Partouzées lors d'une virée nocturne
Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2023 dans la catégorie Plus on est
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Partouzées lors d'une virée nocturne
Je m’appelle Charlène, vingt huit ans, et, d’après mes amis, plutôt bien gaulée. Du
reste, je le constate tous les jours, en voyant les hommes se retourner sur mon
passage, me siffler parfois, même si je suis au bras de Rémi, mon mari, joueur de
rugby dans l’équipe fanion de la ville.
Il faut que je vous raconte l’histoire qui m’est arrivé le mois dernier.
C’était lors de la venue d’une équipe Écossaise, dans le cadre du jumelage entre nos deux villes. Bien évidement, une réception fut organisée à la mairie, pour accueillir nos homologues autour d’un pot de bienvenu. Ils étaient une bonne vingtaine, frisant tous les cent, cent vingt kilos. De vrais colosses, assez jeunes, plutôt séduisant malgré leur imposant gabarit....des joueurs de rugby, tout simplement.
Ce soir là, j’avais accompagné Rémi et ses coéquipiers, eux même accompagné de leurs épouses, ou copines, de mon âge environ, et toutes aussi belles.
Il se trouve que nôtre équipe première, doit jouer un match capital demain, suite au report d’une journée de championnat, dû aux intempéries.
C’est donc l’équipe remplaçante qui va rencontrer l’équipe Écossaise, en match amical, demain après-midi à quinze heures, l’équipe fanion jouant à la même heure à l’extérieur.
Le «Hic », c’est que vu l’importance du match, nos époux devaient se coucher de bonne heure. Les joueurs Écossais furent déçus, ayant prévu de faire une virée en boîte, entre joueurs.
Devant leurs désarrois, le président du club demande à nos époux de faire un geste, d'autoriser leurs femmes à accompagner les joueurs de l’équipe Écossaise dans leur virée nocturne. Je dois avouer que çà ne m'enchante pas plus que ça.
Moi qui avait prévu de faire un gros câlin avec mon mari, de me faire bien baiser, de sentir sa queue bien profond dans ma chatte, c'est loupé...
D’abord réticente à ce projet, je m’incline devant la fougues des autres épouses.
En fait, la sortie en boîte fut annulée, les joueurs Écossais étant hébergés dans un somptueux château, gracieusement mis à disposition, par un riche industriel.
Et c’est là qu’était prévu la soirée.
A la fin du pot d’honneur, les joueurs Écossais quittèrent la salle, pour regagner le château. Ils nous donnent rendez-vous à vingt trois heures.
Beaucoup de femmes en profitaient pour passer chez elle se faire une beauté, et mettre une tenue plus sexy, pour rendre la soirée de nos invités plus agréables.
Quant à moi, je me contentais d'une courte jupe, et d'un petit haut.
Je sentais mon mari inquiet, c'était la première fois que je sortais sans lui. Je lisais dans son regard la peur que je me laisse séduire, que je lui sois infidèle. Bien sûr, je le rassurai, lui disais qu'il était, et resterai le seul homme de ma vie. Je lui dis que s'il le souhaitait, je pouvait rester à la maison.
Il me répondit que c'était hors de question que je ne participe pas à cette soirée.
Ce sont donc une dizaine de bombes qui se présentaient à la soirée.
Je fis le trajet en voiture avec Romane, Estelle, Carole, et Marthe, la femme du président, âgée d’une soixantaine d’années.
Nous sommes rejoint par d’autres personnes venues se greffer au groupe.
Jean, le président, Georges, l’entraîneur de l’équipe réserve, Guy et Marc, deux joueurs que mon mari avait évincés de l’équipe pour le match, jugeant leur forme insuffisante. Ils n’ont pas du tout aimés d'avoir été ainsi écartés pour ce match important. J’avoue ne pas apprécier leur présence à cette soirée.
Nous sommes accueillies par le personnel du Château, qui nous guide vers des vestiaires, ou des masques nous sont distribués. Un bal masqué ? Pourquoi pas.
On m’attribue celui de Superwoman.
Malgré tout, je repère mes copines par leurs tenues, pour ne pas les perdre de vu. Nous sommes ensuite conduites dans une grande salle, ou un imposant buffet est dressé, bourré de victuailles, de champagne et autres boissons alcoolisées. Si...quelques jus de fruit.
Les joueurs apparaissent, et là...stupeur. Ils sont habillés dans la pure tradition Écossaise. En Kilt. Je croise le regard de mes copines, et vois qu’elles se posent la même question.
Qu’ont-ils en dessous, un slip, ou un sexe libre de tout vêtement.
- Je suis sûre qu’ils n’ont rien dessous, me chuchote Romane.
- Enfin...tu crois qu’ils se promèneraient comme ça ?
- A la première danse, je teste, sourit-elle.
- Arrêtes...tu es mariée…
Tout d’abord, la soirée commence au buffet. Les joueurs s’approchent de nous, nous servent à boire.
Je remarque au passage, que certain Kilts sont anormalement tendus à un endroit bien précis de leur anatomie.
Et si Romane avait raison, s’ils étaient nus dessous.
Après quelques verres, si nous on ose pas, eux par contre, n’hésite pas à glisser leurs mains, dans les endroits intimes de nôtre personne. J’aperçois Romane collée au dos d’un joueur, ses bras enroulés au tour de la taille. Je vois, grâce à une immense glace placée en face, ses mains s’agitaient sous le Kilt. Elle la dit, elle la fait, elle veut savoir.
- Je confirme, me dit-elle en me rejoignant, ils ont rien dessous...ou plutôt si. Une sacré paire de couilles, et un engin énorme. Mon mari en pâlirai de jalousie.
- Sérieux...à ce point ?
- Tu devrais tester ma chérie.
Ce n’est pas mon style , je suis fidèle, et tiens à respecter les vœux du mariage.
Plus on avançait dans la soiré, l’atmosphère devenait plus détendu. Certaines épouses se laissaient séduire par la fougue de jeunes joueurs. Ne voulant pas passer pour un arriérée, je me mêlais à la fête. Petit à petit, nous commençons à nous lâcher.
En dansant dans les bras d’un vigoureux joueur, je vis tout près de moi, Romane, à genoux, la tête enfouie sous un Kilt.
