Rencontre sur la plage.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre sur la plage.
Au cours de la seconde quinzaine du mois de juin de l’année de mon voyage à la Réunion, j’étais en vacances à Saint Raphaël sur la côte varoise. Ce séjour était en partie prévu pour passer des examens de plongée avec les membres du club auquel j’appartenais en région parisienne afin de pouvoir plonger des les eaux tropicales..
Les épreuves se sont déroulées au cours de la première semaine, j’étais seul et autonome pour terminer le séjour. Au cours des trajets en bateau pour rejoindre les zones de plongée, j’avais repéré une petite plage isolée sous la route de la corniche de l’Estérel.
J’y serais tranquille pour me reposer sans être dérangé par la foule des grandes plages et aussi bronzer nu dans un coin discret. Elles commençaient à sérieusement se remplir en début de mois de juin. Les premiers estivants avaient déjà pris leurs quartiers dans les campings et autres séjours saisonniers.
Le lundi matin alors que le soleil était déjà haut, j’ai pris la route de la corniche en direction de Cannes. Grâce aux repères pris depuis la mer, lorsque j’ai estimé que je devais être au bon endroit pour descendre vers la plage, j’ai garé ma voiture du mieux que j’ai pu faute d’aménagement. Une natte de plage pour m’allonger sur le sable, une grande serviette de bain, un bon bouquin, quelques fruits et de la boisson, c’est presque tout ce que j’avais dans mon sac de randonnée. A cet endroit, la route surplombe la mer d’une dizaine de mètres et c’est avec passablement de difficultés que je suis arrivé sur la plage, en fait une simple bande de sable au fond d’une sorte de calanque étroite.
Il y a avait déjà un couple qui bronzait entièrement nu entre deux rochers. Ils me firent un signe amical pendant que je m’installais quelques pas plus loin. Je n’étais qu’à moitié surpris de les trouver là car il y avait une voiture garée sur le bas côté de la route à une centaine de mètres. Adepte moi aussi du nudisme, j’ai également ôté mon slip de bain.
La journée s’est déroulée entre des plongeons dans l’eau limpide, des séances de bronzage et bavardages divers. C’était un couple de la région qui depuis longtemps avait ses habitudes sur cette plage. Francis était commerçant à Fréjus. Agé de 45 ans, c’était un bel homme à la peau mate et aux cheveux ondulés mi longs. Carole était professeur de sports dans un lycée de Fréjus et en raison des épreuves du bac, elle était libre de son temps. A 37 ans, c’était une très belle femme. Grande fille aux cheveux blonds, avec une paire de seins magnifiques, ronds et fermes, une taille mince s’évasant sur des hanches généreuses. De longues jambes fuselées et légèrement musclées complétaient cette magnifique silhouette. Nous nous sommes séparés en fin de journée.
Le lendemain, je suis retourné sur cette plage et là, surprise, Carole était seule. Son compagnon me dit-elle était à sa boutique. Nus tous les deux, nous avons passé la journée comme la veille, alternant les passages dans l’eau et le farniente sur le sable à bavarder. La dernière fois où nous sommes allés dans l’eau, nous avons joué ensemble une sorte de danse de séduction faite de mouvements enveloppants, de frôlements sous l’eau, de projections d’éclaboussures. C’était très érotique. Lorsque nous sommes sortis de l’eau, j’avais bien du mal à dissimuler une belle érection, signe de mon désir pour Carole qui, voyant mon état me dit en éclatant de rire :• Alors coquin, on a envie de me baiser ?
• Pourquoi dire NON puisque c’est vrai… Dès que je t’ai vue, j’ai eu envie de toi !
Se collant contre mon corps, nos lèvres se sont unies dans une série de baisers fougueux et nous nous sommes écroulés enlacés, à moitié dans l’eau. Carole a écarté ses jambes et d’une seule poussée j’ai introduit ma queue dans sa chatte brûlante et humide de désir. Je voulais profiter au maximum de cette étreinte et c’est sans nous précipiter que nous avons accordé nos mouvements. Des vaguelettes venaient nous lécher les jambes jusqu’au bassin. C’était bon de baiser dans l’eau comme nous le faisions. Sans nous désunir, nous roulions l’un sur l’autre. Quand Carole était sur moi, elle relevait son buste et je voyais danser devant moi ses jolis seins. Je ne résistais pas à l’envie de les caresser, de titiller les bouts de ma langue en les aspirant pour le faire sortir encore plus et les mordiller.
Le sel de la mer donnait encore plus de saveur à nos baisers. J’étais en elle depuis de longues minutes sans débander tellement sa gaine intime était chaude. Elle ondulait du bassin, elle avait envie de jouir. J’ai repris mes mouvements de va-et-vient et notre jouissance arriva bientôt, violente et dévastatrice. Je me suis écroulé sur Carole qui était tout aussi essoufflée que moi. Notre étreinte avait été tellement spontanée que nous n’avions pas pris le temps de nous protéger…Au bout de quelques minutes, nous sommes retournés dans l’eau où nous avons continué de nous enlacer et d’échanger des baisers fous. De retour à nos nattes respectives, nous les avons rapprochées. Nous nous sommes allongés, enlacés à nouveau. La torpeur de la journée au soleil et de cette baise humide nous a conduits à une brève sieste (ce n’était plus l’heure).
Vers 19 heures Carole me dit :• Je dois te quitter mais je reviens demain.
