Petru le roumain 3 - histoire érotique

Je me souviens avec nostalgie de cette période faste, ou tout était réuni, j'étais mon propre patron et tout roulait, socialement comme personnellement.
Les circonstances hasardeuses m'ont fait rencontrer un petit milieu d'hommes désireux de baiser un mec comme moi, sachant recevoir facilement et rester discret.
J'adorai leurs visites surprises, après Fabrice, Franck prenait plaisir à venir se soulager sexuellement, et assouvir de nouveaux fantasmes.
Bernard et Fred, m'ont honorés eux aussi de leurs désirs, quelquefois ensemble.
Malheureusement, je n'ai pas assez profité de Joël et de Petru.
Avec ma compagne, nous pensions de plus en plus à changer de ville et de région, ce qui sera fatal pour ma vie sexuelle homo.
Cela sera bénéfique pour sa sexualité à elle, et mon penchant candauliste, pour ce qui est des premières années, puis le calme plat ensuite pour nous deux.
Je pratique donc, depuis, les plaisirs anaux en solitaire avec des jouets de tailles conséquentes.
Mais revenons à Petru, qui ce soir là, me fait la surprise d'une visite à 19h.
Après que j'ai baissé le rideau, il me montre à quel point, il est heureux de me voir en m'embrassant longtemps.
Je l'emmène à l'étage, histoire de changer de lieu de baise.
En arrivant, il remarque le sac à dos ouvert de Franck, d'où l'on voit les deux glands des godes qu'il m'a laissé.
Il me regarde, en me souriant et prononçant des mots en roumain.
Je devine que cela parle de mon coté vicieux.
Je ris un peu, en me déshabillant, il m'imite, sa gène a disparu, je vois avec soulagement, qu'il n'a plus de honte à se dévêtir devant moi.
Il place son cockring à la base de sa queue derrière ses énormes testicules.
Je m'agenouille devant ses pieds, pour le lécher amoureusement sur l'entièreté de son appareil génital, j'aime l'entendre gémir sous mes caresses buccales.
Il me soulève, pour me coucher sur la table derrière nous.
Puis, il plonge sa tête entre mes cuisses et me prodigue un anulingus interminable.
Cela ne fait que me donner encore plus envie de lui. Il recule, me montrant sa grosse protubérance, gonflée de désir.
Je lui donne du gel que je récupère dans le sac à dos de Franck.
Il enduit mes fesses et son gland avec soin, puis se colle contre mon anus, en se tenant le sexe pour ne pas glisser à coté de mon cul.
Je l'aide en écartant mes fesses avec mes deux mains et en décontractant mon muscle anal, plusieurs fois.
"Ahhhhhhhhhhhh, Petru, tu m'as manqué!".
J'adore tant ce moment magique ou il glisse lentement dans mes profondeurs anales, pour ne s'arrêter que lorsque ses couilles touchent mes fesses.
Cette sensation de comblement anal est irremplaçable, seuls les adeptes de la sodomie peuvent comprendre.
Il entame un mouvement lent, ample et profond, dans mon cul.
Puis il se couche sur moi pour m'embrasser tout en m'enculant. Il mordille mon cou, puis me tiens par les cheveux en se déchainant à fond.
Ensuite, il calme le jeu, en me caressant tendrement et me pénétrant encore et encore.
Il me procure un gros orgasme aussi fort que ceux j'ai connu avec lui, en me giclant moi même sur le corps.
Il me tourne sur le ventre, et m'encule en levrette, toujours sur la table, comme une bête.
Je râle de plaisir en jouissant et giclant encore, mes gémissements se mêlent aux siens.
"Tu veux jus?".
"Oui, s'il te plais!".
"Vite!".
Il se retire de mon cul, et je me place, face à lui, en ouvrant la bouche.
Cette fois il dirige mieux sa verge qui m'inonde directement la gorge.
J'avale tout de suite en attendant les autres jets.
"Argggggghhhhhhhhhhhh, encore, gllllurpppppp!".
je n'ai pas le temps de rouvrir mes lèvres, que le jet suivant atteint mon nez, mais retrouve le chemin de ma gorge quand j'ouvre ma bouche en grand.
"Petru, encore, gllllurpppppp!".
Les sensations s'accumulent, le plaisir de l'entendre jouir en éjaculant dans ma bouche, l'excitation que cela me procure et l'érection qui me gagne.
"Slurrrrrrp, encore, Petru donne-moi tout!Arghhhhlllllllppppppppp".
"Hummmmmmm, P....., j'aime amour avec toi!Ahhhhhhhhhh".
Une erreur de direction fait gicler son jus dans mon œil droit, voyant qu'il baisse en intensité, je décide de couvrir son gland de mes lèvres que j'écartèle.
Son sperme me rempli rapidement la gorge, j'ingurgite son plaisir peu à peu pour profiter du vice coupable que je ressens à l'avaler.