« Non, me dis-je, elle ne le suce pas quand même ? »
Quand je la vis sortir, et s’essuyer les lèvres, je compris que, non seulement, elle lui avait taillé, une pipe, mais qu’elle avait tout avalé. J’en revenais pas.
Sur la piste improvisée, les épouses des joueurs se libéraient, s’engageaient dans de fougueux baisers, se laissaient volontairement caresser, même les parties intimes de leurs corps. J’en ai même vu jouir sur place. Si sous les Kilts, il n’y avait pas de slip, la majorité des strings sous les jupes, avaient disparues aussi.
Moi même, était plus accessible, plus ouverte, ne repoussant plus les assauts, acceptant que des mains inconnues se faufilent sous mon chandail, me caressent les seins, sous ma jupe, caresser ma chatte par dessus mon string, encore en place, par miracle. Tout ça se faisait en toute lucidité de ma part.
Petit à petit, la salle se transformait en club libertin, ou nous étions les principales friandises. Nous rejoignons les canapé disposés sur tout le périmètre de la salle.
Les épouses des joueurs, la jupe enroulé autour de leu taille, se faisaient caresser les seins, doigter le clito, branler la chatte. Elles tombaient à genoux, taillaient des pipes aux énormes queue que ses joueurs venus d’ailleurs leur offraient. Elles avalaient tout, jusqu’à la dernière gouttes. Certaines avouaient que c’était leur première pipe. « Bien venu au club, avais-je envie de leur dire ».
Les épouses changeaient de partenaire, au gré de leur envie. J’ai même vu Carole glisser deux doigts dans la chatte d’Estelle, alors que celle-ci suçait une queue.
Mais tout ça donnait soif. C’est pratiquement nue, que les épouses se rendaient au bar. Là aussi, les doigts des joueurs disparaissaient dans les chattes baveuses.
Après un slow langoureux dans les bras d’un colosse, qui avait visité mon corps de ses mains avides, jusqu’à insérer un doigt dans ma chatte, j’allais au bar rejoindre mes copines, et reprendre mes esprits.
C’est à ce moment que je sentis un bras me prendre par la taille. Je me retournais, et me trouvais face à un homme, avec un masque de Superman. L’éternel sauveur de l’éternité. J'eus un léger sourire en pensant que ces deux là, ne s'étaient jamais rencontrés à l'écran, et qu'ils étaient là réunis pour cette soirée.
Je m'imaginais bien voler dans les airs avec lui, en train de le sucer, ou empalée sur sa bite. A voir son gabarit, et sa tenue vestimentaire, je me doutais qu’il ne faisait pas parti de l’équipe de rugby Écossaise. Sans doute un intrus qui s’était glissé dans nôtre groupe. Lentement, il m’entraîna vers un canapé, ou il m’invita à m’asseoir. Il posa ses mains sur mes cuisses, remonta sous ma jupe. Les mains redescendirent, entraînant avec elles, la chute de ma culotte.
D'une légère pression, il écarta mes cuisses, découvrit ma chatte entièrement épilée. Il embrassa mes genoux, puis son vidage remonta, s’installa contre mes lèvres intimes. Je me cambrais quand sa langue écartait ma fente pour pénétrer ma chatte, quand ses lèvres aspiraient mon clitoris. Au bout de dix minutes d’intense plaisir, il se releva, ôtait son pantalon.
Apparu alors un calibre dont les mensurations n’avaient rien à envier aux bites écossaises. Je ne pus m’empêcher de la prendre an main, de la décalotter et la prendre en bouche. C’était ma première fellation. Je regardais à droite, à gauche, pour voir si quelqu’un regardait. Tout autour de moi, des couples ou des trios s’adonnaient au plaisir de la chair. Certaines épouses se faisaient prendre sur le canapé, d’autres à même la moquette. Ce n’était qu’un concert de gémissements qui emplissait la salle.
Les joueurs Écossais s’amusaient avec elles, les prenant dans les positions les plus sordide, comme pour humilier leurs homologues Français. Le pire, c’est qu’elles se soumettaient à tout leurs caprices.
Marthe, la soixantaine avait relever son masque en bec d’oiseau, gênant pour tailler une pipe au président de l’équipe Écossaise, tandis que son adjoint la prenait en levrette.
Estelle chevauchait un étalon, empalée qu’elle était sur sa grosse bite. Il la maintenait par les hanches, la faisant coulisser au bon vouloir de ses coups de reins.
Carole suçait un jeunot, tout en se faisant sodomiser par un quintal de muscles. Romane, elle hurlait de plaisir, prise en double par deux colosses.
J’étais fascinée, excitée par ces scènes de sexes.
Je n’opposais aucune résistance quand mon « Superman » m’entraînait dans les escaliers menant à l'étage, et choisit une chambre au hasard.
Je lui demandais alors de me faire visiter les étoiles.
Il me prit les lèvres, tout en finissant d’ôter mes vêtements, en fit de même avec les siens. Nous étions entièrement nus, nos masques pour seul obstacle.
sournois Il s’allongea près de moi. Je saisis son énorme queue, tandis qu’il commençait à me caresser. Je me cambrais sous la douceur d’un doigt, qui excitait mon clitoris, tandis que ses rires
C’est là que je reconnu l’intrus…
« Oh mon dieu, c’est pas vrai...Guy, le joueur que mon mari a évincé de l’équipe » J’étais furieuse, mais pas jusqu’à laissé filer la jouissance qui traversait mon corps. Il avait prévu son coup le salaud, savait que je serai sans mon mari à cette soirée. Il voulait se venger de lui, l’humilier, et moi je m’étais offerte à lui, sans retenue, et avais pris un énorme plaisir. J’approchais mon visage du sien, et lui donnais un sulfureux baiser.
Je me souvint des mots que m'avait dit Carole, qui trompe courramment son mari.
" Tu sais, une femme fait à un amant, ce qu'elle ne fait jamais avec son mari."
Ce qui s’en suivi fut horrible, indigne d’une femme mariée. Pendant presque une heure, je lui est offert tout ce qu j'avais refusé à Rémi, je me suis faite sodomiser, je l'ai sucé, avalé sa semence jusqu'à la dernière goutte. Il m'a corrompu, fait de moi une femme infidèle, ce que je m'étais toujours refusé de devenir.
Mais serais-je capable de répercuter ça à mon mari, sans éveiller les soupçons.
