par une nuit d'orage ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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par une nuit d'orage ...
Quelle nuit ! Nous roulons ou plutôt nous essayons de rouler vers notre lieu de vacances qui font office de voyage de noces cinq ans après notre mariage, Gaël mon mari a vingt huit ans moi Fathia vingt quatre, d’énormes orages à répétitions bloquent peu a peu la circulation, les éclairs illuminent le paysage comme en plein jour, toutes les voitures sont maintenant arrêtées a cause de la pluie, je suis stressée et pourtant je ne conduis pas, gaël lui ne panique pas - Quelle poisse ce temps ça va finir mal ! je n’y vois rien ! nos vacances sont fichues !
- Arrête tes jérémiades Fathia, c’est moi qui conduis ! c’est juste un contretemps Soudain sur la bande d’arrêt d’urgences une voiture de gendarmerie par haut parleur nous invitent à les suivre l’autoroute est complètement bloquée jusqu'à demain matin, nous empruntons une sortie réservée aux secours pour arriver dans un petit village, une fois garés devant un gymnase je prend un sac ou sont des vêtements et la trousse de toilette, le temps d’arriver a la porte nous somment trempés- Entrez messieurs dames, soyez les bienvenus, je suis le maire du village, je vais passer la nuit avec vous, du café et des sandwichs sont a votre disposition ainsi que des matelas et des couvertures désolé pour ce confort minimum La fonction de maire lui va à merveille c’est un homme posé, la cinquantaine, sa voix est douce persuasive, par solidarité il veut rester avec nous toute la nuit, gaël lui demande pourquoi l’autoroute est bloquée, pendant qu’il lui répond il me détaille, je lis dans son regard la compassion mais aussi autre chose de plus personnel …..
- Un carambolage provoqué par des chutes d’arbres et inondations, j’espère qu’il n’y a que des blessés, demain tout ira bien, installez vous dans ce coin la bas vous serez plus tranquilles Le local est propre des matelas d’une dizaine de centimètres d’épaisseurs sont étalés côtes a côtes, bonjour le confort et la promiscuité ! Mais il faut faire avec ! Après avoir bus un café bien chaud j’ai envie de m’allonger et surtout de retirer ces vêtements qui me collent à la peau A peine allongé au ras du mur Gaël ronfle comme un bienheureux, il dormirait le cul dans l’eau celui là ! Cachée sous la couverture j’ôte mon jeans mon corsage et mon soutien-gorge, de toute façon j’ai horreur de dormir toute habillée, je profite que mon mari dort pour lui emprunter un teeshirt, il n’aime pas que je lui pique il dit que je lui déforme avec mes nibards pointus !
Peu après les lumières s’éteignent il n’y a plus que la faible lueur verte des globes ‘ issues de secours ‘, tournée vers gaël j’ai de la peine à trouver le sommeil d’une part parce qu’il ronfle a me faire honte et d’autre part je n’aurais pas dus avaler ce café, cela ajouté au stress qui a de la peine à partir, je pousse mon mari qui se tourne vers le mur, les ronflements cessent ouff !
Je souffle je me trémousse rien à faire le marchand de sable ne vient pas ! Soudain une grosse main se pose sur ma hanche …Une voix douce chuchote- Çaaa vaaaa alleeeeer, respirez lentement ….
Je ne repousse pas cette main inconnue qui se crispe sur mon flanc cela m’apaise, comme si elle me transmettait un fluide, ma respiration se stabilise pour devenir régulière… la main se retire, dommage …. Un glissement dans mon dos, la main revient se poser au même endroit mais cette fois sous la couverture a la base du teeshirt sur ma peau nue, un frisson traverse tout mon être, je fais semblant de dormir, voyant que je ne réagis pas la main monte sous mon vêtement jusqu'à l’aisselle pour redescendre lentement, elle s’arrête au niveau du string, hésite, puis continue sur ma cuisse jusqu'à mon genou et remonter sous mon bras …elle est chaude, douce, haoooo, je mouille ….
