Perverse Ninon ? 1 - histoire érotique

Je m’appelle Ninon mes copines me surnomme ‘sauvageonne’ je suis très réservée voir introvertie , d’un coté elles ont raison j’aime être seule ,çà me permet de choisir et de draguer mes amants discrètement quelque soit leur âge comme bon me semble, je viens juste d’avoir dix huit ans mais formée comme une femme de vingt cinq ans, des nichons et un petit cul a damner un saint ! brune , aux yeux noirs ,dépucelée a seize ans par un copain de mon père, rassurez vous je l’ai voulu ! je l’ai gardé le temps qu’il fasse mon éducation je peut dire que j’ai été servie ! houa ! que se soit les préliminaires en passant par les positions du Kama soutra, même mon petit cul sait ce que c’est qu’une grosse queue !
Je rigole intérieurement quand mes copines me demandent
- Dis-nous sauvageonne quand est ce qu’elle mange ta chatte ?
Si l’une d’entre elles savait que je me suis tapée son père dans sa voiture, son frère ainé dans sa chambre et que j’ai fait déchargé son jeune frère dans son pantalon en lui montrant ma moule dans un square elle rigolerait moins ! Je me demande d’ailleurs si je ne vais pas essayer de brancher sa mère !
Cet été je suis en vacances chez mes grands parents sur la cote atlantique, seule, et LIBRE ! Ils ne me posent pas de questions sur mon emploi du temps, à part mes tenues qui surprennent beaucoup mamy !
- Où est ce que tu vas accoutrée comme çà ? Regarde moi çà on voit la moitié de tes nichons et cette jupe ? Le nombril a l’air percé avec je ne sais quoi ? Et l’ourlet de ta jupe ? Un peu haut ! s’il y a du vent on va tout voir ! de mon temps mon père m’aurait foutu un coup de fusil !
- Mamy ! Les temps ont changés soit tranquille je suis grande maintenant.
- Grande ? Tu parles ! En tout cas fait attention, évite d’aller vers les blockhaus, il s’y passe de drôles de truc soit disant ma bichette, fait moi un bisou …
Grand père lui se contente de grommeler
- Haaah ! T’es bien comme ta grand’mère !
……. ????? …….
Aujourd’hui Je vais à la plage, une plage immense où l’on ne se marche pas sur les serviettes, il ne fait pas très beau, un temps lourd, orageux, peu de monde … allongée sur mon paréo, les seins nus, seulement un minuscule bikini attaché sur les cotés, peu de tissus entre les jambes...
A une cinquantaine de mètres un couple avec un gamin qui joue au ballon avec son père, peu à peu ils se rapprochent de moi …. je me demande si le papa ne veut pas tout simplement voir mes seins de plus prés, çà doit le changer de bobonne qui porte un maillot une pièce !
Et, ce qui devait arriver … le ballon atterrit juste au creux de mes cuisses, je me relève sur les coudes sans toucher au ballon, l’homme hésite...
- Marco, va demander le ballon à la dame.
- ho non j’ai peur !
- Venez le chercher vous … courage !
Et dans un geste lascif je joins mes talons écartant bien les cuisses, rien de tel pour ouvrir les lèvres de ma chatte en accent circonflexe puis je resserre les genoux, le tissus reste collé, ma moule doit être bien dessinée par le bikini…..mummmmmm, lui-même a un maillot qui moule très bien une banane grandissante ! de plus beau mâle, Il se décide àavancer gêné par son érection naissante...
- Pardon madame excusez moi ….
Il saisit le ballon, ses mains effleurent mon entre cuisses, ses yeux exorbités sautent à une vitesse folle de mes nibards à ma chounette, il doit même voir les poils qui dépassent sur les aines car chez moi c’est du ‘tout venant’ ! il met un temps fou à soulever cette balle comme si elle pesait des tonnes !
- PAPA ! PAPA !! On joue ! ?
- Marco tu m’énerves ! j’arrive !
Le pauvre père s’éloigne à regret en se touchant l’énorme bosse qui se développe, le slip devient trop étroit, une auréole humide s’y est dessiné, il déglutit péniblement, j’en rajoute en passant une main innocente sur mon bikini en m’attardant volontairement sur ma fente en ondulant du bassin , je rectifie même les cotés avec mes doigts réduisant la bande, les poils dépassent encore plus, je m’allonge mes mains remontent lentement vers mes seins dont les tétons sont dressés, c’est l’estocade ! le papa passe par toutes les couleurs !
La maman vint de s’assoir et regarde dans notre direction, le père l’a vu.
- Aller vient Marco assez jouer on va voir maman
- Ho non ! Pas déjà !
- Cà suffit vient et tait toi sinon …
Il part en tenant le gamin par la main mais il fait un détour par le bord de l’eau et s’y baigner sans doute pour apaiser sa queue car si maman voit çà !
C’est bien ce que je pensais, des éclats de voix me parviennent , le père lève les bras au ciel, après avoir laissé le gosse aux bons soins de la mère il file vers la forêt et longe la lisière dans ma direction …. je tente le tout pour le tout , je me lève, secoue mon paréo, m’enroule dedans , noué sur ma poitrine et marche lentement sur le rivage en direction des blockhaus, l’homme calque sa marche sur la mienne, si je m’arrête il s’arrête, mon cœur bat la chamade, ma chatte s’humidifie … j’ai envie de baiser avec cet inconnu , comme dirait ma copine elle a envie de manger !
Personne autour des blockhaus, je m’y dirige d’un pas lent, ‘il’ est arrêté en face ….