Cette chambre nous a servi de refuge une partie de la nuit.
Là encore, il a fait de moi, ce qu’il a voulu, m’a fait découvrir l'univers à plusieurs reprises. Il avait une façon de jouer aven mon clitoris, que je n’avais jamais connu avec Rémi. La nuit fut torride, jusqu’à atteindre plusieurs orgasmes. Guy imposait une cadence infernale, jamais atteinte avec mon mari, en cinq ans de mariage.
Il voulait qu'on aille chez moi.
" Je veux te baiser dans le lit conjugal, là ou ton mari te baise." Disait-il.
Il voulait me faire avouer qu’il était meilleur que mon mari, qu’il me baisait mieux que lui, qu'il était mieux monté. Même si s’était vrai, je refusais de lui répondre.
Ce n’est que vers six heures du matin, que je lui avouais n’avoir jamais été baiser comme ça, que je n’avais jamais autant joui.
Ce qui finalement, répondait à sa question.
Sous la douche, ou il me fit jouir droite contre les faïences, il m’avouait avoir pris énormément de plaisir à me baiser, sans parler de vengeance.
Il me proposait même qu’on se revoit, en toute discrétion. En fait, que je devienne sa maîtresse, pour appuyer d’avantage l’humiliation faite à mon mari peut-être.
Bien évidemment, j’écartais cette proposition, lui disant que, malgré cette torride nuit, j’aimais mon mari, et ne voulait pas mettre mon couple en danger.
Je repris vite le chemin du château, espérant que personne ne s’était aperçu de mon absence.
Des couples étaient encore enchevêtrés. Estelle et Carole s’occupaient d’un gaillard, tandis que Romane était prise entre deux tas de muscles.
Décidément, les doubles pénétrations étaient devenus son sport favori.
En poussant la porte des toilettes, je vis Marthe se faire prendre en levrette.
Je refermais en souriant, laissant la femme du président à son plaisir.
Mais quand le plaisir est là, le temps passe vite.
A dix heures du matin, j’ai une pensée pour l’équipe de mon mari, dont le bus ne va pas tarder à partir. Et nous ne serons pas là pour les encourager, leur donner le baiser de la chance pour leur match capital, préférant plutôt nous faire baiser.
Ils nous ont autorisés à accompagner l’équipe Écossaise en boîte, mais pas à nous faire partouzer. Je suis sure qu’ils doivent le regretter. Même s’ils ne seront jamais ce qu’il s’est passé.
Pour ma part, j’invitais Estelle, Carole et Romane à la villa, à boire le café. Elles me firent remarquer, que j’avais pris un risque en couchant avec Guy. Elles me demandèrent aussi, si c’était un bon coup au lit.
Je leur dis qu’il avait été phénoménal, que j’avais plus joui en une nuit avec lui, qu’en un mois avec mon mari. Il m’a fait jouir six fois, plus que ma nuit de noces.
Il était dix huit heures, quand nos époux arrivaient. A voir leur tête, je compris que le résultat n’était pas celui escompté. Il n’y avait pas eu la troisième mi-temps.
Le lendemain dimanche, mon mari reçu un coup de fil du président, l’informant que cette après-midi, il y avait une réunion urgente. Réunion de crise.
Dans la minute qui suivit, je reçu un coup de fil de Romane, me disant que les joueurs Écossais tenaient à ce que nous allions à la plage avec eux.
Après réflexion, et sachant mon mari était en réunion, pourquoi pas.
Je répondit favorablement à sa proposition.
La plage était privé, et appartenait au château. Aussi, je ne fus pas surprise quand je découvrais les joueurs de rugby, entièrement nus, jouaient au volley.
Leurs énormes bites, et leurs grosses couilles, balançaient entre leurs jambes, au gré de leurs mouvements. Immédiatement, une humidité se formait sur ma chatte, et à voir Carole, Estelle et Romane, je n’étais pas la seule.
Du reste, nos maillot ne faisaient qu’une brève apparition, étant ôtés délicatement par nos hôtes. Ils nous soulevèrent comme une plume, et nous jetèrent à l’eau. Très rapidement, nous nous trouvions empalées sur leur colossale bite.
A peine dix minutes, que déjà les orgasmes fusaient à la surface de l’eau.
Les ébats se poursuivaient sur la plage. J’ondulais, empalée sur une belle queue en érection, tandis que des mains prodiguaient de douces caresses sur mes seins.
Puis je sentis un objet dur, contre ma joue. Je me retournai et aperçus Guy. C’est pas vrai, comment a-t-il su que j’étais là.
Il frottait sa queue en érection contre ma joue. Je ne pouvais le laisser dans cet état. Je le décalottais, et le prenais en bouche, il ne lui restai plus qu'à se branler. Je m'écroulais sur le sable, libérée par mon baiseur. Je me trouvais allongée, le queue de Guy coulissant entre mes me lèvres. Celui-ci se mit dans la position du sportif faisant des pompes, prenant appuis de se bras au dessus de ma tête. Je happais sa bite qui passait près de ma bouche, et me mis a la sucer. Je n’attendis pas longtemps avant qu’il ne jouisse. Il restait plus d’une minute, enfoncé dans ma bouche à se vider, tandis que j’avalais au fur et à mesure, son abondante semence. Je restais une minute de plus à nettoyer son gland prisonnier de mes lèvres, et de ma langue.
- T’es un vrai salaud toi...mais que ta queue est bonne…
- Et que dire de ta chatte…de ton petit trou...et ta bouche...oh la la...
- Enfoiré…tu profite de l’absence de mon mari…
- Ben tu vois, c’est un mal pour un bien.
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- De ne pas m’avoir pris dans l’équipe, ça ma permis de baiser sa femme.
Mais il ne voulait pas en rester là, et voulait que je me soumette, accentuant de ce fait l’humiliation de mon mari.
C’est vers dix sept heures, juste avant de partir, que j’eus droit à ma première double pénétration. Ce fut génial, au point d’en réclamer d’autres, avec des mecs différents, mais toujours avec Guy, omniprésent.
J’en reçus trois, ponctués d'autant d’orgasmes.
Romane, Estelle et Carole rentrions à la villa. Nos époux n’étant pas rentrés, nous décidons de piquer une tête dans la piscine.
Quand ils arrivèrent, leur regard était fermé, ce qui n’était pas bon signe.