Qui est ce ? Que faire, réveiller Gaël ? Non, je prends la position du fœtus ma respiration est toujours régulière même si ma poitrine se soulève de plus en plus, dans mon dos un souffle de plus en plus fort, la main continue son manège très longtemps, elle s’arrête sur ma hanche, les doigts cherchent à se glisser sous l’élastique du string ! Peu a peu il descend mais il se coince car l’autre coté est bloqué par mon poids, j’aide discrètement en soulevant imperceptiblement mon bassin, mon slip glisse a mis cuisses et résolument la main le fait descendre jusqu’aux pieds, me voici nue sous le teeshirtLa main tremble d’impatience lorsqu’elle revient sur ma cuisse, remonte jusqu’a mes seins, ils sont palpés amoureusement l’un après l’autre, me tétons se dressent, ‘ il ‘ abandonne ma poitrine pour descendre sur mes fesses, je remonte ma jambe supérieure vers ma poitrine pour faciliter l’accès a mon intimité, les doigts très doux aux ongles coupés court suivent ma fente, mon clitoris est débusqué, jamais un autre homme que mon mari ne m’a touchée là , un doigt pénètre facilement mon vagin devenu humide, un deuxième le rejoint pour entamer de lents vas et viensJe ne peux plus retenir mes gémissements étouffés, l’homme dans mon dos ne dois plus ignorer que je suis réveillée car il se rapproche encore de moi, la couverture est repoussée, un sexe bandé appuis sur la bas de mes fesses, sécurisée par l’obscurité je me décide à chercher de ma main ce membre raideJe le trouve, énorme, très épais assez court, décalotté, une goutte perle a son bout je l’étale sous le gland là ou la queue est très sensible, il réagit en donnant de légers coups de reins, il me branle énergiquement je le branle pareillementGaël dors paisiblement, Je veux plus …fermement je guide le membre vers ma chatte qui effleure mes fesses, le mâle se positionne afin que sa queue soit face a la fente entrebâillée, je soulève ma jambe et lâche la bitte, mes lèvres gluantes laissent passer l’intrus qui n’en finit pas de s’enfoncer, d’écarteler ma moule, je me mords les lèvres pour ne pas hurler, les deux mains me tirent ver son bas ventre, il me lime puissamment, lentement tel un métronome Que c’est booooooooonnnnnnnnn de se faire baiser par un inconnu a cinquante centimètres de son époux qui dors paisiblement, mes cuisses tremblent … un incroyable orgasme silencieux secoue mon corps tandis qu’il éjacule sans retenue dans mes entrailles, nous restons immobiles le temps que nos respirations deviennent paisible et que nos sens s’apaisent, la verge de l’inconnu glisse lentement hors de mon vagin, vite je met ma main en conque sur ma chatte pour refermer mes lèvres exsangues sinon je vais inonder le matelas , ce serais une grande impolitesse envers cette commune qui nous hébergent , impossible de retrouver mon string sous la couverture , comment faire ?
Je me redresse sur un coude, mon baiseur a disparu, les toilettes sont juste en face, la salle semble paisible, tout le monde dort, je me lève, la main entre les cuisses j’y fonce, deux lavabos, un distributeur de feuilles de papier, juste ce qu’il me faut ! …une feuille imbibée, deux feuilles, il m’a mis la totale celui là !, j’en mouille une troisième pour nettoyer mes poils quand une autre porte s’ouvre, c’est monsieur le maire …j’ai l’air fine le cul a l’air la main entre les cuisses !
- Ceci te sera sans doute utile ?
Mon string pend au bout de ses doigts, c’est donc lui qui vient de me faire merveilleusement jouir ?
- Hooooo c’était donc vous ?
- Oui, je n’ai pas pu résister tu m’as séduit dés ton arrivée eeeet...
j’aimerais te nettoyer avec ma langue avant que tu ne repartes, regarde je ferme la porte a clé, personne ne peut nous surprendre, assied toi sur le meuble… tu es si jeune, si serrée que s’en est indécent…ton prénom ? moi c’est Raoul- Fathia… Je suis sous son charme, comme une automate j’obéis, les fesses au ras du lavabo, les jambes pendantes cuisses largement écartées j’attends la langue … MUUUMMMMOOOOAAAAAA !, telle queue telle langue ! Les yeux révulsés Je lui tiens la tête tandis qu’il nettoie le moindre repli de ma vulve, une envie subite me prend, jamais je n’ai osé dire ça a Gaël - Moi aussi je veux te sucer Raoul….
