Réunion d'entreprise ....
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Réunion d'entreprise ....
Je sais d’avance que je vais passer une soirée de merde en accompagnant mon mari a une réunion de travail où les conjoints sont fortement ‘invités’ à assister
Je ne connais personne dans cette foule d’une trentaine de personne, seule récompense un buffet bien garni et un bar où le champagne est à discrétion, à condition de se servir soi-même
après avoir été présentée et serré des dizaines de mains accompagnées de congratulations toutes faites aussi niaises qu’hypocrites, sans parler des regards avides sur les femmes, de vieux mâles qui devraient être à la retraite, je me retrouve volontairement seule derrière les invités qui bavent devant une estrade où se relaient des membres du personnel devant un micro nasillard
J’allais me verser une énième coupe lorsque je suis interpellée par une voix suave masculine
- Bonjour, vous aussi faites partie des conjoints invités et délaissés ?
- Hein ? ha bonsoir, vous m’avez surprise, j’ai faillis lâcher mon verre !
- Excusez-moi de vous avoir fait peur, je vais vous accompagner en buvant une coupe de ce fameux pétillant, laissez-moi vous servir
- Merci, monsieur ?
- Thomas, je suis le mari de la DRH
- Ce n’est pas le meilleur poste pour être bien vu dans une entreprise !
- Je ne vous le fait pas dire, a part qu’à la maison elle porte la culotte et au boulot elle l’enlève !
- Non ? il se passe des choses ‘répréhensibles’ ici ?
- Ça jase en tous cas ! qui est votre époux sans indiscrétion ?
- Jérôme … le chef de rayon
- Jérôme … Jérôme …oui, ça me dis vaguement quelque chose, a la vôtre ?
- Évelyne, a votre santé Thomas
- Merci, vous seriez mieux de ce côté du comptoir, il y a des tabourets et nous voyons tout ce qui se passe sur l’estrade
- Pourquoi pas ?
Une fois assise je me rends compte que la position fait remonter ma robe assez haut pour attirer l’œil de mon voisin qui fixe mes cuisses tout en bavardant comme si de rien n’était, pour rester digne je me vois obligée de lui faire remarquer
- Mes jambes vous plaisent Thomas ?
- Il faudrait être difficile, excusez ma franchise mais vous êtes canon !, ne cherchez pas à cacher un si beau trésor ce serait sacrilège, après tout il n’y a que moi qui en profite, faites-moi ce plaisir Évelyne
- C’est si bien demandé …
- Merci, en même temps ce n’est pas le meilleur moyen pour rester présentable devant vous
- Que voulez-vous dire ? ha ! je n’avais pas compris, vous voulez parler de votre braguette ? effectivement elle est bien gonflée, mais ça ne m’offusque nullement, si vous êtes à l’étroit tant pis pour vous !
- Vous ne pouvez imaginer comme je souffre !
- Eh bien sortez là !
- Vrai ? je peux ?
- Si ça reste discret …je ne voudrais pas être à l’origine de nécroses à cet endroit si fragile
- A vous de juger … regardez …
- Mon dieu ! je n’ai jamais vu une telle verge !
- Ne parlez pas si fort !
- Rangez ça s’il vous plait
- Hélas je ne peux plus, à moins que vous ne m’aidiez …
- Vous aidez ?
- Tendez le bras discrètement ça ne se verra pas
- Vous désirez que je vous masturbe ?
- A moins que vous ne vouliez me faire une fellation ?
- Pas ici …mais que me faites-vous dire à la fin !
- Suivez-moi dans un bureau
- Pas question
- Vous ne voulez pas connaitre la liste des amants de ma femme ?
- Jérôme en ferait partie ?
- Suivez-moi vous saurez tout
Jérôme me ferait cocue avec cette pouffe de blondasse ? par ailleurs cet homme est très convenable pour faire un amant d’un soir et je dois dire que sa queue ne me laisse pas indifférente et c’est réciproque …
- Allons-y …
- Tu ne vas pas le regretter Évelyne
L’homme cache sa virilité avec un pull, malgré le soupçon de jalousie qui me taraude je lui emboite le pas pour nous éclipser discrètement par une porte et nous introduire dans l’entreprise qu’il parait connaitre parfaitement, il ouvre une porte et me demande d’entrer , Thomas referme a clé aussitôt, dans l’attente de la suite je reste scotchée au dos d’un fauteuil cossu qui trône au centre de ce bureau
- Voici l’antre du boss, là où ma femme se fait sans doute troncher plusieurs fois par semaines
- Vous croyez ?
