Repas troublant entre hommes.
Récit érotique écrit par Jackie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Repas troublant entre hommes.
Je m'appelle jackie, j'ai 50 ans, j'adore me travestir.
Depuis plusieurs mois je revais de séduire alain mon beau frère. Celui-ci travaille dans chez un voyagiste et effectue souvent des déplacements.
depuis quelques temps en sa présence je porte souvent de la soie et il m'avais semblé que cela le troublait.
Le mois dernier il me propose de partir quelques jours avec lui afin de tester quelques auberges du centre de la France.
Le premier soir il est descendu de sa chambre nous retenir une table pour 2. Seul dans ma chambre j'hesite sur ma tenue et puis...zut personne ne nous connait.
Je choisis un fin chemisier de soie blanc transparent un large pantalon de satin noir des petits talons noirs. Un tres leger maquillage et après un long moment d'hesitation je le rejoints.
Dans la salle tres peu de monde, Alain est installé a une table un peu à l'écart consulte le menu. Quand il léve la tête il semble surpris.
Je m'assieds face à lui et lui demande s'il a trouvé qq chose de bon.
Heu... Heu oui d'ailleur j'ai passé commande.
Le repas se passe bien et Alain remis de sa surprise devient charmeur. Son regard plonge souvent dans le decoleté du fin chemisier afin de deviner ce que qui se cache sous ce bout de dentelle noire.
L'ambiance, la douceur du vin fait qu'un moment sa main sur la table frole la mienne...qui ne se derobe pas. Avant le dessert nos doigts se frolent se quittent se cherchent.
Ni Alain ni moi n'osons quitter la table afin de ne pas rompre ces instants troublants.
La serveuse vient à notre secours nous signalant que sous l'auberge se trouve un petit salon ou l'on danse.
Alain accepte et sans attendre me guide vers ce lieu. Dans le couloir sombre se trouvant derriere moi, il pose sa main sur mes reins ses doigts caressant la soie du fin chemisier.
Je m'arrete pour goutter ce moment ennivrant. Ses lèvres frolent mon oreille.
- jackie il y a longtemps que tu t'habille ainsi?
- Oui assez.
Je ferme les yeux mon coeur s'emballe quans sa bouche effleure ma nuque.
Il se colle à mon dos ses doigts flattent mes petits seins releves par le balconnet de dentelle. je recule légèrement afin de le sentir contre moi. Il me guide vers un petit salon aux douces lumières. Des couples enlassés danse un slow.
Nous allons vers une table, il semble hésiter , se lève et m'invite à danser.
Mes mains tremblantes se posent sur ses épaules, les siennes sur mes hanches. Nos bassins se frolent, sa cuisse se glisse entre les miennes.
Le slow arrète Alain me guide vers la table.
Le patron vient vers nous un peu géné nous signalent qu'il ne souhaite que des hommes dansent ensemble chez lui. Je sents la colère monter chez Alain, je l'arrète.
Attend moi un moment lui murmurais-je, je reviens.
Je rejoints ma chambre remplace le pantalon par une courte jupe noire fluide et glisse dans mon Sg mes petits seins siliconés.Je me maquille et ondulante sur des talons le rejoints.
Un tendre sourire éclaire ses levres et cette fois c'est moi qui l'invite pour un slow envoutant.
Ses lèvres effleurent les miennes, à nouveau nos bassins se lovent. Je devine très vite cette chose dure et suis ravie de son état.
Tout en dansant Alain me guide vers un coin trés sombre du salon. Ses doigts glissent vers ma croupe , suivent le sillon moulé dans la fine jupe. Son doigt glisse va et vient puis appui sur cette rosette cachée. Mon bassin ondule contre son sexe au abois.
Un doigt glisse sous la courte jupe, suis une jarretiere et se pose sur la fine culotte ou très vite il découvre la fente au travers de la dentelle.
Le doigt ondule fouille et se pose devant cette grotte qu'il découvre humide et mouillée.
- Humm Jackie tu es préssée mon amoure.
- Oui Alain j'ai trop envie de toi.Viens dans ma chambre.