Le pantalon git en tirebouchon à ses chevilles...
- Descend …..accroupie toi, avale ….
A genoux sur le carrelage J’aspire cette queue, comme si ma vie en dépendait je le secoue à toute vitesse, je veux son jus !
- Aaaaaaahhhhhh ! tu va me vider encore une fois …. OUUUUIIIIIIIIIIIIIII boit tout Fathia !
La semence chaude gicle au fond de ma gorge, j’aspire la dernière goutte, il est toujours raide…- Redresse toi, accroche toi a mon cou ….laisse toi glisser, je vais t’empaler Appuyé sur le meuble, ses larges mains sous mes fesses, nos lèvres se joignent sa langue a le goût de ma moule, sa queue entre lentement dans mon ventre, je mène la danse en sautillant, je suis carrément assise sur sa queue, mon cul ondule, je mords sa langue, ma mouille suinte sur ses testicules, cet homme est une bête de sexe - Fais-moi jouir ! défonce ma chatte !
- Tu cache bien ton jeu ! je vais te remplir la moule salope !
- OUI ! OUI ! OUI ! OUIIIIIIIIIIIIIIII !! !
Raoul me serre dans ses bras je n’ai plus la force de m’accrocher, sa verge s’échappe laissant fuir son foutre qui s’écrase sur le carrelage- Tu m’as assommée, Je veux dormir ….
- Enfile ta culotte je te ramène au lit …Comme un zombie je vais m’affaler sur le matelas, au petit matin je suis réveillée par Gaël- Chérie réveille toi il faut repartir ! ?? Houaaaa quelle mine tu as, tu as mal dormis ? tes yeux sont cernés - Ouiiiiiiiiiiiii, j’ai mal dormis tu n’a pas arrêté de ronfler …. J’aurais pu me faire violer à coté de toi sans que tu ne t’en rendes compte !
- Mais oui ! Tu as mis mon teeshirt ? ahhhh, en plus il est tout taché tu exagère ! et ton slip ? tu as fait pipi dedans ?
- Peut être, sans doute, je ne sais pas, fout moi la paix merde !
- Calme toi mon amour, ce soir sur un bon lit je vais m’occuper de toi promis !
Je cherche désespérément le maire des yeux, il est repartit, quel doux souvenir ! vive l’orage !!!!!
- Arrête tes jérémiades Fathia, c’est moi qui conduis ! c’est juste un contretemps Soudain sur la bande d’arrêt d’urgences une voiture de gendarmerie par haut parleur nous invitent à les suivre l’autoroute est complètement bloquée jusqu'à demain matin, nous empruntons une sortie réservée aux secours pour arriver dans un petit village, une fois garés devant un gymnase je prend un sac ou sont des vêtements et la trousse de toilette, le temps d’arriver a la porte nous somment trempés- Entrez messieurs dames, soyez les bienvenus, je suis le maire du village, je vais passer la nuit avec vous, du café et des sandwichs sont a votre disposition ainsi que des matelas et des couvertures désolé pour ce confort minimum La fonction de maire lui va à merveille c’est un homme posé, la cinquantaine, sa voix est douce persuasive, par solidarité il veut rester avec nous toute la nuit, gaël lui demande pourquoi l’autoroute est bloquée, pendant qu’il lui répond il me détaille, je lis dans son regard la compassion mais aussi autre chose de plus personnel …..
- Un carambolage provoqué par des chutes d’arbres et inondations, j’espère qu’il n’y a que des blessés, demain tout ira bien, installez vous dans ce coin la bas vous serez plus tranquilles Le local est propre des matelas d’une dizaine de centimètres d’épaisseurs sont étalés côtes a côtes, bonjour le confort et la promiscuité ! Mais il faut faire avec ! Après avoir bus un café bien chaud j’ai envie de m’allonger et surtout de retirer ces vêtements qui me collent à la peau A peine allongé au ras du mur Gaël ronfle comme un bienheureux, il dormirait le cul dans l’eau celui là ! Cachée sous la couverture j’ôte mon jeans mon corsage et mon soutien-gorge, de toute façon j’ai horreur de dormir toute habillée, je profite que mon mari dort pour lui emprunter un teeshirt, il n’aime pas que je lui pique il dit que je lui déforme avec mes nibards pointus !
