Rencontre dans un train de nuit (par Barbara Katts et Le Matou libertin).
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre dans un train de nuit (par Barbara Katts et Le Matou libertin).
Ce récit écrit à « 4 mains » est une pure fiction mais des aventures semblables sont souvent racontées au point qu’il est facile d’imaginer que certaines ont pu avoir lieu).
Le Matou :Ce soir, je me rends à la gare de Luxembourg pour prendre le train de nuit pour rejoindre Cannes où je vais rencontrer des amis qui résident sur les hauteurs de cette ville.
J’en avais plus qu’assez de la grisaille lorraine et j’avais aussi envie de profiter pendant quelques jours du soleil printanier de la Côte d’Azur.
Dès que le train entre en gare venant de Bruxelles, je découvre avec satisfaction que la rame est composée de voitures des chemins de fer belges dont j’ai eu l’occasion à plusieurs reprises d’apprécier le confort et les aménagements… J’ai réservé en première classe couchette, ce qui me permettra d’être installé au mieux pour ce long trajet. Aucune des quatre places n’est occupée. Il est vrai que ce n’est pas la saison des grandes migrations de touristes et je pense que toutes les couchettes ne seront pas occupées.
Je m’installe confortablement dans un des angles du compartiment encore en position de jour et je regarde par la fenêtre l’agitation qui règne sur le quai. Quelques minutes après le départ je vois arriver dans le couloir une jeune femme tout essoufflée qui, comme moi, n’a qu’un léger bagage. Lorsqu’elle entre dans le compartiment, j’ai tout loisir de la regarder et d’apprécier la chance qui va me faire voyager avec une compagne aussi jolie…Je la regarde discrètement : Elle est grande, des cheveux noirs lâches tombant sur les épaules, une silhouette élancée. Elle est vêtue d’une jupe en tissu épais tombant à mi mollet et d’un sweat-shirt en lainage qui montre de douces rondeurs. Chaussée de bottillons en cuir fauve, elle semble particulièrement apprécier cette teinte chaude qui s’harmonise bien avec ses cheveux. Lorsqu’elle me fait face, je découvre un visage à l’ovale parfait, de grands yeux verts et une bouche sensuelle à peine maquillée. En moi-même, je pense : une bien jolie femme. Je lui donne environ trente ans.
Nous nous saluons brièvement avant de nous installer pour lire un peu avant d’aller au wagon restaurant : Pour moi, un livre sur la place des femmes dans la société du Moyen âge, pour elle, une revue que je connais bien sur les aménagements intérieurs.
Lorsque nous arrivons ensemble au wagon restaurant, nous sommes guidés vers une table à deux places encore libre le long du la vitre : nous passons pour un couple… Au cours du repas, j’explique à Barbara le but de mon voyage : retraité depuis peu, je me déplace beaucoup pour rendre visite à des ami(e)s un peu partout en France. J’occupe mes loisirs entre la lecture, les randonnées en groupe et l’écriture de textes coquins dans lesquels je retrace mes souvenirs…ou dans lesquels je laisse aller mon imagination.
D’un commun accord, nous choisissons un repas léger accompagné d’une demi-bouteille de rosé. En effet, pour passer une bonne nuit dans un train, mieux vaut ne pas trop charger l’estomac. Nous nous entendons si bien que tout au long du repas, notre bavardage se développe, fait d’anecdotes de voyage ou de confidences diverses. Sans trop nous en rendre compte, nous avons engagé un jeu de séduction réciproque. Nous ne voyons pas le temps passer si bien que bientôt nous sommes pratiquement seuls dans le wagon restaurant. Les arrêts se sont succédé sans que nous y prêtions attention et la nuit commence à régner à l’extérieur.
Au moment où nous allons rentrer dans notre compartiment, un chaos du train précipite Barbara contre moi. Je la retiens d’un bras ferme et elle s’alanguit contre moi. Je sens son corps souple contre mon torse et elle me dit :• Merci, je crois que j’ai un peu trop bu !
Mais non, ce n’est pas le peu de vin que nous avons consommé qui en est la cause. Quelle excuse !
Barbara :Je me sens quelque peu embarrassée. Comment est-il possible que cet homme dont je viens seulement de faire connaissance m’émoustille à ce point ? Le cliché de l’inconnu qui vous séduit dans un train, ça ne fonctionne que dans les films made in USA avec deux énormes têtes d’affiche, et pourtant… Il y a un je-ne-sais-quoi chez cet homme qui m’attire, qui me donne envie de lui faire confiance. Une sorte de complicité, indéfinissable, inexplicable.
Cela ne faisait pas partie de mes plans. Je devais rentrer chez moi tranquillement, dans une tenue ample et confortable, peu soucieuse de séduire ou d’être séduite. C’est que mon week-end a été plus que dense. Après quinze jours de séparation, j’avais retrouvé Alexandre avec une érection proche du priapisme. Rien de tel que l’absence pour sublimer ou tuer un couple.
En ce qui me concernait, le mien venait de franchir un cap : celui du partage. Alexandre vivait maintenant à Bruxelles où il avait depuis peu décroché un poste en or, comprenez un poste pour lequel on est payé avec un salaire mensuel à cinq chiffres. Le pauvre avait beaucoup travaillé et était très content de me revoir. Il m’avait accueillie avec de beaux cadeaux, dont un bustier en dentelle et une paire de menottes. Il m’avait emmenée dans des endroits qui ne figurent sur aucun des guides touristiques que j’avais épluchés à mes heures perdues dans les librairies niçoises que j’affectionnais, et qui pourtant, après réflexion, méritaient d’être connus.
Ha oui vraiment ! A sentir cette douce chaleur envahir mon bas-ventre, à voir cet homme d’âge mûr me faire son numéro de charme un peu vieille France, je me dis que, peut-être, Alexandre, en m’ouvrant les yeux sur le libertinage, a bel et bien ouvert la boite de Pandore.
Le Matou :Je maintiens Barbara (puisque c’est son prénom) fermement contre moi pour qu’elle retrouve son équilibre. Elle blottit sa tête au creux de mon épaule et me remercie. Son parfum de rousse me trouble… Cette fragrance à la fois subtile et entêtante, résolument féminine et envoutante, épicée, ambrée, boisée : une merveille cette odeur très particulière de cannelle que lui va si bien…Je la sens aussi d’une autre manière, ses seins menus pressés contre mon torse ! Oulla ! Qu’ils sont tentants, j’ai envie d’aller les caresser, moi qui suis un fan des poitrines féminines quelles qu’elles soient ! Mais comment ressentira-t-elle cet effleurement par dessus ses vêtements ? Je n’ose pas rompre le charme de la tenir entre mes bras ! Elle s’alanguit de plus en plus et elle ne se dégage pas de mon étreinte… que je resserre insensiblement jusqu’à ce que son corps aux formes si harmonieuses soit littéralement collé contre le mien !
Quelle douce étreinte, toute empreinte de sensualité retenue mais Barbara se laisse aller dans mes bras dès que d’un geste preste d’une jambe, j’ai refermé la porte du compartiment. Et là, tout bascule ! Elle glisse une main entre nos deux corps enlacés pour venir masser mon pubis où mon sexe est dressé depuis quelques minutes… Quelle douceur dans ce geste qui m’ouvre des horizons insoupçonnés.
En effet, lorsque je lui ai fait une cour discrète à table, c’était plus pour flatter son ego que pour tenter de la conquérir pour une brève aventure… C’est d’ailleurs ce que je fais chaque fois que je rencontre une femme : je la félicite pour son allure, ses vêtements, son parfum… Généralement cela les flatte et je n’ai subi que très rarement des rebuffades… de la part de femmes jeunes ou moins jeunes, qui peut-être se sentaient agressées.
Je n’hésite plus ! Cette caresse est une invitation à aller plus loin. J’insinue une cuisse entre les siennes pour mieux lui faire sentir le désir qui est monté en moi : aimer charnellement cette jolie femme… Je lui prends la bouche et elle ouvre ses lèvres pour laisser passer ma langue qui engage avec la sienne un duel humide qui bientôt nous laisse pantelants, à bout de souffle.
Je n’en peux plus ! Elle m’affole avec son corps de sylphide, son parfum enivrant… Je glisse une main sous le sweatshirt et je vais cueillir un des seins dont je fais rouler le téton emprisonné dans la dentelle du soutien gorge. Barbara se presse encore plus contre moi. Sa respiration s’accélère. Elle rejette la tête en arrière pour que sa longue chevelure rousse tombe comme une cascade fauve entre ses épaules. Les yeux mi clos mais les lèvres entrouvertes, elle sourit et ondule du bassin contre le mien. Elle achève de me faire bander ! Si elle continue, je ne vais plus attendre et je vais la violer… MAIS NON elle n’a rien à craindre ! Je sais attendre une femme qui va se livrer… et j’ai deviné dans Barbara une femme ardente qui ne refuse pas les plaisirs du sexe !
Notre train roule maintenant dans la nuit ! Si je me souviens bien, le prochain arrêt sera Dijon. La pénombre du compartiment est simplement éclairée par des veilleuses à la couleur bleutée qui se reflètent dans la belle chevelure de Barbara.