Jusqu’au vendredi nous avons fait l’amour tous les jours plusieurs fois et cette semaine qui devait être du repos, ne l’a guère été. Mais je ne m’en plains pas, alors que je n’envisageais même pas de me livrer au naturisme, j’ai passé cette semaine dans la nudité intégrale… sans être dérangé par qui que ce soit !
Les épreuves se sont déroulées au cours de la première semaine, j’étais seul et autonome pour terminer le séjour. Au cours des trajets en bateau pour rejoindre les zones de plongée, j’avais repéré une petite plage isolée sous la route de la corniche de l’Estérel.
J’y serais tranquille pour me reposer sans être dérangé par la foule des grandes plages et aussi bronzer nu dans un coin discret. Elles commençaient à sérieusement se remplir en début de mois de juin. Les premiers estivants avaient déjà pris leurs quartiers dans les campings et autres séjours saisonniers.
Le lundi matin alors que le soleil était déjà haut, j’ai pris la route de la corniche en direction de Cannes. Grâce aux repères pris depuis la mer, lorsque j’ai estimé que je devais être au bon endroit pour descendre vers la plage, j’ai garé ma voiture du mieux que j’ai pu faute d’aménagement. Une natte de plage pour m’allonger sur le sable, une grande serviette de bain, un bon bouquin, quelques fruits et de la boisson, c’est presque tout ce que j’avais dans mon sac de randonnée. A cet endroit, la route surplombe la mer d’une dizaine de mètres et c’est avec passablement de difficultés que je suis arrivé sur la plage, en fait une simple bande de sable au fond d’une sorte de calanque étroite.
Il y a avait déjà un couple qui bronzait entièrement nu entre deux rochers. Ils me firent un signe amical pendant que je m’installais quelques pas plus loin. Je n’étais qu’à moitié surpris de les trouver là car il y avait une voiture garée sur le bas côté de la route à une centaine de mètres. Adepte moi aussi du nudisme, j’ai également ôté mon slip de bain.
La journée s’est déroulée entre des plongeons dans l’eau limpide, des séances de bronzage et bavardages divers. C’était un couple de la région qui depuis longtemps avait ses habitudes sur cette plage. Francis était commerçant à Fréjus. Agé de 45 ans, c’était un bel homme à la peau mate et aux cheveux ondulés mi longs. Carole était professeur de sports dans un lycée de Fréjus et en raison des épreuves du bac, elle était libre de son temps. A 37 ans, c’était une très belle femme. Grande fille aux cheveux blonds, avec une paire de seins magnifiques, ronds et fermes, une taille mince s’évasant sur des hanches généreuses. De longues jambes fuselées et légèrement musclées complétaient cette magnifique silhouette. Nous nous sommes séparés en fin de journée.
Le lendemain, je suis retourné sur cette plage et là, surprise, Carole était seule. Son compagnon me dit-elle était à sa boutique. Nus tous les deux, nous avons passé la journée comme la veille, alternant les passages dans l’eau et le farniente sur le sable à bavarder. La dernière fois où nous sommes allés dans l’eau, nous avons joué ensemble une sorte de danse de séduction faite de mouvements enveloppants, de frôlements sous l’eau, de projections d’éclaboussures. C’était très érotique. Lorsque nous sommes sortis de l’eau, j’avais bien du mal à dissimuler une belle érection, signe de mon désir pour Carole qui, voyant mon état me dit en éclatant de rire :• Alors coquin, on a envie de me baiser ?
• Pourquoi dire NON puisque c’est vrai… Dès que je t’ai vue, j’ai eu envie de toi !
Se collant contre mon corps, nos lèvres se sont unies dans une série de baisers fougueux et nous nous sommes écroulés enlacés, à moitié dans l’eau. Carole a écarté ses jambes et d’une seule poussée j’ai introduit ma queue dans sa chatte brûlante et humide de désir. Je voulais profiter au maximum de cette étreinte et c’est sans nous précipiter que nous avons accordé nos mouvements. Des vaguelettes venaient nous lécher les jambes jusqu’au bassin. C’était bon de baiser dans l’eau comme nous le faisions. Sans nous désunir, nous roulions l’un sur l’autre. Quand Carole était sur moi, elle relevait son buste et je voyais danser devant moi ses jolis seins. Je ne résistais pas à l’envie de les caresser, de titiller les bouts de ma langue en les aspirant pour le faire sortir encore plus et les mordiller.
Le sel de la mer donnait encore plus de saveur à nos baisers. J’étais en elle depuis de longues minutes sans débander tellement sa gaine intime était chaude. Elle ondulait du bassin, elle avait envie de jouir. J’ai repris mes mouvements de va-et-vient et notre jouissance arriva bientôt, violente et dévastatrice. Je me suis écroulé sur Carole qui était tout aussi essoufflée que moi. Notre étreinte avait été tellement spontanée que nous n’avions pas pris le temps de nous protéger…Au bout de quelques minutes, nous sommes retournés dans l’eau où nous avons continué de nous enlacer et d’échanger des baisers fous. De retour à nos nattes respectives, nous les avons rapprochées. Nous nous sommes allongés, enlacés à nouveau. La torpeur de la journée au soleil et de cette baise humide nous a conduits à une brève sieste (ce n’était plus l’heure).
Vers 19 heures Carole me dit :• Je dois te quitter mais je reviens demain.
Jusqu’au vendredi nous avons fait l’amour tous les jours plusieurs fois et cette semaine qui devait être du repos, ne l’a guère été. Mais je ne m’en plains pas, alors que je n’envisageais même pas de me livrer au naturisme, j’ai passé cette semaine dans la nudité intégrale… sans être dérangé par qui que ce soit !
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