A peine la porte close il se love à mes reins ses levres se posent sur ma nuque, mes reins cherchent son bassin.
Très vite il se denude et reprend sa place. Je pose mes mains sur le bord du lit, ses doigts remontent ma courte jupe.
Son sexe tendu glisse le long de mes cuisses, ma main le prend et le pose devant mon puit d'amour.
Ses mains palpent mes seins. Mes reins ondulent, reculent et laisse entrer en moi cette chose brulante.
La longue préparation des jours derniers fait qu'il est tres vite au fond de moi. Son bassin va et vient puis le rytme accélère. Tous les deux nous avons trop envie de sentir ce désir retenu.
Alain se coule sur mon dos et dans un long rale inonde ma petite chatte en feu. Cela semble sans fin, puis nos corps enlacés glissent sur les draps.
Un long moment est necessaire pour retrouver nos esprits.
il se leve va à la salle d'eau. En revenant il me découvre en long déshabillé de soie noire transparent dessus une guepière de dentelles noire tenant des bas résilles de même couleur.
Il reste figé, son sexe lui aussi semble apprécier. lentement il retrouve une taille sympatique.
Je lui offre mes bras, il s'y glisse. Mes doigts caressent ce sexe sentant le propre cela me comble.
Mes levres enervent ses mamelons puis glissent vers son bassin qui se herisse doucement.
Ma bouche effleure ce fruit tendu, ma langue frole le gland que je sents vibrer.
Son sexe glisse dans ma bouche affolé par mes levres et ma langue. Mon doigt s'égare et passe sous ses cuisses. Il cherche sa proie la trouve. Au tressaillement de son sexe je sais qu'il aime ces frolements. Mes joues se creusent et aspirent son sexe.
Les ralements d'Alain me rassurent sur mes sévices.
Je le sents très vite au porte du plaisir. Mes doigts libres aident mes levres. L'autre se glisse dans sa petite caverne vierge.
Alain pousse un tendre rale et ma bouche se remplie de sa liqueur tiède salée.
Je le garde longtemps en moi le bois le vide le lave. C'est enlacés tendrement que le sommeil nous prend.
Depuis plusieurs mois je revais de séduire alain mon beau frère. Celui-ci travaille dans chez un voyagiste et effectue souvent des déplacements.
depuis quelques temps en sa présence je porte souvent de la soie et il m'avais semblé que cela le troublait.
Le mois dernier il me propose de partir quelques jours avec lui afin de tester quelques auberges du centre de la France.
Le premier soir il est descendu de sa chambre nous retenir une table pour 2. Seul dans ma chambre j'hesite sur ma tenue et puis...zut personne ne nous connait.
Je choisis un fin chemisier de soie blanc transparent un large pantalon de satin noir des petits talons noirs. Un tres leger maquillage et après un long moment d'hesitation je le rejoints.
Dans la salle tres peu de monde, Alain est installé a une table un peu à l'écart consulte le menu. Quand il léve la tête il semble surpris.
Je m'assieds face à lui et lui demande s'il a trouvé qq chose de bon.
Heu... Heu oui d'ailleur j'ai passé commande.
Le repas se passe bien et Alain remis de sa surprise devient charmeur. Son regard plonge souvent dans le decoleté du fin chemisier afin de deviner ce que qui se cache sous ce bout de dentelle noire.
L'ambiance, la douceur du vin fait qu'un moment sa main sur la table frole la mienne...qui ne se derobe pas. Avant le dessert nos doigts se frolent se quittent se cherchent.
Ni Alain ni moi n'osons quitter la table afin de ne pas rompre ces instants troublants.
La serveuse vient à notre secours nous signalant que sous l'auberge se trouve un petit salon ou l'on danse.
Alain accepte et sans attendre me guide vers ce lieu. Dans le couloir sombre se trouvant derriere moi, il pose sa main sur mes reins ses doigts caressant la soie du fin chemisier.
Je m'arrete pour goutter ce moment ennivrant. Ses lèvres frolent mon oreille.
- jackie il y a longtemps que tu t'habille ainsi?