Mon assaut se poursuit à fleuret moucheté. La main qui s’était insidieusement glissée sous les sweet-shirt de Barbara est ressortie. De mes bras, j’ai emprisonné sa taille et nos bassins sont en contact en travers de nos vêtements et mon sexe est dressé dans la fourche de ses jambes. Je l’embrasse dans le cou d’une multitude de petits baisers humides qui font frissonner ma belle conquête.
L’un et l’autre, nous sommes de plus en plus excités… et en moi-même je pense : quelle chance que Barbara ait eu envie de changer de compartiment après son départ de Bruxelles…
Barbara :Il est charmant cet homme-là, vraiment. Il est bien plus âgé que moi, une bonne quinzaine d'années je dirais. Sa tignasse grise parfaitement coiffée et son bouc noir lui confèrent un air très classique, façon début vingtième siècle. Son costume en flanelle grise bien ajusté sur son torse un peu rond lui donne des airs d'Hercule Poirot.
Ciel, je m'apprête à m'envoyer en l'air avec un grand-père…Faut-il donc que je sois devenue la pire des garces, moi qui ne rêvais que d'amour tendre avec Alexandre, moi qui ai malmené mon corps tout le week-end à jouir de tout ce qui s'offrait à moi. Celui-là sera la cerise sur le gâteau. Je réfléchirai plus tard à ce que je ferai de lui, une fois l'affaire conclue. Pourvu qu’il soit marié et heureux en ménage ! Cela me simplifierait les choses. Nous verrons. Habituellement pourtant, je préfère la chair fraiche. Quitte à faire des folies, autant que ce soit en tâtant de la fesse bombée et des abdominaux d'enfer. D'ailleurs, avant Alexandre, mes amants ne dépassaient pas la trentaine. L'avantage d'un homme jeune, c'est que côté libido, on n'est pas déçue. C’est simple : ils ne pensent qu’au sexe. Jusqu’au moment où trop de sexe tue le sexe, mais c’est une autre histoire.
J'ai toujours aimé voir un corps d'homme passer du repos à l'excitation la plus intense sous la seule impulsion de mes formes. Comment ce que je vois chaque matin dans mon miroir peut-il rendre un homme fou à ce point ? C'est une question à laquelle j'ai cessé de tenter de répondre. J'en ai pris mon parti. Un bustier un peu trop décolleté, une bretelle de soutien-gorge savamment découverte et hop, il passe quelque chose dans le regard de votre homme qui vous laisse présager de merveilleux plaisirs. C'est amusant et donne, un bref moment, le sentiment de contrôler la situation : un homme en rut n'est plus bon à rien sinon à assouvir son désir. Et si je le lui refuse ? Et bien il n'aura qu'à tenter comme une âme en peine de réprimer cette ardeur indécente qui pousse sans relâche dans son pantalon comme une mauvaise herbe dans un jardin anglais.
Mais revenons à nos moutons. A ce stade de la soirée, j’ai deux options : je joue les ingénues offusquées et je me mets un terme à ce petit manège ou je passe à la vitesse supérieure. J’hésite encore. J’ai la main, comme on dit. Tiens, d’ailleurs, pourquoi ne pas en glisser une vers son entre-jambe, histoire d’avoir un aperçu du possible ? Quelle surprise ! Ce grand-père là est monté comme un étalon. Je le vois hoqueter de plaisir au seul contact de ma main. Un bon point pour lui. Je crois bien que je vais me laisser faire…
Le Matou :Oh, cette main inquisitrice qui s’insinue entre nos corps pressés l’un contre l’autre ! Je la prends comme une invitation à pousser mon avantage… Je défais rapidement ma veste, et à deux mains, je fais passer le sweatshirt de Barbara par-dessus sa tête ! Waouh ! Quelle jolie poitrine dans sa prison de fine dentelle… Deux seins pas très volumineux, ronds et fermes dont le téton pointe dans le bonnet ! En quelques secondes, l’agrafe du soutien gorge est défaite et cette légère pièce de vêtement va rejoindre ma veste sur la couchette. Mes lèvres fiévreuses descendent du cou jusqu’à la poitrine et viennent mordiller chacun des tétons tour à tour pour les faire saillir… Barbara se pâme sous ces caresses buccales, son souffle s’accélère, elle presse ma tête contre ses seins… Que c’est bon, doux et chaud !
Mes mains sont posées sur les hanches puis elles glissent vers l’arrière pour empaumer les fesses bien fermes ! Je dois avoir une sportive dans les bras car je sens ses muscles jouer et frémir sous sa peau… C’est vrai que, malgré le peu d’éclairage du compartiment, je ne distingue pas les côtes, je les ai tout juste senties lorsque mes mains sont descendues : mince mais pas maigre !
Je me sens de plus en plus à l’étroit dans mon boxer, surtout depuis que Barbara est venue tâter d’une main indiscrète ce que je cachais mais qu’elle avait senti contre son pubis : mon sexe est dressé, bandé, impérieux et plein d’envie pour cette belle femme qui visiblement est prête pour l’aventure… Les mains de Barbara descendent ensuite jusqu’à la ceinture de sa longue jupe qui, une fois dégrafée, s’affaisse comme une corolle à ses pieds ! A ce moment, elle ne porte plus qu’un string des plus réduit en dentelle blanche et des bas fumés auto fixant. Je songe en moi-même : quelle femme splendide, il y a bien longtemps que je n’ai pas tenu une telle beauté dans mes bras…Elle s’attaque ensuite à ma chemise qu’elle ouvre avant de glisser une main qui vient agacer mes tétons qui ont toujours été sensibles à ce genre de caresse. De l’autre, Barbara masse mon sexe toujours prisonnier de mon boxer, semblant apprécier ou jauger son volume qui, de l’avis d’autres femmes, est d’une dimension plus que respectable, bien que relativement court. Pour le rendre plus accessible, je dégrafe la ceinture de mon pantalon que j’enlève prestement, sans pratiquement quitter les bras de Barbara. Nous sommes désormais à égalité : elle en string avec ses bas, moi, en boxer et T-shirt ! Je sais que nous n’allons pas en rester là et en enlaçant à nouveau cette jolie femme, je lui dis tout bas :• J’ai envie de te faire l’amour !
Barbara :
• Et moi j’ai envie de te goûter !
Je suis passée en mode automatique. Toutes mes pensées ne sont plus tournées que vers un objectif : le sexe. Cet homme a réveillé ma libido, ma chatte parfaitement épilée coule déjà sur mon petit string en dentelle et même le parfum un peu démodé du monsieur grisonnant m’excite. J’ai aimé l’approche toute en finesse, les sourires en coin, les mains effleurées. J’ai aimé voir cet homme aux rides souriantes et à la mise impeccable faire le beau devant moi. Maintenant, j’en veux plus et cet énorme chibre entre mes mains sera le dessert que je n’ai pas pris à table.
Je lui donne un dernier baiser, presque chaste, je me détache de son emprise, pose mes deux mains à plats sur le torse bombé et plie mes genoux jusqu’à les poser sur le sol froid de la cabine. Mes mains passant sur le boxer entrainent vers le bas le tissu satiné, libérant le cyclope obscène. Le sexe est large et l’angle qu’il forme avec le reste du corps est des plus prometteur. J’ignorais qu’on pouvait encore bander si fort à cet âge respectable. En moi-même, je pense que je dois être tombée sur une exception. J’ai plus souvent entendu des femmes se plaindre du peu de bandaison de leurs maris quinquagénaires que le contraire.
J’attrape le sexe d’une main et le serre légèrement, faisant gonfler le gland rouge écarlate. De l’autre, je caresse les bourses bien rondes, guettant une réaction. Certains hommes adorent qu’on joue avec leurs roubignolles, d’autres détestent. Celui-ci à l’air d’aimer, à attendre ses soupirs d’aise. Je saisis une des boules et la presse. L’homme gémit et bande de plus belle.
Même sous son boxer, cet homme sent bon : c’est incroyable, on pourrait croire qu’il avait prévu son coup !
J’approche son visage et tends une langue menue. Je lèche le sexe dressé comme je le ferais avec un cornet de glace. Les quelques poils rêches que je caresse en même temps que les testicules, toujours rasés chez les nouvelles générations, donnent ici un petit côté exotique à la chose qui me fait sourire tendis que j’émoustille le frein et la couronne du gland. Je n’ai pas encore décidé jusqu’où j’allais le laisser aller. L’homme a ses deux mains posées sur ma tête et caresse mes longs cheveux dénoués pendant que je le suce jusqu’au plus profond de ma gorge. L’excitation dans mon bas-ventre est à son comble. Il faut que je me décide : à ce rythme-là, le monsieur ne va pas pouvoir se retenir bien longtemps.
Je lâche le sexe et me redresse doucement. Le regard de l’homme est intense. Il me regarde comme s’il pouvait me dévorer tout de suite, là, sur les banquettes que le personnel a mises en place pendant que nous étions à table. Pourtant Je me sens en confiance. Cet homme, bien que chaud comme la braise a de l’éducation, c’est indéniable et si je le voulais, je pourrais stopper nos ébats sur le champ sans craindre de me faire retourner et prendre comme une chienne allumeuse.