Mon mari nous informa, que suite à l’inacceptable défaite d’hier, le président leur imposait un stage d’une semaine dans les Pyrénées.
Je regardais les autres épouses, qui ne semblaient pas déçu outre mesure, de la décision du club. Je vis Romane se mettre à l’écart, passer un coup de fil.
Quant à moi, j'attendais un message de Guy, qui ne vint pas, et c'était mieux ainsi. J'enfilais une nuisette, comme souvent quand je suis seule, sans rien dessous. Cette nuisette, c'est Rémi qui me l'avait offerte. J'entrepris de faire du ménage.
A bout de souffle, je me servis un verre d'eau bien fraîche, et m'asseyais sur le canapé. Par ce geste, la nuisette remonta légèrement, découvrant ma petite chatte. Machinalement, je passais un doigt sur ma fente...ce fut le déclic.
" Allo...Guy ?
" Oui...que t'arrive-t-il ma chérie...t'es pas avec le autres?
" Non...heu...je suis seule...tu peux passer à la villa?
" Ah...je te manques déjà? OK, j'arrive.
Quand il arriva, je sautais à son cou, le couvris de baisers, lui laissais l'honneur d'ôter lui même la nuisette. Il était le second après mon mari, à avoir cette faveur.
Cet après midi là fut torride, comme lui seul savait les rendre. Je me suis faites baiser droite dans la piscine, sodomiser sur la pelouse, bouffer la chatte sur la moquette, tailler des pipes à la salle de bains, avalais son sperme, nettoyais sa queue. Puis je lui ouvris le lit conjugal, là ou il tenait à tout prix à me baiser, en lieu et place de mon mari. J'espérais que ce n'était pas pour humilier mon mari, au quel cas, j'aurais participé à son humiliation.
Les deux nuits qu'il resta à la villa furent sulfureuses.
Au matin, je repris mes esprits, et même si j'avais vécu une relation intense avec Guy, je refusais qu'il ne reste d'avantage. Et il le comprit très bien.
Quand il fut parti, je me mis au ménage, aérais la chambre, changeais les draps pour faire disparaître les traces de nôtre plaisir. J'étais entièrement nue, imaginais ses mains parcourir mon corps, et ressassais ce torride week-end.
Il fut un amant merveilleux, au delà de ce que j'avais connu jusque ici. Il m'a donné énormément de plaisir, mais si Rémi apprenait que je l'ai trompé, et avec qui je l'ai trompé, il me le pardonnerait jamais.
...Ou devrais-je lui avouer mon infidélité, tout simplement, en omettant de préciser avec qui je l'avais trompé, avant qu'une personne malveillante ne le lui dise.
reste, je le constate tous les jours, en voyant les hommes se retourner sur mon
passage, me siffler parfois, même si je suis au bras de Rémi, mon mari, joueur de
rugby dans l’équipe fanion de la ville.
Il faut que je vous raconte l’histoire qui m’est arrivé le mois dernier.
C’était lors de la venue d’une équipe Écossaise, dans le cadre du jumelage entre nos deux villes. Bien évidement, une réception fut organisée à la mairie, pour accueillir nos homologues autour d’un pot de bienvenu. Ils étaient une bonne vingtaine, frisant tous les cent, cent vingt kilos. De vrais colosses, assez jeunes, plutôt séduisant malgré leur imposant gabarit....des joueurs de rugby, tout simplement.
Ce soir là, j’avais accompagné Rémi et ses coéquipiers, eux même accompagné de leurs épouses, ou copines, de mon âge environ, et toutes aussi belles.
Il se trouve que nôtre équipe première, doit jouer un match capital demain, suite au report d’une journée de championnat, dû aux intempéries.
C’est donc l’équipe remplaçante qui va rencontrer l’équipe Écossaise, en match amical, demain après-midi à quinze heures, l’équipe fanion jouant à la même heure à l’extérieur.
Le «Hic », c’est que vu l’importance du match, nos époux devaient se coucher de bonne heure. Les joueurs Écossais furent déçus, ayant prévu de faire une virée en boîte, entre joueurs.
Devant leurs désarrois, le président du club demande à nos époux de faire un geste, d'autoriser leurs femmes à accompagner les joueurs de l’équipe Écossaise dans leur virée nocturne. Je dois avouer que çà ne m'enchante pas plus que ça.
Moi qui avait prévu de faire un gros câlin avec mon mari, de me faire bien baiser, de sentir sa queue bien profond dans ma chatte, c'est loupé...
D’abord réticente à ce projet, je m’incline devant la fougues des autres épouses.
En fait, la sortie en boîte fut annulée, les joueurs Écossais étant hébergés dans un somptueux château, gracieusement mis à disposition, par un riche industriel.
Et c’est là qu’était prévu la soirée.
A la fin du pot d’honneur, les joueurs Écossais quittèrent la salle, pour regagner le château. Ils nous donnent rendez-vous à vingt trois heures.
Beaucoup de femmes en profitaient pour passer chez elle se faire une beauté, et mettre une tenue plus sexy, pour rendre la soirée de nos invités plus agréables.
Quant à moi, je me contentais d'une courte jupe, et d'un petit haut.
Je sentais mon mari inquiet, c'était la première fois que je sortais sans lui. Je lisais dans son regard la peur que je me laisse séduire, que je lui sois infidèle. Bien sûr, je le rassurai, lui disais qu'il était, et resterai le seul homme de ma vie. Je lui dis que s'il le souhaitait, je pouvait rester à la maison.
Il me répondit que c'était hors de question que je ne participe pas à cette soirée.
Ce sont donc une dizaine de bombes qui se présentaient à la soirée.
Je fis le trajet en voiture avec Romane, Estelle, Carole, et Marthe, la femme du président, âgée d’une soixantaine d’années.
Nous sommes rejoint par d’autres personnes venues se greffer au groupe.
Jean, le président, Georges, l’entraîneur de l’équipe réserve, Guy et Marc, deux joueurs que mon mari avait évincés de l’équipe pour le match, jugeant leur forme insuffisante. Ils n’ont pas du tout aimés d'avoir été ainsi écartés pour ce match important. J’avoue ne pas apprécier leur présence à cette soirée.
Nous sommes accueillies par le personnel du Château, qui nous guide vers des vestiaires, ou des masques nous sont distribués. Un bal masqué ? Pourquoi pas.
