Première soumission - partie 2
Récit érotique écrit par Léon687 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Première soumission - partie 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Ma rencontre avec Maitresse Sophie, une autre Dominatrice (suite et fin)
Elle retourna derrière moi et fit passer ces doigts plein de gel sur ma raie à deux reprises puis elle me laissa et se tourna vers le lit.
Sa main apparu sous ma bouche, j’avais cette main et cette voix qui me dirigeaient.
-je récupère caSe refixant la sangle au poignet elle se rassit et m’ordonna de me retourner sur le dos
Je pris la position, faisant bouger légèrement le masque et me plaçais sur le sol les mains sur le torse et les jambes pliésJe pu distinguer son visage mais de nouveau pas un angle assez bon, mais ces cuissardes était dans mon champ de vision, j’aimais bien ce point de vue.
Maitresse réajusta mon masque et commença à jouer vers mon sexe, je déglutis : qu’allait-elle me faire ?
Je sentis la peau de mes bourses tiré et pincé, mes jambes gênant les mouvements de maitresse je les mettais à plat.
-bien
Elle me mettait des pinces en bois, je ne les sentais pas tant que ca.
Elle tenta de faire pareil avec mes tétons mais n’y arriva pas.
-bon on verra plus tardJe fus pris d’un frisson, allait-elle me punir pour ca ?
Elle n’en fit rien et je vis un objet étrange dans sa main droite-ca devrais faire l’affaire
Des que l’objet entra en contact avec mes tétons, je le reconnus : une roulette de wartenberg, je découvrais l’effet qu’elle produisaitJe sentais ma peau piquer à chaque mouvement de Maitresse, elle allait en gémissant et se mordant les lèvres (seule partie du visage que je pouvais voir) sur mon torse, mes tétons et se dirigea sur mes bourses et toute la longueur de mon sexe.
-hum, tu mouilles salopeLa sensation était horrible mais surprenante, je tenais bon malgré la douleur car elle allait rapidement par moment, je résistais-tu sais quoi dire pour que j’arrête ?
-ahh, oui Maitresse-tu résistes bien -merci MaitresseElle ré-agaça mon téton gauche mais je réussissais à ne pas dire le safeword.
Elle rangea la roulette et pris une tapette fine longue, le bout se terminant par un petit cœur noir.
Elle tapota rapidement mes bourses et mon sexeJe grimaçais et mes mains trahissaient ma douleur-continue de résister. C’est du plaisir Il est vrai que par moment, j’avais gémis et non pousser un cri de douleur.
Délaissant mes bourses de leurs pinces, elle tapota rapidement mon sexe avant de faire pareil avec mes tétons
Elle déposa la cravache et attrapa mes tétons entres ces doigt et les pinça avec forceJe cédais lorsque la douleur fut trop intense-Pitié, MaitresseElle s’arrêta immédiatement et se repositionna
Sa main gifla mon sexe, le caressa puis recommença, encore et encore.
-relève-toi et mets-toi face à moiJe me mis à genoux devant elle, ne voyant toujours que ces cuissardes, la jambe droite croisé sur la gauche.
Une gifle tomba, suivi d’une autre-tu aimes etre gifler par ta maitresse ?
-oui, Maitresse.
-je te gilfe quand je veux, larbin n’est ce pas ?
-oui, MaitresseDe nouvelles gifles tomberent.
-tu aimes mes cuissardes ?
-oui maitresse-alors viens les lécher-a vos ordres maitresseJe commençais par prendre son pied en main et a embrasser la pointe et a lécher, je continuais sur le reste du pied avant d’aller vers la jambe, mais Maitresse me rappela a l’ordre-plus doucement tes caresses-pardon maitresseJe calmais mon ardeur et léchais doucement et sensuellement ces bottes, je commençais à haleter de plaisir-oui c’est bien. Elle cracha sur sa jambe.
Je me mis à lécher sa jambe et je caressais l’arrière des cuissardes de mes mainsElle se fermait par des ficelles, magnifique et quel matière excitante-Maitresse, que vos cuissardes sont douce-traite-les bien alors-hum d’accord MaitresseElle cracha plusieurs fois sur la jambe et m’indiqua ou lécher, je passais sur ses crachats mais cela ne me répugnât pas, devant meme lecher ces doigts par moment entre deux crachats-tu avales la semence ?