C’est pourtant ce dont j’ai envie. Aussi, j’adresse un sourire plein de malice à l’homme indécis et me retourne, posant l’un après l’autre mes genoux sur la banquette. Je suis là, à quatre pattes. De là où il est, le monsieur doit avoir une sacrée vue. S’il se décidait à me lécher un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, je pourrait bien atteindre le septième ciel.
Le Matou :
Quelle vue splendide ! Les fesses sont barrées par la mince bande de tissu du string de dentelle blanche et semble ainsi les mettre en valeur. Deux fesses bombées, bronzée et, plus loin, dans la demi pénombre du compartiment, une taille fine, souple sur laquelle je pose une main pendant que l’autre fait glisser le minuscule vêtement qui rejoint la jupe sur le sol. J’approche mes lèvres de ces deux globes charnus sur lesquels je dépose plusieurs baisers, passant de l’un à l’autre en prenant soin de les caresser de ma barbe. Cela doit plaire à Barbara qui pousse des soupirs d’aise.
Mais j’en veux plus… Je distingue à peine l’œillet plissé qui semble palpiter doucement… Une odeur de musc se répand doucement et émoustille mes papilles…Je m’approche encore et darde ma langue dans la raie, allant de haut en bas jusqu’à sentir le sphincter sous la pointe de ma langue. Après quelques va-et-vient j’entends Barbara dire dans un souffle :• Je n’en peux plus, viens, prends moi !
Moi aussi, je n’en peux plus… Je bande comme un cerf en rut au point que mon sexe est douloureux tant il a envie… Oui, envie de plonger au plus profond de ce sexe féminin qu’il est allé effleurer et dont le gland a senti l’humidité chaude… Je me couvre rapidement d’un préservatif… et d’une seule poussée lente, j’entre dans la chatte de Barbara : une fournaise tant je la sens chaude au travers du fin latex !
• Oouuiiii ! C’est bon ! Baise-moi comme une chienne !
Je n’ai guère besoin de cet encouragement ! Sa taille prise dans mes mains, je vais et je viens dans un mouvement régulier, lent au début tant j’apprécie puis, de plus en plus vite au fur et à mesure de la montée de notre excitation mutuelle… que mon amante manifeste en parlant, comme pour m’exciter encore plus !
Quelle aubaine ! Je n’imaginais pas que mon voyage se déroulerait ainsi… Lorsque j’avais fait une cour discrète à Barbara au wagon restaurant, je m’étais contenté de flatter l’ego de cette jolie jeune femme… comme je le fais souvent pour complimenter mes interlocutrices, faisant juste preuve de galanterie à leur égard !
Chaque fois que je prends Barbara, mon bas ventre vient se mouler contre ses fesses rondes et dures et à ce moment je sens ses muscles intimes masser doucement la pointe de mon arc ! C’est agréable… et divinement jouissif. Notre plaisir monte, monte, et soudain je sens mon sexe pris comme dans une main qui le branlerait savamment au moment où Barbara est emportée par le plaisir. Je ne tarde pas à la rejoindre en lançant quelques jets de sperme au fond du préservatif. Oh que c’est bon ! Je savoure en restant abouté contre les fesses de ma maîtresse du moment qui balance sa tête de gauche à droite quand les spasmes de la jouissance l’emportent.
Nous restons ainsi de longues minutes… je récupère mon souffle qui s’est accéléré quand soudain la porte du compartiment s’ouvre :• Oh ! Excusez-moi ! Je vous dérange !
• Non vous ne nous dérangez pas ! Au contraire, si cela vous dit, venez jouer avec nous !
Barbara ne semble pas gênée du tout de cette intrusion, bien au contraire puisqu’elle invite une nouvelle partenaire dans notre jeu ! J’ajoute aussitôt :• Oh non ! Vous ne nous dérangez pas… Bien au contraire, entrez dans la danse !
Je ne suis pas gêné non plus… adepte depuis mon plus jeune âge du naturisme, la nudité est comme une seconde nature chez moi ! Jusqu’à ces dernières années, je passais chaque été deux semaines dans les lieux naturistes de France.
Quand Barbara et moi quittions le wagon restaurant, j’avais bien remarqué du coin de l’œil cette blonde aux longs cheveux négligemment mais artistement noués sur sa nuque. Elle venait de s’installer pour diner… Je la détaille un peu plus… Un visage parfait aux lèvres ourlées et fardée de rouge pale, les yeux verts aux longs cils soulignés de mascara et, le regard descendant, je découvre le volume de la poitrine puis le galbe des hanches sous la taille prise dans une large ceinture en cuir fauve. Elle est vêtue d’un ensemble en lainage noir légèrement décolleté et la jupe s’arrête un peu au dessus des genoux. Chaussée de bottes hautes et fluides, cette femme, à qui je donne environ 40 ans, est presque aussi grande que moi… Elle ne doit pas être loin du mètre quatre vingts… Décidément, les femmes sont de plus en plus grandes !
• Si cela ne vous dérange pas, je vais me mettre à égalité ! Je m’appelle Diane !
Et là, après avoir dégrafé sa ceinture, elle descend le zip du haut de son vêtement et d’un geste preste, l’enlève puis fait glisser sa jupe. Elle apparait, blonde à la peau diaphane avec des sous vêtements noirs qui emprisonnent une paire de seins volumineux et soulignent la taille fine qui s’évase généreusement… Dans le clair obscur du compartiment, j’ai devant moi une vraie brune à la peau légèrement hâlée avec quelques éphélides disséminées un peu partout et une blonde à la peau laiteuse. Un beau contraste… qui est accentué par la différence qui saute aux yeux immédiatement. Toutes les deux sont grandes, mais Barbara a des formes plutôt menues par rapport à celles de Diane qui sont, disons généreuses mais très attirantes !
Nous ne portons guère de vêtements : Barbara a conservé ses bas autofixants et ses bottines à l’ancienne, Diane ses sous vêtements, et moi, mes socquettes !…Les deux filles s’enlacent et surprise, échangent aussitôt un baiser langoureux… Laquelle en a pris l’initiative ? Je ne pourrais dire ! Les pubis au contact entament une danse lascive et Barbara glisse ses mains dans le dos de Diane. Elle fait tomber le soutien gorge puis, s’agenouillant, elle défait les flots qui maintiennent le string. Diane apparait dans sa nudité splendide. Un petit bijou orne son nombril et elle porte un tatouage sur la hanche droite.
J’avoue en moi-même que j’ai bien de la chance de voyager avec deux aussi belles compagnes qui semblent s’être mises immédiatement sur une même longueur d’onde coquine ! Si les deux femmes continuent ainsi, je vais avoir le spectacle d’une étreinte saphique, ce qui n’est pas pour me déplaire… Je vais me rincer l’œil car j’aime beaucoup voir deux femmes d’aimer ! Leur étreinte est pleine de douceur, d’un érotisme tout en retenue, de baisers et de caresses échangés
Barbara :
Hum, elle a bon goût la blonde. Elle sent le chocolat qu’elle a dû déguster pour le dessert. Comment s’appelle-t-elle déjà ? Diane je crois. Ou Anne ? Bref, on s’en fout. Elle sent bon et elle arrive à point nommé : rien de tel qu’un petit orgasme clitoridien pour couronner les assauts du gentil monsieur. Un sacré coup d’ailleurs, il m’a fait grimper au plafond en moins de temps qu’il ne faut pour le dire…Ah oui... Elle a la chatte complètement épilée, j’adore. En plus elle a des formes splendides, et ces seins ! Ronds et lourds avec des mamelons dorés comme des petits pains suédois… Les hommes doivent en raffoler.
Je caresse la généreuse poitrine, pince et titille doucement les mamelons durcis par l’excitation. Je regarde Diane dans les yeux. Nous sommes complices, déjà. Comment a-t-elle trouvé leur cabine ? Mystère. Je l’imagine demander au personnel du wagon restaurant, jouant des hanches auprès d’un serveur sans défense. Nous nous embrassons longuement et tandis que nos langues s’enroulent l’une contre l’autre, Je ne peux réprimer un petit rire, réalisant soudain que l’univers du sexe s’avère bien plus amusant depuis quelques jours.
Je fais glisser mes mains vers le bas, caresse le ventre, effleure le piercing et s’attarde sur le clitoris. La blonde sursaute, je souris de plus belle. Ma chatte coule à nouveau, elle est prête à recommencer.
L’homme, resté debout face à elles, savoure le spectacle sans dire un mot, sans même faire mine de les toucher.
Ça c’est de la première classe quand même. Pour la peine, la société des trains devrait leur offrir le billet, à elle et à sa nouvelle amie. Enfin… peine n’est pas vraiment le mot approprié. Car caresser le corps de cette femme est un vrai plaisir. Ses formes sont si pulpeuses qu’on a l’impression que même en s’y mettant à deux ou trois, on y trouverait encore quelque chose à explorer, mordre, sucer, exciter, serrer…
Barbara se dégage de l’étreinte avide de sa partenaire et se penche vers l’avant en pensant : Voyons si ça sent aussi bon en bas…La blonde à son approche écarte davantage les cuisses, libérant l’effluve d’une chatte torride à souhait. J’avance mon visage et souffle doucement sur le clitoris gonflé comme un raisin sec plongé dans l’eau chaude. La blonde sursaute et sa peau sous mes mains se couvre de chair de poule. Un petit gémissement et les cuisses s’ouvrent encore. Je caresse le clitoris de ma langue, doucement. Je veux deviner ce qui plaira à la blonde : le modèle cunnilingus pelle à tarte ou l’autre, celui, délicat, qui ne touche que ce qui est électrique.