- J’en suis sûr mais je m’en fous, ce soir nous allons tacher ce magnifique siège de cuir
En disant ces mots l’homme se colle dans mon dos et pose ses larges paluches sur mes épaules, je ne sais pas ce qui m’électrise le plus de ses mains chaudes ou de sa queue toujours raide pointée sur mes reins
- Nous ne devrions pas nous éterniser ici Thomas …
- Tu as raison, passons aux choses sérieuses
- Que faites-vous ?
- Eh bien je tire sur le zip de ta robe ?
- Votre femme couche aussi avec Jérôme ?
- Plus tard pour les confidences, savoure l’instant présent
Tétanisée je sens ma robe glisser sur mes épaules sans rien faire pour la retenir, les mains accompagnent le vêtement jusqu'à ma poitrine et s’en empare aussitôt, mes bouts dressés sont coincés sous les bonnets, c’est comme une délivrance lorsque le soutien-gorge tombe sur mon ventre, aussitôt remplacés par dix doigts agiles, sa virilité se fait plus pesante, trop excitée pour refuser je ferme les yeux et prend appuis sur l’épais dossier de cuir …
- Nous allons nous venger des affronts subits Évelyne
- Je ne sais pas si c’est bien …
Une main a délaissé un nichon pour relever ma robe sur mes reins, la bite s’est aussitôt glissée entre mes cuisses que j’ai resserrées par réflexe, en fait ce rempart illusoire ne sert qu’à imiter un vagin entre lequel il mime les mouvements du coït, limant le fond de mon string qui s’humidifie rapidement
- J’imagine que ta chatte est aussi étroite, ça va être un régal que de te baiser
- Je ne veux pas tromper Jérôme …
Hélas… ou heureusement, il se moque de mes paroles et entreprend de faire glisser ma petite culotte a mis cuisses, la verge se retire pour laisser place à ses doigts, comment refuser cette caresse que j’attends avec impatience ? mes pieds se déplacent ouvrant ainsi l’accès total à ma chatte, ma poitrine s’écrase sur le dossier, suffisamment cambrée et désormais consentante a l’acte sexuel
- Je vais te fourrer comme tu le mérite salope … RRRHaaaaaaaaaaoouuuuuiiiiiiii, tu es bien comme je le présageais, étroite et trempée !
- Attendez ! ça suffit, dites-moi la vérité sur la DRH et mon mari MAINTENANT !
- C’est qui cette bonne femme ? connais pas, pas plus que ton Jérôme, je suis là complètement par hasard !
- Salaud ! salaud ! j’aurais dut me méfier !
- Je te laisse le choix, retire-toi si tu n’as plus envie de ma bite, nous ferons comme si rien n’était arrivé
Thomas bloqué au plus profond de mes entrailles a stoppé ses mouvements me laissant pantoise et décontenancée, quelle attitude adopter ? comment refuser sa queue à présent que mes muqueuses sont réveillées
- Baise-moi ! mais baise-moi donc salaud ! tu vois bien que j’ai envie d’être fourrée
- Hé bien tu vois ? que d’histoires pour un simple bout de chair décalotté, finalement je veux bien te faire jouir mais a une condition
- Laquelle vite !
- Tu me suce, ensuite je te défonce la moule …
Sans répondre je me résous à retirer moi-même ma chatte de sa trique pour me retourner et avaler le gland enrobé de ma cyprine, c’est maintenant lui qui se cramponne au siège, la mâchoire ouverte je pompe et branle sa hampe énergiquement, les couilles tremblent, il grogne de satisfaction allant jusqu’à chercher à s’enfoncer toujours plus loin dans ma gorge, à la limite du rejet naturel je pompe avec ardeur jusqu'à ce que je sente les prémices de l’éjaculation, mon amant ne bouge plus, seule sa bite tressaute en évacuant les giclées de foutre épais et abondant que j’ai toutes les peines du monde à ingurgiter, le laissant récupérer je vais me positionner nue sur le fauteuil jambes posées sur les accoudoirs, ainsi écartelée quel mâle digne de ce nom refuserait l’accouplement ?
- Je t’attends ….