On m’attribue celui de Superwoman.
Malgré tout, je repère mes copines par leurs tenues, pour ne pas les perdre de vu. Nous sommes ensuite conduites dans une grande salle, ou un imposant buffet est dressé, bourré de victuailles, de champagne et autres boissons alcoolisées. Si...quelques jus de fruit.
Les joueurs apparaissent, et là...stupeur. Ils sont habillés dans la pure tradition Écossaise. En Kilt. Je croise le regard de mes copines, et vois qu’elles se posent la même question.
Qu’ont-ils en dessous, un slip, ou un sexe libre de tout vêtement.
- Je suis sûre qu’ils n’ont rien dessous, me chuchote Romane.
- Enfin...tu crois qu’ils se promèneraient comme ça ?
- A la première danse, je teste, sourit-elle.
- Arrêtes...tu es mariée…
Tout d’abord, la soirée commence au buffet. Les joueurs s’approchent de nous, nous servent à boire.
Je remarque au passage, que certain Kilts sont anormalement tendus à un endroit bien précis de leur anatomie.
Et si Romane avait raison, s’ils étaient nus dessous.
Après quelques verres, si nous on ose pas, eux par contre, n’hésite pas à glisser leurs mains, dans les endroits intimes de nôtre personne. J’aperçois Romane collée au dos d’un joueur, ses bras enroulés au tour de la taille. Je vois, grâce à une immense glace placée en face, ses mains s’agitaient sous le Kilt. Elle la dit, elle la fait, elle veut savoir.
- Je confirme, me dit-elle en me rejoignant, ils ont rien dessous...ou plutôt si. Une sacré paire de couilles, et un engin énorme. Mon mari en pâlirai de jalousie.
- Sérieux...à ce point ?
- Tu devrais tester ma chérie.
Ce n’est pas mon style , je suis fidèle, et tiens à respecter les vœux du mariage.
Plus on avançait dans la soiré, l’atmosphère devenait plus détendu. Certaines épouses se laissaient séduire par la fougue de jeunes joueurs. Ne voulant pas passer pour un arriérée, je me mêlais à la fête. Petit à petit, nous commençons à nous lâcher.
En dansant dans les bras d’un vigoureux joueur, je vis tout près de moi, Romane, à genoux, la tête enfouie sous un Kilt.
« Non, me dis-je, elle ne le suce pas quand même ? »
Quand je la vis sortir, et s’essuyer les lèvres, je compris que, non seulement, elle lui avait taillé, une pipe, mais qu’elle avait tout avalé. J’en revenais pas.
Sur la piste improvisée, les épouses des joueurs se libéraient, s’engageaient dans de fougueux baisers, se laissaient volontairement caresser, même les parties intimes de leurs corps. J’en ai même vu jouir sur place. Si sous les Kilts, il n’y avait pas de slip, la majorité des strings sous les jupes, avaient disparues aussi.
Moi même, était plus accessible, plus ouverte, ne repoussant plus les assauts, acceptant que des mains inconnues se faufilent sous mon chandail, me caressent les seins, sous ma jupe, caresser ma chatte par dessus mon string, encore en place, par miracle. Tout ça se faisait en toute lucidité de ma part.
Petit à petit, la salle se transformait en club libertin, ou nous étions les principales friandises. Nous rejoignons les canapé disposés sur tout le périmètre de la salle.
Les épouses des joueurs, la jupe enroulé autour de leu taille, se faisaient caresser les seins, doigter le clito, branler la chatte. Elles tombaient à genoux, taillaient des pipes aux énormes queue que ses joueurs venus d’ailleurs leur offraient. Elles avalaient tout, jusqu’à la dernière gouttes. Certaines avouaient que c’était leur première pipe. « Bien venu au club, avais-je envie de leur dire ».
Les épouses changeaient de partenaire, au gré de leur envie. J’ai même vu Carole glisser deux doigts dans la chatte d’Estelle, alors que celle-ci suçait une queue.
Mais tout ça donnait soif. C’est pratiquement nue, que les épouses se rendaient au bar. Là aussi, les doigts des joueurs disparaissaient dans les chattes baveuses.
Après un slow langoureux dans les bras d’un colosse, qui avait visité mon corps de ses mains avides, jusqu’à insérer un doigt dans ma chatte, j’allais au bar rejoindre mes copines, et reprendre mes esprits.
C’est à ce moment que je sentis un bras me prendre par la taille. Je me retournais, et me trouvais face à un homme, avec un masque de Superman. L’éternel sauveur de l’éternité. J'eus un léger sourire en pensant que ces deux là, ne s'étaient jamais rencontrés à l'écran, et qu'ils étaient là réunis pour cette soirée.
Je m'imaginais bien voler dans les airs avec lui, en train de le sucer, ou empalée sur sa bite. A voir son gabarit, et sa tenue vestimentaire, je me doutais qu’il ne faisait pas parti de l’équipe de rugby Écossaise. Sans doute un intrus qui s’était glissé dans nôtre groupe. Lentement, il m’entraîna vers un canapé, ou il m’invita à m’asseoir. Il posa ses mains sur mes cuisses, remonta sous ma jupe. Les mains redescendirent, entraînant avec elles, la chute de ma culotte.
D'une légère pression, il écarta mes cuisses, découvrit ma chatte entièrement épilée. Il embrassa mes genoux, puis son vidage remonta, s’installa contre mes lèvres intimes. Je me cambrais quand sa langue écartait ma fente pour pénétrer ma chatte, quand ses lèvres aspiraient mon clitoris. Au bout de dix minutes d’intense plaisir, il se releva, ôtait son pantalon.
Apparu alors un calibre dont les mensurations n’avaient rien à envier aux bites écossaises. Je ne pus m’empêcher de la prendre an main, de la décalotter et la prendre en bouche. C’était ma première fellation. Je regardais à droite, à gauche, pour voir si quelqu’un regardait. Tout autour de moi, des couples ou des trios s’adonnaient au plaisir de la chair. Certaines épouses se faisaient prendre sur le canapé, d’autres à même la moquette. Ce n’était qu’un concert de gémissements qui emplissait la salle.
Les joueurs Écossais s’amusaient avec elles, les prenant dans les positions les plus sordide, comme pour humilier leurs homologues Français. Le pire, c’est qu’elles se soumettaient à tout leurs caprices.