Elle alterne, guettant les réactions. La blonde semble aimer le modèle pelle à tarte. Pourquoi pas. Barbara quant à elle préfère une approche plus subtile, mais il en faut pour tous les goûts et puisqu’elles sont là pour se faire plaisir… Je promène ma langue sur l’intimité lisse et tout y passe : les lèvres, le clitoris, l’intérieur des fesses… La blonde relève les cuisses, offrant encore un peu plus d’elle.
J’observe l’anus dilaté et chasse, en retenant un rire incongru, l’image de ces mollusques pompant l’eau de mer par une espèce de tuyau obscène. Elle approche un doigt et caresse l’orifice qui réagit en se dilatant davantage. Elle se retourne et interroge du regard le troisième voyageur. Celui-ci, resté nu, a saisi son sexe et se caresse doucement. Oui, peut-être ce petit glouton aura-t-il son dû, plus tard. Je me retourne, fait remonter ma main et pénètre la chatte de deux doigts joints. Diane sursaute comme sous l’assaut d’un mâle très bien monté.
Je m’interroge. Qu’est ce qui rend cette femme si réactive ? Elle toute seule avec ses deux doigts ? Et qui est-elle ? Que fait-elle dans ce train ? Est-elle une femme au foyer, avec pour toute compagnie des chiards hurlants leurs désirs à longueurs de journée et un mari rentrant épuisé du travail, mettant sur le compte de ses soucis professionnels le peu d’attention qu’il porte à cette femme qui dévoue sa vie à une cause perdue d’avance ? Ou est-elle au contraire une working-girl acharnée, dévorant la vie à pleine dents, peu soucieuse de savoir qui sera encore à ses côtés lorsque ces seins magnifiques auront perdu de leur arrogance et que ce ventre au nombril percé ce sera arrondi et étiré ? Je l’observe encore un instant, allongée de tout son long sur une couchette de wagon-lit, totalement offerte à deux inconnus encore dopés par leurs propres ébats clandestins. Elle est belle. Elle sourit. Qui qu’elle soit, elle est là, encore pour un moment, peut-être même jusqu’à leur destination finale et j’ai bien l’intention de profiter de chaque centimètre carré de ce corps laiteux.
Je me relève. Je m’allonge sur Diane, l’embrasse longuement puis entame une rotation de mon propre corps, veillant à ne pas cogner sur le visage de sa partenaire avec ses genoux. Et tandis que je plonge ma langue dans la fente voluptueuse, je sens la blonde m’attraper les cuisses et lécher avidement mon clitoris humide, mêlant sa salive à celle de l’homme qui, un peu plus tôt, s’est lui aussi employé à cette douce tâche.
Le Matou :Tout en manipulant doucement mon sexe, j’observe ce beau couple saphique, uni dans une étreinte puissante et douce à la fois… Puissante car à voir les deux femmes, on sent qu’elles sont sur la même longueur d’onde coquine et se laissent emporter par leur désir mais ce dernier est empreint de douceur et de volupté. Les mains font connaissance du corps de l’autre, courant des épaules et de la nuque, le long des flancs, sur la taille et enfin sur les globes fessiers… Pendant que Barbara et Diane se donnent du plaisir en caressant, léchant ou pénétrant la chatte de l’autre de plusieurs doigts, je continue à me masturber, entretenant doucement une belle bandaison ce qui est facile car le spectacle que donnent mes deux « amies » est des plus excitant. La demi pénombre qui règne dans le compartiment ne permet pas de tout observer mais je laisse galoper mon imagination… stimulée par les cris de plaisir que les deux belles laissent échapper de plus en plus distinctement jusqu’au moment où la jouissance les emporte simultanément.
Elles restent quelques instants enlacées tête-bêche puis elles se séparent, se lèvent et m’enlacent. Barbara prend mes lèvres et darde sa langue dans ma bouche pour me faire partager l’odeur de la jouissance de Diane qui de son côté, a remplacé ma main parles siennes autour de mon sexe qu’elle manie en douceur, allant jusqu’à enserrer mes bourses dans la paume d’une main. Waouh que c’est bon ! Quelle chance j’ai eu de voyager ce soir… et je crois que ce n’est pas terminé…Oui, j’ai raison… ce n’est pas fini… Diane se laisse couler le long de mon torse et vient placer seins opulents le long de ma bite et, pressant ses doux globes entre ses mains, elle ma gratifie d’une branlette espagnole qui achève de faire monter la sève…Barbara s’agenouille à son tour sur la moquette du compartiment et se penche sur le gland qui pointe entre les seins de Diane… Soudain, ce sont deux bouches voraces qui se disputent mon sexe, pendant que l’une gobe l’extrémité, l’autre parcourt la hampe et prends mes testicules en bouche… Quelle fellation ! Deux bouches chaudes et humides qui se disputent ainsi mais je ne peux plus me retenir :• Attention, je vais partir !
D’une seule voix, elles m’invitent à me lâcher et les deux femmes se placent devant moi, bouche largement ouverte pour que j’y épanche ma jouissance. Plusieurs traits vont se loger sur les langues qui n’attendent que cela puis, avant d’avaler mon sperme, Barbara et Diane s’embrassent à nouveau et se partagent le nectar que je leur ai servi.
Repus de plaisir, nous bavardons quelques minutes avant de sombrer dans un sommeil réparateur… Au petit matin Barbara nous quitte la première puis c’est à mon tour de descendre du train à Cannes alors que Diane poursuit son voyage jusqu’à Nice…Nous n’avons échangé ni adresse ni numéro de téléphone… C’est bien ainsi… Nous avons profité des circonstances pour une belle et bonne séance de sexe entre adultes consentants…
Barbara :Je marche le long du quai. Les autres passagers me bousculent pour mieux me dépasser, sans un mot d'excuse. C'est vrai que je n'avance pas très vite. A vouloir jouir de tout, on en oublie l'aspect irremplaçable d'une bonne nuit de sommeil et je me déplace avec la vélocité d'un zombie en phase de décomposition avancée. Aurais-je mieux fait de dormir ? Sûrement pas. Ce voyage est et restera à classer dans la catégorie "inoubliable". Cette nuit, j’ai fait deux rencontres aussi éphémères qu'exotiques : Diane la grande, sa peau laiteuse et ses gros seins lourds et le gentleman, avec son costume gris souris et son braquemard en acier trempé.
Je passe une main molle sur ma jupe, essayant une fois encore d'estomper les innombrables plis qui s'y sont formés. Une jupe hors de prix comme celle-ci, abandonnée dans un coin de la couchette comme un vulgaire torchon à deux euros ! Il fallait vraiment qu'elle n'ait plus toute sa tête. Avec ses vêtements déformés, ses cheveux en bataille et son maquillage vieux d'une nuit, j’ai le sentiment de ressembler à une sans abri à la recherche de sa première cigarette. Je soupire. Un moment de honte est vite passé. Je n’ai que quelques mètres à parcourir avant d'arriver jusqu'au parking où ma voiture m'attend.
Je croise le regard méprisant d'un adolescent boutonneux coiffé d'un casque mauve et retient de peu l'envie de lui faire la grimace, pensant en elle-même : « Si tu savais mon coco. »Je me racle la gorge et redresse péniblement les épaules. Mon corps pèse une tonne et dégage des effluves chargés de souvenirs. Quelle nuit ! C'est à se demander comment la plupart des couples peuvent se contenter d'un missionnaire hebdomadaire. Et comment vais-je raconter ça à Alexandre. Car il est hors de question de lui cacher la teneur de son périple. Tel qu'elle l'a découvert lors de ce weekend end « évasion » l'aveu contrit de son doux pêché va le faire bander comme un taureau camarguais. Ne reste qu'à acheter un nouveau billet de train et choisir le corsage le plus serré possible.
Je souris en pensant que je tiens peut-être là un nouveau concept à proposer aux tour-operator : Sexe en voyage !
Mais pour l'heure, mon fantasme est plus sanitaire : je rêve au bain bouillant dans lequel je vais me plonger chez moi ! Je me choisirai un bain moussant sur la petite étagère de verre, juste au dessus des robinets. Rose ou vanille ? Cannelle, peut-être. Elle avisera le moment venu. Je choisirai aussi un gommage doux et ôterai avec délectation ces odeurs honteuses laissées sur elle par ces délicieux inconnus. Je mettrai l'intégralité de mes vêtements dans le panier de linge sage… Je m’habillerai de blanc et pourrai profiter de mon temps libre pour lire un bon livre, ou juste dormir.
Dormir pour mieux recommencer, plus tard.
Mon téléphone sonne. Je fouille mon sac et en extirpe le boitier blanc. Juste à temps.
