Pipe ou P.V.? - histoire érotique

Je rentrais tranquillement par les petites routes de Sologne, le beau temps, le calme… toujours est-il que je me suis mis à accélérer, un peu trop et de voir arriver dans mon rétroviseur, deux motards! Bien sûr que j'ai ralenti. L'un me double et l'autre reste derrière moi, me font signe de m'arrêter, et nous voilà dans un petit chemin forestier.
L'un des motards vient au niveau de la portière, pendant que l'autre regarde.
-Gendarmerie Nationale, me dit-il, comme si j'étais complètement débile, vous savez à combien vous rouliez ?
Je n'ai pas le temps de répondre.
-veuillez me présentez les papiers afférents au véhicule, et votre permis de conduire!
Je tends les dits papiers, il les observe, les scrute, les retourne dans tous les sens, cela en devient suspect!
Je n'ai toujours pas dit un mot!
-Vous rouliez à plus de 100 km/h sur une route limitée à 90 km/h, vous reconnaissez l'infraction?
Je n'ai pas le temps de répondre, que j'entends un véhicule passer sur la route, et, si moi je roulais à plus de 100 ben le mec devait largement dépasser mon score… car l'autre Gendarme saute sur sa moto en criant à son collègue :
-je te laisse, je le rattrape et je m'occupe de lui!
En l'espace des 10 secondes, il a passé le mur du son, on entend la moto s'éloigner…

Je regarde un peu mieux MON motard, avec toujours son casque sur la tête. Je vois des yeux bleu, surmontés de sourcils épais. Il enlève son casque, me fixe, j'aime son regard clair, dur, sûr de lui!
-descendez du véhicule et ouvrez le coffre me dit-il.
Comme mon coffre est vide, je m'exécute et je me retrouve côte à côte avec le Gendarme, d'une stature magnifique et qui me dépasse d'une tête! Je le regarde en coin voir que mon coffre est vide et je remarque son entrejambe où le renflement ne passe pas inaperçu!

Il se tourne vers moi, il s'éclaircit la gorge, me fixe, je trouve que ses yeux bleu ont changé de couleur, ils sont plus foncés, plus fixes, comme s'il allait entrer en transe! Il me ferait presque peur si je n'avais pas à faire à un Gendarme!
-vous savez que vous méritez un P.V. ? me demande t-il les yeux dans les yeux.
-oui je sais, dis-je, et je sais que quoique je puisse trouver comme excuse, je n'en ai pas de valable!
Sa main vient me prendre le menton, me tétanisant sur place!
-on peut s'arranger! Pipe ou PV ?
Il me tient fermement le menton à me faire mal! me fixe de ses yeux devenus durs!
-toi t'aimes la queue! t'as une bouche, des lèvres qui seront bien autour de ma queue! alors ? t'en dis quoi ?

Je ne sais plus où j'en suis! bon tailler une pipe à un mec, c'est pas la mer à boire! Mais là c'est un Gendarme et je me demande quel est le piège!
Il me voit hésiter, alors ce Gendarme m'appuie de l'autre main sur l'épaule, de plus en plus fort et je comprends qu'il veut que je me mette à genoux!
Je le fais, je me retrouve devant l'entrejambe du Gendarme et la bosse a encore grandie!
-sors moi la queue salope! dit la voix autoritaire de ce Gendarme trentenaire.

Je baisse la fermeture éclair de son pantalon d'uniforme, pour découvrir un boxer serré renfermant une grosse tige, je peine à sortir le matériel, et quel matériel!
Putain de belle queue! un machin pas encore décalottée, et, rien qu'à la vue, je sais que mes doigts n'en feront pas le tour et que je ne pourrais pas tout avaler! pourvu qu'il n'ait pas envie de m'enculer j'ai pensé!