Marthe, la soixantaine avait relever son masque en bec d’oiseau, gênant pour tailler une pipe au président de l’équipe Écossaise, tandis que son adjoint la prenait en levrette.
Estelle chevauchait un étalon, empalée qu’elle était sur sa grosse bite. Il la maintenait par les hanches, la faisant coulisser au bon vouloir de ses coups de reins.
Carole suçait un jeunot, tout en se faisant sodomiser par un quintal de muscles. Romane, elle hurlait de plaisir, prise en double par deux colosses.
J’étais fascinée, excitée par ces scènes de sexes.
Je n’opposais aucune résistance quand mon « Superman » m’entraînait dans les escaliers menant à l'étage, et choisit une chambre au hasard.
Je lui demandais alors de me faire visiter les étoiles.
Il me prit les lèvres, tout en finissant d’ôter mes vêtements, en fit de même avec les siens. Nous étions entièrement nus, nos masques pour seul obstacle.
sournois Il s’allongea près de moi. Je saisis son énorme queue, tandis qu’il commençait à me caresser. Je me cambrais sous la douceur d’un doigt, qui excitait mon clitoris, tandis que ses rires
C’est là que je reconnu l’intrus…
« Oh mon dieu, c’est pas vrai...Guy, le joueur que mon mari a évincé de l’équipe » J’étais furieuse, mais pas jusqu’à laissé filer la jouissance qui traversait mon corps. Il avait prévu son coup le salaud, savait que je serai sans mon mari à cette soirée. Il voulait se venger de lui, l’humilier, et moi je m’étais offerte à lui, sans retenue, et avais pris un énorme plaisir. J’approchais mon visage du sien, et lui donnais un sulfureux baiser.
Je me souvint des mots que m'avait dit Carole, qui trompe courramment son mari.
" Tu sais, une femme fait à un amant, ce qu'elle ne fait jamais avec son mari."
Ce qui s’en suivi fut horrible, indigne d’une femme mariée. Pendant presque une heure, je lui est offert tout ce qu j'avais refusé à Rémi, je me suis faite sodomiser, je l'ai sucé, avalé sa semence jusqu'à la dernière goutte. Il m'a corrompu, fait de moi une femme infidèle, ce que je m'étais toujours refusé de devenir.
Mais serais-je capable de répercuter ça à mon mari, sans éveiller les soupçons.
Cette chambre nous a servi de refuge une partie de la nuit.
Là encore, il a fait de moi, ce qu’il a voulu, m’a fait découvrir l'univers à plusieurs reprises. Il avait une façon de jouer aven mon clitoris, que je n’avais jamais connu avec Rémi. La nuit fut torride, jusqu’à atteindre plusieurs orgasmes. Guy imposait une cadence infernale, jamais atteinte avec mon mari, en cinq ans de mariage.
Il voulait qu'on aille chez moi.
" Je veux te baiser dans le lit conjugal, là ou ton mari te baise." Disait-il.
Il voulait me faire avouer qu’il était meilleur que mon mari, qu’il me baisait mieux que lui, qu'il était mieux monté. Même si s’était vrai, je refusais de lui répondre.
Ce n’est que vers six heures du matin, que je lui avouais n’avoir jamais été baiser comme ça, que je n’avais jamais autant joui.
Ce qui finalement, répondait à sa question.
Sous la douche, ou il me fit jouir droite contre les faïences, il m’avouait avoir pris énormément de plaisir à me baiser, sans parler de vengeance.
Il me proposait même qu’on se revoit, en toute discrétion. En fait, que je devienne sa maîtresse, pour appuyer d’avantage l’humiliation faite à mon mari peut-être.
Bien évidemment, j’écartais cette proposition, lui disant que, malgré cette torride nuit, j’aimais mon mari, et ne voulait pas mettre mon couple en danger.
Je repris vite le chemin du château, espérant que personne ne s’était aperçu de mon absence.
Des couples étaient encore enchevêtrés. Estelle et Carole s’occupaient d’un gaillard, tandis que Romane était prise entre deux tas de muscles.
Décidément, les doubles pénétrations étaient devenus son sport favori.
En poussant la porte des toilettes, je vis Marthe se faire prendre en levrette.
Je refermais en souriant, laissant la femme du président à son plaisir.
Mais quand le plaisir est là, le temps passe vite.
A dix heures du matin, j’ai une pensée pour l’équipe de mon mari, dont le bus ne va pas tarder à partir. Et nous ne serons pas là pour les encourager, leur donner le baiser de la chance pour leur match capital, préférant plutôt nous faire baiser.
Ils nous ont autorisés à accompagner l’équipe Écossaise en boîte, mais pas à nous faire partouzer. Je suis sure qu’ils doivent le regretter. Même s’ils ne seront jamais ce qu’il s’est passé.
Pour ma part, j’invitais Estelle, Carole et Romane à la villa, à boire le café. Elles me firent remarquer, que j’avais pris un risque en couchant avec Guy. Elles me demandèrent aussi, si c’était un bon coup au lit.
Je leur dis qu’il avait été phénoménal, que j’avais plus joui en une nuit avec lui, qu’en un mois avec mon mari. Il m’a fait jouir six fois, plus que ma nuit de noces.
Il était dix huit heures, quand nos époux arrivaient. A voir leur tête, je compris que le résultat n’était pas celui escompté. Il n’y avait pas eu la troisième mi-temps.
Le lendemain dimanche, mon mari reçu un coup de fil du président, l’informant que cette après-midi, il y avait une réunion urgente. Réunion de crise.
Dans la minute qui suivit, je reçu un coup de fil de Romane, me disant que les joueurs Écossais tenaient à ce que nous allions à la plage avec eux.
Après réflexion, et sachant mon mari était en réunion, pourquoi pas.
Je répondit favorablement à sa proposition.
La plage était privé, et appartenait au château. Aussi, je ne fus pas surprise quand je découvrais les joueurs de rugby, entièrement nus, jouaient au volley.
Leurs énormes bites, et leurs grosses couilles, balançaient entre leurs jambes, au gré de leurs mouvements. Immédiatement, une humidité se formait sur ma chatte, et à voir Carole, Estelle et Romane, je n’étais pas la seule.