Enfin, et malheureusement, les effluves cessent, je le fixe dans les yeux sans quitter sa bite enfoncée dans ma bouche.
Il me caresse tendrement le haut du crâne, en souriant.
Nous décidons de nous rendre dans l'arrière boutique pour profiter du canapé, nus l'un contre l'autre en nous caressant mutuellement.
Il faudra un bon moment de discussions et de caresses avant que pris d'envie buccale sur sa bite, il se remette a bander fermement.
Il me demande de me baiser sur son énorme sexe, ce que j'adore faire avec les hommes.
Je me procurerai deux énormes orgasmes anaux, en le souillant de cyprine mâle, puis il m'inondera l'anus de son jus chaud et liquide.
Après de longs baisers, on se fait un brin de propreté, avec l'essuie-tout.
Je lui demande:"On se revoit quand Petru?".
"Moi, partir!".
"Quand?".
"Euh,!!".
Je comprend qu'il ne connait pas les noms des jours en français, mais à force de discussions, je devine qu'il s'en va en fin de semaine.
"On se voit plus alors?".
"Pas savoir, peut être! j'ai peine".
Je l'embrasse, il me serre fortement contre lui.
Lorsqu'il me quitte, je lui dit:"Essaie de revenir encore une fois, si tu peux! Ca me ferai plaisir".
Il part, la tête basse, peiné par les circonstances difficiles de cette séparation.
2 jours avant qu'il parte, j'ai le bonheur de le voir entrer au magasin avant midi.
Dès que l'heure arrive, je ferme le rideau, et me retrouve enlacé dans ses bras, il me porte pour m'emmener à l'étage.
Il me pose debout devant lui, et me colle contre la table.
"Pas bouger!".
Il me dégrafe ma chemise, en me couvrant de caresses et de baisers, puis défait ma ceinture et me libère de mon pantalon, toujours sous de nombreuses caresses buccales.
Il se redresse pour m'embrasser fougueusement, en me serrant les testicules dans sa main, puis passe derrière mes fesses, qu'il malaxe fermement.
Je ne peux m'empêcher de caresser sa grosse queue à travers son pantalon, ce qui me fait bander comme un fou.
Petru, se baisse et prend mon sexe entre ses lèvres, je n'ose pas lui avouer que je ne suis pas demandeur de ce plaisir.
Très vite, il me tourne pour me lécher l'anus sans fin.
J'y prend énormément de plaisir.
Puis, il sort le gel du sac à dos contenant les jouets de Franck.
Il pose le tube sur la table et se dévêt complètement.
Il m'enduit l'anus de lubrifiant et commence le processus de pénétration, avec son énorme membre.
Je prends appui sur la table, en lui tendant les fesses.
Je pousse sur sa queue pour l'aider à m'investir analement.
Quand son gros membre me pénètre, je pousse un râle de bonheur.
"Ahhhhhhhhhhhh! Oui, Petru, prends-moi!".
"Mmmmmmmmmmmm, P..., toi bonnnnnnnn!".
Il me baise profondément, avec fermeté, puis accélère rapidement ses assauts pendant de longues minutes.
"Ahhhhhhhhhhhh! Petru, je vais gicler! Ahhhhhhhhhhhhh".
J'écarte les jambes, pour éviter les écoulements sur l'intérieur de mes cuisses.
Le liquide inonde le sol en plusieurs jets rythmés par ses coups de queue dans mon cul.
Notre baise est interminablement délicieuse, jusqu'à son annonce de jouissance.
"Tu veux jus?".
"Non, Petru, te retiens pas, jouis dans mon cul!".
"MMMMMMMMMMMMM, Ahhhhhhhhhhh,Ahhhhhhhhhhhhh".
Je m'enfonce en écrasant mes fesses contre ses couilles, ressentant chaque spasme éjaculatoire dans mon intestin, je sens incroyablement bien son liquide chaud et abondant qui me remplit le ventre.
Comme les autres jours, son éjaculation est interminable, et belle à entendre.
Je ne bouge pas, lui laissant le plaisir de se vider entièrement en moi.
Quand je sens son sexe, commencer à quitter mon anus, je serre les fesses pour retenir ses effluves.
Il s'appuie à coté de moi et se libère de son cockring.
Je m'accroupis devant lui, en ouvrant la bouche, il saisit sa hampe à la base et déverse le reste de son jus dans ma gorge.
Après de longs baisers, et discussions diverses, ou il m'expliquera vivre mal chez lui, à cause de son infirmité, et son penchant pour les hommes, pas encore accepté dans son pays, nous nous quittons, à regret.
Ensuite, ne tenant plus, j'irai expulser son sperme de mon anus (dans un récipient pour avoir une idée précise de la quantité qu'il a éjaculé), et je me suis masturbé, ensuite, vicieusement en pratiquant quelque chose que je n'ose avouer.