- Oui assez.
Je ferme les yeux mon coeur s'emballe quans sa bouche effleure ma nuque.
Il se colle à mon dos ses doigts flattent mes petits seins releves par le balconnet de dentelle. je recule légèrement afin de le sentir contre moi. Il me guide vers un petit salon aux douces lumières. Des couples enlassés danse un slow.
Nous allons vers une table, il semble hésiter , se lève et m'invite à danser.
Mes mains tremblantes se posent sur ses épaules, les siennes sur mes hanches. Nos bassins se frolent, sa cuisse se glisse entre les miennes.
Le slow arrète Alain me guide vers la table.
Le patron vient vers nous un peu géné nous signalent qu'il ne souhaite que des hommes dansent ensemble chez lui. Je sents la colère monter chez Alain, je l'arrète.
Attend moi un moment lui murmurais-je, je reviens.
Je rejoints ma chambre remplace le pantalon par une courte jupe noire fluide et glisse dans mon Sg mes petits seins siliconés.Je me maquille et ondulante sur des talons le rejoints.
Un tendre sourire éclaire ses levres et cette fois c'est moi qui l'invite pour un slow envoutant.
Ses lèvres effleurent les miennes, à nouveau nos bassins se lovent. Je devine très vite cette chose dure et suis ravie de son état.
Tout en dansant Alain me guide vers un coin trés sombre du salon. Ses doigts glissent vers ma croupe , suivent le sillon moulé dans la fine jupe. Son doigt glisse va et vient puis appui sur cette rosette cachée. Mon bassin ondule contre son sexe au abois.
Un doigt glisse sous la courte jupe, suis une jarretiere et se pose sur la fine culotte ou très vite il découvre la fente au travers de la dentelle.
Le doigt ondule fouille et se pose devant cette grotte qu'il découvre humide et mouillée.
- Humm Jackie tu es préssée mon amoure.
- Oui Alain j'ai trop envie de toi.Viens dans ma chambre.
A peine la porte close il se love à mes reins ses levres se posent sur ma nuque, mes reins cherchent son bassin.
Très vite il se denude et reprend sa place. Je pose mes mains sur le bord du lit, ses doigts remontent ma courte jupe.
Son sexe tendu glisse le long de mes cuisses, ma main le prend et le pose devant mon puit d'amour.
Ses mains palpent mes seins. Mes reins ondulent, reculent et laisse entrer en moi cette chose brulante.
La longue préparation des jours derniers fait qu'il est tres vite au fond de moi. Son bassin va et vient puis le rytme accélère. Tous les deux nous avons trop envie de sentir ce désir retenu.
Alain se coule sur mon dos et dans un long rale inonde ma petite chatte en feu. Cela semble sans fin, puis nos corps enlacés glissent sur les draps.
Un long moment est necessaire pour retrouver nos esprits.
il se leve va à la salle d'eau. En revenant il me découvre en long déshabillé de soie noire transparent dessus une guepière de dentelles noire tenant des bas résilles de même couleur.
Il reste figé, son sexe lui aussi semble apprécier. lentement il retrouve une taille sympatique.
Je lui offre mes bras, il s'y glisse. Mes doigts caressent ce sexe sentant le propre cela me comble.
Mes levres enervent ses mamelons puis glissent vers son bassin qui se herisse doucement.
Ma bouche effleure ce fruit tendu, ma langue frole le gland que je sents vibrer.
Son sexe glisse dans ma bouche affolé par mes levres et ma langue. Mon doigt s'égare et passe sous ses cuisses. Il cherche sa proie la trouve. Au tressaillement de son sexe je sais qu'il aime ces frolements. Mes joues se creusent et aspirent son sexe.
Les ralements d'Alain me rassurent sur mes sévices.
Je le sents très vite au porte du plaisir. Mes doigts libres aident mes levres. L'autre se glisse dans sa petite caverne vierge.
Alain pousse un tendre rale et ma bouche se remplie de sa liqueur tiède salée.
Je le garde longtemps en moi le bois le vide le lave. C'est enlacés tendrement que le sommeil nous prend.
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