Rencontre sur les Champs. - histoire érotique

Les congés et les vacances étaient terminés et nous avions repris le travail depuis quelques semaines…
J’attendais mon pote André à la terrasse d’un bistrot situé en haut des Champs Elysées pour y diner lorsque je l’ai vue arriver et s’installer à une table voisine.

Comme d’habitude, je regardais les femmes qui passaient devant moi sur le vaste trottoir et mon regard a été attiré par sa silhouette ondoyante…
Elle marchait comme les mannequins qui présentent les dernières créations des couturiers… Il est vrai aussi, que la hauteur de ses talons ne devait pas faciliter les choses… mais elle semblait allonger encore plus ses longues jambes fines et racées qui se perdaient sous une jupe étroite arrivant sous le genou. Au mois de septembre, elle portait des bas à couture et tout de suite j’imaginai comment ils tenaient : Des bas auto-fixant, des jarretelles, un collant ?
En haut, elle portait une veste assortie à sa jupe, amplement décolletée si bien que la fente entre les seins était visible lorsqu’elle se penchait un peu…
Elle avait de longs cheveux blonds décolorés qui encadraient un visage aux traits un peu anguleux mais éclairés par une bouche aux lèvres ourlées et légèrement fardées, cils et sourcils étaient châtain foncé. Je lui donnais environ 30 ans…

Bien qu’avec Hervé, nous soyons bisexuels, j’appréciais le spectacle de cette fille que je trouvais canon et je ne manquai pas d’attirer son attention sur notre voisine quand il est arrivé…
• Ouais… effectivement elle est pas mal !
• Je te serais volontiers infidèle avec elle ce soir !
• Mais pourquoi ne pas se la partager ??? Elle me semble assez gourmande pour nous satisfaire tous les deux !
• On verra… Pour le moment, elle semble attendre quelqu’un qui lui fait faux bond ! çà fait plus de 45 minutes qu’elle attend et elle a déjà passé plusieurs coups de fil !
• OK… on lui donne encore une demi-heure et ensuite, on l’invite à notre table.

Nous buvons nos apéritifs puis comme du côté de la fille il n’y a pas de changement, nous l’invitons à partager notre table pour le diner.
Elle accepte et s’installe en face de moi à côté d’André…
Le repas se passe plutôt bien et nous bavardons bientôt comme des amis de longue date…
Elle est d’origine sud américaine et fait partie d’une troupe de théâtre qui se produit sur une péniche amarrée sur la Seine… Ce soir, c’est relâche mais son amie a eu un empêchement de dernière minute et elle n’a pu la rejoindre…

Quand nous terminons le repas que nous avons fait durer, j’avoue que tous les trois, nous sommes bien chaud car nous avons un peu abusé des boissons : deux whisky en entrée et deux bouteilles de rosé et la présence de cette fille a nos côtés, cela nous fait fantasmer un peu…

Et si on l’invitait dans une chambre d’hôtel ?
Je pense qu’elle est à point pour tomber dans nos filets…
Moins de quinze minutes plus tard, nous nous engouffrons tous les trois dans un taxi qui nous emporte vers un hôtel de la rue du Maine où nous pourrons entrer facilement en utilisant la carte bancaire…