La grosse queue raide semble s'allonger encore, je vois le gland apparaître! là je ne pense plus au Gendarme, j'ai une belle queue devant moi, autant en profiter!
Lorsque j'ai pris la hampe en main, cette hampe chaude et dure, mes doigts n'en faisaient pas le tour! J'ai décalotté le gland, un beau gland bien dessiné, rouge vif au méat coulant, j'ai commencé à le branler lentement.
-suce salope! on a pas des heures! mon collègue risque de revenir!
Vous avez demandé une pipe expresse ?
J'ai bouffé ce que je pouvais de cette belle queue, admirant au passage la grosse paire de couilles qui pendaient. La grosse queue durcissait de plus en plus, au fur et à mesure des gémissements de MON gendarme! Au moins il avait l'air d'apprécier, j'avais sûrement gagné mon PV!

Il avait levé les yeux au ciel, alors j'en ai profité pour sortir mon portable et filmer, me filmer en train de sucer et vite fait qu'on voit sa gueule de Gendarme.. oh pas longtemps, mais juste ce qu'il fallait!

Il s'est tendu, j'ai senti sous ma langue le gland durcir, sa main se poser sur ma tête, et, quand la première giclée est arrivée, je me suis retiré pour voir les giclées s'échapper sur l'allée de la forêt!
Sucer un Gendarme, bon d'accord! mais tout avaler ? non!
Pourquoi ? J'en savais rien mais c'est ce qui m'a traversé l'esprit!

Il avait l'air de s'en foutre complètement, et du foutre y'en avait! Quand il a eu fini en bon garçon j'ai nettoyé le service pour l'aider à le ranger!
Il m'a relevé comme une plume!
-t'es un bon mec! je supprime ton PV!
Il m'a rendu mes papiers, et m'a fait signe que je pouvais partir! Je me suis assis dans la voiture, pour souffler et, surtout attendre qu'il parte, ce qu'il a fait rapidement!

J'en revenais pas! Mais j'étais outré, vexé d'avoir été traité comme une vulgaire pute qui s'exécute! Et ça je ne pouvais pas le supporter. Je regarde l'heure, mon chéri doit être rentré, j'ai envie d'entendre sa voix douce me dire qu'il m'aime!
C'est ce qui se passe, mais il me demande d'un ton inquiet :
-y se passe quoi Fabrice ? t'as pas la voix de d'habitude !

Et, ni une ni deux je me lance à lui raconter ce qui vient de se passer et sa réponse, me connaissant
-t'as fini de raconter des histoires! dit-il en riant, y'a pas un Gendarme qui ferait ça!
-eh bien je t'envoie la vidéo et tu me dis ce que tu en penses!
Sitôt dit, sitôt fait!
Il a vite fait de regarder la petite vidéo et quand il reprend la conversation, sa voix a changé!
-mais c'est un salaud ce mec! faut le dénoncer tu sais!
-et à qui ?
-ben chez les keufs y'a Inspection Générale de la Police Nationale IGPN et à la Gendarmerie, c'est Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale IGGN, avec la vidéo, ils vont sûrement apprécier!
-oui les emmerdements avec oui!
-écoute, tu rentres là ? on en discute à la maison bébé!
-d'accord j'arrive rapidement!
-eh pas trop vite quand même si après faut que tu suces tous les Gendarmes du coin! et il éclate de rire…
-faut que je t'aime mon voyou! dis je en riant également!

Je reprends la route, tranquillement cette fois, en repensant à tout ce qui vient de se passer!
Je crois que j'étais toujours sous le choc, mais un choc qui s'adoucissait, vu que j'avais envie de baiser maintenant! Je sentais ma queue coincée, essayer de s'allonger, prendre ses aises, mais elle était coincée dans le boxer! C'est mon chéri qui va prendre en arrivant j'ai pensé en souriant!

Je n'avais pas fait 10 km, que, sur le côté, à l'entrée d'un autre chemin je vois deux Gendarmes et je reconnais MON Gendarme!
Mon cœur s'affole mais je le sens se durcir, l'envie de se venger!

Pourquoi j'ai freiné, mis mon clignotant pour venir me stationner derrière les motards qui me regardaient! Je voyais bien que MON Gendarme fronçait les sourcils!
Serein, déterminé, je suis descendu de mon véhicule, je me suis dirigé vers eux, m'arrêtant devant MON Gendarme, le fixant.
-je voudrais vous parler en tête à tête, dis-je en regardant le deuxième Gendarme.