- Merde ! mon fauteuil en cuir ! ne le tache surtout pas, il vaut du fric !
- Ton fauteuil ? mais qui es-tu donc ?
- Le boss, le patron de Jérôme pardi !
- NON ?
- SI ! mais soit rassurée, personne ne saura ce qui s’est passé ici, à présent je vais te fourrer les miches, reprend la position que tu avais, que ta chatte soit bien ouverte pour recevoir ma queue
Tout en me matant sans honte il se défringue en vitesse avant de venir au-dessus de moi queue pointée à proximité de mon vagin béant, je me saisis de cette trique pour la frotter sur mes lèvres qui transpirent la mouille, impatient de me pénétrer il avance nerveusement son bassin, c’est moi qui choisit quand …
- Vas-y baise moi maintenant !
- HAAAAAAANNNNNN !!! Tiiiiiiieeeeeeennnnnnnnt !!
- OOOOOOOOUUUUUIIIII ! tape dans ma cramouille enfoiré
- Ton Jérôme va passer chef de service salope !
- C’est vrai ?
- Avec voiture de fonction si j’ai droit à ton cul
- Il est à toi ! mais baise-moi la chatte avant
Jamais je n’ai été labourée avec autant de vigueur, les orgasmes se sont succédé durant vingt minutes, la plus forte jouissance s’est déclarée lord de son éjaculation extraordinaire, j’étais dans une sorte de torpeur, inconsciente et bienheureuse lorsqu’une brulure a l’anus m’a rappelée ses promesses, son gland venait de me perforer le cul, je me suis touchée le clito pour mieux subir cet assaut hors nature et les jouissances sont revenues, énormes...
Une dernière éjaculation et le boss de Jérôme s’est enfin retiré de mon anus et du bureau, je me suis arrêtée aux toilettes pour faire un minimum de nettoyage de mon entrecuisse, au bar j’ai retrouvé mon mari qui se faisait du souci
- Hhaaaaaa ! quand même, où était tu passée ?
- Je parlais avec ton patron
- Ah ? où et quand ? figure toi qu’il vient à l’ instant de m’annoncer mon avancement
- Chef de service avec voiture de fonction ?
- Tu sais donc ?
- Oui et je m’en souviendrais longtemps ….
Je ne connais personne dans cette foule d’une trentaine de personne, seule récompense un buffet bien garni et un bar où le champagne est à discrétion, à condition de se servir soi-même
après avoir été présentée et serré des dizaines de mains accompagnées de congratulations toutes faites aussi niaises qu’hypocrites, sans parler des regards avides sur les femmes, de vieux mâles qui devraient être à la retraite, je me retrouve volontairement seule derrière les invités qui bavent devant une estrade où se relaient des membres du personnel devant un micro nasillard
J’allais me verser une énième coupe lorsque je suis interpellée par une voix suave masculine
- Bonjour, vous aussi faites partie des conjoints invités et délaissés ?
- Hein ? ha bonsoir, vous m’avez surprise, j’ai faillis lâcher mon verre !
- Excusez-moi de vous avoir fait peur, je vais vous accompagner en buvant une coupe de ce fameux pétillant, laissez-moi vous servir
- Merci, monsieur ?
- Thomas, je suis le mari de la DRH
- Ce n’est pas le meilleur poste pour être bien vu dans une entreprise !
- Je ne vous le fait pas dire, a part qu’à la maison elle porte la culotte et au boulot elle l’enlève !
- Non ? il se passe des choses ‘répréhensibles’ ici ?
- Ça jase en tous cas ! qui est votre époux sans indiscrétion ?
- Jérôme … le chef de rayon
- Jérôme … Jérôme …oui, ça me dis vaguement quelque chose, a la vôtre ?
- Évelyne, a votre santé Thomas
- Merci, vous seriez mieux de ce côté du comptoir, il y a des tabourets et nous voyons tout ce qui se passe sur l’estrade
- Pourquoi pas ?
Une fois assise je me rends compte que la position fait remonter ma robe assez haut pour attirer l’œil de mon voisin qui fixe mes cuisses tout en bavardant comme si de rien n’était, pour rester digne je me vois obligée de lui faire remarquer
- Mes jambes vous plaisent Thomas ?