Du reste, nos maillot ne faisaient qu’une brève apparition, étant ôtés délicatement par nos hôtes. Ils nous soulevèrent comme une plume, et nous jetèrent à l’eau. Très rapidement, nous nous trouvions empalées sur leur colossale bite.
A peine dix minutes, que déjà les orgasmes fusaient à la surface de l’eau.
Les ébats se poursuivaient sur la plage. J’ondulais, empalée sur une belle queue en érection, tandis que des mains prodiguaient de douces caresses sur mes seins.
Puis je sentis un objet dur, contre ma joue. Je me retournai et aperçus Guy. C’est pas vrai, comment a-t-il su que j’étais là.
Il frottait sa queue en érection contre ma joue. Je ne pouvais le laisser dans cet état. Je le décalottais, et le prenais en bouche, il ne lui restai plus qu'à se branler. Je m'écroulais sur le sable, libérée par mon baiseur. Je me trouvais allongée, le queue de Guy coulissant entre mes me lèvres. Celui-ci se mit dans la position du sportif faisant des pompes, prenant appuis de se bras au dessus de ma tête. Je happais sa bite qui passait près de ma bouche, et me mis a la sucer. Je n’attendis pas longtemps avant qu’il ne jouisse. Il restait plus d’une minute, enfoncé dans ma bouche à se vider, tandis que j’avalais au fur et à mesure, son abondante semence. Je restais une minute de plus à nettoyer son gland prisonnier de mes lèvres, et de ma langue.
- T’es un vrai salaud toi...mais que ta queue est bonne…
- Et que dire de ta chatte…de ton petit trou...et ta bouche...oh la la...
- Enfoiré…tu profite de l’absence de mon mari…
- Ben tu vois, c’est un mal pour un bien.
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- De ne pas m’avoir pris dans l’équipe, ça ma permis de baiser sa femme.
Mais il ne voulait pas en rester là, et voulait que je me soumette, accentuant de ce fait l’humiliation de mon mari.
C’est vers dix sept heures, juste avant de partir, que j’eus droit à ma première double pénétration. Ce fut génial, au point d’en réclamer d’autres, avec des mecs différents, mais toujours avec Guy, omniprésent.
J’en reçus trois, ponctués d'autant d’orgasmes.
Romane, Estelle et Carole rentrions à la villa. Nos époux n’étant pas rentrés, nous décidons de piquer une tête dans la piscine.
Quand ils arrivèrent, leur regard était fermé, ce qui n’était pas bon signe.
Mon mari nous informa, que suite à l’inacceptable défaite d’hier, le président leur imposait un stage d’une semaine dans les Pyrénées.
Je regardais les autres épouses, qui ne semblaient pas déçu outre mesure, de la décision du club. Je vis Romane se mettre à l’écart, passer un coup de fil.
Quant à moi, j'attendais un message de Guy, qui ne vint pas, et c'était mieux ainsi. J'enfilais une nuisette, comme souvent quand je suis seule, sans rien dessous. Cette nuisette, c'est Rémi qui me l'avait offerte. J'entrepris de faire du ménage.
A bout de souffle, je me servis un verre d'eau bien fraîche, et m'asseyais sur le canapé. Par ce geste, la nuisette remonta légèrement, découvrant ma petite chatte. Machinalement, je passais un doigt sur ma fente...ce fut le déclic.
" Allo...Guy ?
" Oui...que t'arrive-t-il ma chérie...t'es pas avec le autres?
" Non...heu...je suis seule...tu peux passer à la villa?
" Ah...je te manques déjà? OK, j'arrive.
Quand il arriva, je sautais à son cou, le couvris de baisers, lui laissais l'honneur d'ôter lui même la nuisette. Il était le second après mon mari, à avoir cette faveur.
Cet après midi là fut torride, comme lui seul savait les rendre. Je me suis faites baiser droite dans la piscine, sodomiser sur la pelouse, bouffer la chatte sur la moquette, tailler des pipes à la salle de bains, avalais son sperme, nettoyais sa queue. Puis je lui ouvris le lit conjugal, là ou il tenait à tout prix à me baiser, en lieu et place de mon mari. J'espérais que ce n'était pas pour humilier mon mari, au quel cas, j'aurais participé à son humiliation.
Les deux nuits qu'il resta à la villa furent sulfureuses.
Au matin, je repris mes esprits, et même si j'avais vécu une relation intense avec Guy, je refusais qu'il ne reste d'avantage. Et il le comprit très bien.
Quand il fut parti, je me mis au ménage, aérais la chambre, changeais les draps pour faire disparaître les traces de nôtre plaisir. J'étais entièrement nue, imaginais ses mains parcourir mon corps, et ressassais ce torride week-end.
Il fut un amant merveilleux, au delà de ce que j'avais connu jusque ici. Il m'a donné énormément de plaisir, mais si Rémi apprenait que je l'ai trompé, et avec qui je l'ai trompé, il me le pardonnerait jamais.
...Ou devrais-je lui avouer mon infidélité, tout simplement, en omettant de préciser avec qui je l'avais trompé, avant qu'une personne malveillante ne le lui dise.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Entièrement d accord avec cette dernière (avis) dire que j aime mon mari mais je baise avec d autres hommes cela et incompréhensible pour tout être humain elle doit se conformer à ce qu elle a promis devant le curé ou le maire a moins qu elle n est pas de religion et quand même (les animaux sont jaloux de leur femelles ou du mâle)
Non ce n’est pas le choix du mari d’être cocu à fond par son rival.
C'est le choix du mari et de sa femme !
Arrêtez de toujours critiquer !
C'est un mode de vie !
Moi, j'aime voir ma femme se faire baiser par d'autres mecs, ou la savoir se faire baiser.
Je suis candauliste, quel mal y a t'il ?
Ma femme ne me trompe pas !
C'est un mode de vie qui nous convient à tous les 2 !
Et moi, je n'ai pas l'envie d'aller voir ailleurs, je lui suis fidèle !
Et nous nous aimons de plus en plus chaque jour.
Je t'aime ma chérie, je t'aime comme tu es avec ton hyper sexualité.
J'aime te partager.
Arrêtez de toujours critiquer !
C'est un mode de vie !
Moi, j'aime voir ma femme se faire baiser par d'autres mecs, ou la savoir se faire baiser.
Je suis candauliste, quel mal y a t'il ?
Ma femme ne me trompe pas !