Je vois bien que le deuxième Gendarme ne comprend rien, regarde son collègue qui fait oui de la tête!
-je t'attends au prochain carrefour dit-il en montant sur sa moto.
On le regarde partir, et le grand gaillard de motard Gendarme se tourne vers moi, sourire goguenard.
-alors la petite salope en veut encore ? dit il de son air sérieux.

Je prends mon courage à deux mains, mon audace! Je sors mon portable, lui montre la vidéo! il m'arrache le portable des mains, regarde.
-tu vas m'effacer ça de suite dit-il.
-impossible mec! je l'ai déjà envoyé à quelqu'un qui le garde en lieu sûr, au cas où.
-au cas où quoi ? demande t-il d'un ton dur.
Je lui montre le portable.
-Bite au cul ou IGGN ?

Il devient blanc comme un linge qui a trempé 8 jours dans l'eau de Javel!
-tu tu… veux faire quoi ?
-mais te baiser monsieur le Gendarme, j'ai jamais baisé un Gendarme qui aime se faire sucer par les contrevenants! regarde le gros chêne, on sera bien derrière, et ne t'en fais pas, je sais préparer un cul, le pédé sait faire plaisir mec! alors tu choisis quoi ?

Je n'en revenais pas de mon autorité, et surtout de voir que le bel homme baissait la tête, vaincu!
Il s'est dirigé vers le chêne et je l'ai suivi!
Il a défait son pantalon qui est tombé, s'arrêtant aux genoux, bloqué par ses bottes… Il a soulevé son petit polo bleu, baissé son boxer, libérant encore une fois cette belle queue que j'avais eu l'honneur de déguster quelques temps auparavant!
-t'emballe pas monsieur le Motard, occupe toi de moi d'abord. J'aimerais bien un petit supplément, comme une petite pipe, tu sais histoire de bien me faire durcir la queue pour qu'elle rentre bien dans ton cul!

Ses yeux étaient durs, mais il avait un sourire ironique, l'air de dire "tu crois que tu m'impressionnes!"
Il s'agenouille, passe sa main sur mon entrejambe, se saisit de ma queue, ouvre rapidement le pantalon, baisse pantalon et boxer et je vois ses yeux s'arrondir d'étonnement! He oui monsieur le Gendarme, le contrevenant est très bien monté et j'ai vu dans ses yeux que ma queue lui plaisait, il s'en est emparé d'une main, la main ou brillait une alliance. Là c'est moi qui avait le sourire ironique en lui disant :
-ta femme sait que tu te fais sucer par les contrevenants de la route ?

Il ne répond pas car il est poli, il ne parle pas la bouche pleine. J'ai droit de me faire bouffer la queue en règle, bien inondée de salive! Il me pipe en me caressant les couilles. Il m'excite ce mec! j'ai envie de son cul…
Je lui tape sur l'épaule en lui faisant signe de se relever et de se retourner, il m'obéit le mec! J'en reviens pas!

J'appuie sur son dos et son cul apparait! Putain de beau cul blanc, il n'a pas vu le soleil depuis longtemps! Un blanc laiteux, fade, imberbe, je le vois poser ses mains sur ses genoux et tendre ainsi son cul.
Mais c'est qu'il a l'air de connaître la position le Pandore!
Je passe un doigt dans la raie offerte, c'est doux, c'est chaud, c'est humide. Le trou est serré, je titille, je force! Il grogne.

Je m'agenouille derrière pour voir ça de plus près. J'écarte les fesses et je crache sur l'anus, le faisant gémir. Déjà.
Je lèche, je force avec la langue, ça sent la lavande, le mec se met de la lavande sur le cul! j'en reviens pas.
De plus j'ai la surprise de voir que l'anus n'est pas récalcitrant, il se laisse apprivoiser et ce n'est pas la première fois de la manière qu'il s'ouvre si rapidement. Je mouille mon doigt et force l'anus, un long gémissement me répond. J'enfonce le doigt le plus profond possible, il n'est que gémissement et tend bien son cul. j'en profite pour y faire entrer deux doigts qu'il prend, je trouve, avec facilité! Et le trou reste ouvert!

