regarde seulement ?
- Tu te lève, tu enlève ta culotte et tu écarte ta chatte afin que je voie l’intérieur de ton bijou c’est tout
L’argent tourne la tête de Martine qui obéit comme un automate, elle agrippe sa culotte empéguée de cyprine lui colle a la moule, Fredo a les yeux rivés sur la vulve dépourvue de toison, il n’en a jamais vu de lèvres lisses et luisantes séparées par une ligne fine ou émerge tout là-haut un capuchon bien renflé qui a de la peine a contenir le clitoris, il tient la bosse de sa braguette a pleine main
- Non de dieu que tu es belle …regarde comme je bande
- Je vois, mais je ne tromperais pas mon mari
- Montre toi a moi … prend des positions sensuelles
- Ça, je peux le faire …
Martine s’assied au bord de la table, ouvre les cuisses et tire sur ses lèvres, une nouvelle bulle éclate dans un petit bruit sec
- Tu mouille hein ? je suis sûr que tu as envie de baiser !
- Désolée, c’est Kevin qui en profitera ce soir …
- Le veinard …montre toi encore …
- Je te fais confiance, tu reste où tu es
Elle veut en finir, tout de même il lui a donné cinq cent euros, alors en espérant le combler une fois pour toutes elle se lève, lui tourne le dos et penche son buste vers le sol autant qu’elle le peu, elle sait que son mari raffole de cette vue, elle en remet une couche en faisant bouger ses fesses alternativement
- Merde alors ! On dirait le cul d’une biche en chaleur, quelle chatte ! Et ce petit trou boursouflé, il a déjà servi ?
- Ça ne te regarde pas !
- Je vais décharger dans mon pantalon si ça continue
- Tu veux que j’arrête ?
- Surtout pas ! si tu le permets je vais me finir a la main, a moins que ….
- A moins que ???
- Que je te baise ?
- Jamais de vie, met un doigt si tu veux et c’est tout, après je me rhabille
- Merci Martine !
Fredo s’approche des fesses rondes qui encadrent la vulve suintante de jus, le majeur en avant s’enfonce sans rencontrer de résistance, il en joint un deuxième et commence un va-et-vient bruyant et infernal qui fait gémir la femme, si ça continue elle va perdre pied et se laisser pénétrer par la queue qu’elle a entrevue et qu’elle devine a quelques centimètres de sa chatte, dans un effort surhumain elle s’arrache au plaisir qui montait, l’homme perd l’équilibre et se retrouve assis sur une chaise
- Ça suffit Fredo !
- Oohhh non ! aie pitié de moi, regarde la trique que j’ai !
- Peut être mais je t’ai dit que je ne tromperais pas Kevin
- Même pour ça ?
- Encore de l’argent ???
- Y’a cinq cent dans cette liasse, tu viens t’assoir sur ma bite et ils sont a toi
Les chiffres et la sagesse se bousculent dans sa tête, mille euros ! Elle pourrait en faire des choses avec ça …elle se voit déjà gérer de petites dépenses afin de ne pas éveiller les soupçons de son mari qui ne saura jamais rien de cette incartade…
- Jette-les sur la table …
- C’est fait, vient t’enfiler sur ma queue
Malgré une dernière hésitation elle ouvre les jambes et avance pas à pas sur les genoux de l’homme qui tient sa verge congestionnée pointée vers le plafond, arrivée juste sur le gland mafflu elle ouvre sa moule déjà bien entrebâillée et se laisse descendre de quelques centimètres, le nœud est comme aspiré par le vagin
- Va-y laisse toi tomber sur mon pic et accroche toi à mon cou, ensuite fait du rodéo sur ma queue
- Je suis folle ! mais qu’est-ce c’est bon
- Baise ma poule ! laisse ton jus couler sur mes burnes, je vais te remplir le ventre de foutre chaud
- Je n’ai jamais trompé Kevin
- Il n’en saura jamais rien si tu ne parles pas
- Cogne fort dans ma moule, laisse moi un souvenir impérissable, finit moi je vais jouir …. Ooooooooooohhhhhhhhhhhhhhooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii !!!!!!!
- Aaaaaaaaaahhhhhhhhh moi aussi je vais t’arroser l’utérus…. Wooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaaah
Terrassés par les orgasmes les deux amants reprennent difficilement leur souffle, dés qu’elle a retrouvés ses esprits martine s’arrache à l’accouplement
- Mon dieu ! Qu’est-ce que j’ai fais ? Fout le camp d’ici vite fait !
Sans perdre le nord elle attrape les billets et les serrent contre sa poitrine comme un trésor de guerre, honteuse elle court a la salle de bain laissant tomber des gouttes suspecte derrière elle ? Après une douche bien méritée Martine a essayé de cacher les cernes qui marquent ses yeux
Partagée entre euphorie et remords, elle attend fébrilement son mari qui, dés son arrivée lui pose une question qui la déstabilise …
- Fredo est passé cet après midi ?
- Euuuuh … oui …comment sait tu ça ????
- Pourquoi cette question ? il m’a téléphoné pour me dire qu’il venait t’apporter les mille euros qu’il me devait !
- QUOOOOI ???????????????
……..OUPS … C'est la bourde !!!!!
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Connu,mais super bien présentée comme histoire