Peu après les lumières s’éteignent il n’y a plus que la faible lueur verte des globes ‘ issues de secours ‘, tournée vers gaël j’ai de la peine à trouver le sommeil d’une part parce qu’il ronfle a me faire honte et d’autre part je n’aurais pas dus avaler ce café, cela ajouté au stress qui a de la peine à partir, je pousse mon mari qui se tourne vers le mur, les ronflements cessent ouff !
Je souffle je me trémousse rien à faire le marchand de sable ne vient pas ! Soudain une grosse main se pose sur ma hanche …Une voix douce chuchote- Çaaa vaaaa alleeeeer, respirez lentement ….
Je ne repousse pas cette main inconnue qui se crispe sur mon flanc cela m’apaise, comme si elle me transmettait un fluide, ma respiration se stabilise pour devenir régulière… la main se retire, dommage …. Un glissement dans mon dos, la main revient se poser au même endroit mais cette fois sous la couverture a la base du teeshirt sur ma peau nue, un frisson traverse tout mon être, je fais semblant de dormir, voyant que je ne réagis pas la main monte sous mon vêtement jusqu'à l’aisselle pour redescendre lentement, elle s’arrête au niveau du string, hésite, puis continue sur ma cuisse jusqu'à mon genou et remonter sous mon bras …elle est chaude, douce, haoooo, je mouille ….
Qui est ce ? Que faire, réveiller Gaël ? Non, je prends la position du fœtus ma respiration est toujours régulière même si ma poitrine se soulève de plus en plus, dans mon dos un souffle de plus en plus fort, la main continue son manège très longtemps, elle s’arrête sur ma hanche, les doigts cherchent à se glisser sous l’élastique du string ! Peu a peu il descend mais il se coince car l’autre coté est bloqué par mon poids, j’aide discrètement en soulevant imperceptiblement mon bassin, mon slip glisse a mis cuisses et résolument la main le fait descendre jusqu’aux pieds, me voici nue sous le teeshirtLa main tremble d’impatience lorsqu’elle revient sur ma cuisse, remonte jusqu’a mes seins, ils sont palpés amoureusement l’un après l’autre, me tétons se dressent, ‘ il ‘ abandonne ma poitrine pour descendre sur mes fesses, je remonte ma jambe supérieure vers ma poitrine pour faciliter l’accès a mon intimité, les doigts très doux aux ongles coupés court suivent ma fente, mon clitoris est débusqué, jamais un autre homme que mon mari ne m’a touchée là , un doigt pénètre facilement mon vagin devenu humide, un deuxième le rejoint pour entamer de lents vas et viensJe ne peux plus retenir mes gémissements étouffés, l’homme dans mon dos ne dois plus ignorer que je suis réveillée car il se rapproche encore de moi, la couverture est repoussée, un sexe bandé appuis sur la bas de mes fesses, sécurisée par l’obscurité je me décide à chercher de ma main ce membre raideJe le trouve, énorme, très épais assez court, décalotté, une goutte perle a son bout je l’étale sous le gland là ou la queue est très sensible, il réagit en donnant de légers coups de reins, il me branle énergiquement je le branle pareillementGaël dors paisiblement, Je veux plus …fermement je guide le membre vers ma chatte qui effleure mes fesses, le mâle se positionne afin que sa queue soit face a la fente entrebâillée, je soulève ma jambe et lâche la bitte, mes lèvres gluantes laissent passer l’intrus qui n’en finit pas de s’enfoncer, d’écarteler ma moule, je me mords les lèvres pour ne pas hurler, les deux mains me tirent ver son bas ventre, il me lime puissamment, lentement tel un métronome Que c’est booooooooonnnnnnnnn de se faire baiser par un inconnu a cinquante centimètres de son époux qui dors paisiblement, mes cuisses tremblent … un incroyable orgasme silencieux secoue mon corps tandis qu’il éjacule sans retenue dans mes entrailles, nous restons immobiles le temps que nos respirations deviennent paisible et que nos sens s’apaisent, la verge de l’inconnu glisse lentement hors de mon vagin, vite je met ma main en conque sur ma chatte pour refermer mes lèvres exsangues sinon je vais inonder le matelas , ce serais une grande impolitesse envers cette commune qui nous hébergent , impossible de retrouver mon string sous la couverture , comment faire ?