-oui, réponds-je instinctivement (ne l’ayant jamais fait avant. Mais ne suis-je pas dans cette situation pour repousser mes limites !)-bien, tu vas te branler et quand tu sentiras que ca vient, tu jouiras sur mes cuissardes que tu nettoieras avec ta langue-bien, maitresse.
-passe à l’autreJ’entrepris le même travail délicat et appliqué sur sa jambe gauche,-allez branles-toiJe changeais de position pour pouvoir me branler plus facilement tout en léchant MaitresseCette dernière m’encourageait en me répétant ce que je devais faire mais d’une manière excitante et non pas contraignante.
-ah oui, branles-toi bien allez. Je veux te voir lâcher ton jus bien chaud sur moi.
Je sentais que malgré mon appréciation de la situation, mon sexe ne voulait pas coopérer pleinement, mais cela faisait durer le jeu.
-tu veux voir ?
-oh oui, s’il vous plait maitresse.
Elle me retira le bandeau et je me retrouvais avec ces deux superbes cuissardes devant moi colles l’une à l’autre.
J’avançais et plaçais mes bourses a hauteur de la pointes des pieds de Maitresse et elle commença à me caresser légèrement de la pointe.
Je me branlais, bien que les menottes me gênaient, je mettais tout pour satisfaire cette femme sublime.
-Maitresse, j’aime vos cuissardes, elles sont magnifiques-alors viens encore les lécher-avec le plus grand plaisirJe commençais à gémir d’un mélange bizarre, ma masturbation, les caresses de Maitresse et la situation. J’enfouis ma tête entre les deux cuisses de maitresse qui me laissa faire et je léchais les cuissardes en même tempsCela dura un moment, maitresse m’encourageant toujours plus, me gratifiant de compliments-oh oui, laisse toi aller au plaisir, donnes moi ton jus-ah maitresse, ah je sens que ca vient-alors vas-y crache ton jus, salopeL’orgasme me prit et je lâchais de puissants jets en direction des jambes de MaitresseUn des jets atterris à coté d’elle, je me finissais et m’essuyait sur ces piedsJe reprenais mon souffle-c’est bien, tu m’as fait plaisir la-navré maitresse, j’en ai mis à coté-tu nettoieras après, d’abord caElle me tendit ces cuissardes ruinées de sperme et je me mis à la tacheJe lapais les restes de ma semence, je pensais que j’allais être répugné ou encore détester ca. Au contraire, je trouvais que ca pouvait aller et m’appliquais à lécher chaque parcelle que j’avais souillé-oui, lèche-les bien, qu’elle soit propre.
Je continuais encore étant cette fois à quatre pattes, les deux pieds de maitresse enlaçant mon visage.
Ca suffit, redresse-toiElle me tendit un paquet de lingettes-tiens essuie la, et la.
Elle m’indiqua tous les endroits sales et je nettoyais selon ces ordresMes genoux me firent souffrir mais je tenais le choc encore sous l’effet de l’orgasme.
-ne bouge pasMaitresse m’ôta les menottes puis collier.
-tu veux prendre une douche ?
-je veux bien-tu veux un verre ?
-volontiers, Maitresse.
Mon regard était toujours à hauteur de ces jambes-café, coca, eau ?
-un verre d’eau sera parfait.
-bien tu vas ramasser ca (me désignant les gants, lingettes et emballages usagés) et aller le jeter là-bas dans la poubelleJe voulus me relever-et a quatre pattesJe fis ce qu’elle voulait et je dois avouer que ce fut le pire moment de la séance, nous étions jusqu’alors sur un tapis, mais en dessous, c’était du cisaille et cela n’aida pas mes genoux.
-parfait, alors maintenant, tu vas aller toujours à quatre pattes vers la porte, l’ouvrir.
Je pris la direction de la porte-ouvres, tu vois la lumière, tu vas là-bas et quand tu as fini tu me le dis-bien, maitresse-a tout de suiteAie, le parquet et le carrelage de la salle de bain n’étaient pas la pour me faire du bien.
