RETOUR DE SKI
Récit érotique écrit par Jackie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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RETOUR DE SKI
Nous partons une semaine au ski avec un couple d'ami de ma sœur. Les premiers jours se passent très bien, je trouve Alain très sympa et même attirant.
Un soir ma soeur et sa femme nous ont emmenés au restaurant, j'avais fait un effort sur ma tenue. Fuseau blanc pull angora bleu clair. Pendant le repas je me trouvais sur la même banquette qu'Alain nos compagnes se trouvaient face à nous.
Un moment la cuisse d'Alain frôle la mienne, je le regarde avec un tendre sourire. Comme je ne retire pas la mienne il insiste.
En face les femmes passent une soirée sympa, je pense que le vin de Savoie en est responsable.
Ma main se pose sur la cuisse d'Alain, la caresse et doucement remonte. Elle arrive à cette bosse que je devine dure.
Lentement je le caresse, sa femme le trouve un peu bizarre. Il met cela sur le compte de la fatigue.
Le repas se termine nous rentrons au chalet où chacun entre dans sa chambre.
Je n'arrive pas à dormir repense au repas. Je me lève, mets un long déshabillé rose transparent sur ma nuisette puis me lève.
Je suis devant la porte du couple, hésite.
Tu es fou me dis-je. Sans bruit, je m'approche du lit. Comme il ne ferme pas les rideaux, je les découvre étendus. Alain est de mon coté torse nu juste recouvert du drap.
Je m'approche sans bruit, m'agenouille prés de lui. Ma main glisse sous le drap, là non plus pas de vêtement. Mes doigts relèvent doucement le tissu et se posent sur le sexe. Lentement je le caresse, le fait se tendre doucement. Mes doigts vont et viennent, flattent cette chose dont je rêve tant.
Ma bouche s'approche puis se pose sur le gland, ma langue excite cette chose frémissante maintenant.
Alain se réveille en sursaut, je pose ma main sur sa bouche pour étouffer sa voix.
Sylvie bouge et lui tourne le dos, Alain se rend compte que ce n'est pas elle qui le suce...
Il passe sa main dans mes cheveux semble rassuré. Ma bouche dévore son sexe dur tendu. Alain mordille mes doigts les sucent. Il appuie sur ma nuque m'indiquant qu'il ne peu plus se retenir.
Son sexe en feu explose inondant ma bouche de sa douce liqueur.
Je le suce entièrement puis après un rapide baiser lui souhaite de beaux rêves.
Je descends au salon baigné par la nuit éclairé par la lune. Debout devant la baie vitrée, je repense à ces instants sublimes. Alain entre dans la pièce, par transparence mon corps nu se dévoile sous la soie. Quand deux mains se posent sur mes hanches je sais que c'est lui. Je recule me colle à son ventre. Humm il est à nouveau dur comme j'aime. Son bassin ondule contre ma croupe. Ses doigts remontent le fin déshabillé, son sexe passe sous la nuisette trop courte.
Un doigt mouillé glisse dans mon antre serré qui s'écarte et cède à ce doigt coquin.
Il va et vient, prépare le chemin pour notre plaisir.
Je me sens prêt, pose mes mains sur le bord du fauteuil et lui offre mon écrin.
Il pousse et mon anneau s'ouvre ouvrant le chemin du plaisir.
Lentement au début il glisse en moi puis ses reins accélèrent. Son corps se soude au mien, ses mains empaument mes petits seins dressés sous la soie. Sa respiration s'affole et violement il se couche sur mon dos. Mon puit d'amour se gave de ce nectar.
Ensemble nous glissons au sol repus de désir.
Un soir ma soeur et sa femme nous ont emmenés au restaurant, j'avais fait un effort sur ma tenue. Fuseau blanc pull angora bleu clair. Pendant le repas je me trouvais sur la même banquette qu'Alain nos compagnes se trouvaient face à nous.
Un moment la cuisse d'Alain frôle la mienne, je le regarde avec un tendre sourire. Comme je ne retire pas la mienne il insiste.
En face les femmes passent une soirée sympa, je pense que le vin de Savoie en est responsable.
Ma main se pose sur la cuisse d'Alain, la caresse et doucement remonte. Elle arrive à cette bosse que je devine dure.
Lentement je le caresse, sa femme le trouve un peu bizarre. Il met cela sur le compte de la fatigue.
Le repas se termine nous rentrons au chalet où chacun entre dans sa chambre.
Je n'arrive pas à dormir repense au repas. Je me lève, mets un long déshabillé rose transparent sur ma nuisette puis me lève.
Je suis devant la porte du couple, hésite.
Tu es fou me dis-je. Sans bruit, je m'approche du lit. Comme il ne ferme pas les rideaux, je les découvre étendus. Alain est de mon coté torse nu juste recouvert du drap.
Je m'approche sans bruit, m'agenouille prés de lui. Ma main glisse sous le drap, là non plus pas de vêtement. Mes doigts relèvent doucement le tissu et se posent sur le sexe. Lentement je le caresse, le fait se tendre doucement. Mes doigts vont et viennent, flattent cette chose dont je rêve tant.
Ma bouche s'approche puis se pose sur le gland, ma langue excite cette chose frémissante maintenant.
Alain se réveille en sursaut, je pose ma main sur sa bouche pour étouffer sa voix.
Sylvie bouge et lui tourne le dos, Alain se rend compte que ce n'est pas elle qui le suce...
Il passe sa main dans mes cheveux semble rassuré. Ma bouche dévore son sexe dur tendu. Alain mordille mes doigts les sucent. Il appuie sur ma nuque m'indiquant qu'il ne peu plus se retenir.
Son sexe en feu explose inondant ma bouche de sa douce liqueur.
Je le suce entièrement puis après un rapide baiser lui souhaite de beaux rêves.
Je descends au salon baigné par la nuit éclairé par la lune. Debout devant la baie vitrée, je repense à ces instants sublimes. Alain entre dans la pièce, par transparence mon corps nu se dévoile sous la soie. Quand deux mains se posent sur mes hanches je sais que c'est lui. Je recule me colle à son ventre. Humm il est à nouveau dur comme j'aime. Son bassin ondule contre ma croupe. Ses doigts remontent le fin déshabillé, son sexe passe sous la nuisette trop courte.
Un doigt mouillé glisse dans mon antre serré qui s'écarte et cède à ce doigt coquin.
Il va et vient, prépare le chemin pour notre plaisir.
Je me sens prêt, pose mes mains sur le bord du fauteuil et lui offre mon écrin.
Il pousse et mon anneau s'ouvre ouvrant le chemin du plaisir.
Lentement au début il glisse en moi puis ses reins accélèrent. Son corps se soude au mien, ses mains empaument mes petits seins dressés sous la soie. Sa respiration s'affole et violement il se couche sur mon dos. Mon puit d'amour se gave de ce nectar.
Ensemble nous glissons au sol repus de désir.
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