- Il faudrait être difficile, excusez ma franchise mais vous êtes canon !, ne cherchez pas à cacher un si beau trésor ce serait sacrilège, après tout il n’y a que moi qui en profite, faites-moi ce plaisir Évelyne
- C’est si bien demandé …
- Merci, en même temps ce n’est pas le meilleur moyen pour rester présentable devant vous
- Que voulez-vous dire ? ha ! je n’avais pas compris, vous voulez parler de votre braguette ? effectivement elle est bien gonflée, mais ça ne m’offusque nullement, si vous êtes à l’étroit tant pis pour vous !
- Vous ne pouvez imaginer comme je souffre !
- Eh bien sortez là !
- Vrai ? je peux ?
- Si ça reste discret …je ne voudrais pas être à l’origine de nécroses à cet endroit si fragile
- A vous de juger … regardez …
- Mon dieu ! je n’ai jamais vu une telle verge !
- Ne parlez pas si fort !
- Rangez ça s’il vous plait
- Hélas je ne peux plus, à moins que vous ne m’aidiez …
- Vous aidez ?
- Tendez le bras discrètement ça ne se verra pas
- Vous désirez que je vous masturbe ?
- A moins que vous ne vouliez me faire une fellation ?
- Pas ici …mais que me faites-vous dire à la fin !
- Suivez-moi dans un bureau
- Pas question
- Vous ne voulez pas connaitre la liste des amants de ma femme ?
- Jérôme en ferait partie ?
- Suivez-moi vous saurez tout
Jérôme me ferait cocue avec cette pouffe de blondasse ? par ailleurs cet homme est très convenable pour faire un amant d’un soir et je dois dire que sa queue ne me laisse pas indifférente et c’est réciproque …
- Allons-y …
- Tu ne vas pas le regretter Évelyne
L’homme cache sa virilité avec un pull, malgré le soupçon de jalousie qui me taraude je lui emboite le pas pour nous éclipser discrètement par une porte et nous introduire dans l’entreprise qu’il parait connaitre parfaitement, il ouvre une porte et me demande d’entrer , Thomas referme a clé aussitôt, dans l’attente de la suite je reste scotchée au dos d’un fauteuil cossu qui trône au centre de ce bureau
- Voici l’antre du boss, là où ma femme se fait sans doute troncher plusieurs fois par semaines
- Vous croyez ?
- J’en suis sûr mais je m’en fous, ce soir nous allons tacher ce magnifique siège de cuir
En disant ces mots l’homme se colle dans mon dos et pose ses larges paluches sur mes épaules, je ne sais pas ce qui m’électrise le plus de ses mains chaudes ou de sa queue toujours raide pointée sur mes reins
- Nous ne devrions pas nous éterniser ici Thomas …
- Tu as raison, passons aux choses sérieuses
- Que faites-vous ?
- Eh bien je tire sur le zip de ta robe ?
- Votre femme couche aussi avec Jérôme ?
- Plus tard pour les confidences, savoure l’instant présent
Tétanisée je sens ma robe glisser sur mes épaules sans rien faire pour la retenir, les mains accompagnent le vêtement jusqu'à ma poitrine et s’en empare aussitôt, mes bouts dressés sont coincés sous les bonnets, c’est comme une délivrance lorsque le soutien-gorge tombe sur mon ventre, aussitôt remplacés par dix doigts agiles, sa virilité se fait plus pesante, trop excitée pour refuser je ferme les yeux et prend appuis sur l’épais dossier de cuir …
- Nous allons nous venger des affronts subits Évelyne
- Je ne sais pas si c’est bien …
Une main a délaissé un nichon pour relever ma robe sur mes reins, la bite s’est aussitôt glissée entre mes cuisses que j’ai resserrées par réflexe, en fait ce rempart illusoire ne sert qu’à imiter un vagin entre lequel il mime les mouvements du coït, limant le fond de mon string qui s’humidifie rapidement
- J’imagine que ta chatte est aussi étroite, ça va être un régal que de te baiser
- Je ne veux pas tromper Jérôme …
Hélas… ou heureusement, il se moque de mes paroles et entreprend de faire glisser ma petite culotte a mis cuisses, la verge se retire pour laisser place à ses doigts, comment refuser cette caresse que j’attends avec impatience ? mes pieds se déplacent ouvrant ainsi l’accès total à ma chatte, ma poitrine s’écrase sur le dossier, suffisamment cambrée et désormais consentante a l’acte sexuel
- Je vais te fourrer comme tu le mérite salope … RRRHaaaaaaaaaaoouuuuuiiiiiiii, tu es bien comme je le présageais, étroite et trempée !