Je pris une douche peu réconfortante, réalisant que la séance allait finirJe me séchais, repliais la serviette et avertis maitresse que j’avais finie-tu reviens ici et tu fermes la porteJe fus de retour dans la chambre, et j’avais fermé la porte-tu peux te rhabillerJe remis mes vêtements et me retournais en ayant toujours le regard basMaitresse se tenait derrière moi, je me retournaisUn verre d’eau fraiche était la, je le bu en appréciant sa fraîcheurJe pus enfin contempler ma Maitresse, son visage parfait, c’est yeux bleus, sa chevelure blonde, je ne regrettais pas d’être la a cet instant.
Mon regard descendit vers sa poitrine, sa tenue était encore plus transparente que je l’aurais cru, je voyais ces seins nus, les tétons qui pointaient, un 95D si je ne me trompe pas.
J’aurais aimé gouter à ces magnifiques obus, mais je me rappelais ma place.
Entre chaque gorgée je reprenais mon souffle comme si je venais de courir un marathon-tu es bien essoufflé-ce fut intense-en effet, tu m’as fait plaisir à subir autant-je suis heureux d’avoir pu vous contenterElle m’indiqua la porte que j’ouvris et la laissa passer.
Tandis qu’elle regardait par le judas, je l’admirais : qu’elle était belle, j’aurais pu la saisir et la plaquer contre le mur tellement elle me plaisait.
-voila, c’est bonElle me tendit la main relativement haute-au revoir, Léon.
-au revoir Maitresse et merci-merci a toiJe repris le chemin de ma voiture étant un peu désorienté par cette séance.
Je n’avais mal qu’aux genoux, le reste allait bien mais si sensible par endroits.
Une fois remonté en voiture, je pris 5minutes pour reprendre mes esprits et je partais vers mon appartementSur le chemin, je sentis mon téléphone vibrer dans la poche.
Une fois chez moi, je consultais le message« Maitresse Sophie : tu m’as fait plaisir »Je souris et lui répondis que ce fut un honneur et que je reviendrais me prosterner à ces pieds pour de nouvelles découvertes.
Le message envoyé, je m’allongeais sur mon lit, mes pensées tournées vers ce moment mémorable.
Ma rencontre avec Maitresse Sophie, une autre Dominatrice (suite et fin)
Elle retourna derrière moi et fit passer ces doigts plein de gel sur ma raie à deux reprises puis elle me laissa et se tourna vers le lit.
Sa main apparu sous ma bouche, j’avais cette main et cette voix qui me dirigeaient.
-je récupère caSe refixant la sangle au poignet elle se rassit et m’ordonna de me retourner sur le dos
Je pris la position, faisant bouger légèrement le masque et me plaçais sur le sol les mains sur le torse et les jambes pliésJe pu distinguer son visage mais de nouveau pas un angle assez bon, mais ces cuissardes était dans mon champ de vision, j’aimais bien ce point de vue.
Maitresse réajusta mon masque et commença à jouer vers mon sexe, je déglutis : qu’allait-elle me faire ?
Je sentis la peau de mes bourses tiré et pincé, mes jambes gênant les mouvements de maitresse je les mettais à plat.
-bien
Elle me mettait des pinces en bois, je ne les sentais pas tant que ca.
Elle tenta de faire pareil avec mes tétons mais n’y arriva pas.
-bon on verra plus tardJe fus pris d’un frisson, allait-elle me punir pour ca ?
Elle n’en fit rien et je vis un objet étrange dans sa main droite-ca devrais faire l’affaire
Des que l’objet entra en contact avec mes tétons, je le reconnus : une roulette de wartenberg, je découvrais l’effet qu’elle produisaitJe sentais ma peau piquer à chaque mouvement de Maitresse, elle allait en gémissant et se mordant les lèvres (seule partie du visage que je pouvais voir) sur mon torse, mes tétons et se dirigea sur mes bourses et toute la longueur de mon sexe.
-hum, tu mouilles salopeLa sensation était horrible mais surprenante, je tenais bon malgré la douleur car elle allait rapidement par moment, je résistais-tu sais quoi dire pour que j’arrête ?
-ahh, oui Maitresse-tu résistes bien -merci MaitresseElle ré-agaça mon téton gauche mais je réussissais à ne pas dire le safeword.