• Allo chéri ?
• Ma chérie, tu as fait bon voyage ?
• Extra mon amour.
• A ce point ?
• Ah oui.
FIN
Le Matou :Ce soir, je me rends à la gare de Luxembourg pour prendre le train de nuit pour rejoindre Cannes où je vais rencontrer des amis qui résident sur les hauteurs de cette ville.
J’en avais plus qu’assez de la grisaille lorraine et j’avais aussi envie de profiter pendant quelques jours du soleil printanier de la Côte d’Azur.
Dès que le train entre en gare venant de Bruxelles, je découvre avec satisfaction que la rame est composée de voitures des chemins de fer belges dont j’ai eu l’occasion à plusieurs reprises d’apprécier le confort et les aménagements… J’ai réservé en première classe couchette, ce qui me permettra d’être installé au mieux pour ce long trajet. Aucune des quatre places n’est occupée. Il est vrai que ce n’est pas la saison des grandes migrations de touristes et je pense que toutes les couchettes ne seront pas occupées.
Je m’installe confortablement dans un des angles du compartiment encore en position de jour et je regarde par la fenêtre l’agitation qui règne sur le quai. Quelques minutes après le départ je vois arriver dans le couloir une jeune femme tout essoufflée qui, comme moi, n’a qu’un léger bagage. Lorsqu’elle entre dans le compartiment, j’ai tout loisir de la regarder et d’apprécier la chance qui va me faire voyager avec une compagne aussi jolie…Je la regarde discrètement : Elle est grande, des cheveux noirs lâches tombant sur les épaules, une silhouette élancée. Elle est vêtue d’une jupe en tissu épais tombant à mi mollet et d’un sweat-shirt en lainage qui montre de douces rondeurs. Chaussée de bottillons en cuir fauve, elle semble particulièrement apprécier cette teinte chaude qui s’harmonise bien avec ses cheveux. Lorsqu’elle me fait face, je découvre un visage à l’ovale parfait, de grands yeux verts et une bouche sensuelle à peine maquillée. En moi-même, je pense : une bien jolie femme. Je lui donne environ trente ans.
Nous nous saluons brièvement avant de nous installer pour lire un peu avant d’aller au wagon restaurant : Pour moi, un livre sur la place des femmes dans la société du Moyen âge, pour elle, une revue que je connais bien sur les aménagements intérieurs.
Lorsque nous arrivons ensemble au wagon restaurant, nous sommes guidés vers une table à deux places encore libre le long du la vitre : nous passons pour un couple… Au cours du repas, j’explique à Barbara le but de mon voyage : retraité depuis peu, je me déplace beaucoup pour rendre visite à des ami(e)s un peu partout en France. J’occupe mes loisirs entre la lecture, les randonnées en groupe et l’écriture de textes coquins dans lesquels je retrace mes souvenirs…ou dans lesquels je laisse aller mon imagination.
D’un commun accord, nous choisissons un repas léger accompagné d’une demi-bouteille de rosé. En effet, pour passer une bonne nuit dans un train, mieux vaut ne pas trop charger l’estomac. Nous nous entendons si bien que tout au long du repas, notre bavardage se développe, fait d’anecdotes de voyage ou de confidences diverses. Sans trop nous en rendre compte, nous avons engagé un jeu de séduction réciproque. Nous ne voyons pas le temps passer si bien que bientôt nous sommes pratiquement seuls dans le wagon restaurant. Les arrêts se sont succédé sans que nous y prêtions attention et la nuit commence à régner à l’extérieur.
Au moment où nous allons rentrer dans notre compartiment, un chaos du train précipite Barbara contre moi. Je la retiens d’un bras ferme et elle s’alanguit contre moi. Je sens son corps souple contre mon torse et elle me dit :• Merci, je crois que j’ai un peu trop bu !
Mais non, ce n’est pas le peu de vin que nous avons consommé qui en est la cause. Quelle excuse !
Barbara :Je me sens quelque peu embarrassée. Comment est-il possible que cet homme dont je viens seulement de faire connaissance m’émoustille à ce point ? Le cliché de l’inconnu qui vous séduit dans un train, ça ne fonctionne que dans les films made in USA avec deux énormes têtes d’affiche, et pourtant… Il y a un je-ne-sais-quoi chez cet homme qui m’attire, qui me donne envie de lui faire confiance. Une sorte de complicité, indéfinissable, inexplicable.
Cela ne faisait pas partie de mes plans. Je devais rentrer chez moi tranquillement, dans une tenue ample et confortable, peu soucieuse de séduire ou d’être séduite. C’est que mon week-end a été plus que dense. Après quinze jours de séparation, j’avais retrouvé Alexandre avec une érection proche du priapisme. Rien de tel que l’absence pour sublimer ou tuer un couple.
En ce qui me concernait, le mien venait de franchir un cap : celui du partage. Alexandre vivait maintenant à Bruxelles où il avait depuis peu décroché un poste en or, comprenez un poste pour lequel on est payé avec un salaire mensuel à cinq chiffres. Le pauvre avait beaucoup travaillé et était très content de me revoir. Il m’avait accueillie avec de beaux cadeaux, dont un bustier en dentelle et une paire de menottes. Il m’avait emmenée dans des endroits qui ne figurent sur aucun des guides touristiques que j’avais épluchés à mes heures perdues dans les librairies niçoises que j’affectionnais, et qui pourtant, après réflexion, méritaient d’être connus.
Ha oui vraiment ! A sentir cette douce chaleur envahir mon bas-ventre, à voir cet homme d’âge mûr me faire son numéro de charme un peu vieille France, je me dis que, peut-être, Alexandre, en m’ouvrant les yeux sur le libertinage, a bel et bien ouvert la boite de Pandore.
Le Matou :Je maintiens Barbara (puisque c’est son prénom) fermement contre moi pour qu’elle retrouve son équilibre. Elle blottit sa tête au creux de mon épaule et me remercie. Son parfum de rousse me trouble… Cette fragrance à la fois subtile et entêtante, résolument féminine et envoutante, épicée, ambrée, boisée : une merveille cette odeur très particulière de cannelle que lui va si bien…Je la sens aussi d’une autre manière, ses seins menus pressés contre mon torse ! Oulla ! Qu’ils sont tentants, j’ai envie d’aller les caresser, moi qui suis un fan des poitrines féminines quelles qu’elles soient ! Mais comment ressentira-t-elle cet effleurement par dessus ses vêtements ? Je n’ose pas rompre le charme de la tenir entre mes bras ! Elle s’alanguit de plus en plus et elle ne se dégage pas de mon étreinte… que je resserre insensiblement jusqu’à ce que son corps aux formes si harmonieuses soit littéralement collé contre le mien !
Quelle douce étreinte, toute empreinte de sensualité retenue mais Barbara se laisse aller dans mes bras dès que d’un geste preste d’une jambe, j’ai refermé la porte du compartiment. Et là, tout bascule ! Elle glisse une main entre nos deux corps enlacés pour venir masser mon pubis où mon sexe est dressé depuis quelques minutes… Quelle douceur dans ce geste qui m’ouvre des horizons insoupçonnés.
En effet, lorsque je lui ai fait une cour discrète à table, c’était plus pour flatter son ego que pour tenter de la conquérir pour une brève aventure… C’est d’ailleurs ce que je fais chaque fois que je rencontre une femme : je la félicite pour son allure, ses vêtements, son parfum… Généralement cela les flatte et je n’ai subi que très rarement des rebuffades… de la part de femmes jeunes ou moins jeunes, qui peut-être se sentaient agressées.
Je n’hésite plus ! Cette caresse est une invitation à aller plus loin. J’insinue une cuisse entre les siennes pour mieux lui faire sentir le désir qui est monté en moi : aimer charnellement cette jolie femme… Je lui prends la bouche et elle ouvre ses lèvres pour laisser passer ma langue qui engage avec la sienne un duel humide qui bientôt nous laisse pantelants, à bout de souffle.
Je n’en peux plus ! Elle m’affole avec son corps de sylphide, son parfum enivrant… Je glisse une main sous le sweatshirt et je vais cueillir un des seins dont je fais rouler le téton emprisonné dans la dentelle du soutien gorge. Barbara se presse encore plus contre moi. Sa respiration s’accélère. Elle rejette la tête en arrière pour que sa longue chevelure rousse tombe comme une cascade fauve entre ses épaules. Les yeux mi clos mais les lèvres entrouvertes, elle sourit et ondule du bassin contre le mien. Elle achève de me faire bander ! Si elle continue, je ne vais plus attendre et je vais la violer… MAIS NON elle n’a rien à craindre ! Je sais attendre une femme qui va se livrer… et j’ai deviné dans Barbara une femme ardente qui ne refuse pas les plaisirs du sexe !
Notre train roule maintenant dans la nuit ! Si je me souviens bien, le prochain arrêt sera Dijon. La pénombre du compartiment est simplement éclairée par des veilleuses à la couleur bleutée qui se reflètent dans la belle chevelure de Barbara.