- Attendez ! ça suffit, dites-moi la vérité sur la DRH et mon mari MAINTENANT !
- C’est qui cette bonne femme ? connais pas, pas plus que ton Jérôme, je suis là complètement par hasard !
- Salaud ! salaud ! j’aurais dut me méfier !
- Je te laisse le choix, retire-toi si tu n’as plus envie de ma bite, nous ferons comme si rien n’était arrivé
Thomas bloqué au plus profond de mes entrailles a stoppé ses mouvements me laissant pantoise et décontenancée, quelle attitude adopter ? comment refuser sa queue à présent que mes muqueuses sont réveillées
- Baise-moi ! mais baise-moi donc salaud ! tu vois bien que j’ai envie d’être fourrée
- Hé bien tu vois ? que d’histoires pour un simple bout de chair décalotté, finalement je veux bien te faire jouir mais a une condition
- Laquelle vite !
- Tu me suce, ensuite je te défonce la moule …
Sans répondre je me résous à retirer moi-même ma chatte de sa trique pour me retourner et avaler le gland enrobé de ma cyprine, c’est maintenant lui qui se cramponne au siège, la mâchoire ouverte je pompe et branle sa hampe énergiquement, les couilles tremblent, il grogne de satisfaction allant jusqu’à chercher à s’enfoncer toujours plus loin dans ma gorge, à la limite du rejet naturel je pompe avec ardeur jusqu'à ce que je sente les prémices de l’éjaculation, mon amant ne bouge plus, seule sa bite tressaute en évacuant les giclées de foutre épais et abondant que j’ai toutes les peines du monde à ingurgiter, le laissant récupérer je vais me positionner nue sur le fauteuil jambes posées sur les accoudoirs, ainsi écartelée quel mâle digne de ce nom refuserait l’accouplement ?
- Je t’attends ….
- Merde ! mon fauteuil en cuir ! ne le tache surtout pas, il vaut du fric !
- Ton fauteuil ? mais qui es-tu donc ?
- Le boss, le patron de Jérôme pardi !
- NON ?
- SI ! mais soit rassurée, personne ne saura ce qui s’est passé ici, à présent je vais te fourrer les miches, reprend la position que tu avais, que ta chatte soit bien ouverte pour recevoir ma queue
Tout en me matant sans honte il se défringue en vitesse avant de venir au-dessus de moi queue pointée à proximité de mon vagin béant, je me saisis de cette trique pour la frotter sur mes lèvres qui transpirent la mouille, impatient de me pénétrer il avance nerveusement son bassin, c’est moi qui choisit quand …
- Vas-y baise moi maintenant !
- HAAAAAAANNNNNN !!! Tiiiiiiieeeeeeennnnnnnnt !!
- OOOOOOOOUUUUUIIIII ! tape dans ma cramouille enfoiré
- Ton Jérôme va passer chef de service salope !
- C’est vrai ?
- Avec voiture de fonction si j’ai droit à ton cul
- Il est à toi ! mais baise-moi la chatte avant
Jamais je n’ai été labourée avec autant de vigueur, les orgasmes se sont succédé durant vingt minutes, la plus forte jouissance s’est déclarée lord de son éjaculation extraordinaire, j’étais dans une sorte de torpeur, inconsciente et bienheureuse lorsqu’une brulure a l’anus m’a rappelée ses promesses, son gland venait de me perforer le cul, je me suis touchée le clito pour mieux subir cet assaut hors nature et les jouissances sont revenues, énormes...
Une dernière éjaculation et le boss de Jérôme s’est enfin retiré de mon anus et du bureau, je me suis arrêtée aux toilettes pour faire un minimum de nettoyage de mon entrecuisse, au bar j’ai retrouvé mon mari qui se faisait du souci
- Hhaaaaaa ! quand même, où était tu passée ?
- Je parlais avec ton patron
- Ah ? où et quand ? figure toi qu’il vient à l’ instant de m’annoncer mon avancement
- Chef de service avec voiture de fonction ?
- Tu sais donc ?
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
fort viril direct !
Comme d'hab; toujours un bon scénario bien excitant.
Bravo !!!! chantage mansonge juste parfait ^^