Elle rangea la roulette et pris une tapette fine longue, le bout se terminant par un petit cœur noir.
Elle tapota rapidement mes bourses et mon sexeJe grimaçais et mes mains trahissaient ma douleur-continue de résister. C’est du plaisir Il est vrai que par moment, j’avais gémis et non pousser un cri de douleur.
Délaissant mes bourses de leurs pinces, elle tapota rapidement mon sexe avant de faire pareil avec mes tétons
Elle déposa la cravache et attrapa mes tétons entres ces doigt et les pinça avec forceJe cédais lorsque la douleur fut trop intense-Pitié, MaitresseElle s’arrêta immédiatement et se repositionna
Sa main gifla mon sexe, le caressa puis recommença, encore et encore.
-relève-toi et mets-toi face à moiJe me mis à genoux devant elle, ne voyant toujours que ces cuissardes, la jambe droite croisé sur la gauche.
Une gifle tomba, suivi d’une autre-tu aimes etre gifler par ta maitresse ?
-oui, Maitresse.
-je te gilfe quand je veux, larbin n’est ce pas ?
-oui, MaitresseDe nouvelles gifles tomberent.
-tu aimes mes cuissardes ?
-oui maitresse-alors viens les lécher-a vos ordres maitresseJe commençais par prendre son pied en main et a embrasser la pointe et a lécher, je continuais sur le reste du pied avant d’aller vers la jambe, mais Maitresse me rappela a l’ordre-plus doucement tes caresses-pardon maitresseJe calmais mon ardeur et léchais doucement et sensuellement ces bottes, je commençais à haleter de plaisir-oui c’est bien. Elle cracha sur sa jambe.
Je me mis à lécher sa jambe et je caressais l’arrière des cuissardes de mes mainsElle se fermait par des ficelles, magnifique et quel matière excitante-Maitresse, que vos cuissardes sont douce-traite-les bien alors-hum d’accord MaitresseElle cracha plusieurs fois sur la jambe et m’indiqua ou lécher, je passais sur ses crachats mais cela ne me répugnât pas, devant meme lecher ces doigts par moment entre deux crachats-tu avales la semence ?
-oui, réponds-je instinctivement (ne l’ayant jamais fait avant. Mais ne suis-je pas dans cette situation pour repousser mes limites !)-bien, tu vas te branler et quand tu sentiras que ca vient, tu jouiras sur mes cuissardes que tu nettoieras avec ta langue-bien, maitresse.
-passe à l’autreJ’entrepris le même travail délicat et appliqué sur sa jambe gauche,-allez branles-toiJe changeais de position pour pouvoir me branler plus facilement tout en léchant MaitresseCette dernière m’encourageait en me répétant ce que je devais faire mais d’une manière excitante et non pas contraignante.
-ah oui, branles-toi bien allez. Je veux te voir lâcher ton jus bien chaud sur moi.
Je sentais que malgré mon appréciation de la situation, mon sexe ne voulait pas coopérer pleinement, mais cela faisait durer le jeu.
-tu veux voir ?
-oh oui, s’il vous plait maitresse.
Elle me retira le bandeau et je me retrouvais avec ces deux superbes cuissardes devant moi colles l’une à l’autre.
J’avançais et plaçais mes bourses a hauteur de la pointes des pieds de Maitresse et elle commença à me caresser légèrement de la pointe.
Je me branlais, bien que les menottes me gênaient, je mettais tout pour satisfaire cette femme sublime.
-Maitresse, j’aime vos cuissardes, elles sont magnifiques-alors viens encore les lécher-avec le plus grand plaisirJe commençais à gémir d’un mélange bizarre, ma masturbation, les caresses de Maitresse et la situation. J’enfouis ma tête entre les deux cuisses de maitresse qui me laissa faire et je léchais les cuissardes en même tempsCela dura un moment, maitresse m’encourageant toujours plus, me gratifiant de compliments-oh oui, laisse toi aller au plaisir, donnes moi ton jus-ah maitresse, ah je sens que ca vient-alors vas-y crache ton jus, salopeL’orgasme me prit et je lâchais de puissants jets en direction des jambes de MaitresseUn des jets atterris à coté d’elle, je me finissais et m’essuyait sur ces piedsJe reprenais mon souffle-c’est bien, tu m’as fait plaisir la-navré maitresse, j’en ai mis à coté-tu nettoieras après, d’abord caElle me tendit ces cuissardes ruinées de sperme et je me mis à la tacheJe lapais les restes de ma semence, je pensais que j’allais être répugné ou encore détester ca. Au contraire, je trouvais que ca pouvait aller et m’appliquais à lécher chaque parcelle que j’avais souillé-oui, lèche-les bien, qu’elle soit propre.