Mon assaut se poursuit à fleuret moucheté. La main qui s’était insidieusement glissée sous les sweet-shirt de Barbara est ressortie. De mes bras, j’ai emprisonné sa taille et nos bassins sont en contact en travers de nos vêtements et mon sexe est dressé dans la fourche de ses jambes. Je l’embrasse dans le cou d’une multitude de petits baisers humides qui font frissonner ma belle conquête.
L’un et l’autre, nous sommes de plus en plus excités… et en moi-même je pense : quelle chance que Barbara ait eu envie de changer de compartiment après son départ de Bruxelles…
Barbara :Il est charmant cet homme-là, vraiment. Il est bien plus âgé que moi, une bonne quinzaine d'années je dirais. Sa tignasse grise parfaitement coiffée et son bouc noir lui confèrent un air très classique, façon début vingtième siècle. Son costume en flanelle grise bien ajusté sur son torse un peu rond lui donne des airs d'Hercule Poirot.
Ciel, je m'apprête à m'envoyer en l'air avec un grand-père…Faut-il donc que je sois devenue la pire des garces, moi qui ne rêvais que d'amour tendre avec Alexandre, moi qui ai malmené mon corps tout le week-end à jouir de tout ce qui s'offrait à moi. Celui-là sera la cerise sur le gâteau. Je réfléchirai plus tard à ce que je ferai de lui, une fois l'affaire conclue. Pourvu qu’il soit marié et heureux en ménage ! Cela me simplifierait les choses. Nous verrons. Habituellement pourtant, je préfère la chair fraiche. Quitte à faire des folies, autant que ce soit en tâtant de la fesse bombée et des abdominaux d'enfer. D'ailleurs, avant Alexandre, mes amants ne dépassaient pas la trentaine. L'avantage d'un homme jeune, c'est que côté libido, on n'est pas déçue. C’est simple : ils ne pensent qu’au sexe. Jusqu’au moment où trop de sexe tue le sexe, mais c’est une autre histoire.
J'ai toujours aimé voir un corps d'homme passer du repos à l'excitation la plus intense sous la seule impulsion de mes formes. Comment ce que je vois chaque matin dans mon miroir peut-il rendre un homme fou à ce point ? C'est une question à laquelle j'ai cessé de tenter de répondre. J'en ai pris mon parti. Un bustier un peu trop décolleté, une bretelle de soutien-gorge savamment découverte et hop, il passe quelque chose dans le regard de votre homme qui vous laisse présager de merveilleux plaisirs. C'est amusant et donne, un bref moment, le sentiment de contrôler la situation : un homme en rut n'est plus bon à rien sinon à assouvir son désir. Et si je le lui refuse ? Et bien il n'aura qu'à tenter comme une âme en peine de réprimer cette ardeur indécente qui pousse sans relâche dans son pantalon comme une mauvaise herbe dans un jardin anglais.
Mais revenons à nos moutons. A ce stade de la soirée, j’ai deux options : je joue les ingénues offusquées et je me mets un terme à ce petit manège ou je passe à la vitesse supérieure. J’hésite encore. J’ai la main, comme on dit. Tiens, d’ailleurs, pourquoi ne pas en glisser une vers son entre-jambe, histoire d’avoir un aperçu du possible ? Quelle surprise ! Ce grand-père là est monté comme un étalon. Je le vois hoqueter de plaisir au seul contact de ma main. Un bon point pour lui. Je crois bien que je vais me laisser faire…
Le Matou :Oh, cette main inquisitrice qui s’insinue entre nos corps pressés l’un contre l’autre ! Je la prends comme une invitation à pousser mon avantage… Je défais rapidement ma veste, et à deux mains, je fais passer le sweatshirt de Barbara par-dessus sa tête ! Waouh ! Quelle jolie poitrine dans sa prison de fine dentelle… Deux seins pas très volumineux, ronds et fermes dont le téton pointe dans le bonnet ! En quelques secondes, l’agrafe du soutien gorge est défaite et cette légère pièce de vêtement va rejoindre ma veste sur la couchette. Mes lèvres fiévreuses descendent du cou jusqu’à la poitrine et viennent mordiller chacun des tétons tour à tour pour les faire saillir… Barbara se pâme sous ces caresses buccales, son souffle s’accélère, elle presse ma tête contre ses seins… Que c’est bon, doux et chaud !
Mes mains sont posées sur les hanches puis elles glissent vers l’arrière pour empaumer les fesses bien fermes ! Je dois avoir une sportive dans les bras car je sens ses muscles jouer et frémir sous sa peau… C’est vrai que, malgré le peu d’éclairage du compartiment, je ne distingue pas les côtes, je les ai tout juste senties lorsque mes mains sont descendues : mince mais pas maigre !
Je me sens de plus en plus à l’étroit dans mon boxer, surtout depuis que Barbara est venue tâter d’une main indiscrète ce que je cachais mais qu’elle avait senti contre son pubis : mon sexe est dressé, bandé, impérieux et plein d’envie pour cette belle femme qui visiblement est prête pour l’aventure… Les mains de Barbara descendent ensuite jusqu’à la ceinture de sa longue jupe qui, une fois dégrafée, s’affaisse comme une corolle à ses pieds ! A ce moment, elle ne porte plus qu’un string des plus réduit en dentelle blanche et des bas fumés auto fixant. Je songe en moi-même : quelle femme splendide, il y a bien longtemps que je n’ai pas tenu une telle beauté dans mes bras…Elle s’attaque ensuite à ma chemise qu’elle ouvre avant de glisser une main qui vient agacer mes tétons qui ont toujours été sensibles à ce genre de caresse. De l’autre, Barbara masse mon sexe toujours prisonnier de mon boxer, semblant apprécier ou jauger son volume qui, de l’avis d’autres femmes, est d’une dimension plus que respectable, bien que relativement court. Pour le rendre plus accessible, je dégrafe la ceinture de mon pantalon que j’enlève prestement, sans pratiquement quitter les bras de Barbara. Nous sommes désormais à égalité : elle en string avec ses bas, moi, en boxer et T-shirt ! Je sais que nous n’allons pas en rester là et en enlaçant à nouveau cette jolie femme, je lui dis tout bas :• J’ai envie de te faire l’amour !
Barbara :
• Et moi j’ai envie de te goûter !
Je suis passée en mode automatique. Toutes mes pensées ne sont plus tournées que vers un objectif : le sexe. Cet homme a réveillé ma libido, ma chatte parfaitement épilée coule déjà sur mon petit string en dentelle et même le parfum un peu démodé du monsieur grisonnant m’excite. J’ai aimé l’approche toute en finesse, les sourires en coin, les mains effleurées. J’ai aimé voir cet homme aux rides souriantes et à la mise impeccable faire le beau devant moi. Maintenant, j’en veux plus et cet énorme chibre entre mes mains sera le dessert que je n’ai pas pris à table.
Je lui donne un dernier baiser, presque chaste, je me détache de son emprise, pose mes deux mains à plats sur le torse bombé et plie mes genoux jusqu’à les poser sur le sol froid de la cabine. Mes mains passant sur le boxer entrainent vers le bas le tissu satiné, libérant le cyclope obscène. Le sexe est large et l’angle qu’il forme avec le reste du corps est des plus prometteur. J’ignorais qu’on pouvait encore bander si fort à cet âge respectable. En moi-même, je pense que je dois être tombée sur une exception. J’ai plus souvent entendu des femmes se plaindre du peu de bandaison de leurs maris quinquagénaires que le contraire.
J’attrape le sexe d’une main et le serre légèrement, faisant gonfler le gland rouge écarlate. De l’autre, je caresse les bourses bien rondes, guettant une réaction. Certains hommes adorent qu’on joue avec leurs roubignolles, d’autres détestent. Celui-ci à l’air d’aimer, à attendre ses soupirs d’aise. Je saisis une des boules et la presse. L’homme gémit et bande de plus belle.
Même sous son boxer, cet homme sent bon : c’est incroyable, on pourrait croire qu’il avait prévu son coup !
J’approche son visage et tends une langue menue. Je lèche le sexe dressé comme je le ferais avec un cornet de glace. Les quelques poils rêches que je caresse en même temps que les testicules, toujours rasés chez les nouvelles générations, donnent ici un petit côté exotique à la chose qui me fait sourire tendis que j’émoustille le frein et la couronne du gland. Je n’ai pas encore décidé jusqu’où j’allais le laisser aller. L’homme a ses deux mains posées sur ma tête et caresse mes longs cheveux dénoués pendant que je le suce jusqu’au plus profond de ma gorge. L’excitation dans mon bas-ventre est à son comble. Il faut que je me décide : à ce rythme-là, le monsieur ne va pas pouvoir se retenir bien longtemps.
Je lâche le sexe et me redresse doucement. Le regard de l’homme est intense. Il me regarde comme s’il pouvait me dévorer tout de suite, là, sur les banquettes que le personnel a mises en place pendant que nous étions à table. Pourtant Je me sens en confiance. Cet homme, bien que chaud comme la braise a de l’éducation, c’est indéniable et si je le voulais, je pourrais stopper nos ébats sur le champ sans craindre de me faire retourner et prendre comme une chienne allumeuse.