J’entre dans une large ouverture à moitié remplie de sable, il y règne une certaine pénombre, des kleenex et toutes sortes d’autre objets que je ne préfère pas identifier jonchent le sol, arrivée au fond je me cale de dos les mains sur le béton à hauteur de mes fesses, les jambes séparées, offerte, une ombre …. C’est lui ! Il laisse ses yeux s’habituer à l’obscurité puis entre, il m’a vue, sa main triture son maillot, mes jambes sont légèrement séparée, offertes …Il est maintenant à cinquante centimètres, une main dénoue mon paréo qui tombe à mes pieds, la même main enveloppe un sein pour en tester la fermeté, la mienne part en direction du maillot … houa ! Quelle érection ! Je tire sur l’élastique à la taille, la queue jaillit dressée sur le nombril.
Il se colle à moi, cherche ma bouche, nos langues se livrent une vraie bataille, ses doigts tirent sur les nœuds qui attachent mon slip qui rejoint le paréo, nous jouons un long moment à découvrir nos sexes, ma mouille coule entre ses doigts qui fouillent virilement ma chatte, il fait pression sur me épaules , je me doute ce qu’il veut et comme j’en ai très envie , je me baisse docilement entrainant avec moi le maillot trop exigu, le gland brulant très doux dans le creux de ma main est vite avalé , le gout salé de l’océan envahit ma bouche puis vient la douceur de son liquide séminal, complètement chavirée je suce, je branle comme si ma vie en dépendait, soupesant les couilles dures et velues...
- Tu avales ?
J’esquisse un oui, une seconde après son bassin se tend en avant, une main empêche ma tête de se retirer en arrière, un foutre épicé inonde ma bouche et ma gorge, j’ai de la peine à ne pas recracher cette liqueur que j’adore ! Je me relève tenant toujours en main cette bite qui n’a pas débandé :
- Quel âge as tu ?
- Dix huit
- C’est vrai ? Je ne veux pas de problèmes je te préviens ! Tu veux que je te baise ?
- Pourquoi pas ? !et vous quel âge ?
- Trente six, tu aimes les vieux ?
- Pas préférence, je me suis faite dépuceler à seize ans par un homme qui avait votre âge.
- Ben ma cochonne tu promets ! Bon mais je n’ai pas de capotes …..
- De toute façon je n’aime pas les capotes mettez moi tout dedans je prends la pilule.
- Tu es saine j’espère ?
- A vous de prendre les risques …
- OK, allonge toi sur ton vêtement, je vais te bouffer la moule avant.
Je suis aux anges ! Tant pis pour le paréo, les cuisses écartées sa bouche vient vite se coller en ventouse sur ma vulve.
- Ha ! Tu as beaucoup de poils, tu ne les coupes jamais ?
- Non ….
- Ils sont plein de mouille, bon çà va aller quand même, tu es clitoridienne ?
- Les deux, je jouis par le vagin aussi.
Il me mange la chatte un moment mais il est pressé de tirer son coup, il se hisse entre mes cuisses la queue à la main et cherche mon trou à bite
- Hannn ! Tiennnnnns prend ma queue petite salope je vais te bourrer jusqu’aux couilles comme tu ne l’as surement jamais été !!
Je rigole intérieurement, pauvre couillon si tu savais ….
N’empêche qu’il me fait réagir ce salaud, il baise bien finalement, je noue mes talons autour de ses hanches pour l’attirer plus loin en moi.
- Branle-toi pendant que je te défonce
Très vite c’est l’apothéose, je crie ma jouissance entre ces murs blindés :
- AAAAAAAHHHHH, va y envois ta purée tu me fais jouiiiiiiiir
- Petite dévergondée tu es trop étroite je pars moi aussiiiiiiiiiiiiiiiii oooooooooohhhhhh putain c’est boooooooooonnnnnn !
Un flot brulant gonfle ma matrice, le liquide chaud déborde et coule dans ma raie anéantie et heureuse je ferme les yeux, il se sépare de moi, sa queue ramollie a glissé de mon fourreau liquéfié :
- Si tu veux un autre coup, tous les matins à neuf heures, je fais un footing vers les cabanes de pêcheurs salut !
Il s’enfuit presque ! c’est alors que je vois à l’entrée, un vieux barbu qui se branle, paniquée je me relève, noue mon paréo, le slip à la main je vais aller faire une toilette dans les vagues , je suis obligée de passer prés de cet individu ……la peur me prend quand il me saisit le poignet :
- J’ai tout vu ! il a déchargé dans ta chatte hein ?
- Çà ne vous regarde pas laissez moi partir ou je crie.
- Crier ? il n’y a personne ! Et puis je ne te veux pas de mal regarde je ne bande pas assez mais j’aimerais bien te nettoyer la moule avec ma bouche vite fait, allez laisse toi faire allonge toi...
Si je refuse que va-t-il faire ? Après tout je me suis juré de prendre tout ce qui se présentera quand je suis venue en vacances.
- Bon d’accord mais vite …voilà je suis prête.
- Merci petite …. Oh, quelle belle chatte poilue, y’en a plein parmi tes poils, même le long de tes cuisses, mummmmmm, muuuuuummmmm c’est boooooonnn, si tu as envie de pisser ne te gêne pas j’avale tout !
Ah tiens, jamais je n’ai fait çà ! Pourquoi pas ? Je me concentre ………un premier jet … puis deux, ce n’est pas facile !
- Ouiiiii, t’es bonne tu sais ! Pisse encore...
Cette fois c’est le déluge çà lui coule dans le cou et moi j’en jouirais presque !
Muuuuuummmmm ta mouille et ta pisse mélangées c’est excellent ! Merci tu vois c’était pas terrible et j’ai bien sentis que çà t’a fait du bien ! revient quand tu veux !
Je vais quand même dans les vagues nettoyer mon entre cuisses puis satisfaite de mon après midi je rentre comblée, je dois me préparer pour demain !