Je me redresse sur un coude, mon baiseur a disparu, les toilettes sont juste en face, la salle semble paisible, tout le monde dort, je me lève, la main entre les cuisses j’y fonce, deux lavabos, un distributeur de feuilles de papier, juste ce qu’il me faut ! …une feuille imbibée, deux feuilles, il m’a mis la totale celui là !, j’en mouille une troisième pour nettoyer mes poils quand une autre porte s’ouvre, c’est monsieur le maire …j’ai l’air fine le cul a l’air la main entre les cuisses !
- Ceci te sera sans doute utile ?
Mon string pend au bout de ses doigts, c’est donc lui qui vient de me faire merveilleusement jouir ?
- Hooooo c’était donc vous ?
- Oui, je n’ai pas pu résister tu m’as séduit dés ton arrivée eeeet...
j’aimerais te nettoyer avec ma langue avant que tu ne repartes, regarde je ferme la porte a clé, personne ne peut nous surprendre, assied toi sur le meuble… tu es si jeune, si serrée que s’en est indécent…ton prénom ? moi c’est Raoul- Fathia… Je suis sous son charme, comme une automate j’obéis, les fesses au ras du lavabo, les jambes pendantes cuisses largement écartées j’attends la langue … MUUUMMMMOOOOAAAAAA !, telle queue telle langue ! Les yeux révulsés Je lui tiens la tête tandis qu’il nettoie le moindre repli de ma vulve, une envie subite me prend, jamais je n’ai osé dire ça a Gaël - Moi aussi je veux te sucer Raoul….
Le pantalon git en tirebouchon à ses chevilles...
- Descend …..accroupie toi, avale ….
A genoux sur le carrelage J’aspire cette queue, comme si ma vie en dépendait je le secoue à toute vitesse, je veux son jus !
- Aaaaaaahhhhhh ! tu va me vider encore une fois …. OUUUUIIIIIIIIIIIIIII boit tout Fathia !
La semence chaude gicle au fond de ma gorge, j’aspire la dernière goutte, il est toujours raide…- Redresse toi, accroche toi a mon cou ….laisse toi glisser, je vais t’empaler Appuyé sur le meuble, ses larges mains sous mes fesses, nos lèvres se joignent sa langue a le goût de ma moule, sa queue entre lentement dans mon ventre, je mène la danse en sautillant, je suis carrément assise sur sa queue, mon cul ondule, je mords sa langue, ma mouille suinte sur ses testicules, cet homme est une bête de sexe - Fais-moi jouir ! défonce ma chatte !
- Tu cache bien ton jeu ! je vais te remplir la moule salope !
- OUI ! OUI ! OUI ! OUIIIIIIIIIIIIIIII !! !
Raoul me serre dans ses bras je n’ai plus la force de m’accrocher, sa verge s’échappe laissant fuir son foutre qui s’écrase sur le carrelage- Tu m’as assommée, Je veux dormir ….
- Enfile ta culotte je te ramène au lit …Comme un zombie je vais m’affaler sur le matelas, au petit matin je suis réveillée par Gaël- Chérie réveille toi il faut repartir ! ?? Houaaaa quelle mine tu as, tu as mal dormis ? tes yeux sont cernés - Ouiiiiiiiiiiiii, j’ai mal dormis tu n’a pas arrêté de ronfler …. J’aurais pu me faire violer à coté de toi sans que tu ne t’en rendes compte !
- Mais oui ! Tu as mis mon teeshirt ? ahhhh, en plus il est tout taché tu exagère ! et ton slip ? tu as fait pipi dedans ?
- Peut être, sans doute, je ne sais pas, fout moi la paix merde !
- Calme toi mon amour, ce soir sur un bon lit je vais m’occuper de toi promis !
Je cherche désespérément le maire des yeux, il est repartit, quel doux souvenir ! vive l’orage !!!!!
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