Je me redresse derrière lui, la queue raide, elle me fait mal tellement elle bande la coquine. Je finis de la décalotter et lui présente l'anus chaud de la Gendarmerie. Elle n'en a jamais vu à notre connaissance.
Et cet enfoiré de Pandore, recule sur ma queue. Je n'ai pas le temps de le prendre aux hanches que mon gland est entré. Il gueule! En fait il fait tout le boulot…

Je le bloque, pour enfin reprendre la main et qu'il voit ce qu'un voyou de contrevenant est capable!
Il lâche ses genoux et s'appuie au grand chêne qui nous cache de la route où les voitures continuent de passer. Heureusement il n'y a pas grande circulation.
Quand mes mains se sont bien arrimées à ses hanches, je donne un coup de reins pour faire entrer les centimètres supplémentaires, et le faire gueuler encore plus. Il me faut deux ou trois coups de reins pour m'enfoncer dans le fondement de la Gendarmerie qui râle, grogne mais s'offre.
Quelle belle salope ce Pandore quand même!
J'ai de nouveau sorti mon portable et fait une petite vidéo de quelques secondes en pensant à mon chéri, un souvenir quoi!

Je l'ai ramoné en prenant mon temps comme avec une vulgaire salope, je ne me souviens pas de tous les noms dont je l'ai traité, mais il a eu droit à pas mal de choses.
Ma queue coulissait dans son cul aussi bien que dans celui de mon chéri! Je n'étais pas son premier au Pandore!
J'ai payé mon PV en déposant mon bon jus au fond de son cul, en grognant, râlant comme lui.
J'ai passé mes mains devant lui, il bandait comme un fou le Pandore!
Je suis resté en lui, il s'est redressé et je l'ai branlé avec force, décalottant bien à fond à chaque fois sa grosse queue qui durcissait de plus en plus dans ma main, pour enfin se libérer. Il a poussé une gueulante!! Son cul s'est refermé sur ma queue, l'écrasant complètement à me faire mal et il a joui. J'ai vu après les longues traînées qu'il avait offert sur le tronc du chêne…

Il m'a libéré la queue, s'est rhabillé, comme moi également et, sans un mot on est revenu vers nos véhicules.
Il s'est retourné, m'a regardé, l'air quand même un peu inquiet :
-on est quitte ?
-oui monsieur le Motard! on est quitte!
Il est monté sur sa moto et a vite disparu sur la route!
Je me sentais heureux quand j'ai pris le chemin pour rentrer chez moi!

Mon chéri m'attendait avec impatience. Il s'est jeté dans mes bras, m'embrassant, n'arrêtant pas de dire :
-quelle histoire quand même! ça va ?
Me regarder et voir que j'avais mon petit sourire qui lui plait tant.
-t'as l'air content de toi, c'est bizarre!
Je sors mon portable et je lui montre la petite vidéo. Il est abasourdi!
-mais c'était quand ça?

Et me voilà de raconter la suite de l'histoire! Il rigole, me touche la queue et me regarde surpris
-Mais, tu bandes encore ?
-j'ai pas arrêté de penser à toi les derniers kilomètres en me disant que, pour que tu me croies il fallait que je fasse une reconstitution de tous les faits… avec toi!
Il rigole en se serrant contre moi.
-mais je n'ai pas eu de PV moi !
-ne me dis pas que tu es innocent complètement quand même!

Il rigole encore.
-et dire que c'est toi qui me traite de voyou! baiser un Gendarme! respect mon chéri, j'ai toujours su que tu était un mec extraordinaire!
-pas la peine de fayoter mon chéri, tu vas y avoir droit rapidement!!

Je l'ai soulevé dans mes bras, ses lèvres étaient déjà sur les miennes et on s'est allongé sur le lit…