C’est pourtant ce dont j’ai envie. Aussi, j’adresse un sourire plein de malice à l’homme indécis et me retourne, posant l’un après l’autre mes genoux sur la banquette. Je suis là, à quatre pattes. De là où il est, le monsieur doit avoir une sacrée vue. S’il se décidait à me lécher un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, je pourrait bien atteindre le septième ciel.
Le Matou :
Quelle vue splendide ! Les fesses sont barrées par la mince bande de tissu du string de dentelle blanche et semble ainsi les mettre en valeur. Deux fesses bombées, bronzée et, plus loin, dans la demi pénombre du compartiment, une taille fine, souple sur laquelle je pose une main pendant que l’autre fait glisser le minuscule vêtement qui rejoint la jupe sur le sol. J’approche mes lèvres de ces deux globes charnus sur lesquels je dépose plusieurs baisers, passant de l’un à l’autre en prenant soin de les caresser de ma barbe. Cela doit plaire à Barbara qui pousse des soupirs d’aise.
Mais j’en veux plus… Je distingue à peine l’œillet plissé qui semble palpiter doucement… Une odeur de musc se répand doucement et émoustille mes papilles…Je m’approche encore et darde ma langue dans la raie, allant de haut en bas jusqu’à sentir le sphincter sous la pointe de ma langue. Après quelques va-et-vient j’entends Barbara dire dans un souffle :• Je n’en peux plus, viens, prends moi !
Moi aussi, je n’en peux plus… Je bande comme un cerf en rut au point que mon sexe est douloureux tant il a envie… Oui, envie de plonger au plus profond de ce sexe féminin qu’il est allé effleurer et dont le gland a senti l’humidité chaude… Je me couvre rapidement d’un préservatif… et d’une seule poussée lente, j’entre dans la chatte de Barbara : une fournaise tant je la sens chaude au travers du fin latex !
• Oouuiiii ! C’est bon ! Baise-moi comme une chienne !
Je n’ai guère besoin de cet encouragement ! Sa taille prise dans mes mains, je vais et je viens dans un mouvement régulier, lent au début tant j’apprécie puis, de plus en plus vite au fur et à mesure de la montée de notre excitation mutuelle… que mon amante manifeste en parlant, comme pour m’exciter encore plus !
Quelle aubaine ! Je n’imaginais pas que mon voyage se déroulerait ainsi… Lorsque j’avais fait une cour discrète à Barbara au wagon restaurant, je m’étais contenté de flatter l’ego de cette jolie jeune femme… comme je le fais souvent pour complimenter mes interlocutrices, faisant juste preuve de galanterie à leur égard !
Chaque fois que je prends Barbara, mon bas ventre vient se mouler contre ses fesses rondes et dures et à ce moment je sens ses muscles intimes masser doucement la pointe de mon arc ! C’est agréable… et divinement jouissif. Notre plaisir monte, monte, et soudain je sens mon sexe pris comme dans une main qui le branlerait savamment au moment où Barbara est emportée par le plaisir. Je ne tarde pas à la rejoindre en lançant quelques jets de sperme au fond du préservatif. Oh que c’est bon ! Je savoure en restant abouté contre les fesses de ma maîtresse du moment qui balance sa tête de gauche à droite quand les spasmes de la jouissance l’emportent.
Nous restons ainsi de longues minutes… je récupère mon souffle qui s’est accéléré quand soudain la porte du compartiment s’ouvre :• Oh ! Excusez-moi ! Je vous dérange !
• Non vous ne nous dérangez pas ! Au contraire, si cela vous dit, venez jouer avec nous !
Barbara ne semble pas gênée du tout de cette intrusion, bien au contraire puisqu’elle invite une nouvelle partenaire dans notre jeu ! J’ajoute aussitôt :• Oh non ! Vous ne nous dérangez pas… Bien au contraire, entrez dans la danse !
Je ne suis pas gêné non plus… adepte depuis mon plus jeune âge du naturisme, la nudité est comme une seconde nature chez moi ! Jusqu’à ces dernières années, je passais chaque été deux semaines dans les lieux naturistes de France.
Quand Barbara et moi quittions le wagon restaurant, j’avais bien remarqué du coin de l’œil cette blonde aux longs cheveux négligemment mais artistement noués sur sa nuque. Elle venait de s’installer pour diner… Je la détaille un peu plus… Un visage parfait aux lèvres ourlées et fardée de rouge pale, les yeux verts aux longs cils soulignés de mascara et, le regard descendant, je découvre le volume de la poitrine puis le galbe des hanches sous la taille prise dans une large ceinture en cuir fauve. Elle est vêtue d’un ensemble en lainage noir légèrement décolleté et la jupe s’arrête un peu au dessus des genoux. Chaussée de bottes hautes et fluides, cette femme, à qui je donne environ 40 ans, est presque aussi grande que moi… Elle ne doit pas être loin du mètre quatre vingts… Décidément, les femmes sont de plus en plus grandes !
• Si cela ne vous dérange pas, je vais me mettre à égalité ! Je m’appelle Diane !
Et là, après avoir dégrafé sa ceinture, elle descend le zip du haut de son vêtement et d’un geste preste, l’enlève puis fait glisser sa jupe. Elle apparait, blonde à la peau diaphane avec des sous vêtements noirs qui emprisonnent une paire de seins volumineux et soulignent la taille fine qui s’évase généreusement… Dans le clair obscur du compartiment, j’ai devant moi une vraie brune à la peau légèrement hâlée avec quelques éphélides disséminées un peu partout et une blonde à la peau laiteuse. Un beau contraste… qui est accentué par la différence qui saute aux yeux immédiatement. Toutes les deux sont grandes, mais Barbara a des formes plutôt menues par rapport à celles de Diane qui sont, disons généreuses mais très attirantes !
Nous ne portons guère de vêtements : Barbara a conservé ses bas autofixants et ses bottines à l’ancienne, Diane ses sous vêtements, et moi, mes socquettes !…Les deux filles s’enlacent et surprise, échangent aussitôt un baiser langoureux… Laquelle en a pris l’initiative ? Je ne pourrais dire ! Les pubis au contact entament une danse lascive et Barbara glisse ses mains dans le dos de Diane. Elle fait tomber le soutien gorge puis, s’agenouillant, elle défait les flots qui maintiennent le string. Diane apparait dans sa nudité splendide. Un petit bijou orne son nombril et elle porte un tatouage sur la hanche droite.
J’avoue en moi-même que j’ai bien de la chance de voyager avec deux aussi belles compagnes qui semblent s’être mises immédiatement sur une même longueur d’onde coquine ! Si les deux femmes continuent ainsi, je vais avoir le spectacle d’une étreinte saphique, ce qui n’est pas pour me déplaire… Je vais me rincer l’œil car j’aime beaucoup voir deux femmes d’aimer ! Leur étreinte est pleine de douceur, d’un érotisme tout en retenue, de baisers et de caresses échangés
Barbara :
Hum, elle a bon goût la blonde. Elle sent le chocolat qu’elle a dû déguster pour le dessert. Comment s’appelle-t-elle déjà ? Diane je crois. Ou Anne ? Bref, on s’en fout. Elle sent bon et elle arrive à point nommé : rien de tel qu’un petit orgasme clitoridien pour couronner les assauts du gentil monsieur. Un sacré coup d’ailleurs, il m’a fait grimper au plafond en moins de temps qu’il ne faut pour le dire…Ah oui... Elle a la chatte complètement épilée, j’adore. En plus elle a des formes splendides, et ces seins ! Ronds et lourds avec des mamelons dorés comme des petits pains suédois… Les hommes doivent en raffoler.
Je caresse la généreuse poitrine, pince et titille doucement les mamelons durcis par l’excitation. Je regarde Diane dans les yeux. Nous sommes complices, déjà. Comment a-t-elle trouvé leur cabine ? Mystère. Je l’imagine demander au personnel du wagon restaurant, jouant des hanches auprès d’un serveur sans défense. Nous nous embrassons longuement et tandis que nos langues s’enroulent l’une contre l’autre, Je ne peux réprimer un petit rire, réalisant soudain que l’univers du sexe s’avère bien plus amusant depuis quelques jours.
Je fais glisser mes mains vers le bas, caresse le ventre, effleure le piercing et s’attarde sur le clitoris. La blonde sursaute, je souris de plus belle. Ma chatte coule à nouveau, elle est prête à recommencer.
L’homme, resté debout face à elles, savoure le spectacle sans dire un mot, sans même faire mine de les toucher.
Ça c’est de la première classe quand même. Pour la peine, la société des trains devrait leur offrir le billet, à elle et à sa nouvelle amie. Enfin… peine n’est pas vraiment le mot approprié. Car caresser le corps de cette femme est un vrai plaisir. Ses formes sont si pulpeuses qu’on a l’impression que même en s’y mettant à deux ou trois, on y trouverait encore quelque chose à explorer, mordre, sucer, exciter, serrer…
Barbara se dégage de l’étreinte avide de sa partenaire et se penche vers l’avant en pensant : Voyons si ça sent aussi bon en bas…La blonde à son approche écarte davantage les cuisses, libérant l’effluve d’une chatte torride à souhait. J’avance mon visage et souffle doucement sur le clitoris gonflé comme un raisin sec plongé dans l’eau chaude. La blonde sursaute et sa peau sous mes mains se couvre de chair de poule. Un petit gémissement et les cuisses s’ouvrent encore. Je caresse le clitoris de ma langue, doucement. Je veux deviner ce qui plaira à la blonde : le modèle cunnilingus pelle à tarte ou l’autre, celui, délicat, qui ne touche que ce qui est électrique.