Arrivés dans la chambre, nous nous embrassons tous les trois, André lui roule un patin et se tourne vers moi et en fait autant… J’aime assez l’odeur du tabac dans sa bouche… qui se mêle à celui de notre nouvelle amie !
• Oh les mecs… vous êtes à voile et à vapeur ? Vous m’avez levée et emmenée à l’hôtel et vous vous galochez ?
• Oui… Pourquoi pas… Une fille ou un mec, pour nous c’est pareil !
Nous sommes surpris que notre compagne étrangère s’exprime aussi bien en français mais ce qui nous intéresse, c’est ELLE !
• Mais je pense que deux mecs, çà ne te fais pas peur ?
• Oh NON ! Au contraire, je pense que çà va être le pied !
Et je répondis :
• On va voir !
Là-dessus, nous commençons à nous déshabiller mutuellement tout en continuant à nous embrasser, passant de la bouche de l’une à la bouche de l’autre.
La température monte au fur et à mesure que les vêtements tombent…
Bientôt André et moi nous ne portons plus que nos boxers sous lesquels nos sexes font une bosse proéminente quant à Rachel, nous lui avions enlevé sa veste et son soutien gorge de dentelle noire pour faire apparaître une jolie paire de seins, ronds et bien formés mais à la fermeté suspecte : Ils n’étaient pas naturels !
• Oh… Oui… Je me suis fait gonfler la poitrine ! Mais ils sont très sensibles.
André et moi, nous sommes allongés sur le lit et Rachel est entre nos jambes… Elle enlève nos boxers et commence à masturber nos sexes qui se dressent fièrement… Cette fille nous fait très envie depuis le début de la soirée et je pense déjà que la nuit va être torride !
Elle remonte largement sa jupe sur ses cuisses et j’ai la réponse à ma question : elle porte ses bas avec un porte-jarretelles !
Et sa bouche pulpeuse plonge sur ma bite pour l’engloutir presque à moitié pendant que sa main droite va et vent sur le sexe d’André ! Puis c’est l’inverse, elle suce mon copain pendant qu’elle me branle…
Après quelques temps, elle se redresse et enfin nous pouvons la débarrasser de sa jupe qui lui entravait les jambes et nous découvrons un magnifique serre-taille qui maintien les bas et un tanga assorti en dentelle noire…
Rachel est vraiment bandante et je le lui dis…
• Oh… t’es gentil… à ton tour de me faire plaisir !
• Tu veux un cunni ?
• Non… que tu me suces !
C’est la surprise quand elle fait glisser son tanga le long de ses cuisses et de ses jambes… Au lieu d’une chatte humide, nous découvrons un sexe d’homme à moitié bandé !
Waouh… je sens que nous allons bien nous amuser…
Je me penche aussitôt sur ce membre et je l’engloutis au plus profond de ma bouche… Comme il n’est pas encore très volumineux, une gorge profonde n’est pas un problème… le gland calé contre le fond de mon palais, je gonfle et dégonfle mes joues et peu à peu, je sens la bite de Rachel gonfler dans ma bouche.
Pendant ce temps là, André passe derrière moi et je sens ses mains sur mon « service trois pièces » et son souffle dans ma raie… Bien évidemment la bandaison perdure et je ne tarde pas à sentir la langue pointue de mon copain se vriller dans mon fondement… Humm… que c’est bon !
Soudain André s’adresse à Rachel :
• Vas-y, son cul est prêt ! il t’attend !
• OK… mais tu ne perds rien pour attendre !
• Toi non plus d’ailleurs…
Je sais immédiatement quelle est la pose à prendre…
Je me mets en levrette et je n’attends pas longtemps… Rachel a couvert sa bite et je sens son gland ouvrir ma rondelle qui cède rapidement et mon sphincter est envahi par une poussée constante qui amène le pubis de Rachel contre mes fesses.
• Vas-y… défonce moi le cul !
• Mais c’est ce que je vais faire… après, c’est le mien que vous allez défoncer ou je me trompe ?
Rachel entreprend le va-et-vient dans mon cul et je la sens bien… J’ai pris des queues plus volumineuses mais celle-là me fait du bien…
Je bande aussi au point que ma bite est douloureuse…
André a-t’il deviné ? Il passe sous moi et s’empare de mon sexe pour le masturber sans aller jusqu’au bout de la caresse… mais je sens les giclées du sexe de Rachel au fond du mien et je jouis du cul à mon tour…

Quelques temps plus tard… André et moi, nous n’avons pas encore déchargé… et Rachel nous offre la vue de ses fesses en levrette et son sexe mâle qui bat entre ses cuisses.
C’est d’un érotisme torride… et quand André s’approche de ses fesses, je l’aide à les écarter… le sphincter de Rachel est déjà ouvert et André n’a aucune difficulté à y entrer…
Quant au cul d’André, il s’offre à ma vue et je repense que çà fait plusieurs mois que je ne l’ai pas honoré…
L’occasion est trop bonne… d’ailleurs, lorsque nous nous sommes fixés rendez-vous, c’était bien pour nous payer une bonne séquence homosexuelle… me faire sodomiser et ensuite m’offrir les fesses d’André !
Je m’approche et dans une posture un peu acrobatique, je m’enfonce entre les fesses de mon copain…
Nous coordonnons nos mouvements et quand je me recule, il sort à moitié du cul de Rachel et quand je pousse à nouveau, il suit le mouvement et rentre au plus profond de Rachel…
C’est tellement excitant que nous ne tardons pas à jouir… Au moment où dans un grand râle il jette son jus dans le cul de Rachel, j’en fais autant dans le sien !

Puis nous basculons sur le côté en nous désunissant, nos corps emboités comme des cuillers !

Nos ébats reprennent de plus belle quelques temps plus tard et lorsque nous nous réveillons au petit matin, nous découvrons tous les trois que nous bandons à moitié…
C’est l’occasion de nous sucer en triangle, passant d’une bite à l’autre jusqu’à une nouvelle éjaculation sur la poitrine de Rachel.