C'est un mode de vie qui nous convient à tous les 2 !
Et moi, je n'ai pas l'envie d'aller voir ailleurs, je lui suis fidèle !
Et nous nous aimons de plus en plus chaque jour.
Je t'aime ma chérie, je t'aime comme tu es avec ton hyper sexualité.
J'aime te partager.
Vous aimez ça tant mieux.
Mais votre femme s’en est sorti facilement elle vous a couillone a fond , vous avez baissé les yeux.
Encore 1 homme qui a perdu ses couilles en route. Quand à votre femme arrive t’elle à se regarder dans 1 miroir !!!
Bref c’est 1 fantasme mais ça n’enlève rien au fait que la femme est 1 énorme poufiasse , il n’y a rien à pardonner.
Arrêtez de toujours croire que c’est le monde des bisounours.
Elle a couillone son mari avec son rival mais en plus sans capotes comme ça elle lui ramènera 1 grossesse ou les MST !!!!
Encore 1 récit ou la femme traite son mari comme de la merde.
Mais votre femme s’en est sorti facilement elle vous a couillone a fond , vous avez baissé les yeux.
Encore 1 homme qui a perdu ses couilles en route. Quand à votre femme arrive t’elle à se regarder dans 1 miroir !!!
Bref c’est 1 fantasme mais ça n’enlève rien au fait que la femme est 1 énorme poufiasse , il n’y a rien à pardonner.
Arrêtez de toujours croire que c’est le monde des bisounours.
Elle a couillone son mari avec son rival mais en plus sans capotes comme ça elle lui ramènera 1 grossesse ou les MST !!!!
Encore 1 récit ou la femme traite son mari comme de la merde.
Je voulais dire, (je n'ai pas l'envie et le besoin d'aller voir d'autres femmes).
C'est moi, le candauliste.
J'aime voir ou savoir ma femme baiser avec d'autres hommes.
Moi, je n'ai pas l'envie et le besoin d'aller voir d'autres hommes.
Je suis fidèle à ma chérie.
Mais elle peut baiser avec qui elle veut, à condition de me le dire.
Elle baise avec ses amants, baise aussi avec son amant régulier, c'est juste du sexe avec eux !
Et fait l'amour avec moi.
Nous nous aimons et sommes très amoureux.
Je suis simplement candauliste, et nous l'assumons tous les 2 !
J'aime voir ou savoir ma femme baiser avec d'autres hommes.
Moi, je n'ai pas l'envie et le besoin d'aller voir d'autres hommes.
Je suis fidèle à ma chérie.
Mais elle peut baiser avec qui elle veut, à condition de me le dire.
Elle baise avec ses amants, baise aussi avec son amant régulier, c'est juste du sexe avec eux !
Et fait l'amour avec moi.
Nous nous aimons et sommes très amoureux.
Je suis simplement candauliste, et nous l'assumons tous les 2 !
En attendant vous n'avez pas répondu , amusez vous à lui faire plus tard 1 poisson d'avril et on verra si elle sera aussi sympa que vous l'etes avec elle quand vous lui direz avoir baise 1 autre femme !!!!
Il y a 1 proverbe qui dit ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse apparemment votre femme ne comprends pas le français !!!!
Il y a 1 proverbe qui dit ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse apparemment votre femme ne comprends pas le français !!!!
Ma femme m'avait trompée avec des préservatifs.
Et qd elle baise avec des amants de passage, c'est tjrs avec des préservatifs.
Seul son amant régulier depuis plus de 3 ans, la baise sans capote. Il fait des tests tous les 2 mois, et c'est quelqu'un de confiance.
Et qd elle baise avec des amants de passage, c'est tjrs avec des préservatifs.
Seul son amant régulier depuis plus de 3 ans, la baise sans capote. Il fait des tests tous les 2 mois, et c'est quelqu'un de confiance.
Vous etes candauliste ça vous regarde, tout le monde n'a pas la vocation d'etre candauliste !!!!
C'est 1 fantasme mais dans le réel la femme a fait des conneries : niquer sans capotes ramener 1 polichinelle dans le tiroir et ou des MST et ça vous le gardez à vie.
Je vais vous poser 1 question, faites le test , 1 soir rentrez chez vous et avouez à votre femme que vous en avez niquer 1 autre , on verra si elle sera aussi adorable que vous vous l'etes avec elle !!!!
C'est 1 fantasme mais dans le réel la femme a fait des conneries : niquer sans capotes ramener 1 polichinelle dans le tiroir et ou des MST et ça vous le gardez à vie.
Je vais vous poser 1 question, faites le test , 1 soir rentrez chez vous et avouez à votre femme que vous en avez niquer 1 autre , on verra si elle sera aussi adorable que vous vous l'etes avec elle !!!!
Elle devrait lui dire.
Peut être qu'il lui pardonnera, et qu'il la laissera continuer.
Moi, ma femme m'avait trompée un soir en boîte de nuit où elle sortait avec ses copines.
Elle me l'a avoué, et c'est là que je me suis aperçu que j'étais candauliste.
Je lui ait demandé de tout me raconter dans le moindre détail.
Depuis ma femme a un amant régulier, et baise avec des amants de passage, avec mon accord.
Je suis candauliste, et je l'a regarde baiser devant moi, ou elle me raconte tout qd je ne suis pas présent.
J'adore son épanouissement, et c'est notre mode de vie.
Peut être qu'il lui pardonnera, et qu'il la laissera continuer.
Moi, ma femme m'avait trompée un soir en boîte de nuit où elle sortait avec ses copines.
Elle me l'a avoué, et c'est là que je me suis aperçu que j'étais candauliste.
Je lui ait demandé de tout me raconter dans le moindre détail.
Depuis ma femme a un amant régulier, et baise avec des amants de passage, avec mon accord.
Je suis candauliste, et je l'a regarde baiser devant moi, ou elle me raconte tout qd je ne suis pas présent.
J'adore son épanouissement, et c'est notre mode de vie.
Elle aime son mari mais nique avec le rival de son mari c’est 1 poufiasse.
Le mari devrait la mettre à la porte et divorcer.
Les poufs ne comprennent que ça.
On ne traite pas son mari ou sa femme comme de la merde.
Le mari devrait la mettre à la porte et divorcer.
Les poufs ne comprennent que ça.
On ne traite pas son mari ou sa femme comme de la merde.