Elle alterne, guettant les réactions. La blonde semble aimer le modèle pelle à tarte. Pourquoi pas. Barbara quant à elle préfère une approche plus subtile, mais il en faut pour tous les goûts et puisqu’elles sont là pour se faire plaisir… Je promène ma langue sur l’intimité lisse et tout y passe : les lèvres, le clitoris, l’intérieur des fesses… La blonde relève les cuisses, offrant encore un peu plus d’elle.
J’observe l’anus dilaté et chasse, en retenant un rire incongru, l’image de ces mollusques pompant l’eau de mer par une espèce de tuyau obscène. Elle approche un doigt et caresse l’orifice qui réagit en se dilatant davantage. Elle se retourne et interroge du regard le troisième voyageur. Celui-ci, resté nu, a saisi son sexe et se caresse doucement. Oui, peut-être ce petit glouton aura-t-il son dû, plus tard. Je me retourne, fait remonter ma main et pénètre la chatte de deux doigts joints. Diane sursaute comme sous l’assaut d’un mâle très bien monté.
Je m’interroge. Qu’est ce qui rend cette femme si réactive ? Elle toute seule avec ses deux doigts ? Et qui est-elle ? Que fait-elle dans ce train ? Est-elle une femme au foyer, avec pour toute compagnie des chiards hurlants leurs désirs à longueurs de journée et un mari rentrant épuisé du travail, mettant sur le compte de ses soucis professionnels le peu d’attention qu’il porte à cette femme qui dévoue sa vie à une cause perdue d’avance ? Ou est-elle au contraire une working-girl acharnée, dévorant la vie à pleine dents, peu soucieuse de savoir qui sera encore à ses côtés lorsque ces seins magnifiques auront perdu de leur arrogance et que ce ventre au nombril percé ce sera arrondi et étiré ? Je l’observe encore un instant, allongée de tout son long sur une couchette de wagon-lit, totalement offerte à deux inconnus encore dopés par leurs propres ébats clandestins. Elle est belle. Elle sourit. Qui qu’elle soit, elle est là, encore pour un moment, peut-être même jusqu’à leur destination finale et j’ai bien l’intention de profiter de chaque centimètre carré de ce corps laiteux.
Je me relève. Je m’allonge sur Diane, l’embrasse longuement puis entame une rotation de mon propre corps, veillant à ne pas cogner sur le visage de sa partenaire avec ses genoux. Et tandis que je plonge ma langue dans la fente voluptueuse, je sens la blonde m’attraper les cuisses et lécher avidement mon clitoris humide, mêlant sa salive à celle de l’homme qui, un peu plus tôt, s’est lui aussi employé à cette douce tâche.
Le Matou :Tout en manipulant doucement mon sexe, j’observe ce beau couple saphique, uni dans une étreinte puissante et douce à la fois… Puissante car à voir les deux femmes, on sent qu’elles sont sur la même longueur d’onde coquine et se laissent emporter par leur désir mais ce dernier est empreint de douceur et de volupté. Les mains font connaissance du corps de l’autre, courant des épaules et de la nuque, le long des flancs, sur la taille et enfin sur les globes fessiers… Pendant que Barbara et Diane se donnent du plaisir en caressant, léchant ou pénétrant la chatte de l’autre de plusieurs doigts, je continue à me masturber, entretenant doucement une belle bandaison ce qui est facile car le spectacle que donnent mes deux « amies » est des plus excitant. La demi pénombre qui règne dans le compartiment ne permet pas de tout observer mais je laisse galoper mon imagination… stimulée par les cris de plaisir que les deux belles laissent échapper de plus en plus distinctement jusqu’au moment où la jouissance les emporte simultanément.
Elles restent quelques instants enlacées tête-bêche puis elles se séparent, se lèvent et m’enlacent. Barbara prend mes lèvres et darde sa langue dans ma bouche pour me faire partager l’odeur de la jouissance de Diane qui de son côté, a remplacé ma main parles siennes autour de mon sexe qu’elle manie en douceur, allant jusqu’à enserrer mes bourses dans la paume d’une main. Waouh que c’est bon ! Quelle chance j’ai eu de voyager ce soir… et je crois que ce n’est pas terminé…Oui, j’ai raison… ce n’est pas fini… Diane se laisse couler le long de mon torse et vient placer seins opulents le long de ma bite et, pressant ses doux globes entre ses mains, elle ma gratifie d’une branlette espagnole qui achève de faire monter la sève…Barbara s’agenouille à son tour sur la moquette du compartiment et se penche sur le gland qui pointe entre les seins de Diane… Soudain, ce sont deux bouches voraces qui se disputent mon sexe, pendant que l’une gobe l’extrémité, l’autre parcourt la hampe et prends mes testicules en bouche… Quelle fellation ! Deux bouches chaudes et humides qui se disputent ainsi mais je ne peux plus me retenir :• Attention, je vais partir !
D’une seule voix, elles m’invitent à me lâcher et les deux femmes se placent devant moi, bouche largement ouverte pour que j’y épanche ma jouissance. Plusieurs traits vont se loger sur les langues qui n’attendent que cela puis, avant d’avaler mon sperme, Barbara et Diane s’embrassent à nouveau et se partagent le nectar que je leur ai servi.
Repus de plaisir, nous bavardons quelques minutes avant de sombrer dans un sommeil réparateur… Au petit matin Barbara nous quitte la première puis c’est à mon tour de descendre du train à Cannes alors que Diane poursuit son voyage jusqu’à Nice…Nous n’avons échangé ni adresse ni numéro de téléphone… C’est bien ainsi… Nous avons profité des circonstances pour une belle et bonne séance de sexe entre adultes consentants…
Barbara :Je marche le long du quai. Les autres passagers me bousculent pour mieux me dépasser, sans un mot d'excuse. C'est vrai que je n'avance pas très vite. A vouloir jouir de tout, on en oublie l'aspect irremplaçable d'une bonne nuit de sommeil et je me déplace avec la vélocité d'un zombie en phase de décomposition avancée. Aurais-je mieux fait de dormir ? Sûrement pas. Ce voyage est et restera à classer dans la catégorie "inoubliable". Cette nuit, j’ai fait deux rencontres aussi éphémères qu'exotiques : Diane la grande, sa peau laiteuse et ses gros seins lourds et le gentleman, avec son costume gris souris et son braquemard en acier trempé.
Je passe une main molle sur ma jupe, essayant une fois encore d'estomper les innombrables plis qui s'y sont formés. Une jupe hors de prix comme celle-ci, abandonnée dans un coin de la couchette comme un vulgaire torchon à deux euros ! Il fallait vraiment qu'elle n'ait plus toute sa tête. Avec ses vêtements déformés, ses cheveux en bataille et son maquillage vieux d'une nuit, j’ai le sentiment de ressembler à une sans abri à la recherche de sa première cigarette. Je soupire. Un moment de honte est vite passé. Je n’ai que quelques mètres à parcourir avant d'arriver jusqu'au parking où ma voiture m'attend.
Je croise le regard méprisant d'un adolescent boutonneux coiffé d'un casque mauve et retient de peu l'envie de lui faire la grimace, pensant en elle-même : « Si tu savais mon coco. »Je me racle la gorge et redresse péniblement les épaules. Mon corps pèse une tonne et dégage des effluves chargés de souvenirs. Quelle nuit ! C'est à se demander comment la plupart des couples peuvent se contenter d'un missionnaire hebdomadaire. Et comment vais-je raconter ça à Alexandre. Car il est hors de question de lui cacher la teneur de son périple. Tel qu'elle l'a découvert lors de ce weekend end « évasion » l'aveu contrit de son doux pêché va le faire bander comme un taureau camarguais. Ne reste qu'à acheter un nouveau billet de train et choisir le corsage le plus serré possible.
Je souris en pensant que je tiens peut-être là un nouveau concept à proposer aux tour-operator : Sexe en voyage !
Mais pour l'heure, mon fantasme est plus sanitaire : je rêve au bain bouillant dans lequel je vais me plonger chez moi ! Je me choisirai un bain moussant sur la petite étagère de verre, juste au dessus des robinets. Rose ou vanille ? Cannelle, peut-être. Elle avisera le moment venu. Je choisirai aussi un gommage doux et ôterai avec délectation ces odeurs honteuses laissées sur elle par ces délicieux inconnus. Je mettrai l'intégralité de mes vêtements dans le panier de linge sage… Je m’habillerai de blanc et pourrai profiter de mon temps libre pour lire un bon livre, ou juste dormir.
Dormir pour mieux recommencer, plus tard.
Mon téléphone sonne. Je fouille mon sac et en extirpe le boitier blanc. Juste à temps.
• Allo chéri ?
• Ma chérie, tu as fait bon voyage ?
• Extra mon amour.
• A ce point ?
• Ah oui.
FIN
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