Je continuais encore étant cette fois à quatre pattes, les deux pieds de maitresse enlaçant mon visage.
Ca suffit, redresse-toiElle me tendit un paquet de lingettes-tiens essuie la, et la.
Elle m’indiqua tous les endroits sales et je nettoyais selon ces ordresMes genoux me firent souffrir mais je tenais le choc encore sous l’effet de l’orgasme.
-ne bouge pasMaitresse m’ôta les menottes puis collier.
-tu veux prendre une douche ?
-je veux bien-tu veux un verre ?
-volontiers, Maitresse.
Mon regard était toujours à hauteur de ces jambes-café, coca, eau ?
-un verre d’eau sera parfait.
-bien tu vas ramasser ca (me désignant les gants, lingettes et emballages usagés) et aller le jeter là-bas dans la poubelleJe voulus me relever-et a quatre pattesJe fis ce qu’elle voulait et je dois avouer que ce fut le pire moment de la séance, nous étions jusqu’alors sur un tapis, mais en dessous, c’était du cisaille et cela n’aida pas mes genoux.
-parfait, alors maintenant, tu vas aller toujours à quatre pattes vers la porte, l’ouvrir.
Je pris la direction de la porte-ouvres, tu vois la lumière, tu vas là-bas et quand tu as fini tu me le dis-bien, maitresse-a tout de suiteAie, le parquet et le carrelage de la salle de bain n’étaient pas la pour me faire du bien.
Je pris une douche peu réconfortante, réalisant que la séance allait finirJe me séchais, repliais la serviette et avertis maitresse que j’avais finie-tu reviens ici et tu fermes la porteJe fus de retour dans la chambre, et j’avais fermé la porte-tu peux te rhabillerJe remis mes vêtements et me retournais en ayant toujours le regard basMaitresse se tenait derrière moi, je me retournaisUn verre d’eau fraiche était la, je le bu en appréciant sa fraîcheurJe pus enfin contempler ma Maitresse, son visage parfait, c’est yeux bleus, sa chevelure blonde, je ne regrettais pas d’être la a cet instant.
Mon regard descendit vers sa poitrine, sa tenue était encore plus transparente que je l’aurais cru, je voyais ces seins nus, les tétons qui pointaient, un 95D si je ne me trompe pas.
J’aurais aimé gouter à ces magnifiques obus, mais je me rappelais ma place.
Entre chaque gorgée je reprenais mon souffle comme si je venais de courir un marathon-tu es bien essoufflé-ce fut intense-en effet, tu m’as fait plaisir à subir autant-je suis heureux d’avoir pu vous contenterElle m’indiqua la porte que j’ouvris et la laissa passer.
Tandis qu’elle regardait par le judas, je l’admirais : qu’elle était belle, j’aurais pu la saisir et la plaquer contre le mur tellement elle me plaisait.
-voila, c’est bonElle me tendit la main relativement haute-au revoir, Léon.
-au revoir Maitresse et merci-merci a toiJe repris le chemin de ma voiture étant un peu désorienté par cette séance.
Je n’avais mal qu’aux genoux, le reste allait bien mais si sensible par endroits.
Une fois remonté en voiture, je pris 5minutes pour reprendre mes esprits et je partais vers mon appartementSur le chemin, je sentis mon téléphone vibrer dans la poche.
Une fois chez moi, je consultais le message« Maitresse Sophie : tu m’as fait plaisir »Je souris et lui répondis que ce fut un honneur et que je reviendrais me prosterner à ces pieds pour de nouvelles découvertes.
Le message envoyé, je m’allongeais sur mon lit, mes pensées tournées vers ce moment mémorable.
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